Medieval : Total War

Pour tous ceux qui jouent encore à ce jeux dantesque en 2009 ou 2010 vu qu'on y sera bientot, venez raconter vos parties sur le jeux de base ou les mods.

Je suis actuellement en train de faire une partie avec les Almohades en péride basse sur MTW VI
La partie a débuté en 1087 et j'en suis actuellement en 1239.

Le califat almohade s'étend alors sur toute l'Afrique du Nord (de la Cyrenaique au Maroc) et comprend toute la péninsule Ibérique. J'ai rassemblé mes forces en Aragon et Navarre pour envahir le sud de l'Europe , même si j'ai été retardé par un débarquement naval assez important des Siciliens en Tunisie et en Algérie.
Je suis allié avec les Egyptiens (qui ont longtemps refusé une alliance et une courte guerre ayant même eu lieu contre moi, je les avais attaqué préventivement en Egypte pour éliminer les troupes massées à ma frontière mais mon attaque avait magistralement foirée , ils ont ensuite contre attaqué sur mes terres mais j'ai remporté la victoire et la guerre s'est terminée peu après )

Sinon L'Angleterre est encore en France mais ces territoires sont isolés. Elle possède les iles britanniques sauf le Wessex et l'Irlande (rebelle) et s'est implanté aussi en Scandinavie. L'Angleterre avait disparue en 1224 (abscence d'héritier je crois) mais ont refait surface 6 ans plus tard en récupérant tout leur territoire.

La France possède la Champagne, la Flandre, la Normandie eet Toulouse et s'est aussi incrustée au Wessex

Le Saint Empire Romain Germanique est étendu, ajoutant notamment l'Ile de France, Venise ou Milan à ses provinces de départ. Il est actuellement en guerre avec ses alliés (Papauté et Egypte) contre les Siciliens, le conflit ayant lieu à ses frontières ouest (Milan)et est (Bavière). Je placerai cette faction en 3ème position

Le Danemark est tranquille depuis le début et ne fout strictement rien

Les Siciliens sont actuellement en guerre contre moi, les germains, la papauté et l'Egypte.
Ils possèdent la Sicile et Malte, tous les balkans et la grèce à l'Est, et sont aussi implantés en Provence et à Gènes à l'Ouest.
Leurs armés sont importantes mais un peu affaiblies et ils sont plutot sur la défensive depuis que j'ai repoussé leur débarquement.
Ils ont perdu Constantinople et restent sur la défensive pour empécher les Egyptiens de déferler sur les Balkans.
Face aux Germains le front est assez stable aussi.
A noter qu'ils sont excommuniés, qu'ils ont la plus grande flottte et que je les placerai comme la 2ème meilleure faction.

La papauté a unifié une bonne partie de l'Italie, elle est aussi en guerre contre les Siciliens et profite bien que ces derniers soient occupés partout

Les Egyptiens possèdent tous le Moyen Orient et la Turquie et s'étendent jusque Constantinople.
Ils m'ont bien aidé en déclarant la guerre aux Siciliens le tour même ou ils débarquaient chez moi.
Ils ont dégarni leurs troupes à mes frontières donc je n'ai pas à redouter une trahison de leur part à court terme; sinon ils viennent d'anéantir 4 ou 5 armées mongholes de 800 hommes en arménie et ont verrouillé la Géorgie pour se défendre et dissuader les mongholes de s'étendre chez eux.
Je pense qu'ils vont plutot ramener leur troupes à Constantinople pour envahir les Balkans .
C'est actuellemnt la meilleure faction sans aucun doute et ils ont même une petite flotte.

La Pologne est actuellement en guerre face aux monghols et même si elles possèdent des armées correctes je la vois mal résister.

Les hommes de Novgorod sont complétement à la bourre dans tous les domaines, ils n'ont toujours qu'un seul territoire et se sont toujous fait humilier par les rebelles des environs et sont maintenat encerlés par les armées mongholes.

