A mon avis, ca va tomber sur l'Afrique ou sur moi ce virus 
Sinon pour Farakir, d'où vient tout le fric du triangle?
Sujet :
Pays Virtuel 2009
Il va le faire au pays riche car :
Les pays asiatique ne pourront pas acheter un antidote il y a pas assez de riche , l'entreprise perdra sur les pays pauvres donc l'europe , le moyen oriant , l'amerique du nord , le japon et la russie faite gaffe 
Projet Horizon 
Chester ne tiendrait même pas aussi longtemps que l’avait pensé Killgore. Les paramètres de sa fonction hépatique dégringolaient à une vitesse jamais vue – ou même constatée dans la littérature médicale. Le sujet avait à présent le teint jaune citron, la peau flasque. En outre, son rythme respiratoire commençait à être préoccupant, en partie à cause des doses massives de morphine destinées à le maintenir inconscient ou à tout le moins hébété. En accord avec Barbara Archer, le Dr. Killgore avait voulu lui administrer le traitement le plus draconien, afin de vérifier s’il y avait un moyen de traiter efficacement Shiva, mais il ne fallait pas se cacher que le délabrement physique de Chester était tel qu’aucun traitement n’aurait pu venir à bout à la fois de ses problèmes et de Shiva.
« - Deux jours, pronostiqua Killgore. Peut-être moins »
« - J’ai bien peur que t’aies raison », admit le Dr. Archer. Elle avait toutes sortes d’idées pour traiter le problème, du recours traditionnel (et presque certainement inutile) aux antibiotiques à l’interleukine-2, dont on pensait qu’elle pouvait avoir des indications cliniques dans un tel cas. Certes, la médecine moderne n’était pas encore venue à bout de toutes les affections virales, mais d’aucuns estimaient que renforcer les défenses immunitaires de l’organisme dans une direction contribuait à les soutenir dans une autre, et puis, on disposait désormais de toute une gamme de nouveaux antibiotiques de synthèse très puissants. Tôt ou tard, un chercheur trouverait la potion magique contre les maladies virales. Mais ce n’était pas encore le cas. « Potassium ? » demanda-t-elle après avoir envisagé les perspectives de survie du patient et le faible intérêt qu’il y aurait à lui prescrire le moindre traitement. Killgore acquiesça.
« - Je pense, oui. Tu peux t’en charger si tu veux. » D’un signe, il lui indiqua l’armoire à médicaments dans l’angle.
Le Dr. Archer alla chercher une seringue jetable de quarante centimètres cubes. Elle ouvrit le sachet protecteur, puis introduisit l’aiguille dans un flacon contenant la solution hydrique de potassium et remplit la seringue en remontant le piston. Puis elle retourna près du lit et planta l’aiguille dans le tube de perfusion, avant d’appuyer sur le piston pour injecter au patient une bonne dose de la substance létale. Cela prit quelques secondes, plus longtemps que si elle l’avait directement injectée dans une grosse veine, mais Archer préférait le toucher le moins possible, même avec des gants. Peu importait, du reste. Sous le masque à oxygène de plastique transparent, la respiration de Chester parut hésiter, redémarrer, hésiter à nouveau, avant de devenir rauque, irrégulière. Et puis, très vite, elle cessa. Le thorax s’affaissa et ne se releva plus. Ses yeux mi-clos, comme ceux d’un homme somnolent ou en état de choc, la regardaient sans la voir. Ils se fermèrent pour la dernière fois. Le Dr. Archer prit son stéthoscope et le plaqua contre le torse de l’alcoolique. Aucun pouls. Archer se redressa, rangea le stéthoscope.
Adieu, Chester, pensa Killgore.
