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Sujet : Topic des articles tirés des blogs
imthere
Niveau 10
12 mai 2010 à 19:08:18

"Axel Loustau.- “Vous n’avez rien à foutre ici!” (il s’agit d’une manifestation sur la voie publique). Il nous regarde. Et nous crache violemment dessus . “Ca, c’est pour votre blog de merde!”"

(le blog posté par polo)

J'ai bien ri à tout l'article, qui démontre la tolérance de certains :noel:

Heidegger1936
Niveau 2
18 mai 2010 à 16:10:34

Apéros géants : les leçons que je propose de tirer
Par Bruno Masure | Journaliste énervé | 17/05/2010 | 16H33
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Oui, renonçons aux « apéros géants » !

Supprimons la garden-party de l'Elysée où 3 000 personnes se saoulent tous les 14 juillet (en plus, à nos frais ! ).

Un mort à Nantes pour cause de beuverie ? Supprimons la chasse qui cause, chaque week-end, la mort de fines « gâchettes » tuées par leurs amis qui visent mal (bourrés ? ).

Supprimons le gouvernement Sarko qui file la gueule de bois à des millions de Français, y compris à ceux qui fuient l'alcool, mais qui trinquent comme les autres…

J'ai dit !

Bruno Masure

no--limit
Niveau 3
24 mai 2010 à 16:42:13

L'immigration ne peut rester un sujet interdit
Par Ivan Rioufol le 24 mai 2010 12h44 | Lien permanent | Commentaires (23)

"Ca va péter !", mettent en garde les maires des cités-ghettos. Ce week-end, certains d'entre eux ont cosigné une "Lettre à ceux qui ignorent la banlieue", rédigée par Claude Dilain, maire (PS) de Clichy-sous-Bois, commune d'où étaient parties les émeutes de 2005. Il était ce lundi matin sur RTL : "On redoute les émeutes", a-t-il répété, tandis que François Fillon doit installer, mardi, le nouveau Conseil national des villes qui lancera un énième plan d'aide aux quartiers les plus défavorisés. "Les banlieues ne vivent que de la solidarité des autres", a admis Dilain en s'inquiétant du gel possible des mécanismes de solidarité dans cette période d'hyper-rigueur. Bref, les maires avouent être dépassés par les faits : augmentation des actes de grande délinquance (une policière municipale vient d'y laisser sa vie) ; communautarisme de plus en plus hostile à la France considérée comme une puissance colonisatrice ; islamisation des quartiers repliés sur eux-mêmes. Le message des maires est de dire: si le gouvernement réduit ses aides, ce geste sera compris par la population comme une "déclaration de guerre aux quartiers" (dixit François Pupponi, maire (PS) de Sarcelles). "De guerre", oui.

Ce que redoutent ces élus est probable. Cela "pète" d'ailleurs tous les jours, ici et là, au moindre prétexte. Il y a longtemps que les banlieues sont devenues des barils de poudre. Or, il est ahurissant de constater l'incapacité de ces maires (de droite comme de gauche), pourtant en premières lignes, à formuler publiquement le moindre début de critique sur la poursuite de cette immigration de peuplement, qui reste largement à la charge de la collectivité et qui rechigne néanmoins, pour une partie d'entre elle, à adhérer aux règles de la société d'accueil. La baignoire déborde, mais personne n'ose toucher aux robinets. Mieux: dès qu'il en a l'occasion, Eric Besson, ministre de l'Immigration, se flatte de poursuivre une politique ouverte et généreuse. Or ces attitudes cherchent d'abord à flatter la terrorisante idéologie antiraciste, qui se contrefiche visiblement des scandaleuses conditions d'accueil réservées, faute de moyens, à ces populations déracinées qui mettent déjà en faillite certaines communes et le département de la Seine-Saint-Denis lui-même.

Au grand bal des faux-culs, les belles âmes se bousculent. Elles sont les responsables de ce qui est en train de se passer dans les cités.

Je n'ai jamais pensé que la France devrait se fermer à l'immigration, ce qui serait ridicule et impossible. Mais celle-ci doit être entièrement reconsidérée, comme doivent être revues les conditions d'accès à la nationalité afin que celles-ci laissent place au désir sincère et exprimé de rejoindre la communauté française. Il faut, à l'évidence, mettre un frein à ce flux de peuplement continu (200.000 personnes par an, sans compter les clandestins) qui est devenu une charge financière trop lourde, mais aussi un frein à l'intégration et un accélérateur de divisions ethico-culturelles. Le gouvernement osera-t-il enfin aborder ce sujet interdit, avant qu'il ne soit trop tard ?

Je participerai, mercredi, à deux débats sur BFMTV (13h10-13h30)
Je participerai, vendredi, à l'émission "On refait le monde" sur RTL (19h10-20H)

http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2010/05/limmigration-ne-peut-rester-un.html

imthere
Niveau 10
26 mai 2010 à 10:32:03

http://bercy.blog.lemonde.fr/2010/05/25/plans-de-rigueur-taper-fort-et-reduire-les-depenses-plutot-quaugmenter-les-impots/

Une étude a été menée conseillant de couper dans les dépenses plutôt que d'augmenter les impôts pour les plans de rigueur.

