perso j'ai un commentaire à faire sur la lettre au Père Mesland du 9 février 1945, mais je pige rien
Les sectes, les sectes, les sectes.
J'ai un exposé à faire en philo, sur les sectes.
Je dois dégager un problème philosophique de ce sujet. Qu'est ce qu'un problème philosophique et quel est ce problème pour le sujet des sectes ???
Que va-t-il se passer ?
Ce topic va-t-il repartir en marche ?
Discutez-en ici : https://www.jeuxvideo.com/forums/3-68-93350-1-0-1-0-0.htm#form_post .
Bonsoir
C'est au sujet du dernier homme selon Nietzsche
J'ai compris quelques idées (ses grandes caractéristiques finalement, avec, entre autre, sa recherche de la sécurité... ).
Mais le passage d'"Ainsi parlait Zarathoustra" dans lequel le dernier homme est décrit ("Il est temps que l'homme se fixe à lui-même son but") reste assez sombre pour moi... j'ai bien lu le début du livre, mais j'ai toujours l'impression que de nombreuses expressions m'échappent. Qu'entend-il par "la terre", le "chaos", la "flèche" du désir de l'homme... je vois bien que tout cela est très symbolique, et pourtant je ne trouve pas de solutions qui pourraient me paraître évidentes (qui me feraient dire "Eurêka !" si vous voulez)... Je reste bloqué à des idées très vagues.
Quel est votre avis sur ce thème ? Je veux juste éviter de faire fausse route avec ce texte (qui n'est pas forcement simple, il faut le reconnaître)
Cite le passage, sinon ce sera un peu difficile !
Et ainsi Zarathoustra se mit à parler au peuple :
Il est temps que l’homme se fixe à lui-même son but. Il est temps que l’homme plante le germe de sa plus haute espérance.
Maintenant son sol est encore assez riche. Mais ce sol un jour sera pauvre et stérile et aucun grand arbre ne pourra plus y croître.
Malheur ! Les temps sont proches où l’homme ne jettera plus par-dessus les hommes la flèche de son désir, où les cordes de son arc ne sauront plus vibrer !
Je vous le dis : il faut porter encore en soi un chaos, pour pouvoir mettre au monde une étoile dansante. Je vous le dis : vous portez en vous un chaos.
Malheur ! Les temps sont proches où l’homme ne mettra plus d’étoile au monde. Malheur ! Les temps sont proches du plus méprisable des hommes, qui ne sait plus se mépriser lui-même.
Voici ! Je vous montre le dernier homme.
« Amour ? Création ? Désir ? Étoile ? Qu’est cela ? » — Ainsi demande le dernier homme et il cligne de l’œil.
La terre sera alors devenue plus petite, et sur elle sautillera le dernier homme, qui rapetisse tout. Sa race est indestructible comme celle du puceron ; le dernier homme vit le plus longtemps.
« Nous avons inventé le bonheur, » — disent les derniers hommes, et ils clignent de l’œil.
Ils ont abandonné les contrées où il était dur de vivre : car on a besoin de chaleur. On aime encore son voisin et l’on se frotte à lui : car on a besoin de chaleur.
Tomber malade et être méfiant passe chez eux pour un péché : on s’avance prudemment. Bien fou qui trébuche encore sur les pierres et sur les hommes !
Un peu de poison de-ci de-là, pour se procurer des rêves agréables. Et beaucoup de poisons enfin, pour mourir agréablement.
On travaille encore, car le travail est une distraction. Mais l’on veille à ce que la distraction ne débilite point.
On ne devient plus ni pauvre ni riche : ce sont deux choses trop pénibles. Qui voudrait encore gouverner ? Qui voudrait obéir encore ? Ce sont deux choses trop pénibles.
Point de berger et un seul troupeau ! Chacun veut la même chose, tous sont égaux : qui a d’autres sentiments va de son plein gré dans la maison des fous.
« Autrefois tout le monde était fou, » — disent ceux qui sont les plus fins, et ils clignent de l’œil.
On est prudent et l’on sait tout ce qui est arrivé : c’est ainsi que l’on peut railler sans fin. On se dispute encore, mais on se réconcilie bientôt — car on ne veut pas se gâter l’estomac.
On a son petit plaisir pour le jour et son petit plaisir pour la nuit : mais on respecte la santé.
« Nous avons inventé le bonheur, » — disent les derniers hommes, et ils clignent de l’œil. —
Ce qui me gêne le plus, c'est bien les mots "étoile", "chaos", et "terre" : que symbolisent ils au juste ?
Ce passage est celui que j'ai le plus de mal à saisir :
"Maintenant son sol est encore assez riche. Mais ce sol un jour sera pauvre et stérile et aucun grand arbre ne pourra plus y croître.
Malheur ! Les temps sont proches où l’homme ne jettera plus par-dessus les hommes la flèche de son désir, où les cordes de son arc ne sauront plus vibrer ! "
Bonjour à tous et à toutes.
