Ton histoire je l'a li depuis ce matin et j'adore ton style d'écriture mec tu es drôlement doué
Aller stp la suite
Sweet!
SWEET
SWEET
En te lisant ça m' donné une drôle envie de jouer à GTA IV
Sweet non d'un petit bonhomme
SWEEEEEEEEEEEET
+ sweet
Souiiite !
Buzzcocks
http://www.noelshack.com/up/aac/buzzcocks-e720b10f83.jpg
sweeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeet
J'écris la suite
J'ai tout lu depuis le début.
Le scénar est un peu trop schématique, mais tu arrives à créer une ambiance, c'est excellent.
Et puis, une fic aussi politiquement incorrect, ça vaut son poids en
Bonne continuation
Sans oublier : SWEET
La Suiiiiiite !!!
Buzzcocks
http://www.noelshack.com/up/aac/buzzcocks-e720b10f83.jpg
NEED SWEET
Alors, elle vient cette SWEET ?
Les jours passent et la tension est de plus e plus palpable.
Quand arrive le grand soir.
Delko et moi sommes seuls dans son appartement, nos amis nous rejoignent au goutte-à-goutte, en silence nous nous préparons, enfilons pare balles et par dessus des blousons, pantalons de treillis, Rangers ou Pataugas, rangeons armes et chargeurs dans des sacs, préparons gilets de combat et cagoules. Il est neuf heures du soir
Quand tout est prêt, j'annonce d'une voix solennelle :
-C'est bon, on peut y aller. Si on franchit cette porte, pas de retour en arrière, vous connaissez les conséquences que cela pourrait avoir si il y avait une fuite.
Nous descendons et montons dans le 4x4 des frères Kaplarevic, je prends le volant.
Check-points, contrôles, autoroute. Nous arrivons dans la ville Normande après 4 heures d'un trajet relativement calme.
Mon ventre... Cette sensation, je l'avais oublié, cette sensation qui prend aux tripes, qui donne envie de vomir ses entrailles... La peur. Ce sentiment m'était devenu inconnu depuis la mort de Jules.
Nous arrivons aux quais, silence de mort, calme plat. Si il est vrai que les animaux ont un instinct de survie qui les fait fuir quand une menace approche, pas un chat n'oserait sortir ce soir la...
Je gare le véhicule dans une sombre ruelle qui nous engouffre dans sa noirceur et nous descendons afin de faire la répartition des armes.
Je prends le HK 416. Nous enlevons nos manteaux et mettons nos veste de combat et cagoules, nous sommes après comme des vrais militaires, ou de mercenaires à la recherche de quelques dollars, ou d'aventure.
Avant d'aller sur les quais, je donne les instructions : Pas de victimes civiles mais pas de quartier pour les trafiquants.
Nous avançons dans la pénombre tel des ombres, sans aucun bruit, baissés, armes prêtes à cracher la mort, François qui est derrière moi, me tape sur l'épaule :
-Docker, la haut.
Je lève les yeux et vois un bâtiment administratif haut de plusieurs étages, une seule pièce est allumée : un bureau assez grand.
-Surement notre homme, le corrompu.
A l'aide de ses outils, François ouvre la prote du bâtiment. Nous entrons discrètement, surveillant à chaque porte ou chaque couloir que personne ne traine dans les locaux.
Nous montons les escaliers jusqu'à arriver devant la porte du bureau, je regarde par la serrure : un homme d'une quarantaine d'années est assis, il se lève et regarde par la fenêtre, puis enfile un blouson : l'objectif est surement arrivé.
Alors que l'homme se retourne une nouvelle fois vers la fenêtre, j'ouvre la porte et lui appuie sur la carotide avant qu'il n'ai le temps de se retourner, en quelques secondes il vacille et s'évanouit.
Je regarde à la grande fenêtre : un bateau juste assez gros pour transporter quelques containers se met à quai, des silouhettes en débarquent.
-Allez! On n'a pas beaucoup de temps.
Delko et Baptiste attachent l'homme à sa chaise et le bâillonnent.
Nous descendons vite les escaliers et parcourons le complexe jusqu'à arriver à une cinquantaine de mètres du bateau, cachés derrière un mur d'entrepôt.
Quinze hommes, armés de AKS74-u et autres Kalashnikovs, quelques uns ont des M-16 et des Skorpio, ils semble s'impatienter et commencent à débarquer leur marchandise pendant que les autres, à terre, surveillent autours du bateau. C'est maintenant qu'il faut taper.
Alexandre prend son Famas en main et monte sur une caisse sans faire de bruit, il insère une grenade dans son M203.
-Alexandre, tu tires le premier dès que t'es prêt, François, Baptiste, quand la fusillade commence vous traversez vite pendant qu'on vous couvre et vous vous cachez derrière le hangar juste en face puis vous ouvrez le feu.
Alexandre lâche son projectile dans un bruit sourd, quelques secondes plus tard, deux gardes valdinguent, l'un s'écrase contre un mur, l'autre plonge dans l'eau. Nous ouvrons immédiatement le feu et une poignée d'ennemis s'écroulent, un garde qui descendait une caisse de bateau est abattu puis écrasé par sa cargaison, Baptiste et François traversent, puis une fois à couvert tirent sur d'autres gardes qui s'écroulent.
Les ennemis s'organisent rapidement, ils se mettent à couvert puis ripostent, une formidable fusillade s'ensuit alors, les balles ricochent, la fumée s'épaissit, ils sont deux fois plus que nous, mais nous devons tenir, je recharge mon fusil d'assaut pour la troisième fois, il ne me reste que deux chargeurs :
-Alexandre, balance leur une autre grenade!
Alexandre s'exécute, il tue un garde et en désoriente deux qui se mettent à marcher comme des zombies, je les abat aussi sec de deux rafales.
-Ne tirez pas! On se rend! Deux hommes avancent vers nous les mains en l'air, mais nous restons impassibles et les criblons de balles.
-Cessez le feu!
Tout redevient calme, après une rapide analyse de la scène, nous nous levons et avançons prudemment vers les cadavres allongés ici et la, une des victimes d'Alexandre a les deux jambes arrachées. La fumée me fait tousser, mais Dieu que j'aime cette odeur de poudre! Je transpire à grosses goutes sous ma cagoule et mon barda, il doit en être de même pour mes coéquipiers, soudain Delko s'écrire :
-Fuyard!
Je me retourne et vois un homme paniqué, il lâche son arme et se met à prendre ses jambes à son cou, je lâche mon HK et sors mon Glock, je vise.
Je le stoppe net d'une balle en pleine tête.
Les 15 personnels ennemis sont détruits, aucun blessé à déplorer dans l'équipe, beau travail soldat.
Nous remontons dans le véhicule après avoir enlevé notre équipement et nos cagoules, je prends le volant et démarre.
La ville est toujours aussi paisible, la Lune nous éclaire, le silence règne. Un chat sort d'une ruelle : la tempête est passée.
NEED SWEET