Même chose que JVkay, sauf que je rajoute que certains passages étaiet un peu... rapides. Par exemple, le combat contre le kri-malka (t'as été cherché où ce magnifique nom?) n'a pas duré très longtemps...
Sinon, magnifique chapitre, tu t'améliores en tout, surtout au niveau suspens! Même si t'es pas à la hauteur de Stephen King, mais moi non plus, alors on passe...
Kri-Malka?Sa m'est venue comme après quelques minutes de réflexions.
Merci inco,sûr que je ne suis pas du niveau de SK,mais je suis à mon niveau et j'avance.
C'est quand la suite ?
En principe dans l'après midi
D'accord
Dans l'après-midi? JVB aurait-il repris confiance en lui? Ou alors... Tu n'es pas JVB! Qu'as-tu fait de lui? Avoue!
(Mode paranoïa ON)
Va sur le fofo ff4 et tu comprendra que je suis de retour.
Prochain chapitre vers 20h,car là,j'ai énormément écrie(je trouve),donc dans les alentours de 20h.
Ok d'ac
Désolé hugo.
Chapitre 14 : S’accrocher à la vie.
Galion courut avec désespoir dans l’espoir de trouver un abri et de l’aide. La pluie le ralentissait et sa vue commença à se brouiller car sa fatigue grandissait, mais il devait tenir bon, il parcourt la plaine infini et sombre. Les éclairs continuent leur concert macabre au point de rendre sourd quiconque les entend, menaçant également de foudroyer diverses choses. Gaël ne respira plus et Galion accéléra le rythme, déjà effréné, de sa course pour la survie d’un compagnon.
Soudain, après qu’un éclair jaillit devant les hommes, il vit comme une sorte de cabane, cabane qu’il s’empressa de rejoindre. Il fit un coup de pied en plein dans la porte pour l’ouvrir, il entra et mit Gaël au sol. Une femme se tint assis sur une petite chaise en marbre, regardant les deux hommes. Elle fut tout aussi surprise que Galion, leurs regards se croisèrent quelques secondes. Cette femme, aussi belle soit-elle, est criblée de cicatrices et n’a plus de jambes, ses yeux sont d’un envoûtement sans pareille, de quoi faire tomber un homme fou amoureux. De la gentillesse et de la compassion se dégage de cette perle.
Galion lui parla affolé et pressé :
Bonjour euh je suis vraiment désolé d’entrer ainsi dans votre maison, mais mon ami est sur le point de mourir, et dans l’espoir de trouver de l’aide je suis entré ici. Pourriez-vous m’aider à le sauver, madame ?
? Je suis Sylkâ. Je vais vous aider bien sûr, je m’y connais un peu en soin, ne vous en faites pas, nous allons sauver votre ami. Apporter moi ma trousse de soin et un seau d’eau s’il vous plaît. Il y a tout au pied de mon lit.
Galion : Tout de suite.
Il s’empressa d’apporter la trousse de soin à Sylkâ, elle l’ouvrit et prit une éponge et lava rapidement le corps de Gaël pour qu’il se rafraîchit, énormément de fumée se dégagea lorsque l’eau glissa sur le corps du pauvre homme. Elle commença à recoudre les plaies apparentes sur le torse et le dos. A chaque fois qu’elle reformer la peau, un petit rugissement s’échappa de la bouche de Gaël, preuve qu’il est encore en vie. Après avoir passé plus d’une demi-heure sur le torse, elle demanda à Galion de retourner Gaël mais très lentement et juste le mettre sur le côté, sinon il ne pourrait respirer. Galion le prit par les épaules et le tourna lentement. La jeune femme commença à recoudre le dos, la peau commença à se dessécher il fallait faire vite. Elle fit attention et plus d’une demi-heure plus tard c’était terminé. Galion le remit sur le dos et un petit soupir s’échappa de Gaël. Maintenant il fallait passer au nez, pour qu’il puisse respirer normalement. Elle prit un coton, et le mit dans la narine gauche, du sang noir coula à flot, elle prit un coton pour stopper l’hémorragie, quelques secondes plus tard elle enleva le coton, et recommença, tout ce sang…. après maintes reprises elle passa à la narine droite. Elle fit de même. Dès qu’elle eût fini, la jeune femme prit une serviette et la trempa dans l’eau, elle la passa dans chacune des narines pour lui nettoyer les voies respiratoires.
Sylkâ : À présent il faut le laver. Il y a un seau ici, tout ce dont vous aurez besoin sera à porté de seau, ne vous en faites pas.
Galion : Je ne sais comment vous remercier.
Sylkâ : Vous me remercierez quand il sera sain et sauf, contentez-vous de le laver. Il y a des vêtements propres ici, ils appartenaient à mon défunt mari, dès qu’il se réveillera il s’habillera de lui même.