J'ai un DM à rendre en Philosophie pour dans 2 semaines sur ce sujet : "Est-ce de la satisfaction de nos désirs qu'il faut attendre le bonheur ?"
Aimant bien la Philosophie et ne voulant pas faire ce devoir à la dernière minute et donc à l'arrach' (comme on dit ) je voulais voir si vous aviez des pistes de réflexion à m'apporter.
Je suis enclin à penser que la satisfaction des désirs sont un moteur du bonheur humain, ils sont des buts que nous nous fixons et les atteindre nous réjouit.
Cependant je me doute que cela ne doit pas être aussi simple aussi si vous pouviez m'aider je vous en serait reconnaissant.
Merci.
PS : Je sais que je ne me situe pas sur le forum d'Aide aux devoirs, mais ce que je voudrais n'est pas un plan de dissertation, seulement des questions pouvant m'amener à creuser plus ma réflexion et donc à avancer.
PS2 : J'ai créé un topic avant de trouver ce topic, désolé.
Salut
Kramboyz2, une réponse t'interesse toujours?
Pas envie d'écrire pour rien
Bonjour à tous, ce n'est pas purement de la philo mais disons que ca s'y rapproche
J'ai un devoir d'histoire pour demain concernant le thème "Humanisme et renaissance". Le prof a un esprit plutôt orienté vers la philosophie ..
On a un texte et des questions, voici le texte en question:
"Si le peintre veut voir des beautés capables de lui inspirer l'amour, il a la faculté de les créer, et s'il veut voir des choses monstrueuses qui font peur, ou bouffonnes pour faire rire ou encore propres à inspirer la pitié, il est leur maître et dieu ; et s'il veut créer des paysages, des déserts, des lieux d'ombre et de frais pendant les chaleurs, il les représente - et de même des lieux chauds par mauvais temps. S'il veut des vallées, s'il veut des hautes cimes de montagnes découvrir de grandes étendues, et s'il veut ensuite voir l'horizon de la mer, il en a la puissance. Et si du fond des vallées il veut apercevoir de hautes montagnes, ou des hautes montagnes les vallées basses ou les côtes, ce qu'il y a dans l'univers (...), il l'a, dans l'esprit d'abord, puis dans les mains. (...) Ne vois-tu pas combien sont divers les animaux et aussi les arbres, herbes, fleurs, et la variété des sites de montagne et de plaine, sources, fleuves, villes, édifices publics et privés, machines à l'usage de l'homme, et différents vêtements, ornements et arts ? Un homme peut être bien proportionné, ou gros et court, ou long et mince, ou moyen ; et qui ne tient pas compte de cette variété fait toujours ses personnages selon le même patron, de sorte qu'ils paraissent frères, ce qui est fort blâmable. Et ne fais pas comme certains qui donnent à toutes les espèces d'arbres, fussent-elles à une distance égale du peintre, la même nuance de vert -, lorsqu'il s'agit des prés ou des plantes et d'autres sortes de terrain et des rocs et des troncs de ces arbres, il faut toujours varier, car la nature varie à l'infini et non seulement dans les espèces - on trouve différentes couleurs dans les mêmes arbres, étant donné que sur certains rameaux les feuilles sont plus belles et plus grandes que sur d'autres. La nature est si plaisante et si riche dans ses variations que, parmi les arbres de la même espèce, on n'en découvrirait pas un qui ressemblât de près à un autre; et pas seulement parmi les plantes entières, mais parmi les branches et les feuilles et leurs fruits, aucun ne sera trouvé exactement semblable à un autre. il faut bien t'en rendre compte et varier tant que tu peux."
Et les questions:
1/ Présentez en quelques phrases Léonard de Vinci
2/ A qui L. de VINCI compare-t-il le peintre ? Extrayez du texte les phrases qui attestent le bien fondé de votre réponse.
3/ Cette conception des pouvoirs du peintre ne risque-t-elle pas d'inquiéter l'Eglise ? Justifiez votre réponse
4/ En quoi le peintre doit-il pourtant se soumettre à la nature ?
Voila, pour la Q1 ca va mais pour le reste je suis pas mal perdu ..
Donc si vous avez une aide à m'apporter, je suis ouvert.
Merci d'avance.
2/ Pour Léonard de Vinci, l'artiste est comme un maître et un Dieu (dans sa création). Pour le reste, je te laisse trouver les citations, sachant que je viens moi-même d'en utiliser une. Il faut juste montrer que l'artiste a un grand pouvoir, de par sa faculté à représenter n'importe quel objet comme il le veut, et de créer ainsi une sorte d'autre monde.
3/ Premièrement, l'art de l'église est relativement uniforme : les personnages se ressemblent, la nature n'est pas un thème présent, etc. L'art de l'Église est un art pour Dieu. L'art de de Vinci est un art par le Dieu qu'est l'artiste. Autoriser un créateur qui ne soit inspiré par Dieu, c'est autoriser un autre Créateur, ce que l'Église craint, évidemment. Il y a donc à la fois une remise en cause de l'art catholique dans ce texte, mais également une remise en cause de l'unicité du personnage de Dieu, l'artiste étant lui-même ce Dieu créateur de son univers.
