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Blabla 25-35 ans

Sujet : Aujourd'hui
gandara
Niveau 10
02 février 2008 à 19:16:02

tout ça pour que cécilia ne se remarie pas avant lui :hum:

"après la gauche caviar, la droite cassoulet : une petite saucisse avec plein de fayots autour"

fa7
Niveau 10
02 février 2008 à 19:17:14

:rire: Ganryu !!

[ero_sennin]
Niveau 5
02 février 2008 à 19:17:55

j'ai vu dans la prèsse les paparazzis ont pris en photo cecilia avec abannir :ouch:

abannir
Niveau 10
02 février 2008 à 19:27:08

ouais, mais moi, c'est juste en attendant qu'elle se marie
je suis l'anti lit froid du soir, mais je vais pas l'épouser

Sofea
Niveau 65
02 février 2008 à 19:44:05

C'est bizarre, à la fois ça me fait sourrire et à la fois je trouve cet anti-sarkozysme primaire déplorable tant il devient lourd à force.

Enfin on est en France, c'est donc normal qu'on entende des gens râler dans le vent sans arrêt...

PS : Mon sens de l'humour est au plus bas depuis des lustres, j'en conviens.
Mais bon je ne vais pas me lancer dans un troll politique, j'ai encore suffisament de bon sens pour savoir que ce serait vain.

moreblues
Niveau 8
02 février 2008 à 19:48:11

Ont ne râlent pas ont se moque c'est pas pareil :o))

Sofea
Niveau 65
02 février 2008 à 20:12:48

Se moquer du système ponctuellement, c'est de l'humour.
Le faire perpétuellement, c'est râler contre lui, sans forcément l'assumer.

En effet on ne se moque que des défauts, et on râle contre l'existence de défauts.
Se moquer perpétuellement c'est avoir en permanence à l'esprit ces défauts, donc que ces défauts dérangent, d'où le fait qu'on peut assimiler ce comportement à celui d'un râleur.

fa7
Niveau 10
02 février 2008 à 20:15:45

N'empêche, sans l'humour, je sais pas comment on ferait pour tenir !^^

:dehors:

:o))

moreblues
Niveau 8
02 février 2008 à 20:23:34

Whalala sofea comme tu te prend la tête :rire: :rire: :rire: :rire:

Je parle d'un mariage débile entre un pitre et un top model en mal de médiatisation, c'est mon point de vue, cette crétinerie journalistique au ras des pâquerettes me fait rire, je trouve ca ridicule et risible, faut pas en faire toute une histoire, c'est complètement crétin à mes yeux et c'est comme ca, chacun est comme il est!

Sofea
Niveau 65
02 février 2008 à 20:31:21

Et c'est pour cela que ça m'a quand même fait sourire. :)

Ganryu
Niveau 17
02 février 2008 à 22:52:13
  1. Sofea Voir le profil de Sofea
  2. Posté le 02 février 2008 à 19:44:05 Avertir un modérateur
  3. C'est bizarre, à la fois ça me fait sourrire et à la fois je trouve cet anti-sarkozysme primaire déplorable tant il devient lourd à force.

Enfin on est en France, c'est donc normal qu'on entende des gens râler dans le vent sans arrêt...

PS : Mon sens de l'humour est au plus bas depuis des lustres, j'en conviens.
Mais bon je ne vais pas me lancer dans un troll politique, j'ai encore suffisament de bon sens pour savoir que ce serait vain.

:d) Sofea, je ne parlerai qu'en mon nom.
Je n'ai aucun humour vis à vis de ce gouvernement. Il est dangereux, asocial, amoral et totalement incompétent. Le pouvoir sarkozien est avant tout réactionnaire. J'entends par là qu'il agit par réaction face à l'actualité et non par raison.
C'est à la fois un gouvernement poujadiste, sans scrupule et ignorant de toute morale. Les années à venir montreront juste que tout est devenu possible dans ce pays. Surtout le pire.

Pour conclure, si Sarkozy est soi-disant partisan de l'amélioration du pouvoir d'achat des français, j'ai comme la vague impression que ce fameux pouvoir d'achat va en prendre pour son grade avec l'augmentation prochaine de la tva.

Après, on peut dire que je suis sectaire, je le reconnais bien volontiers. Sans doute parce que l'on me propose une augmentation de 0,8% alors que l'inflation officielle (sic) est - déjà - à +3%.

Heureusement, joie, les restos du coeur existent encore.

Ganryu
Niveau 17
02 février 2008 à 22:58:10

Des "bons effets" de l'autonomie des universités.