Ca parait evident, mais esperons que nos politiciens feront comme ça... :(

dwxf456
Niveau 6
01 juin 2010 à 16:52:06

La journée fut tout à fait surréaliste ce Dimanche passé à Sciences-Po Paris, durant les Assises de la Lutte contre les Préjugés. L’intervention finale fut assurée comme à l’habitude par le grand maître souvent requis en de telles circonstances, Monsieur Jacques Attali (Conseiller des Présidents et logiquement Président lui-même de, Planète Finance…). Il invita ainsi à étendre les pouvoirs du Tribunal Pénal International afin d’accroître l’application de la fameuse Charte des Droits de l’Homme... Outre cette intervention, l’affaire de ce colloque était initialement « pré-jugée » et les conclusions prévues conformes à la Gouvernance prétendument démocratique régissant notre pays.

Un jeune homme courageux et presque héroïque, bouc émissaire tout indiqué, vint malgré tout légèrement secouer l’arbre de la pensée unique. Il évoqua sa souffrance croissante de » jeune homme blanc, catholique en outre ». Il fut l’objet de la risée de presque tout un amphithéâtre acquis à la cause du Droit de l’Hommisme panaché de laïcité, cette pensée unique que chacun est "invité" sans cesse à promouvoir. Relater cette session en commençant par la fin s’impose logiquement tant le scénario paraissait écrit par avance. L’accord de l’Assemblée fut conçu pour être total. Aucune opposition intellectuelle réelle ne participait du séminaire. La famille régnante était au complet, avec un représentant de chaque lignée ou confrérie.

Entrant dans le hall de cette fabrique de pensées formatées pour diriger demain notre pays afin que rien ne change et que la réseaucratie actuelle demeure, chacun rencontrait immédiatement quelques repères symboliques. De longues tables offraient ainsi au passant une information exemplaire relative à tous les lobbys recouvrant notre société. La plus belle fraternité s’affichait en coordination de tous les pôles d’influence. Notre démocratie se doit de sauver les apparences au travers d’une jolie diversité de façade. Le flot des concepts imposés à longueur de journée dans les-leurs médias ne tarda pas à inonder cet « hémicycle » préambule de celui de l’Assemblée Nationale, située à quelques centaines de mètres. A la capitale comme dans tout le pays, le pouvoir est centralisé, autant que le périmètre de la pensée autorisé est réduit.

L’on entendit ainsi évoquer à volonté telles de vieilles mouches chargées de faire les piqûres de rappels d’un mental collectif obligatoire, ici la « diversité », là notre chère « parité », ailleurs des « discriminations » mêlées de « vivre ensemble ». Assurément, les Cercles sont fermés et les formules automatiques. Les thèmes des tables rondes (ailleurs elles seraient plus volontiers triangulaires et gantées) nous situaient d’entrée dans l’état d’esprit toléré.

Préjugé ? Une réalité plutôt.

A 12h00 le débat portait sur « Préjugés : boite de pandore de l’année 2010 », puis à 16h00 le temps fébrile démocrateux osait « Quand les figures d’autorité dérapent ». Certains semblaient craindre manifestement de perdre la main. La démocratie reste jolie en photographie. Des ateliers divers cadraient la réflexion dans les limites requises, qu’il s’agisse de l’Europe (d’autres parleraient d’Européisme), des vilains médias accusés d’avoir osé ces derniers mois « véhiculer des préjugés ». Les intervenants participaient essentiellement du milieu universitaire et journalistique suffisamment officiels et Institutionnels. Des psychanalystes guérisseurs de réflexion insoumise remplissaient aussi les tribunes (oser penser autrement relèverait-il de la pathologie, névrose, psychose ?). Enfin, toutes les associations et lobbys oeuvrant toute l’année sur nos plateaux de télévision pour faire croire à la démocratie jouaient joyeusement ensemble au jeu de la liberté de parole subventionnée. Chacun suivait le troupeau. A n’en pas douter, Coluche serait aujourd’hui un dangereux populiste, et Chaplin se trouverait privé de parole bien qu’évoluant dans un film muet. La Cantatrice chauve de Eugène Ionesco à Sciences Po !

Non loin de l’hémicycle, toute personne se rendant aux toilettes ou cafétéria à la pause se trouvait confronté à un étonnant stand du Modem, prenant forme de cerise orange sur un étrange gâteau idéologiquement monocolore. Une table circulaire tournant bien en rond affichait « Du préjugé au repli ». L’on entendait résonner les vieux haut-parleurs des années 80, quand le PS programmait « SOS racisme » au fronton de la bonne conscience du règne de Tonton. Des mains fraternelles de « Touche pas à mon pote » tendues vers la crise du logement jalonnaient en effet l’entrée de Sciences Po. Le MLF ou ses successeurs paraissaient à contrario plus discrets ce dimanche, on y pouvait discrètement rencontrer une Présidente de « parole de femmes ». Le vocabulaire serait ainsi fondamentalement sexué. Quoi qu’il en soit, la grille des salaires, la prostitution publicitaire de l’image de la Femme… rien ne change. Les lobbys changent de nom, seulement. Les causes sont dans la file d’attente pour alimenter les plats réduits du JT. Les Commissions font vivre des Conseillers au gré des informations et débats habilement insufflés. Les Rapports thématiques justifient l’existence des poubelles.