4/ L'artiste, cependant, doit être conscient de la beauté du monde qui l'entoure. La nature est grande, magnifique, en ordre, en harmonie, ou, au contraire, dans le désordre le plus complet. Elle est impressionnante, elle élève l'esprit par sa simple contemplation. Comme le dit Kant, au final, elle est sublime. "Deux choses remplissent le coeur d'une admiration et d'une vénération toujours nouvelles et toujours croissantes, à mesure que la réflexion s'y attache et s'y applique : le ciel étoilé au-dessus de moi et la loi morale en moi" (Critique de la raison pratique). L'artiste recherche le beau, et il en voit le modèle dans la nature. L'artiste doit exposer les nuances, et il n'y a rien de plus nuancé que les objets naturels. La nature est le modèle de l'art, en somme.
Voilà, j'espère avoir aidé.
Bonjour,
première fois que je poste sur ce forum (et je l'espère pas la dernière), je viens pour un "léger" problème : je suis actuellement en T°S et j'ai donc un bac de philo en fin d'année. Or, sur toutes les notions du programme qu'il faut faire nous n'avons fait que la partie du travail et de la technique inclus dans le thème de l
dsl pour le double post, j'ai posté sans le faire exprès . Je disais donc que nous n'avons pour l'instant fait que la notion de travail et de technique, qui font partie du thème "culture" et sommes en train de faire le conscient et l'inconscient, sous-parties du thème "le sujet". Nous allons bientôt commencer "malaise dans la culture", de Freud qui abordera quelques autres notions du programme (le bonheur, le désir) mais pas toutes.
Je desespère donc de pouvir boucler le programme à temps.
Je m'en ouvre donc à vous, si quelqu'un aurait l'obligeance de m'envoyer des cours, ou des sites de bonnes qualité sur le programme de philosophie.
Merci à vous
Bonjour thiamor_78,
Si tu veux, je peux t'envoyer quelques cours sur certaines notions ou thèmes qui te posent problème. Ayant eu 17 au Bac Littéraire, et étudiante en philo cette année,(mon maigre CV.^^) je pense pouvoir aussi t'aider pour la méthodologie. A savoir : c'est au moins 70% de la note ! Navrant aussi, je trouve. Bref, si ça t'intéresse, donne-moi une adresse mail, ou autres.
Merci beaucoup, voici mon e-mail :
thamior_78@hotmail.fr.
Bonjour.
Ma prof de philo m'a donné une dissert à faire à la maison. Alors le sujet peut paraître un peu étrange puisque c'est : "Combien vaut la Joconde ?". Ma prof nous a donnés ce sujet pour soi-disant éviter qu'on aille pomper sur internet...
Bref, donc j'ai déjà quelques idées pour la rédaction telles que :
¤ Sa simplicité mais son côté mystérieux (notamment par le regard de Mona Lisa) attisent la curiosité et c'est donc l'une des oeuvres importantes du musée du Louvre.
¤ C'est certainement l'un des tableaux les plus connus et les plus prisés du monde. Du fait de la forte demande autour, son prix est très élevé voire quasiment inestimable.
¤ On ne peut donc pas donner un prix approximatif de l'oeuvre tant sa valeur est incalculable (je ne sais pas si c'est français cette phrase ^^).
Mais je n'arrive pas à trouver un plan autour de ça. Donc si vous avez quelques esquisses à proposer.
Merci d'avance.
Un plan sans problématique ne vaut rien, tu devrais d'abord reformuler la question, définir les termes afin d'en dégager une problématique. A partir de là le plan devrait apparaitre tout seul.
Je trouve pas de termes à définir dans la question... Peut-être valoir mais j'en doute.
Indices, que signifie valoir et qu'est ce que la Joconde.
Tu peux trouver de très nombreuses signification du verbe valoir, et, en sortant un peu la Joconde de son cadre de simple objet, c'est à dire, en la voyant quand même comme une œuvre d'art très importante de la Renaissance, donc en la replaçant dans son contexte, il risque fort d'arriver un moment où un problème va se poser quand tu vas te poser la question "Quelle est la valeur de la Joconde?". Un problème, contrairement à une question, va te sembler, de prime abord, insoluble, car chaque réponse entraînera immédiatement une réfutation. Résoudre le problème revient finalement à constater que derrière l'apparence de la contradiction, il n'y en a pas vraiment, ou que le problème est nul et non avenu, etc... Raison pour laquelle on parle souvent du plan bateau thèse antithèse synthèse, qui demande malgré tout une certaine maîtrise.
Bref, observe chaque signification de "valoir", comprends ce que signifie la Joconde, en la replaçant dans son contexte; tu vas trouver un problème, et tu vas le résoudre rien qu'en confrontant les différentes significations de valoir et la Joconde.
Mais en effet, c'est un sujet particulier, et donc intéressant. Au moins, y a de l'imagination derrière tout ça.