Les monghols sont donc arrivés en 1231 il n'y a pas si longtemps, ils ont échoué face aux Egyptiens mais s'étendent vers l'Europe de l'Ouest et sont en guerre contre la Pologne.
Ils ont perdu pas mal de troupes mais ils leur en reste quand même un bon nombre (peut être 10 armées de 700 hommes, soit 7000 hommes environ).

Sinon les Espagnols et l'Aragon ont été éliminés par mes troupes , respectivement en 1201 et 1212.
Les Hongrois ont disparu en 1202, les Italiens en 1218, et les Byzantins en 1227 suite a une guerre contre l'Egypte.
Les turcs ayant été les premiers éliminés en 1131 (suite à une attaque fourbe des egyptiens )

Voila pour l'etat de ma partie

hum ! pas mal ! perso,je vais me recommencer une partie ce soir, donc je posterai un récapitulatif ici de temps à autre !

bon jeu

Je vais essayer de le faire durant les vacances car j'ai pas trop le temps.

bon, j'ai recommencé avec les français en période basse.
dans un premier temps, j'ai expulsé les anglais de France grâce à une "guerre éclair", et j'en ai profité pour remonter l'Angleterre, histoire d'être sur que ces crétins ne me causeraient plus de soucis. on ne sait jamais.

une fois cette bonne chose accomplie et ma conscience partiellement soulagée d'avoir retrouvé une bonne partie de mon territoire national, je me suis attelé à mettre sur pied une économie stable et une puissance militaire digne de ce nom (faut pas déconner, c'est pas avec des cacahuètes qu'on va conquérir le monde ^^). bien entendu, ce ne fut pas l'affaire d'un jour... bref, mes armées grossissaient peinard, surtout en frontières de mon pays (on ne sais jamais), quand les germains m'attaquèrent en ile de France.

grossière erreur : au début, en période basse, ces gros malins ne font que des paysans. après leur avoir botté les fesses, j'en ai profité pour récupérer l'ensemble de mon territoire national chéri : Provence, Bourgogne, Lorraine et Frise ne seront plus germaniques !
d'ailleurs, il ne risque plus de m'attaquer pendant un moment : une rébellion massive dans ses armées les a repoussé jusqu'en Hongrie. j'ai donc pu pousser le vice et prendre position le long des italiens... leur heure viendra bien assez tôt !

fort de cette expansion inespérée,je me dois de consolider mes nouvelles frontières et mon économie : les pays récemment pris sont intéressant, mais pour l'instant presque vierges de toute construction. qu'à cela ne tienne ! j'en profite aussi pour me construire une petite flotte, qui contrôle les mers du nord et la côte atlantique jusqu'à la péninsule ibérique.

à partir de ce moment, tout c'est enchainé un peu trop vite : j'ai lancé une croisade sur l'Algérie, pensant ravir Cordoue aux almohades au passage, et profiter des armées espagnoles bien remplies sur le chemin (y'a pas de petites économies). une fois ces pays en ma possession ,je sais pas pourquoi, mais les italiens et les espagnols ont commencé à m'attaquer sur les territoires frontaliers, et les byzantins à couler toutes mes barques

bref, je suis un peu dans la panade... mais bon, ils ne perdent rien pour attendre : j'ai placé un maximum d'espions en corse et sardaigne, et je blinde mes troupes aux frontières... dès que les iles méditerranéennes des italiens seront tombées, j'éradiquerais ces petits traites de la surface du globe, faisant disparaitre du coup toute leur flotte, et je suis en tractation avec les byzantins pour un cessez le feu. ça devrait aller... voilà pour le moment !

C'est ça que j'aime bien aussi dans Medieval Total war, des ennemis qui savent prendre des initiatives (avec plus ou moins de réussites )

Sinon tu es en quel année la ?
Et tu as choisis quoi pour la difficulté ?

