Chapitre 8 :
- Bravo messieurs.
- C’est surtout grâce à vous…
- Dite pas ça, j’aurai eu aucune chance seul.
BOAM
Je fis volte face, derrière le sas avait sauté, les Nécrons étaient passés, deux fois plus nombreux…
- Merde, vite prochaine zone !
- Oui chef !
Tous le monde fit demi tour pour se diriger vers la prochaine porte blindé.
- Sergent, vous m’entendez ? Sergent ! ?
- Oui chef… ils ont envahis le pont ! On s’est repliés dans la salle de stockage des vivres, mais maintenant je ne sais plus ce qui se passe…
- Vous êtes en sécurité ?
- Pour le moment… Ils sont en train d’essayer de passer, je sais pas si on tiendra longtemps.
- Tenez bon, ils sont combien sur le pont ?
- Je sais pas… une douzaine…
- Impossible de le reprendre maintenant, bon écoutez, restez cachés, je vais essayé de trouver le plus de volontaires possibles, après on viendra vous chercher, et on essayera d’aller jusqu’au pont, activer l’auto destruction.
- Vous êtes sur ?
- A ce stade, ça me paraît indispensable… Bonne chance…
Je m’en étais pas rendu compte, mais le temps que j’avais passé sur la radio était long. On avait passé la porte blindé, et refermé le sas.
- Bon… Vous m’avez sûrement entendus, on doit trouver le plus de soldats possible, ne perdons pas de temps…
On passa de nombreuses minutes, sas après sas, combats après combats, à cherche le plus de monde possible. Au bout de ½ heure, nous étions 15, au bout d’une heure, nous étions 19.
- On est largement assez, maintenant il faut se diriger vers la salle de stockage récupéré le dernier groupe.
- Ok chef, mais heu les munitions commencent à manquer…
- On va passer devant le l’armurie, pas de problème.
- Ok
- Bien, allez !
Après quelques longues traversés de couloir, on arriva dans la salle de repos.
- Mmh, je prendrais bien un café.
- Fermez la !
- …
- Bon, c’est sûrement truffé d’ennemis, alors on va balancer 3 grenade, ensuite on rentre et on tue tout ce qui est métallique et qui bouge. Soyez rapide, un canapé ne fera pas un bon couvert… 1… 2… 3 !
Trois soldats balancèrent tour à tour des grenades dans la pièce. Les trois explosions détruisirent plusieurs objets dans la pièce, et quand la fumée fut dissipé, tous le monde fonça en gueulant, tirant les boules d’énergie avec les Lashers. Les quelques Nécrons survivant ouvrirent également le feu, et seulement 1 soldat mourru.
- RAS !
- Bien, ne perdons pas de temps, l’armurie est juste à coté.
Je passai en tête et les gars me suivirent. On se retrouva de nouveau dans les couloirs, l’armurie n’était pas loin, mais des coups de feu se faisaient entendre.
- VITE !
Je passa à la vitesse supérieur, et une fois devant la grande allé qui joignait l’armurie, je vit des dizaines de Nécrons tirer dedans, et ils recevaient eux même des tirs de Pulsar. Donc c’était ou des commandos, ou des officiers.
- Chef, si ils continuent à tirer dans l’armurie, tout risque de sauter !
- Ouais, allez allez ! !!
Tous les monde fonça sur les Nécrons, on étaient sur leur flanc droit. A une bonne distance je m’agenouillai pour tirer plusieurs rafales, la moitié des ennemis se retournèrent vers nous et tombaient en même temps. Ils ouvrirent plusieurs fois le feu, et il y’eu les cris des morts, des Marines qui tombaient sous la puissance phénoménale des armes Nécrons. J’en tuai 4, mais ils ripostaient toujours, on faisaient pas le poids en terrain découvert. Mais maintenant seulement 2 Nécrons tiraient encore sur nous, et reculaient, l’un tomba, et l’autre se fit couper en deux par les tirs. Je pris le temps de regarder mieux devant moi, il y’avait 7 cadavres de Marines, et 4 encore debout, derrière il en restaient 8 debout.
- ATTENTION !
Le cris venait de l’armurie, soudain il y’eu une explosion, et des flammes jaillirent de l’entrée, réduisant en cendres les derniers Nécrons, maintenant les flammes se dirigeaient vers nous.
Les soldats criaient de panique et fuyait, mais elles étaient trop rapide. Je tendis les deux mains, et pensa à l’implant du souffle. J’avais déjà testé cette technique, mais pas sur autant de feu. Un mur de vent se dressa devant moi, et les flammes ralentires d’un coup, mais avançaient toujours. Je sentais mon énergie se vider effroyablement, je sentais perdre toute force, mais je devais tenir, il le fallait. Déjà malgré le vent, je sentait les flammes chaude, et l’odeur de chaire grillé des quatre Marines qui n’avaient eu le temps de fuir. Puis le feu repartis dans l’autre sens. Et je tombai pour m’endormir lentement…
< Quelques minutes plus tard>
- Commandant, hé ! Réveillez vous !
- Hein ? LE FEU !
- Calmez vous ! Vous nous avez sauvés ! Pas tous mais vous l’avez fait !
- Comment ça pas tous ?
- Bah, vous avez pris tellement d’air que deux Marines derrière sont morts étouffés…
- Oh merde…
- C’est pas grave… Bon pour l’armurie c’est mort.
- Non, prenez les chargeurs des cadavres derrière.
- Oui, y’en avait juste 9.
- Ca ira bien, allez on y va !
+
kel con ce grunt 
maintenant 