L'université Paris-Dauphine souhaite augmenter ses frais d'inscription
LE MONDE | 02.02.08

La décision n'est pas encore prise mais suscite déjà une polémique, ainsi qu'une nette hostilité de la part du ministère de l'enseignement supérieur : l'université Paris-IX-Dauphine envisage d'augmenter ses frais d'inscription sur les diplômes d'université (DU), non reconnus au niveau national et dont la tarification est libre. Le conseil d'administration devrait se prononcer le 25 février sur ce projet, que l'université espère appliquer progressivement à partir de la rentrée 2009.

Actuellement, 2 000 étudiants de Dauphine sur 8 500 sont inscrits en DU. Avec cette réforme, leurs frais d'inscription - 350 à 400 euros en moyenne aujourd'hui - pourraient atteindre 1 650 euros. Parallèlement, leur modulation en fonction du revenu de la famille de l'étudiant est envisagée. "Les étudiants les plus démunis bénéficieront de cette réforme, assure Laurent Batsch, président de Dauphine. 20 % de nos étudiants seront exonérés de tout droit d'inscription, contre 12,5 % actuellement."

Concernant les DU, l'aval du ministère n'est pas obligatoire, mais son accord de principe est indispensable. M. Batsch ne cache pas que l'université pourrait, à terme, proposer deux types de formation : soit le diplôme national, soit un "package" composé du diplôme national (300 heures) et du supplément DU (150 heures). Cette dernière formule pourrait attirer la plupart des étudiants de Dauphine. Pour M. Batsch, élu le 14 mai 2007 sur le projet de réformer les droits d'inscription, cette réforme se justifie par une situation financière difficile : "Nous avons besoin de 6 milliards d'euros pour continuer à offrir les prestations de qualité qui ont fait la réputation de notre université. Ce n'est pas le ministère qui va apporter cet argent, à nous de le trouver." Depuis 2004, Dauphine bénéficie d'un statut de "grand établissement" qui lui permet de sélectionner ses étudiants, mais reste sous la tutelle du ministère de l'enseignement supérieur, qui la finance à 85 %.

Vendredi 1er février, la ministre de l'enseignement supérieur, Valérie Pécresse, a rappelé dans un communiqué "qu'il est interdit d'imposer aux étudiants inscrits à un diplôme national de s'inscrire parallèlement à une formation complémentaire, entraînant des frais supplémentaires pour valider leurs diplômes". La ministre ajoute qu'elle "veillera à ce que la loi soit strictement appliquée" et que "toute décision entachée d'illégalité sera immédiatement déférée devant le juge par le recteur". L'augmentation des droits d'inscription comme leur modulation sont combattus par la plupart des organisations étudiantes.

Luc Cédelle et Catherine Rollot
Article paru dans l'édition du 03.02.08

Ganryu
Niveau 17
02 février 2008 à 23:00:06

La baisse du chômage, une réalité à mille visages...

Emplois non déclarés, refus d'offre d'emploi... des chômeurs se justifient
LE MONDE | 02.02.08

D'une voix calme, Hafedh N., demandeur d'emploi, réclame "la clémence, juste la clémence". Assis en face de lui, trois hommes et une femme, qui représentent la direction du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle (DDTEFP) de Seine-Saint-Denis, l'ANPE et les Assedic, doivent examiner les sanctions à prendre. A plusieurs reprises, Hafedh n'a pas déclaré des emplois, continuant à percevoir indûment des allocations chômage. Il doit 2 554 euros qu'il va rembourser selon un échéancier. Pour avoir menti sur sa situation, il encourt trois mois de suspension de son indemnisation.

Durant vingt minutes, l'homme de 45 ans s'efforce d'expliquer ses erreurs. "Les collègues m'ont affirmé que quand c'était une mission d'intérim, on n'était pas obligé de le signaler", avance Hafedh. "Oui, la première fois, vous vous êtes peut-être trompé, lui répond Philippe Parrot, représentant l'ANPE. Mais à la quatrième, c'est de la fraude." L'intéressé avance des difficultés familiales, des sommes versées sur le compte de sa femme sur lequel il n'a pas de procuration : "J'ai eu tort, mais je n'ai rien touché", se justifie-t-il.

Michel Cointepas, le directeur adjoint du travail, le relance : "Vous aviez des difficultés financières et vous avez utilisé les Assedic comme une banque de prêt à taux zéro." "Ce n'est quand même pas dur de répondre par oui ou par non à la question "avez-vous travaillé ce mois-ci ?"", renchérit M. Parrot. Ultime plaidoirie d'Hafedh : "Je vais rembourser, mais pour la sanction, comment je vais faire avec mes trois enfants ?"

Une fois le fraudeur sorti de la salle, ses "juges" se concertent. "Je propose que l'on réduise la suspension de trois à deux mois", suggère M. Cointepas.