Pour ma partie avec les Almohades je me suis mis en difficile pour plus de challenge.

bah en fait, je pense recommencer... j'avais mis en facile, et je les ai tous explosé.... je vais me refaire une partie en plus difficile.

par contre, j'ai toujours pas trouvé de manière efficace de contrer les rébellions à la fin du jeu....

En facile c'est bien trop simple, je te conseilles de mettre au moins en difficile pour avoir du challenge

Les rébellions quand il ne reste que moi et un autre pays je m'en fout. J les laisse se rebeller a moins que l'ennemi soit juste a coté ( dans ce cas là il y a une immense armée ) ou des zones qui rapportent beaucoup ou des zones a unités spéciales.

Pour l'instant dans ma partie je n'ai quasiment pas eu de rebellion et aucune guerre civile.
Tout sauf une guerre civile en toute fin de partie

J'adore ce jeu depuis sa sortie et j'y joue toujours, c'est d'ailleurs le seul jeu qui passe sur mon PC qui tienne la route encore aujourd'hui :D
J'ai fini le jeu plusieurs fois mais je me suis lancé dans un vaste programme de "construction d'empire ultra-puissant" en laissant la Hongrie, qui ne m'a jamais attaqué, survivre et les Siciliens coincés sur l'île de Malte, complètement achevés.
Je me demandais juste comment forcer ces pays à marier leurs princesses avec mes fils parce que sinon je vais me trouver à court de femmes... Et pas envie d'attendre que mon héritier se marie avec une aristocrate! :D

Sinon voilà pour le récit de ma partie (plus les dates ).
Les Byzantins sont un empire qui s'effondre. Naples est mal assurée, la frontière du Danube a été perdue et l'Anatolie gronde sous les sabots des cavaliers turcs. Une vaste zone rebelle échappe à tout contrôle dans les Balkans, et l'Islam poursuit son avancée dans les ex-territoires de l'Empire Romain.
Sauf... Qu'un empereur énergique va surgir. Il scinde son armée en deux parties, et se bat farouchement contre les Turcs, qu'il boute hors d'Anatolie, et reprend Trébizonde, tandis qu'à l'ouest la Bulgarie et la Serbie reviennent dans le giron impérial.
Mais une attaque dévastatrice fait céder la Basse Arménie, mal et peu défendue.
Les premiers contacts arrivent, et je m'allie avec les Russes, les Italiens, les Français, et même les Egyptiens, que l'expansion des Turcs inquiète.
Ces derniers ont regroupé leurs forces dans leur fief de Rum, clef de leur domaine tribal. C'est là que je vais concentrer mon assaut, espérant les enfermer dans leur forteresse. Mon attaque réussit, grâce au courage de mes fantassins lourds byzantins, et des troupes impériales cataphractaires. La puissance turque semble brisée, leur Sultan meurt de faim enfermé avec ses hommes et les débris de leur armée, réfugiés en Arménie, n'ont aucune chance de briser le siège. Le château finit par tomber, le Sultan est exécuté sur-le-champ, puni pour tout le mal qu'il a fait à notre peuple.
L'Arménie, sous son autorité nominale tentent de recréer un royaume, mais il reste peu armé.
Je suis entre-temps entré en guerre contre les Italiens, qui possèdent l'île de Crète, précieuse pour la domination de la mer Egée, et contre les Siciliens, qui ont réussi un raid maritime exemplaire contre la Grèce.
Ma prise de l'île de Crète s'effectue quasiment sans accroc, mes troupes lourdes ayant raison de quelques manants se battant sans conviction, et une armée levée de toute urgence converge vers la Grèce, depuis la Thrace, la Serbie et la Bulgarie. Les Siciliens sont rapidement défaits, capturés et rançonnés, mais les Balkans restent sensibles, je ne peux pas en effet contrôler les eaux Adriatiques.
Voilà le début de mon odyssée ;)

Beau récit mais tu es en quelle année à la fin de ce récit?
Sinon tu as débuté en période basse ?

