Ca s'est bien fini finalement la "crise" Wallon/Flamands?
c'est pas tout a fait encor calme entre la wallonie et les flams
ona pas encor de gouvernement lol
Ils ont juste un gouvernement provisoire.
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Je suis partout et nulle part à la fois.
Ach...
Et rien qui se précise?
normalement bientot on y vera plus clair et on sera qui va etre le premier ministre
Un premier ministre provisoire alors?
Ou un que vous allez élire?
http://videos.leparisien.ien.fr/video/iLyROoaftL1D.html
Le nouveau style présidentielle, la MEGA HONTE pour la France, c'est pathetique.
Excellent.
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Je suis partout et nulle part à la fois.
Bien vu. ^^
Rétention de sûreté : levée de boucliers contre l'initiative de Nicolas Sarkozy
LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 23.02.08
Nicolas Sarkozy a une nouvelle fois tenté de justifier, samedi 23 février, son souhait de voir la loi sur la rétention de sûreté appliquée immédiatement, y compris aux détenus déjà incarcérés. En marge du Salon de l'agriculture, le chef de l'Etat s'est placé du côté des "victimes", estimant qu'on ne peut pas "laisser des monstres en liberté après qu'ils aient effectué leur peine".
Alors que le Conseil constitutionnel a en partie censuré le texte, jeudi, M. Sarkozy a appelé la Cour de cassation à la rescousse, demandant à son Premier président, Vincent Lamanda, de lui faire des propositions visant à rendre la loi immédiatement applicable. Cette solution "n'est pas un contournement" du Conseil constitutionnel, a assuré le président, sans toutefois convaincre syndicats de magistrats, constitutionnalistes et opposition.
Pour les syndicats de magistrats, Nicolas Sarkozy tente bel et bien un contournement du Conseil constitutionnel. Dans un communiqué, le Syndicat de la magistrature (SM), classé à gauche, s'élève contre "un coup de force inacceptable", demande à Vincent Lamanda de refuser de donner suite à la demande présidentielle et appelle à manifester le 20 mars à Paris pour une "nuit de défense des libertés". Même indignation du côté de de l'Union syndicale des magistrats (USM), majoritaire au sein de la profession : "C'est une décision ahurissante, unique dans l'histoire de la Ve République", a estimé son secrétaire général, Laurent Bedouet.
Les superlatifs son également de rigueur au Parti socialiste. Jean-Marc Ayrault, président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, a dénoncé une "stupéfiante atteinte à l'état de droit". "Le président de la République n'est plus le garant de la Constitution dans notre pays", écrit le député-maire de Nantes dans un communiqué.
"NOUS SOMMES DANS UNE PÉRIODE SOMBRE POUR NOTRE JUSTICE"
Dans un entretien au Monde, Robert Badinter juge "singulier de demander au plus haut magistrat de France les moyens de contourner une décision du Conseil constitutionnel". "Aujourd'hui, nous sommes dans une période sombre pour notre justice", prévient l'ancien Garde des Sceaux socialiste.
Pour l'ancienne ministre de la justice socialiste Elisabeth Guigou, on assiste là à une manoeuvre "inconcevable". La réaction de Nicolas Sarkozy "est une dérive grave et dangereuse car le plus haut personnage de l'Etat doit donner l'exemple à tous les citoyens en matière de respect des institutions", souligne la député de Seine-Saint-Denis qui demande la convocation de la Commission des lois de l'Assemblée nationale.
"Le gouvernement ne peut que s'incliner devant la décision du Conseil constitutionnel", met en garde, sur France Info, le constitutionnaliste Jean Gicquel. Le premier président de la cour de Cassation dispose d'une "marge de manoeuvre extrêmement étroite" selon lui.. "Je n'imagine pas le premier magistrat de France se mettre en travers du Conseil constitutionnel."
Seule voix à s'élever pour prendre la défense du chef de l'Etat, celle de Rachida Dati, qui, dans un entretien au Figaro assure qu'"il ne s'agit pas de remettre en cause la décision du Conseil constitutionnel, mais de proposer de nouvelles solutions".
En marge de cette agitation, les services du Premier président de la Cour de cassation se sont réunis vendredi soir, se contentant de confirmer avoir reçu la proposition de mission de l'Elysée.
Vers la fin de la démocratie...