Vers 16h00 la « démocratie » télévisuelle arrivait en force les bras chargés des « grands intellectuels » du moment. Les historiens et psychanalystes, politologues, n’étaient alors plus rien, ou presque. Bruno Gaccio entra, qualifié comme « Auteur » sur l’estrade (à moins qu’il ne s’agisse de « hauteur « , celle des guignols de Canal+, et d’ailleurs), suivi de Yann Moix reçu en « écrivain et cinéaste » orné d’une jolie barbe de trois jours afin de correspondre aux critères actuels de l’esthétisme. Les étudiantes présentes croyaient à nouveau aux princes charmants, médiatisés surtout.

Chacun sentît alors que quelque chose de grand allait se passer. La Pensée irait enfin culminer dans la plus grande culture et réflexion. Serge Moati était annoncé comme « modérateur » du débat. Tout pourrait donc se dérouler dans la plus grande fraternité. Un instant d’extra-lucidité frappa soudain la tribune. Notre brillant et télégénique intellectuel Yann Moix reconnût que tout n’était que nivellement (par le bas ? ) dans les médias, évoquant « l’émission de Laurent Ruquier ou les chanteurs, politiques, intellectuels, se trouvent situés au même niveau ». Outre son affirmation sous-jacente et toujours utile à rappeler qu’il participait de la troisième catégorie, nous ne pouvions qu’en convenir avec lui, et le regretter. A Sciences Po ce Dimanche, comme à France Télévision la veille, le haut du panier de la ménagère faisait autorité.

Cette table ronde de 16h00 tourna en rond, presque idéalement. Seul le jeune intervenant du public s’auto définissant comme « blanc de souche et catholique en plus » à qui l’on attribua quelques secondes (la démocratie est minutée pour le peuple) vint donc réveiller l’assistance. Le ricanement général se plaça du coté du Pouvoir dominant de la Tribune. A travers ce jeune homme conspué, notre ami Eric Zemmour aura eu sa seconde de martyre. Le programme en vînt alors enfin à s’achever (et nous par la même occasion ?) par la « Leçon de Clôture » selon le terme du prospectus de présentation. Monsieur Jacques Attali rappela aussi que les jeunes accédant à Sciences Po étaient hélas toujours majoritairement issus des milieux privilégiés, bien connus de l’orateur. Il arriva quelque peu en retard, chacun comprit mieux l’honneur qu’il nous faisait de sa présence (si rare dans les médias, colloques, librairies...).

Durant cette journée supposée lutter contre tous les préjugés nous venions une fois encore de prendre une leçon, de soumission. Oser dire que l’on aima la France plus que l’Europe aurait été un signe de fermeture réactionnaire. S’interroger sûr le modèle d’intégration ou sûr la compatibilité (à ce stade de l’Histoire) entre certaines cultures religieuses fût immédiatement taxé de racisme primaire. Oser s’inscrire dans l’héritage fondamentalement chrétien de notre pays, se dire attaché à la Nation face au Mondialisme fourre-tout et uniformisateur, critiquer la gouvernance mondiale que certains s’attribuent pour leur bénéfice réseaucrateux, dire que certains dominent divers secteurs…vous n’y pensez pas ! Préjugés ?

Ce séminaire recouvrait d’abord un condensé de tous ceux de la « classe » dirigeante.

A croire que le chaos actuel résultant précisément du florilège de préjugés façonnant la Pensée dominante imposée à tous depuis des années ou siècles, pensée unique ressassée encore tout ce dimanche à Sciences Po (tout en prétendant à une démarche contraire), à croire qu’il faudra l’apocalypse (« révélation ») suprême pour changer le cours des choses. Cette dimension finale de civilisation fut en effet rapidement évoquée lors d’une intervention. Les petits juges chasseurs des "préjugés" des autres, de ceux du bas peuple, semblaient ne pas réaliser encore que leur monde s’écroule sûr lui même au travers de la crise actuelle, dont ils sont les premiers responsables.

En attendant d’être pré-jugés eux même, coupables du rabaissement général de notre société et de l’être humain, nos petits juges et grands Maîtres semblaient à leur aise dans leur palais doré de reproduction d’élites.

http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/un-dimanche-plein-de-pre-juges-a-75733

BenRichardson
Niveau 10
16 juin 2010 à 14:29:03

ISRAEL ET ONCLE SAM DESTRUCTION DES AIDES ET COMPLOT

Les autorités de l'occupation israélienne ont enterré une partie des aides humanitaires de la flottille de la liberté dans le désert du Néguev! C'est ce qu'a révélé le site "Palestiniens 48" rapportant des témoins sur place.