J'ai débuté en période basse (car Naples est dans l'Empire).
J'ai du raconter 20 ans d'histoire là je pense ;)

Continuation de la partie:
Les troupes de l'Empire sont à présent bien armées, nombreuses et aguerries. Pourtant, après avoir éradiqué la menace turque, de nombreux ennemis menacent toujours Constantinople: les Egyptiens ont pris de court l'armée impériale en s'emparant du royaume rebelle de l'Arménie, défendu par les débris des forces Turques, et l'ancienne alliance qu'avaient conclu les deux souverains pour contrer le Sultan turc vacille.
Au nord, des raids russes sont signalés contre la province du Khazar, dominée par quelques boyards indépendants, mais surtout limitrophe de la Géorgie byantine, et le duché de Kiev, sous l'autorité du Tsar, se renforce chaque jour.
A l'Ouest, les Hongrois semblent effrayés par l'expansion byzantine dans leurs terres et les Italiens ainsi que les Siciliens mobilisent leurs navires pour infliger un cruel blocus.
Mes positions militaires semblant assurées, je m'applique à consolider mes acquis, notamment en construisant fermes et comptoirs, ainsi qu'en répandant la foi chrétienne orthodoxe chez mes nouveaux sujets.
Je subis quelques raids siciliens contre ma côte est-Adriatique mais n'ayant pas le pouvoir de m'aventurer en mer contre les puissantes flottes italiennes et siciliennes je suis obligé de subir leurs assauts incessants.
C'est alors que l'Arménie, excédée par les impôts cruels des Egyptiens se révolte et chasse les occupants. J'en profite alors immédiatement pour envahir cette province, établir la loi martiale et soumettre ses habitants.
Mais l'année suivante, l'impensable se produit: l'Egypte appelle tous les musulmans à partir en Djihad contre l'Empire, accusé d'avoir fomenté les troubles en Arménie.
D'immenses colonnes de combattants fanatisés se mettent en marchent, de Cordoue à Riyad. Les troupes régulières se massent également à la frontière, prêtes à se déverser dans les plaines anatoliennes.
Je suis obligé d'opérer un transfert de troupes vers l'Est, en dégarnissant surtout l'intérieur du pays, ce qui me force à diminuer les impôts et à bloquer des constructions au profit de la formation de nouveaux soldats.
Deux années s'écoulent sans action, tandis que mes éclaireurs scrutent anxieusement le camp Egyptien, prêt à attaquer. La décision est prise de notre côté d'attendre que le Djihad soit aux frontières pour lancer une attaque simultanée sur la Syrie, l'Edesse et Tripoli afin de faire refluer en désordre leurs armées.
Mes deux fils sont à la tête d'une armée chacun, prêts à exploiter la haute éducation militaire qu'ils ont reçue.
Mais les Italiens sont de fins observateurs, et ont compris le péril qui me menaçait à l'Est.
Ils débarquent alors une quantité impressionnante de troupes en Serbie, dont les légionnaires sont débordés, malgré leur expérience, et ordre est donné d'évacuer la province, en laissant tomber le château: il faut se regrouper pour chasser l'agresseur. Mais le manque de troupes est flagrant et les Siciliens débarquent à leur tour en Grèce, qu'ils prennent l'année suivante. Ma riche province de Constantinople est en péril, mais sa garde varègue semble pouvoir endiguer n'importe quel assaaut. De plus, mes troupes serbes et grecques ont reflué vers la Bulgarie, bien tenue désormais!
L'année suivante est l'année des assauts: je transfère un petit bataillon de soldats de Nicée à Constantinople afin de faire partir mes gardes varègues au front, aidés par quelques fantassins byzantins, tandis qu'en Bulgarie l'assaut est donné contre la Serbie, pour aller soutenir une révolte loyaliste en notre faveur.
A l'Est, toutes mes troupes passent à l'offensive, contre un Djihad arrivé à Tripoli et d'énormes bataillons réguliers Egyptiens.
Ces offensives seront-elles couronnées de succès? La suite au prochain épisode :D