Galion esquissa un sourire et il commença à déshabiller Gaël.
« Mon dieu, un homme qui lave un autre homme, mais bon, je me dois de le faire ! »
Quelques minutes plus tard, le lavage fut terminé. Galion prit une couverture que la jeune femme lui avait donnée et Gaël resta allongé, bloquer par cette douleur, mais son inertie sera vite terminé et il sera en pleine forme.
Sylkâ : Maintenant, il faut patienter, c’est à lui de combattre pour sa survie.
Galion ne dit rien, et resta dans ses pensées, ne pouvant rien dire.
« Je devrais la remercier comme il se doit, je me sentirais trop mal si je ne fait rien »
Galion : Comment vous remercier, j’insiste.
Sylkâ : Vous savez, ce n’est pas parce que l’on vous rend un service ou autre que vous devez vous sentir obligé de rendre la pareille. Pourquoi arpenter vous cette plaine ? Ou comptez vous vous rendre ?
Galion lui fit confiance et lui dit tout. Elle resta sans voix.
Sylkâ : A mon avis, le plus grand remerciement que vous pourriez me donner est celui d’amener cet homme jusqu’au lieu de rendez-vous. Rien n’est plus important qu’un ami et une amitié soudé et incassable. Quoiqu’il y a aussi l’amour, mais cela fait bien trop mal.
Galion : Très bien, je le ferai .Mais…… depuis combien de temps vivez vous ici ?
Sylkâ : Oh, ça doit bien faire 2 ans.
Galion : Mais dans une si petite cabane, avec un seau pour se laver, une couverture faisant office de lit et qu’un petit tiroir pour les vêtements, il me semble que vivre ici doit être un enfer.
Sylkâ : Vous savez, au bout de quelques jours vous prenez vite l’habitude de vivre comme ça.
Galion : Mais seule et sans jam …….veuillez m’excuser, je pose trop de questions.
Sylkâ : Ce n’est rien, j’ai fini par l’accepter.
Galion : Et pour la nourriture ?
Sylkâ : Je me nourri de pierre et de terre.
Galion : Mais c’est horrible ! Comment avez-vous pu en arriver là ?
Sylkâ : C’est la question que je me pose encore aujourd’hui :
C’était il y a 3 ans, avec mon mari nous vivions le bonheur complet, à Alfternheim dans la région de Lîm. Nous avions un enfant, je me rappelle, tout les soir nous étions allé sur le grand belvédère pour admirer le coucher du soleil, dès que la nuit tomba les lucioles sortaient de leurs cachettes pour nous éclairer dans les ténèbres que provoquer la nuit. Mon mari du nom de Hulmötar travailler très dur à la forge, ce n’était pas le meilleur, il lui arriver de faire des erreurs, cela arrive à tout le monde. Un jour, un homme nous prévint qu’un danger pouvait survenir à tout moments, puis il reparti. Je ne le cru pas, forcément, qui pourrait croire une chose de la sorte. Mon enfant qui s’appelait……. j’ai oublié son nom, avait 13 ans, il faisait ce qu’il voulait, il était têtu, une vraie bourrique. Mais je l’aimais, tout comme mon mari. Par une belle journée de printemps, un homme qui avait l’air louche vint à notre rencontre.
A suivre…..
Ze veux des commentaireuh
Bonne soirée
Super jvb
Désolé,heir j'avais pas accès à l'ordinateur(je regardais le prime des simpsons et à la fin,je pouvais pas aller sur l'ordi)
Et hier au lieu de heir
Merci hugo mais,c'est quoi qui est super dans le chapitre?
J'ai tout aimé si tu veux savoir
Ah
Bah................merci
de rien...
Bon, comme d'hab. Emploi du présent et du passé dans une même phrase (retiens ceci: tu ne dois utiliser le présent que dans les dialogues!)
Le passé simple est le temps de l'action et l'imparfait celui de la description. Ex de ton texte: "La pluie le ralentissait et sa vue commença à se brouiller car sa fatigue grandissait". Pourquoi as-tu mis "commença"? "commençait" aurait été mieux.
Phrase pas très belle. Par exemple, tu aurais pu tourner la phrase ci-dessus différemment. Comme ceci, par exemple: "La pluie le ralentissait et sa fatigue grandissante commençait à brouiller sa vue". Et encore, j'aurais pu mettre "La pluie qui martelait son corps meurtri et la fatigue grandissante le ralentissaient et commençaient à brouiller sa vue". Mais là, c'est un peu chipoter.
Sinon, la description de la fille aurait pu être mieux, mais elle est quand même très bien!
Je te mets 7/10 pour ce chapitre. Le gros de tes points vient du fait que, mis à part tes habituelles fautes, ce chapitre est très bien!
D'accord inconnu,merci