Hager B., 27 ans, recherche, depuis mars 2007, un emploi de vendeuse dans l'habillement. Elle présente à la commission une liste de boutiques qu'elle dit avoir démarchées, coups de tampon à l'appui. Sans convaincre. "Elle ne nous a rien montré durant près d'un an et là, elle nous amène cette liste", proteste M. Parrot. Surtout, ajoute M. Cointepas, elle a refusé des emplois qu'elle a jugés "inintéressants". "Une offre à 546 euros par mois, ce n'est pas suffisant pour elle", s'offusque-t-il.

Hager touche 829 euros d'indemnités par mois. Les membres de la commission la soupçonnent de travailler dans l'épicerie de son mari aux frais des Assedic. Punition : 20 % de moins durant quatre mois.

"PLUS RESPECTUEUX"

Ce mardi 29 janvier, alors que cinq dossiers sont examinés, trois personnes ne se sont pas déplacées. Leur sort est vite scellé, les sanctions tombent. 20 % de réduction des allocations pendant quatre mois pour Zoheir A., 27 ans, qui recherche un emploi dans la sécurité ou le bâtiment, deux secteurs "en tension", mais qui dit n'avoir rien trouvé depuis qu'il touche ses Assedic en septembre 2006. Thoraya B., 36 ans, a perçu des allocations en oubliant de déclarer des périodes d'emploi entre 2004 et 2005. L'indu s'élève à 5 300 euros. Il y a peu de chances que la supposée fraudeuse rembourse ces sommes, estime Christian Massonneric, des Assedic est-franciliens.

A 16 h 45, la commission a fini ses travaux. "Cinq cas à étudier en un mois, cinq sanctions pour 60 000 personnes indemnisées et on nous accuse d'être le département "le plus sévère" !", s'insurge M. Cointepas.

Les statistiques du département pour 2007 traduisent un "effondrement du nombre de sanctions prises (- 31 %) et du nombre de suppressions définitives en particulier". Avec le suivi mensuel, la meilleure coordination entre l'ANPE et les Assedic, "les chômeurs sont plus respectueux de leurs obligations", estime M. Cointepas.

Rémi Barroux
Article paru dans l'édition du 03.02.08

Ganryu
Niveau 17
04 février 2008 à 08:19:23

Quand un gendarme de l'Elysée joue au photojournaliste
LE MONDE | 02.02.08

http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2008/02/02/quand-un-gendarme-de-l-elysee-joue-au-photojournaliste_1006689_3236.html#ens_id=994548
LAURENT BLEVENNEC / HO/ ELYSEE POOL

Cette photographie, sur laquelle Nicolas Sarkozy discute avec des jeunes de Sartrouville, a été prise par un gendarme. Elle a pourtant été publiée par des quotidiens français sans mention de son origine.

La photo du président en visite en banlieue à Sartrouville (Yvelines), parue dans Le Parisien, Le Figaro et Libération mardi 22 janvier, n'a pas été signée d'un photojournaliste. C'est un gendarme, Laurent Blevennec, qui en est l'auteur. La légende des journaux, pourtant, n'en dit rien. Et aucun autre photographe n'a couvert la rencontre de Nicolas Sarkozy avec les jeunes.

Comment une image officielle, signée par un membre du service photo de l'Elysée, peut-elle ainsi se retrouver sans avertissement dans les quotidiens ? Deux journalistes de Libération ont mené l'enquête : la photographie en question a été récupérée par l'agence Reuters, qui l'a ensuite distribuée à ses clients et aux autres agences. En précisant "HO/Elysée Palace".

"HO", en langage d'agence, signifie "Hand Out", distribution. Chez Reuters, on apprécie peu l'article paru dans Libération lundi 28 janvier : "La source était très claire. Tous les services photo savent ce que "HO" veut dire. C'est la responsabilité des journaux d'informer leurs lecteurs. Récupérer des images auprès de sources officielles n'a rien d'extraordinaire."

Sauf que cela arrive rarement en France, où M. Sarkozy est suivi en permanence par une nuée de photographes. "On préfère bien sûr avoir nos propres images. C'était un dépannage", dit-on chez Reuters.

Que s'est-il donc passé à Sartrouville pour que la presse rate ce moment où M. Sarkozy dialogue avec des jeunes ? Sur place, les photographes étaient organisés en pool : pour éviter la cohue, un seul travaille pour toutes les agences filaires, un autre pour les magazines et un pour la presse nationale. "Les services de l'Elysée nous avaient dit d'attendre au commissariat, explique un membre du pool. Nicolas Sarkozy devait y faire une conférence de presse."

