Savoir & Culture

marxiste30 ce qu'il voulait dire c'est que le fascisme ne désigne spécifiquement QUE le régime de Mussolini à la base

Avec un autre pays et un autre dictateur il faudra trouver autre chose

Ou il suffira de préciser que cet autre dictateur s'est inspiré du Fascisme.

la dictature n'est pa une ideologie c'est un moyen de gouvernement basé sur la terreur la violence et l'ettouffement des oppositions ca date de l'antiquite et a l'epoque le fascisme n'etait meme pas imagine

oui on pourrait parler du concept de Tyran chez les Grecs par exemple....

Le Tyran n'était pas forcement considéré comme mauvais d'ailleurs chez les grecs (c'était juste un mot pour désigner quelqu'un qui prenait le pouvoir de manière illégitime)

je pensais plus a cesar m

le fascisme repose sur le corporatisme, c'est a dire la soumition des entreprises a l'état...
il faudrais savoir si pinochet est fasciste ou un orible supot du capitalisme sauvage, car c'est incompatible.

ume petite citation de mussolini, pour pimenter: "la transformation de l'instruction publique en éducation nationale a été ma réforme la plus fasciste"

"comme le prouve le lien que j'ais posté , sous pinochet la vie était correcte sur le plan social mais on a voulu , pour excuser ses crimes , les éloigner nous faire croire que c'était le paradis , que les gens avaient un niveau de vie très élevé"

Et effectivement, les chiliens ont le niveau de vie le plus élevé d'Amérique Latine grâce à la politique économique libérale mené par Pinochet il y a quelques années.

La caractéristique essentielle du Fascisme est de vouloir défendre à tout prix les structure sociaux-économique du capitalisme par la répression.

"Et effectivement, les chiliens ont le niveau de vie le plus élevé d'Amérique Latine grâce à la politique économique libérale mené par Pinochet il y a quelques années. "

Il convient de nuancer ce propos.
En effet, la politique économique libérale a été initiée sous Pinochet. Néanmoins, elles ont été maintenues et continuées par les gouvernements successifs, droite comme gauche.

vivelesfarc Voir le profil de vivelesfarc
Posté le 29 août 2011 à 21:26:36 Kicker cet utilisateur de ce forum Avertir un administrateur
La caractéristique essentielle du Fascisme est de vouloir défendre à tout prix les structure sociaux-économique du capitalisme par la répression.

Sauf que le fascisme rejette totalement le capitalisme... Fantasmant une troisième voix entre marxisme et capitalisme.

De vastes corporations d'entreprises, nationalisations, contrôle massif de l'économie par l’État, planification, contrôle des changes, contrôle des prix et des salaires.
Question capitalisme, on repassera.

tacher , le niveau de vie sous pinochet était correcte soit mais moins qu'ont ne la dit regarde le lien et tu comprendra

Pinochet et toute les autres cliques militaire étaient fasciste à part bordaberry , qui se revendiquait du franquisme

On qualifie bien certain groupe d 'extreme droite de nazi , ce n 'est pas parce que c'est musolini qui a appliqué en premier le fascisme qu'il n'y a

"tacher , le niveau de vie sous pinochet était correcte soit mais moins qu'ont ne la dit regarde le lien et tu comprendra"

Je ne parle pas du niveau de vie SOUS Pinochet mais APRES Pinochet.
Je sais bien que sous Pinochet, c'était pas la joie, mais mieux vaut une politique à long terme qui fait mal sur le court terme. Et puis Pinochet (enfin le miracle chiliens revient plutôt aux conseillés économiques dont a bénéficier Pinochet mais bon) a succéder à un socialiste, il faut bien le rappeler.

tacher , le niveau de vie sous pinochet était correcte soit mais moins qu'ont ne la dit regarde le lien et tu comprendra

Pinochet et toute les autres cliques militaire étaient fasciste à part bordaberry , qui se revendiquait du franquisme

On qualifie bien certain groupe d 'extreme droite de nazi , ce n 'est pas parce que c'est musolini qui a appliqué en premier le fascisme qu'il n'y a pas eu des continuateurs de cette politique et comme la si bien dit vivelesfarcs , le fascisme

Le 11 septembre 1973, le Chili subissait un coup d’Etat militaire mené par le général Augusto Pinochet. Ce dernier renversa la sociale-démocratie du président élu démocratiquement, Salvador Allende. Or, plus que la chute d’un gouvernement qui gênait les intérêts de Washington, le 11 septembre 1973 a vu débarquer une équipe de jeunes économistes sud-américains formés à l’école de Milton Friedman ; cette équipe, les « Chicago Boys » comme on les avait baptisé, allait appliquer la trinité friedmanienne ou néolibérale : privatisation – déréglementation – réduction des dépenses sociales. Les effets de cette recette économique allait entraîner des dégâts considérables pour l’économie chilienne, cela pour des décennies : inflation des prix de presque 400% avec envolée des prix sur les denrées alimentaires de base ; privatisation des entreprises publiques au profit de multinationales souvent américaines, sans condition de réinvestissement dans le pays ni obligation d’embaucher de la main-d’oeuvre locale ; explosion du chômage et émeutes de la faim ; délabrement des services comme la fourniture d’eau potable et d’électricité…

Mais le chaos économique et social qu’avait engendré l’application de la doctrine des « Chicago Boys » n’aurait jamais pu se faire sans l’aide d’un régime dictatorial, à leur écoute et pouvant utiliser sa force (police et armée) pour soumettre les citoyens à la nouvelle politique néolibérale. Les syndicats et les mouvements de gauche étaient eux-mêmes réprimés férocement pour s’être opposés au diktat des conseillers économiques formés à l’école de Friedman. Pis, au lieu de croire que ces derniers étaient des économistes mûs par une doctrine en laquelle ils croyaient sincèrement, les « Chicago Boys » furent en première ligne du détournement des fonds publics et profitèrent, avec les investisseurs étrangers et les cadres politiques du régime, de la corruption généralisée inhérente à la doctrine friedmanienne.

Bien évidemment, Milton Friedman, mis devant le fait accompli – celui de voir ses élèves contribuer à la mise en place et à l’enrichissement d’un Etat fasciste, corporatiste et ploutocratique – nia jusqu’au bout ses responsabilités et les errements de sa doctrine économique. Au contraire, l’homme soutint que Pinochet ne fut pas assez dur dans l’application de sa doctrine, ce dernier faisant finalement volte-face pour freiner le chaos économique qui commençait à menacer son propre régime. Pourtant, la doctrine néolibérale de Milton Friedman n’avait pas encore connu son « âge d’or » et des méthodes bien plus terrifiantes furent employées pour soumettre l’individu au choc capitaliste de l’éminent universitaire américain.

Infos tirés d'un article de Naomi Klein.

Euh, lol ?

Naomi Klein...

Ah ah, je vois que les étudiants sont partout de jeunes rebelles...

Dans 10 ans ils feront partie du système va.

Encore une tru rebelz avec des oeillères.

Arrêtez, privatiser les universités, c'est n'importe quoi, depuis quand l'argent doit être un frein à la connaissance ?

Pardon ?