Selon ces témoins, des bulldozers israéliens ont jeté le contenu des navires dans le dépotoir de Doudaim au Néguev, notamment des vaisselles, conserves alimentaires et des propriétés des activistes qui étaient à bord de la flottille.

Ils ont également vu un camion escorté par la police et transportant des conserves alimentaires arriver sur place. Il y a déchargé toute la cargaison.

A savoir que la fosse de Doudaim est considérée comme le plus grand dépotoir de l'entité sioniste. Les déchets sont utilisés pour la production de l'énergie électrique, mais les habitants proches de Doudaim s'en plaignent continuellement.

http://cortex-info.over-blog.com/

imthere
Niveau 10
21 juin 2010 à 19:17:43

Les Juifs désertent Anvers à cause de l'antisémitisme. D’ici 50 ans, plus aucun Juif ne vivra dans cette ville.

http://les27.blog.lemonde.fr/

imthere
Niveau 10
21 juin 2010 à 19:34:09

http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2010/06/21/les-terroristes-sont-des-rates-comme-les-autres/

Les terroristes sont des ratés, des idiots et des cochons.

Les photos valent le coup. :noel:

Et c'est un article assez intéréssant.

LeDijonnais
Niveau 3
27 juin 2010 à 22:21:44

Profs de latin-grec: le rêve d'être footballeurs...

T. Henry pendant le match contre l'Afrique du sud à Bloemfontein le 22 juin 2010 (Jorge Silva, Reuters)o '
Et pourquoi pas nous ? La réception de Thierry Henry à l'Elysée a donné des idées aux profs de latin grec du supérieur. Estimant que la situation à l'université était au moins aussi désastreuse que celle du foot français, ils se demandent pourquoi eux aussi, ils ne seraient pas reçus par Nicolas Sarkozy pour en discuter.

Avant d'aller au fond des choses, il faut saluer le sens de l'humour et l'esprit d'à propos de la très sérieuse Association des Professeurs de Langues Anciennes de l'Enseignement Supérieur (APLAES), membre du Forum des Sociétés Savantes. Deux jours après la convocation de l'ancien meneur des Bleus à l'Elysée (au moment même où un à deux millions de personnes défilaient contre la réforme des retraites), elle a diffusé un communiqué au ton acidulé, intitulé Emoi national.

L'entrée en matière est un peu mystérieuse: "le bureau de l'APLAES a pris connaissance de l'information diffusée par la presse ce jeudi 24 juin, après de longs mois d'une crise profonde de l'Université".

Puis on en vient au fait, sur un ton toujours légèrement décalé : "Le Président de la République s'émeut et convoque des personnalités directement impliquées (dans le fiasco des Bleus, ndlr). La Ministre (Roselyne Bachelot) tient des propos très fermes à la tribune de l'Assemblée nationale. Une commission d'enquête parlementaire est mise en place pour établir les responsabilités dans ce que personne ne peut plus éviter d'appeler un désastre".

Enfin la conclusion s'impose: "les professeurs de latin et de grec des universités demandent au Président, au gouvernement et à l'Assemblée nationale de bien vouloir montrer enfin, à l'égard de la situation sous bien des aspects désastreuse de l'Université, la même sollicitude qu'envers la réalité footballistique française".

Au passage, les professeurs font une fine allusion à la fameuse épreuve introduite aux concours d'enseignement, intitulée "Agir en fonctionnaire de l'état, et de façon éthique et responsable", et qui provoque un vent de fronde chez certains jurys d'agrégation - avant tout les philosophes (voir leur tribune dans Libé) mais aussi les littéraires.

"Le désastre en question (donc footballistique) est la conséquence de l'attitude de sportifs qui ne se seraient pas montrés capables ou à qui l'on n'aurait pas permis d'"agir en footballeurs de manière éthique et responsable", écrivent-ils.

Qui a dit que les profs de latin et de grec étaient ennuyeux, sous prétexte qu'ils enseignent des langues mortes dont beaucoup ne voient plus guère l'utilité si ce n'est pour la formation d'un esprit cultivé ?

Renseignements pris, l'Association nous a bien confirmé qu'elle aimerait aller à l'Elysée. Mais attention, elle voudrait y "être invitée" et non pas "convoquée en urgence" comme l'a été Thierry Henry par Nicolas Sarkozy pour s'expliquer sur le fiasco des Bleus.

Les problèmes que l'APLAES mettrait alors sur la table sont multiples:

"La LRU (loi sur l'autonomie des universités) transforme l'université en une sorte de firme managée d'après des objectifs quantifiés relevant du marketing à courte vue, explique le bureau de l'Association. Des réformes sont imposées à un train d'enfer, de manière contradictoire et mal pensée (...), ce qui se traduit par la montée d'une véritable désespérance au sein d'une communauté universitaire qui se sent de plus en plus méprisée. Une absence totale de dialogue et de concertation. Une apparente volonté de mise au pas", etc.