« - Très bien, fit-elle, sans se démonter. Des symptômes chez les autres ? »
« - Pas encore. Mais les tests de présence d’anticorps sont positifs, répondit Killgore. A mon avis, on devrait voir apparaître les des symptômes manifestes d’ici une petit dizaine de jours. »
« - Il nous faut un lot de sujet sains pour les tests, nota Barbara Archer. Ces gens sont trop … trop mal en point pour constituer des étalons valables pour Shiva. »
« - Ca signifie un certain nombre de risques. »
« -J’en suis consciente. Et tu sais qu’on a besoin de cobayes de meilleure qualité. »
« - D’accord, mais les risques demeurent sérieux. »
« - Ca aussi, j’en suis consciente. »
« - D’accord, Barb, fais remonter le message. Je ne soulèverai pas d’objections. Tu veux bien t’occuper de Chester ? Il faut que j’aille voir Steve. »
« - Très bien. » Elle se dirigea vers le mur, décrocha le téléphone et composa les trois chiffres du service de nettoyage.
j'installerai des mec a mes frontières et ils tireront a vue
Le truc qu'il faudrait pas c'est que le virus soit attrapable par l'air pur
Osef, go développer une cloche-écosystème et direction la lune.
Trop la flemme de lire tes posts, Quentin
Tu peux pas faire des posts simples comme l'éborage de Duck ?
Non ça je dis pas, mais c'est long 
République Prospère du Rwanda
On expulse encore des immigrés à la pelleteuse. La grogne commence à monter tout de même. Les partis opposants s'en servent pour discréditer Kagame. " Nos frères noirs sont nos égaux, pourquoi les expulser? Le Rwanda doit accepter tout les peuples africains! " scanda le chef de file du parti de Gauche.
" Ces clandestins freine notre croissance, et empêche le Rwanda de progresser sur la route de la prospérité! Écartons ces freins, et nous pourrons avancer. " réponda l'actuel Président Kagame, dans une allocution télévisé.
Les échanges sont musclés et tournent principalement autour de ce point. On met des œillères aux Rwandais pour qu'ils ne voient que ça. Le Président a t-il eu raison de prendre ces mesures draconiennes? La question se pose dans des centaines de foyers, et de plus en plus, tandis que les partis de Gauche prennent de plus en plus de poids vis à vis des élections... Kagame prend peur et doit intervenir... Avant qu'il ne soit trop tard.
République Prospère du Rwanda
Paul Kagame était assis à son bureau, les doigts de pied en éventail. Une pile de feuilles trônait sur son bureau. Il fumait un cigare. Les cendres débordait du cendrier, qui était sur l'accoudoir de son fauteuil. Après qu'il l'eut fini, il écrasa le mégot dans le cendrier et se leva. Et contempla une magnifique cheminée en marbre, et poussa un chandelier, sur le côté de celle-ci. Le fond de la cheminée s'ouvrit, laissant place à un long couloir éclairé par quelques longues bougies. Le président s'y engouffra, confiant. Il déboucha sur une petite porte en métal, ouvrant sur un Salon. Une table ronde y trônait au centre, entouré de fauteuil en cuir. Au fond de la pièce, un Bar était posé là, pris d'assaut par une dizaine d'hommes. Un ordinateur, surmonté d'un écran plat dominait l'autre bout de la pièce.
Il claqua des doigts et s'assit au bout de la table (ou est le bout d'une table ronde?). Les autres hommes s'assirent aussi, avec tous un verre d'alcool à la main. Kagame prit la parole, d'un air grave :
" - Les différents Partis ont pris de l'importance au sein du Rwanda. Moi qui n'en avait pas pris plus d'attention que ça, j'avais eu tort. Notre suprématie est sur le point de tomber. "
Ses ministres le regardèrent d'un air hébété. L'un d'eux répondit tout de même :
" - Vous n'avez qu'à faire taire les mal-disants avec un bon vieux discours ! "
" - Et au pire... On les fait taire pour de bon... " lança un autre, assis dans l'ombre.
La discussion dura une bonne heure ainsi. La président avait le choix : Laisser sa place à son prochain, se battre loyalement, ou les faire taire... Pour toujours.
C'est quand que t'assassines Kagame ? 
Je déteste ce type
Shiiiiish T'as qu'à le faire toi-même. Chiche? (Jeu de mots avec ton pseudo xD). Moi je l'aimes bien.
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C'ETAIT PAS MARRANT
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