Je tenais a m'excuser, dans mon poste précédant j'ai affirmé que Sarkosy dirait bientôt une connerie par jours, je ne suis qu'une mauvaise langue...............il a dit 2 conneries en une journée
http://videos.leparisien.[...]o/iLyROoaftL1D.html
http://www.lefigaro.fr/economie/2008/02/23/04001-20080223ARTFIG00496-la-gastronomie-francaise-au-patrimoine-de-l-humanite-.php
Ca vous en bouche un coin hein
Pas vraiment ^^"
"Madame Belgique" rattrapée par son passé
22/02/2008 07:16
Marie-Claire Houard, la Liégeoise qui a réussi à récolter 140.000 signatures pour sa pétition en faveur de l'unité de la Belgique, a volé 200.000 FB à des clients de La Poste il y a 8 ans, révèlent vendredi "La Capitale", "La Meuse" et "La Nouvelle Gazette".
"Oui, j'ai un passé dont je ne suis absolument pas fière. J'ai volé quelque 200.000 FB à deux ou trois clients du bureau de poste qui m'employait. C'était dans les années 1999-2000", reconnaît-elle. "A l'époque, mon époux et moi nous nous sommes séparés. J'étais seule, avec un emploi à 2/3 temps, deux enfants, un ex-mari qui ne payait pas de pension alimentaire. Je ne parvenais pas à nouer les deux bouts". "J'ai commis des faux pour voler de l'argent sur le compte de clients, âgés, qui me faisaient confiance et m'aimaient bien. J'ai mis le doigt dans un engrenage infernal", explique-t-elle, précisant qu'elle n'a volé que ce dont elle avait besoin. Marie-Claire Houard a finalement été démasquée et licenciée par La Poste. "La Poste a indemnisé les victimes. Et moi, j'ai remboursé mon employeur", précise-t-elle. (NLE)
http://www.levif.be/belga/generale/78-6-38365/-madame-belgique--rattrapee-par-son-passe.html
~~> Pas mal la Belgique.
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"Casse-toi alors pauvre con." (Sarkozy)
Nicolas Sarkozy veut développer les heures supplémentaires et l'intéressement des salariés
LEMONDE.FR avec AFP | 26.02.08
Durant la campagne présidentielle, le candidat Sarkozy avait promis qu'il serait le "président du pouvoir d'achat". A moins de deux semaines d'une nouvelle échéance, les élections municipales, le président tente de reprendre la main sur cette question, et a défendu, mardi 26 février, deux "solutions" à ce "gigantesque problème" : les heures supplémentaires défiscalisées et l'intéressement des salariés.
"Entre les heures supplémentaires et l'intéressement, on va pouvoir répondre à la question du pouvoir d'achat", a assuré le chef de l'Etat en déplacement dans l'Allier. Selon l'ACOSS, la caisse nationale des Urssaf, 37 % des entreprises ont eu recours au système des heures supplémentaires défiscalisées mis en place fin 2007. L'intéressement des salariés, pourtant déjà encouragé par la loi, n'est utilisé que dans 10 % des petites et moyennes entreprises (PME), selon le Medef. Le président entend les développer, mais n'a pas précisé comment.
"CERCLE VERTUEUX"
Après avoir défendu le système des heures supplémentaires, le président s'est prêté à un exercice plus ardu : convaincre de leur bienfait ceux qui n'y ont pas accès. "Peut-être que toutes les entreprises n'ont pas du travail à donner pour faire des heures supplémentaires mais le pouvoir d'achat reçu par ceux qui en font crée de la croissance, et la croissance crée de l'emploi pour les autres : c'est ça le cercle vertueux", a-t-il souligné.
Le président est également revenu mardi dans les colonnes du Parisien sur sa volonté d'avancer rapidement sur le projet de loi visant à généraliser l'intéressement, un texte qui, tel que le présente le chef de l'Etat, se heurte à l'opposition du Medef. "Mon objectif, ce serait qu'on obtienne la société des trois tiers, a-t-il précisé, en cas de bénéfices, un tiers pour l'actionnaire, un tiers pour les salariés et un tiers pour l'investissement."
"C'EST UNE DÉCISION PROPRE À L'ENTREPRISE"
Le Medef, qui défend pourtant lui aussi l'intéressement des salariés – par le biais de l'incitation fiscale et non de la contrainte légale – a immédiatement dénoncé la méthode choisie par Nicolas Sarkozy. "Ça ne se passe pas comme ça", a répliqué la présidente du Medef, Laurence Parisot, interrogée sur Europe 1. "Il ne peut pas y avoir de définition uniforme et surtout pas vue par le politique. C'est une décision propre à l'entreprise", a-t-elle insisté. "Chaque entreprise, chaque année, évalue ce qui est le plus adapté [pour elle]. Tout un tas de facteurs varient d'une entreprise à une autre", a-t-elle fait valoir.