Que demanderait l'APLAES au Président ? "La première chose serait de bloquer tout le train de réformes, de siffler la fin d'une partie bien mal engagée depuis deux ans", et d'ouvrir de vraies discussions.

L'APLAES soutient les protestations des jurys d'agrégation contre l'épreuve "Agir en fonctionnaire"... Critique - comme pratiquement tout le monde aujourd'hui - à l'égard de la "masterisation", elle a aussi exprimé son soutien au jury du Capes de lettres classiques qui proteste contre les nouvelles modalités des épreuves.

On ignore qui a soufflé l'idée au Président de recevoir Thierry Henry ou s'il l'a eue lui-même. En tout cas, ce jour-là, il a singulièrement manqué d'inspiration. Un vrai Bleu.

Crédit photo: T. Henry lors du match perdu contre l'Afrique du Sud le 22 juin à Bloemfontein (Jorge Silva, Reuters).
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FriedrischHayek
Niveau 8
06 juillet 2010 à 18:19:16

L’exemple Amish
Les immigrants doivent-ils s’intégrer ?
Mardi 6 juillet 2010 - Lucilio

Ce n’est pas par hasard si ce qui différencie le socialisme ou l’étatisme du libéralisme réside dans le fait que les deux premiers veulent imposer un modèle de société précis, alors que le dernier vise à permettre la coexistence de plusieurs modèles.

Aujourd’hui, on exige aux immigrants un minimum d’adaptation aux coutumes et aux langues de la communauté locale. L’interaction requiert un dénominateur commun et il faut bien le trouver. La question est généralement présentée de manière dichotomique : qui doit s’adapter, les immigrants ou nous ? Il existe cependant une troisième voie qui fonctionne bien mieux : les immigrants s’intègrent un peu et les natifs tolèrent le reste. Ainsi l’immigrant ne renonce pas à son identité, ses croyances, ses coutumes, sa langue, mais tente de les rendre compatibles avec la culture locale.

Mais l’intégration, même minimale, est-elle une exigence libérale ? Laissons de côté le débat, plus général, sur la liberté de mouvement et centrons-nous sur l’« exigence d’intégration ». Qui apprécie le fait de voir un immigrant se refuser à assimiler les coutumes du reste de la communauté ? Est-ce qu’un individu n’a pas le droit de se séparer de la communauté, de se retirer comme un ermite ou de se joindre à des personnes ayant le même profil que lui ? Si le libéralisme tolère tout comportement pacifique, qui n’attente pas contre les personnes ou les biens, les libéraux devraient tolérer la « non intégration » ou même la « ghettoïsation » des immigrants, au lieu de réclamer l’imposition d’une langue officielle ou des coutumes locales.

Oublions un moment les musulmans radicaux – le contre-exemple préféré de nombreux liberticides – et penchons-nous sur le cas des communautés asiatiques, latino-américaines, indiennes ou pakistanaises. Liberdade à São Paulo, Chinatown à New York, Little Haiti et Little Havana à Miami, Little India à Singapour, Banglatown à Londres. On y trouve un certain degré d’intégration, mais surtout une distanciation et une préservation des traits distinctifs. Dans le quartier chinois new-yorkais, par exemple, le touriste observe amusé que les enseignes sont rédigées en mandarin et que des résidents ne connaissent pas un mot d’anglais. Mais quand le même phénomène se produit dans sa ville, il trouve soudain cela moins drôle. Là, nous serions devant un « ghetto », au bord de l’abîme multiculturel.

Allons encore un peu plus loin et considérons le cas des communautés Amish aux États-Unis. Il s’agit là de congrégations chrétiennes très traditionnelles qui refusent de s’intégrer au monde moderne. Ses membres – plus de 200.000 – vivent dans la campagne, physiquement séparés du reste du monde, et s’en tiennent à de stricts codes de conduite en matière sociale, familiale et religieuse. Ils sont pacifistes et se déclarent objecteurs de conscience en temps de guerre. Ils sont exemptés de contribuer à la sécurité sociale, puisqu’ils en refusent les prestations. Ils ont leurs propres écoles, en marge du système éducatif étatique.

Les Amish vivent dans un ghetto (bucolique, certes, mais ghetto quand même) et interagissent à peine avec l’extérieur. Le groupe exerce une forte pression sociale sur ses membres (enfants et adultes) pour qu’ils respectent les codes de conduite. L’ostracisme ou les châtiments corporels (légaux aux États-Unis) sont des formes de contrôle utilisées. Ils respectent toutefois le droit de sortie : un individu peut quitter la communauté volontairement ou être excommunié en cas d’infraction des normes. Il existe également une période durant l’adolescence, le rumspringa, où les règles de la communauté se relâchent et où le jeune peut courtiser un autre membre. À la fin de cette période, le jeune décide s’il accepte le baptême, s’intégrant définitivement à la communauté, ou s’il s’en sépare. Un petit pourcentage choisit cette seconde voie et part vivre à l’extérieur.

