Final Fantasy XII

Sorrow Je t'aiderais

Merci

Je poste juste pour te dire que tu as un nouveau lecteur (et sans doute beaucoup d'autre) et que j'attends la suite

Hey, faudrait ptêtre se reprendre là !
Ca fait deux / trois semaines que t'as rien foutu ! Bref, j'te pardonne si tu mets bientôt le chapitre 9 Pour résumer mon avis voilà ce que j'en dirai (pour l'instant je ne sais pas encore la longueur qu'aura mon post donc le résumé sera ptêtreu n pavé en fait, pour l'instant ça commence bien :$).

Donc, voilà, tu nous propulses dans Ivalice et tu nous mets en avant un personnage dont j'ai déjà oublié le nom. Le tout paraît un peu speed au début, tu décris assez bien dans l'ensemble l'action et tu poses un cadre assez clos (c'est la guerre et le désert en fait). Là où je suis plus réservé c'est sur les personnages, bien que la plupart soient morts, ceci dit, le rapport au cauchemar et au monde du rêve a l'air prépondérant et redonne de l'intérêt à cette hisytoire de guerre qui aurait pu être simplement banale.
Un passage qui m'a quand même dérangé c'est celui du premier meurtre. Le personnage enlève son casque et ce n'est pas de la haine qu'on lit mais de la peur. Bon, évidemment, ton but est de montrer à travers cela qu'on est poussé à faire la guerre et que c'est une horreur, ceci dit, bah c'est une image que l'on connaît depuis bien longtemps maintenant, les récits des Poilus de la guerre 14-18 pullulent sur ce rapport à l'Autre dans la guerre, dans l'horreur, dans le massacre. Donc c'est en ceci qu'il est délicat de faire ce genre de phases narratives, on tombe assez vite dans le cliché. Ca aurait été génial que tu décrives davantage la scène ou bien que tu l'allonges, en mettant bien en avant le côté initiation que comportait la scène.

Voilà, donc attention au cliché :$ Sinon, le tout se lit vite et bien, le rythme de l'action semble bien entretenu et on part dans les hautes sphères du rêve : où démarre la réalité et où s'arrête-t-elle ? Zodiac, Solar, Sagittaire tout ça, ont-ils réellement existé ? Le personnage ne souffre-t-il pas d'une multiplicatino de personnalités ? Nous le saurons peut-être un jour