Ah oui quand même , avoir sur le dos les Italiens, les Siciliens et les Egyptiens en même temps (les Hongrois aussi ?), c'est pas forcement évident lorsqu'on joue avec les byzantins, surtout vu la taille de l'empire à défendre et le nombre de cotes qui sont susceptibles de voir des débarquements navals. Sinon tu joues en quelle difficulté .

je viens de finir ma partie avec les français. j'ai réussi à n'avoir aucune rébellion sur les bras tant que je n'avais pas 60% des pays conquis. par contre, c'est quasi systématique : une fois qu'on a eu au moins 60% des pays (message affiché), et qu'on a décidé de continuer, dans les 10 ans qui suivent, c'est rébellion sur rébellion un peu partout...

j'ai presque l'impression que c'est scripté. pourtant, j'avais blindé toutes mes régions : 3 espions, 3 assassins et 3 inquisiteurs par pays, plus une armée complète en garnison à chaque fois.

je ne comprend pas comment faire pour éviter ça.

par contre, plus personne ne veut s'allier avec moi une fois que je suis trop puissant. c'est chiant aussi.

@patou_
Oui en effet, le plus dérangeant étant en effet les Siciliens, j'ai été obligé de blinder Naples de garnisons mais c'est une perte de fric colossale.
Mais les Siciliens semblent plutôt se concentrer sur les raids sur ma côte Adriatique, tout comme les Italiens.
Le seul problème, c'est que dès qu'un bateau est construit, il est automatiquement détruit par les puissantes flottes de 4/5 navires ennemies. (un des rares plus de Medieval II, on peut planquer sa flotte dans le port en attendant qu'elle devienne acceptable).
Les Egyptiens sont par contre assez aisés à battre, surtout qu'ils n'utilisent pratiquement pas leur flotte, encore moins pour des débarquements (et puis ma flotte veille sur la mer Egée, j'ai quelques navires tout de même!)
Leurs unités, pour la plupart légères, sont facilement repoussables avec des fantassins byzantins (à 1000 fantassins byzantins je te repousse n'importe quelle attaque de cavaliers/fantassins/archers égyptiens!).
Le niveau de difficulté que j'ai choisi est Très Difficile, ce qui, couplé à la difficulté de l'Empire Byzantin, est assez ardu :D
Par contre, on n'est quasiment jamais à bout de sous, et on n'a pas cet emm***** de pape :D (j'avais pété un câble avec les Allemands).
Pour les côtes, c'est mon plus gros problème, la menace peut venir de tout côté! Les Hongrois ne sont pas entrés en guerre contre moi, mais c'est une grosse menace que je dois surveiller, surtout qu'ils prennent un malin plaisir à t'attaquer dès que tu dégarnis des zones frontalières (pas fou les Magyars .
@informatiquebob:
J'avais également des rébellions partout. Ne te plains pas, ça m'a sauvé, ça me rapportait +- 6000 florins par an (confiscation des terres), plus les traits de caractère :D
Le truc des alliances, ça m'a gavé aussi. Plus tard, j'ai jusqu'au bout proposé au prince russe de me marier ses filles, de cesser le feu, le pauvre était assiégé avec une poignée d'hommes par 3000 des miens, mais il m'envoyait toujours péter :D Tandis que pendants mes premiers succès, les rois se battent littéralement entre eux pour rester alliés avec moi (quand l'Egypte m'a attaqué, j'ai eu 5 rois qui ont préféré garder leur alliance avec moi!).