L’exemple des Amish aux États-Unis illustre les implications d’une société réellement ouverte, où l’on n’exige pas l’homogénéisation linguistique ou culturelle réclamée par tant de gens en Europe. C’est pourquoi le sécularisme étatique et l’intégration forcée – qui ont tant d’adeptes de ce côté de la Manche – ne peut être compris aux États-Unis. Et c’est également pourquoi l’interdiction de la burqa ne fait pas débat dans ce pays qui peut donner des leçons à la France sur la signification de la liberté individuelle. Comme il est proprement inconcevable pour un Américain de mettre à l’amende un commerce qui n’emploierait pas telle langue déterminée.

Ce n’est pas par hasard si ce qui différencie le socialisme ou l’étatisme du libéralisme réside dans le fait que les deux premiers veulent imposer un modèle de société précis, alors que le dernier vise à permettre la coexistence de plusieurs modèles. Pour Robert Nozick, le libéralisme sert de cadre aux utopies, au pluriel, tandis que le socialisme est une utopie (clairement une dystopie, comme le démontre l’expérience historique) que veulent imposer ses adeptes à l’ensemble de la population. Par contre, dans une société libre doivent pouvoir cohabiter le maniaque et le saint, le moine et le libertin, le socialiste volontaire et le capitaliste, les communautés comme celle de Fourier, de Flora Tristan, d’Owen, de Proudhon ou de Josiah Warren, les kibboutz, les Bruderhofs, etc. Ainsi que les immigrants qui résistent peu ou prou à l’intégration. Si les Amish ont le « droit au ghetto », pourquoi pas d’autres ?

http://www.contrepoints.org/Les-immigrants-doivent-ils-s.html

Yuyu
Niveau 10
09 juillet 2010 à 22:18:59

L’inévitable remontée des taux d’intérêt pourrait couler les Etats de la vielle Europe !
http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/l-inevitable-remontee-des-taux-d-78181

Yuyu
Niveau 10
16 juillet 2010 à 12:02:17

La France est-elle ruinée ?

http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/la-france-est-elle-ruinee-78530

Kiepsky
Niveau 4
16 juillet 2010 à 16:29:53

A lire, c'est révoltant !

http://www.ericbrunet.fr/?p=179

a lecture des 116 pages des nouvelles instructions officielles pour les programmes scolaires est surréaliste pour ne pas dire affligeante !

:d) :d) François Ier, Henri IV, Louis XIV et Napoléon vont être réduit à leur plus simple expression dans les programmes de l’année prochaine au profit des empires africains Songhaï et du Monomotapa ! :g) :g) Cette décision officielle a été prise cette année au nom de « l’ouverture aux autres civilisations de notre monde » et n’a pour l’instant était que très peu ébruitée. Cette nouvelle ahurissante bouleverse les grands repères et les bases de l’enseignement des jeunes Français et laisse les historiens sans voix ...

:d) L’étude de la Révolution et l’Empire sont sacrifiés pour mieux pouvoir étudier les grands courants d’échanges commerciaux au XVIIIe et XIXe comprenant les traites négrières et l’esclavage. :g)

Le nouveau programme de 4e revient donc une nouvelle fois sur les traites négrières auxquelles il propose de consacrer 3 heures alors que toute l’histoire de la Révolution et l’Empire est expédiée en moins de 8 heures… contre 12 heures auparavant.

Pire encore, le programme donne la possibilité de traiter la période de la Révolution uniquement jusqu’en 1799. Libre alors au professeur de s’abstenir totalement d’évoquer le Consulat et l’Empire de 1799 à 1815, éludant ainsi de nombreux évènements fondamentaux de notre histoire !

Enfin, le summum d’absurdité ; dans le seul chapitre consacré à la Révolution et l’Empire : « La fondation d’une France moderne », l’étude doit être mené à travers un sujet donné. Il y a 5 propositions dont 3 exclut totalement la période impériale :

- Invention de la vie politique

- Le peuple dans la Révolution

- La Révolution et les femmes

- La Révolution, l’Empire et les religions

- Les grandes figures de la Révolution et de l’Empire.

Ainsi, le grand fil de notre mémoire nationale, de Valmy à Waterloo en passant par Austerlitz, est totalement passé sous silence et ne sera jamais porté à la connaissances des élèves !!!

Autre exemple édifiant, Louis XIV qui constituait un temps fort du 1er trimestre de 4e est remplacée par un thème appelé l’ « Emergence du roi absolu ». Le Roi Soleil est désormais renvoyé en 5e à la fin du mois de juin, au terme d’un énorme programme sur lequel on se sera longuement attardé sur les civilisations africaines du Monomotapa et Songhaï et sur la traite orientale. Le risque pour Louis XIV d’être totalement passé sous silence est donc évident !

On voudrait faire disparaître Louis XIV et Napoléon dans les oubliettes de l’Histoire que l’on ne s’y prendrait pas autrement.