Le Medef, qui regrette que ce système soit sous-utilisé en France, réclame une loi pour instaurer un crédit d'impôt pouvant aller jusqu'à 30 % pour les très petites et moyennes entreprises qui mettraient en place des accords d'intéressement dans les entreprises de moins de 50 salariés.
J'ai pas droit aux heures sup !
Mon salaire va augmenter de 0,8% cette année !
Je fais comment pour vivre moins pire qu'avant ?
François Fillon exclut une baisse de la TVA
Evoquant, lors d'un discours devant le Conseil économique et social, les mesures annoncées lundi pour contrôler les hausses des prix des produits alimentaires, le premier ministre a déclaré : "J'entends dire qu'il s'agit de mesures insuffisantes et qu'il suffirait de baisser la TVA pour améliorer le pouvoir d'achat des Français, c'est vrai." "Est-ce que ce serait raisonnable dans les conditions qui sont celles de nos finances publiques ? Est-ce que ce serait raisonnable compte tenu des ambitions sociales qui sont les nôtres ? Est-ce que ce serait raisonnable s'il y a des abus dans la mise en œuvre des négociations commerciales entre certains industriels et certains distributeurs ?" , a-t-il demandé. "Non, ce n'est pas la baisse de la TVA qui est la réponse à cette question, c'est la concurrence".
Bernadette Chirac se représente aux élections municipales en Corrèze
LEMONDE.FR avec AFP | 27.02.08
A 74 ans, Bernadette Chirac se représente aux élections municipales sur la liste conduite par Michel Poincheval, le maire sortant de Sarran, village de la Haute Corrèze où est situé le château de Bity, propriété de la famille Chirac, indique le quotidien régional La Montagne dans son édition du mercredi 27 février.
L'épouse de l'ancien président de la République est élue de cette commune depuis 1971. Deuxième adjointe au maire depuis 1977, elle postule pour un septième mandat d'une durée de six ans. Elle est également conseillère générale du canton de Corrèze jusqu'en 2011.
De quoi s'occuper de ses 74... à 80 ans.
Ou l'obsession du pouvoir.
J'ai pas droit aux heures sup !
Mon salaire va augmenter de 0,8% cette année !
Je fais comment pour vivre moins pire qu'avant ?
Tu changes d'emploi .
ps: je vais être aussi augmenter de 0.8 %
Bertrand Delanoë oui, mais pas tout seul (NOUVELOBS.COM | 27.02.2008 | 11:26)
Largement en tête dans notre sondage, le maire de Paris est pourtant préoccupé par la couleur de sa future majorité. Les sympathisants du MoDem et du PS, eux, ne sont pas contre une alliance rose-verte-orange.
Il caracole toujours très haut. Le maire PS de Paris, candidat à sa succession rassemble 43% des intentions de vote au 1er tour, à un niveau qui, paradoxalement, inquiète son entourage, selon un sondage CSA réalisé pour ParisObs à paraître jeudi 28 février. " En 2001, on nous prédisait autour de 36%, rappelle Patrick Bloche, son directeur de campagne. Et nous avons fait 31% !" "A 35%, les journaux vont titrer "la déception", s’alarme un membre du cabinet. Ce ne sera pas bon pour nous."
Françoise de Panafieu chute à 30%, 6 points de moins qu’au mois de janvier. Il faut dire que le paquebot UMP prend l’eau : dissensions internes exposées sur la place publique, accumulation de faux-pas (le "tocard", la vidéo controversée d’une réunion avec Jean-Marie Cavada), et concurrence d’une dizaine de listes dissidentes qui, dans notre sondage, capitalisent 5% d’intentions de vote.
Les Verts atteignent tout juste la ligne de crête, les fameux 5% qui autorisent la fusion au second tour avec une autre liste et garantissent des sièges au conseil de Paris. "Les Verts ont du mal à s’emparer du bilan municipal alors que c’est justement sur les thématiques écologistes que la satisfaction est la plus forte", analyse Jean-Daniel Lévy de CSA. Peu probable tout de même que la couleur verte disparaisse de la carte électorale parisienne. Dans certains arrondissements, les écolos devraient dépasser les 5%, comme dans le 20ème où leur porte drapeau, Denis Baupin, est candidat.