Continuation de l'histoire:
Mes troupes se préparent à reconquérir les provinces perdues. La Serbie, la Grèce sont occupées, et l'Arménie, la Basse Arménie et Rum sont en grand danger.
J'ai un léger avantage numérique à l'Ouest, où les troupes d'invasion ennemies se sont dispersées, et n'ont pas été renforcées, tandis que mes troupes se sont repliées en bon ordre vers les provinces voisines, prêtes à contre-attaquer depuis la Bulgarie et Constantinople.
La situation à l'Est est déjà plus délicate: beaucoup de régions sont directement envahissables par les Egyptiens, et nul ne garantit que leur Djihad prenne la route la plus directe vers l'Arménie.
L'offensive sur la Serbie est ardue, périlleuse, les Italiens se battent avec férocité, mais la victoire est emportée de justesse. Les morts se comptent par centaines et les troupes sont saignées. Mais le drapeau italien flotte toujours sur le château de Belgrade, où de nombreux soldats italiens se sont réfugiés, attendant les renforts de leur mère patrie.
Mais les rebelles impériaux qui s'étaient joints à nous permettent de compenser les hommes tombés au combat.
En Grèce, la victoire est nettement plus belle: les Siciliens sont brisés au premier assaut par les gardes varègues en furie, poursuivis, capturés. Aucun ne s'en échappe. Athènes en liesse célèbre notre victoire pendant que les prisonniers sont rançonnés à prix d'or au Roi des Siciliens, rouge de fureur.

En Egypte, mes fils Jean et Constantin s'avancent respectivement vers Tripoli et l'Edesse, pendant qu'une troisième force, moins importante et conduite par des chefs inexpérimentés se dirige vers la Syrie.
Les offensives de mes deux fils sont des succès totaux: le Djihad à Tripoli est balayé, refluant en désordre vers le Sud, tandis que les troupes régulières égyptiennes s'enferment dans leur château, laissant la moitié des leurs sur le champ de bataille ou prisonniers. Edesse, moins défendue, tombe sans encombre.
La Syrie cependant me pose plus de problèmes: la garnison lourde écrase mon offensive et poursuit sa contre-attaque vers l'Arménie, où les troupes restantes arrêtent d'extrême justesse la débâcle totale.
Les offensives sont donc couronnées de succès: les Balkans sont repris et le Sultan égyptien est affaibli.
Mais les provinces récemment acquises, à savoir Tripoli et Edesse, manifestent un fort mécontentement à l'égard de leurs nouveaux maîtres. Ces infidèles bafouent l'image du Christ, et oseraient se révolter?
Qu'adviendra-t-il de la Syrie, à présent place forte et bien armée, où les troupes d'Edesse ont reflué?
Les conquêtes seront-elles conservées?
La suite au prochain épisode ;)

On attend evidemment la suite :p
bientot la nouvelle année

Bonne année 2010 à tous

Bonne année en retard ;)

Continuation de l'histoire:

La Terre Sainte est en passe de revenir totalement dans le giron de l'Empire Romain, car oui, c'est ainsi nous Grecs Byzantins nous nous surnommons.
Je lance un vaste programme d'améliorations agricoles sur toute l'Asie Mineure, coeur de mon empire, que je destine à me rapporter assez d'argent pour continuer à faire la guerre à mes agresseurs.
Les Balkans sont assez agités par la guerre qui les déchire et certains Serbes se demandent si les Italiens ne seraient pas de mauvais maîtres, ou alors s'il n'est pas temps de prendre leur destin en main... Après la féroce bataille qui s'est engagée, je doute que les soldats italiens enfermés au château veuillent se rendre facilement... Donner l'assaut et compter encore plus de morts, ou assiéger avec le risque d'une sortie couplée à un débarquement ennemi, avec cette fois-ci, le risque d'être refoulé définitivement de cette province?

Quand aux provinces de Tripoli et Edesse, nombreux sont les fidèles musulmans, qui, scandalisés de voir le Djihad échouer, ont commencé à s'armer... La campagne n'est plus sûr et mes fils ont commencé à imposer le couvre-feu dans les grandes villes.
Mes espions me font vent que le Sultan a préparé sa contre-offensive, mais sur quelle région? C'est ce que j'essaye désespérement de savoir. Il est vrai qu'il est extrêmement affaibli et que ses troupes ont du mal à résister face à mes fantassins et cavaliers lourds, mais la férocité de leurs troupes et les pertes qu'ils m'infligent ralentissent l'avancée de mes troupes.
Je crois bon d'envoyer un émissaire vers le Sultan. Après tout, pourquoi ne pas panser nos plaies et nous tourner vers l'avenir? En tout cas, il faut gagner du temps, car mes deux armées sont bloquées à Tripoli et Edesse et maintenir des garnisons suffisantes à Rum, en Basse-Arménie et en Arménie reviendrait à laisser nos nouvelles prises se révolter.