Petit immigré corse

Et pourtant Napoléon est et a longtemps été à travers le monde l’expression même du goût de l’effort, de l’énergie, de la volonté, de la créativité et du sens de l’organisation. Qu’un petit immigré qui ne parle pas un seul mot de français jusqu’ à l’âge de 10 ans, puisse arriver aussi jeune et aussi rapidement au sommet, par la seule force de son caractère, de sa volonté et de son talent, est un formidable exemple d’intégration. Assurément il y a chez lui du « petit immigré déraciné et intégré » qui épouse totalement le sentiment national.

Une véritable déconstruction nationale

La déconstruction de notre histoire est rampante et les tenants de ces théories révisionnistes creusent lentement leurs sillons. Sans que personne réagisse. De plus en plus tournée vers la seule lecture culpabilisante du passé et cet éternel esprit de repentance, la France multiplie les lois mémorielles (loi Taubira 2001). Nos hommes politiques sont-ils à ce point désemparés devant les enjeux du présent et les perspectives d’avenir pour se déchirer ainsi sur le passé ? Ont-ils une si noire vision de la France, de son héritage et de ses valeurs qu’ils s’acharnent à salir le pays pour plaire à leurs clientèles communautaires ?

Un peuple que oublie son Histoire est un peuple perdu. « Ceux qui ne frissonnent pas à l’évocation du baptême de Clovis et de la fête de la fédération de 1790 ne comprendront jamais l’histoire de la France » a dit Marc Bloch. Il faut donc tout faire pour redynamiser l’apprentissage d’une Histoire avant tout faite par les hommes eux même. Il faut aussi savoir utiliser les immenses possibilités que nous offre le multimédia et les nouvelles technologies et cessé d’avoir une lecture culpabilisante du passé. Enfin il faut cesser ce que j’appelle la culture du dénigrement, spécialité des médias français, et bien comprendre que l’Histoire de notre pays est une des plus grandes histoires du monde et que tous les pays nous l’envient.

« Si tu veux marcher vers le futur retourne toujours à tes racines»

Machiavel

Dimitri Casali est Historien, spécialiste du Ier Empire, auteur d’une trentaine d’ouvrages.

C'EST PAS CROYABLE ! :ouch:

C'est Morsay qui sera content :

http://www.youtube.com/watch?v=6IPR2i6MWZE
La France se dirige encore plus vers la repentance éternelle ...

Yuyu
Niveau 10
21 juillet 2010 à 18:51:27

Enième dénie de démocratie :
http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/que-veulent-ils-nous-cacher-78739
On est habitué maintenant.

FriedrischHayek
Niveau 8
25 juillet 2010 à 12:36:18

La blague des "stress test" bancaires menés récemment :

Vendredi 23 juillet 2010

Brillant succès de la France aux « sleep tests » !

Comme on pouvait s’y attendre, nos banques européennes ont parfaitement réussi leur examen de passage des « stress tests » : 92% de réussite en Europe (84 banques sur 91), 100% de réussite en France…C'est encore mieux que notre bac (dont le taux de réussite finira aussi par approcher 100% à la suite d'"adaptations" et "harmonisations" répétées des programmes et barèmes de notation) !

Nous allons donc avoir droit dans les heures et jours à venir à de multiples articles, déclarations triomphantes de divers responsables politiques, sur le fait que les banques françaises font partie des tous meilleurs élèves.

Voyons quand même d’un peu plus près le barême de notation très « spécial » qui a été retenu pour ces tests.
Il figure dans ces deux pdf communiqués par la banque de France, qui sont de véritables chefs-d'oeuvre d'autosatisfaction : communiqué et annexe.

Le « scénario de stress » envisagé (censé évalué la résistance de notre système bancaire aux pires conditions) est le suivant :

1) PIB

Il a été envisagé une récession de 0,1% en 2011 en France après une croissance de 0,7% en 2010…Nous avons eu des chiffres de recul du PIB de –5 à –10% au cours de la première vague de la crise en cours. Mais visiblement pour les organisateurs du « sleep test », cela ne se produira plus jamais, et –0,1 % (c’est à dire une gentille stagnation économique) représente maintenant la pire chose qui puisse nous arriver. Vive la zen attitude !

2) taux de chômage

Dans le scénario du pire, il passerait de 10,2 à 10,5% (hausse de 0,3%). Ce taux de chômage a progressé de près de 2,5% en 2 ans, d’autres pays ont connu des hausses supérieures à 4%. Mais là aussi, cela ne se reproduira plus jamais au pays des sleep tests, le pire qui puisse nous arriver est maintenant une hausse de 0,3% !
Relaxez vous, respirez profondément, tout va bien.

3) Le meilleur de la farce à présent : les dettes souveraines.

Cette partie de l’examen avait pour but de vérifier que nos banques étaient capables de faire face à un gros problème sur la dette souveraine d’un ou plusieurs états européens.