La candidate du MoDem, Marielle de Sarnez, avec 9%, est loin des 20,7% de son mentor François Bayrou à la présidentielle de 2007. Mais elle sur le point d’atteindre les 10%, un niveau qui lui offrirait le choix ou de fusionner ou de se maintenir au second tour. Une arme redoutable. "Dans certains arrondissements comme le 18ème où la position de la gauche est forte, le PS n’a pas besoin d’une alliance avec le MoDem, analyse un élu socialiste. En revanche, dans d’autres plus tangents comme le 5ème, il aurait intérêt à fusionner pour augmenter ses chances de l’emporter." Résultat : le maire de Paris ne peut fermer complètement la porte au MoDem entre les deux tours soit pour gagner de nouveaux arrondissements, soit pour garder la mairie de Paris, si son résultat au 1er tour ne garantit pas son élection au second.
Delanoë, seul ou à plusieurs ?
Les Parisiens interrogés tranchent clairement : 67% d’entre eux considèrent que Bertrand Delanoë ne doit pas gouverner seul. La couleur de l’alliance varie ensuite en fonction des sensibilités politiques. Sans surprise, les sympathisants Verts préfèrent à 58% préserver la majorité actuelle rose-verte. Du côté des électeurs du MoDem comme du PS, on voit d’un assez bon œil une palette plus large avec quelques touches orangées. Un constat sans surprise : à Paris, deux électeurs centristes sur 3 votent Delanoë au second tour… En coulisses pourtant, la plupart des hiérarques socialistes l’affirment : l’alliance avec le MoDem ne se fera qu’en cas d’absolue nécessité. "Je vous le garantis : on ne perdra pas notre âme pour gagner un ou deux arrondissements supplémentaires" promet un député et adjoint au maire de Paris. D’autant que cette perspective est déjà rejetée par le PC et les Verts.
Vous avez dit vote bobo ?
"Les idées, les idées, les idées"… répète à l’envi Bertrand Delanoë. Au vu de notre sondage, la rengaine municipale trouve un écho assez singulier. Car, si les Parisiens votent nettement à gauche, sur trois des quatre questions que nous leur avons posés - parkings, couloirs de bus, construction de logements -, leurs avis ne sont pas si éloignés… de ceux de la droite. Vu de loin, ces résultats donneront donc du grain à moudre aux experts ès-bobologie. Seule ville à se gauchiser au fur et à mesure qu’elle s’embourgeoise, Paris abrite décidément un électorat déroutant, dont le vote de gauche tient autant de l’idéologie… que de la psychanalyse.
Dans le détail, toutefois, le paysage s’avère plus nuancé. Notre question sur les "parkings résidentiels" n’a pas forcément été bien comprise. Et il n’est pas certain que 83% des Parisiens soutiennent la construction de grands parkings publics, comme le réclament le MoDem et l’UMP. Quant aux 47% de Parisiens favorables à la "suppression des murets dans les couloirs de bus", cheval de bataille de Françoise de Panafieu, peut-être faut-il y voir l’effet grossissant des aménagements du boulevard Saint-Marcel, que tous – même à gauche - souhaite repenser. De même, sur la question de la hauteur – posée pourtant avec nuance (nulle part, nous n’avons parlé de tours), le clivage apparaît moins politique que générationnel (64% des étudiants pour) et… sexuel, l’âge et la féminité rendant manifestement hermétique aux problématiques de la ville dense.
Reste la seule question, où Bertrand Delanoë se voit conforté : l’augmentation maîtrisée des impôts. Les Parisiens ne veulent pas être bridés dans leur liberté d’action. Mais, plus ils sont diplômés, plus ils sont prêts à donner aux bonnes œuvres de la municipalité. Le prix de la bonne conscience, sans doute.
[Gurvan Le Guellec et Eve Roger]
Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/politique/20080227.OBS2514/bertrand_delanoe_oui_mais_pas_tout_seul.html
j'aime bien le rose, le vert et le orange mais le mélange des couleurs je sais pas si ça le fait vraiment ça ^^
ah flute
c'est pas mon pseudo désolée
bon bin tu peux voir qu'il fonctionne ton pseudo hein ^^
c'est donc un problème avec ton navigateur ou ton pc
beretta, c'est au programme. J'attends ma nouvelle affectation.