Au Nord, mes éclaireurs me rapportent que la Crimée, petite péninsule au nord de la Mer Noire, serait une bonne terre pour nos comptoirs marchands. Je décide à tout hasard d'enrôler des archers et des fantassins lourds à Trébizonde et en Géorgie.
Dans l'Anatolie et à Nicée, ordre est également donné de se mobiliser pour la défense de l'Empire. Si les Egyptiens font une percée, qui sera là pour les arrêter?
C'est plein d'interrogations que nous attendons le printemps prochain, et la reprise, ou pas, des combats...

La réponse est courte, brutale, violente. Contre toute attente, les Egyptiens ont décidé d'attaquer en deux fois. Le Djihad reprendra sa route vers l'Arménie et le gros des troupes régulières épaulera sa progression. Nous constatons avec horreur que les combattants fanatiques que nous avons tués ont été remplacés par des combattants encore plus aguerris...
Une deuxième attaque, constituée par des troupes moins nombreuses et moins entraînées, mais néanmmoins dangereuses, est lancée sur Tripoli. Je me trouve face à un cruel dilemne: conserver mes conquêtes, ou défendre mes terres face à un ennemi que l'on dit implacable...
Que décidera le Basileus?

comment juges tu personnellement les forces des autres factions ds ta partie

Alors il faut dire que l'IA est extrêmement mauvaise.
La Hongrie, les Siciliens et les Italiens sont vraiment puissants et leurs troupes sont souvent de meilleure qualité, par contre les Orientaux sont vulnérables face à mes fantassins byzantins.
Il faut dire que jouer l'Empire Byzantin a un avantage énorme, c'est de former une des meilleures infanteries lourdes à très bas coût et presque instantanément (il faut simplement un forgeur d'épée...). Assez vulnérables contre des cavaliers ou des archers, ils sont invincibles contre le panel d'unités musulmanes, qui consiste à attaquer avec un nombre impressionnant de troupes légères une armée pour la mettre en déroute rapidement... Et ils ont peu d'unités lourdes!
On va dire que pour l'instant j'arrive à contenir à peu près n'importe quelle faction, mais on a presque l'impression de tricher, on peut produire énormément de fantassins byzantins indestructibles alors que l'autre n'a que ses unités avancées de départ! (ex: ma garde varègue et mes cataphractes ne seront pas formés avant perpette, là j'ai comme cataphractes ma famille impériale et en gardes varègues l'unité de départ...).
Par contre, là où je ne tiens pas la route c'est sur mer, on va dire que j'ai un blocus sur pratiquement tous mes ports sauf Constantinople qui commerce avec les ports russes!
Sinon, j'ai l'impression que les autres factions manquent réellement d'argent... Tandis que moi j'en ai vraiment énormément, presque trop! J'arrive quasiment à construire un bâtiment et une unité par an dans chacune de mes provinces... Fou :p
Les Egyptiens n'arrivent visiblement pas à former des unités, et la perte de leurs provinces va pas vraiment améliorer ça... Par contre, vu que je ne peux pas les attaquer par mer, le fait de défendre une frontière serrée et en forme de corridor est plutôt aisé comparé à mon empire qui est vulnérable de toutes parts!
Donc si je devais résumer:
- Catholiques, unités puissantes mais peu nombreuses.
- Musulmans, beaucoup d'unités de départ mais en carton et surtout qu'ils ont du mal à renouveler!
Et puis le fait d'avoir des généraux ultra étoilés va pas les aider
Parle-nous de ta partie un peu :p