L’exposition des banques aux dettes souveraines se décompose en deux parties : le portefeuille bancaire (82% du total environ pour les banques françaises) et le portefeuille de négociation (18% du total).
Premier tour de passe-passe de nos magiciens du sommeil : n’appliquer les décotes sur les dettes qu’à la partie « négociation » (soit moins de 1/5 de l’exposition réelle).
Second tour de passe-passe : limiter les décotes appliquées aux pays les plus exposés (Portugal, Espagne, Irlande, Pologne) à une fourchette de 10 à 15%, à l’exception de la Grèce (décote de 23%, ce qui reste très modéré).
Ces deux tours de passe-passe font que la décote réelle appliquée, si on prend en compte la totalité de l’exposition est de :

- 6% pour la Grèce
- 2,7% pour le Portugal
- 1,3% pour l’Espagne

Et il s’agit là des décotes censées être les plus dures.

Quelle personne ayant un minimum de bon sens pourrait croire que si un état venait à faire défaut sur sa dette souveraine, les créanciers ne subiraient qu’1 à 6% de pertes ? Dans le monde réel, les chiffres se situent plutôt entre 40 et 80%.

C’est pourtant cela bien que le « Comité européen des contrôleurs bancaires (CECB) » voudrait que nous croyions !

Un dernier point …il existe un « stress test » tout simple, que chacun peut faire sur sa banque, qui est bien plus sérieux que la comédie du CECB. C’est le leverage ratio. En situation de forte crise, presque tous les actifs des banques sont exposés à des pertes : les prêts aux entreprises, aux ménages, les dettes souveraines, les actifs boursiers…etc. Même les emprunteurs les plus solides peuvent faire défaut (près de 50% des saisies immobilières aux USA sont aujourd'hui le fait d'emprunteurs de la catégorie "prime" pourtant censée être la meilleure).
Nos banques européennes (et françaises) ont en moyenne un leverage ratio de 20 à 40 actuellement (certaines dépassent encore 50).
Un leverage ratio de 20 signifie qu’il suffit de 5% de pertes sur l’actif de la banque pour qu’elle n’ait plus de capitaux propres (faillite potentielle).
Un leverage ratio de 40 signifie qu’il suffit de 2,5% de pertes sur l’actif pour que les capitaux propres de la banque disparaissent.
Voilà ce qui constitue à mes yeux le vrai « stress-test ». Il montre que notre système bancaire dans son ensemble est totalement incapable de faire face à une situation de forte crise !

Bonne nuit à toutes et à tous grâce à la pilule du CECB…

http://tropicalbear.over-blog.com/article-brillant-succes-de-la-france-aux-sleep-tests-54365743-comments.html#anchorComment

Omboy
Niveau 10
25 juillet 2010 à 22:57:15

h16 est de retour :coeur:
http://h16free.com/2010/07/25/3707-lincroyable-conspiration
:rire:

Yuyu
Niveau 10
03 août 2010 à 08:00:30

Et y'en a encore pour s'étonner du fait que je considère Slate.fr comme une non source ? :sarcastic:
http://www.slate.fr/story/25609/boycott-artistes-israel
Le fait que ce site appartienne à un type comme Atalli ne présageait rien de bon.

Yuyu
Niveau 10
04 août 2010 à 18:35:18

Le Qatar finance la restauration d'une quarantaine d'Eglise et de monastère au Liban :
http://www.orthodoxie.com/2010/08/liban-le-qatar-finance-la-restauration-dune-quarantaine-de-monast%C3%A8res-et-%C3%A9glises-dans-le-sud.html

Yuyu
Niveau 10
08 août 2010 à 19:56:03

Y'a que moi qui utilise ce topic ou quoi ?^^
Article de Dupont Aignan sur l'Afghanistan :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/politiques-citoyens/article/le-debat-interdit-79263

anaxarete
Niveau 1
12 août 2010 à 14:01:30

tu n'es plus seul je suis la :p

La Grèce préfigure la Tiers-Mondialisation de l’Europe
Article placé le 26 juil 2010, par Julien Teil (Toulouse)

La cure d’austérité drastique à laquelle la Grèce est sommée de se soumettre trouve son modèle dans les politiques d’ajustement structurels qui ont été imposées par le FMI aux pays du sud après la crise de la dette déclenchée par la remontée des taux de la Fed en 1982, note l’économiste Bernard Conte. A l’époque, comme aujourd’hui, la véritable difficulté consistait à faire accepter aux peuples de supporter le coût de la crise. Mais depuis lors, les politiques permettant de faire passer ces purges amères ont été peaufinées, prévient-il, rappelant que l’OCDE a rédigé à toutes fins utiles un guide décrivant les stratégies à employer en de telles circonstances. On peut par exemple y lire que « si l’on diminue les dépenses de fonctionnement, il faut veiller à ne pas diminuer la quantité de service, quitte à ce que la qualité baisse. On peut réduire, par exemple, les crédits de fonctionnement aux écoles ou aux universités, mais il serait dangereux de restreindre le nombre d’élèves ou d’étudiants. Les familles réagiront violemment à un refus d’inscription de leurs enfants, mais non à une baisse graduelle de la qualité de l’enseignement. » Cela ne vous évoque rien ?

la suite ici http://www.mecanopolis.org/?p=18923

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