Sauf qu'avant, le président a fait un arrêt à la gare pour serrer quelques mains. Officiellement, cette halte était "impromptue". Alors, forcément, aucun photographe n'a été convié. Les télévisions, qui se sont précipitées, ont glané quelques images. Les photographes, eux, ont tout raté.

Les services de l'Elysée ont donc offert de les "dépanner" en leur donnant leurs images, où l'on voit M. Sarkozy l'air résolu. Gracieusement, bien sûr. Mais si l'accueil, à Sartrouville, avait été moins chaleureux, se seraient-ils montrés aussi charitables ?

Claire Guillot
Article paru dans l'édition du 03.02.08.

abannir
Niveau 10
04 février 2008 à 08:23:44

"
Cette semaine on nous annonce que les profs pourraient être payés au mérite. Il s'agit juste d'une réfléxion lancée sans explication ni modalité pour le moment. Je comprends bien la volonté d'améliorer la qualité de l'enseignement, on ne peut que la partager. Je suis néanmoins très dubitatif quant aux critères qui pourraient servir à évaluer. Faut-il se baser uniquement sur les inspections (1h30 d'inspection une fois tous les 10 ans dans certains départements ?) sur le résultat des élèves (les moyennes vont exploser) sur l'avis du chef d'établissement (qui n'a aucune idée de ce qui se passe dans les classes) ? Et surtout, que faire des enseignants qui ne "mériteraient pas" ou moins que les autres ? On accepte des profs au rabais, c'est pas grave s'il sont moins payés ? Va-t-on créer des enseignants d'exception, reconnus et valorisés ? Doit-on rendre publique le mérite des enseignants qui deviendront l'un des critères du choix de son école (grâce à la suppression de la carte scolaire) ?

Je précise que je ne suis pas contre les inspections, bien au contraire, je les trouve trop rares, mais j'ai bien du mal avec le système des notes, même l'actuel que je trouve injuste et inutile : je ne connais pas d'instit qui travaille uniquement pour améliorer sa note. Bien heureusement nous avons d'autres motivations !
"
http://www.bulledair.com/everland/bd/blog8/045.gif

everland

Ganryu
Niveau 17
04 février 2008 à 08:39:18

Une idée pour réduire les déficits publics. Restreindre l'enseignement scolaire public aux limites d'âges prévues par la loi, soit de 6 à 16 ans.

En dehors de cette tranche, l'enseignement privé aura le monopole du service éducatif.

Ainsi, le budget de l'Education Nationale pourrait être restreint d'une vingtaine de milliards d'euros.

Enfin, c'est juste une idée libérale comme une autre. Pas de quoi fouetter un chat.

abannir
Niveau 10
04 février 2008 à 08:44:30

Carla Bruni nue dans un magazine espagnol
"
La presse espagnole dévoile, mercredi 23 janvier, des photos du magazine DT à paraître en février pour lequel Carla Bruni a posé nue. La séance est présentée comme "la dernière et la plus audacieuse" de l'ex-top model.
"
http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/people/20080123.OBS6707/carla_bruni_nue_dans_un_magazine_espagnol.html

Ganryu
Niveau 17
04 février 2008 à 08:49:22

Vive Photoshop. ^^

Ganryu
Niveau 17
04 février 2008 à 12:04:13

Des limites de l'économie libérale...

L'Etat se dit prêt à investir sur le site Mittal de Gandrange
04.02.08 | 10h41

GANDRANGE, Moselle (Reuters) - Nicolas Sarkozy a déclaré lundi que l'Etat était "prêt à prendre en charge tout ou partie des investissements nécessaires" pour maintenir en fonction l'aciérie d'ArcelorMittal de Gandrange (Moselle).

"Nous sommes prêts à mettre de l'argent pour faire les investissements qui auraient dû être faits sur le site depuis longtemps", a déclaré le chef de l'Etat sur le site.

"Mon idée c'est qu'on essaie de faire avec vous ce qu'on a fait avec Alstom", a-t-il ajouté, faisant allusion au plan de sauvetage du groupe en 2004.

"Mon objectif est de garder des usines ouvertes en France car un pays qui n'a plus d'usine est un pays qui n'a plus d'économie", a-t-il souligné.

Gilbert Reilhac

moreblues
Niveau 8
04 février 2008 à 12:22:51

Après l'immigration choisie, le journalisme choisi :sarcastic:

http://www.imedias.biz/television/actualite-ppda-et-arlette-chabot-ne-sont-plus-du-gout-de-sarkozy-15957.php

Non mais franchement les journalistes de nos jours, ils ne posent aucune question qui arrange notre roi!

Notre roi d'ailleurs avec ces conneries, voila ou il en est:

http://fr.news.yahoo.com/afp/20080203/tpl-politique-sondage-gouvernement-sarko-ee974b3_1.html

:cool:

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