Wonder g essayé de la lire ma vite abandoné apré avir jeté un coup d´oeil a la première page
rab oui mais la première page si tu veux savoir, c´est 11 chapitres sur 14 ; de toute façon j´ai le projet de faire un remake que tu pourras suivre plus facilement
Laya au niveau du remake je suis motivé je risque en plus de changer pas mal de choses au niveau de l´écriture et peut être de modifier un ou plusieurs évènements
le personnage que je trouve "en trop" c´est Elian ; au début j´avais prévu 8 persos et depuis peu je me suis aperçu que c´était trop XD
Et le problème d´Elian c´est qu´il arrive tard et que l´usage que je voulais en faire, je ne veux plus le faire !
La méthode de la mort j´y ai pensé, mais je me suis dit autant faire un remake car ça me permettra de mieux développer les personnages sur le chapitres du début
Merci pour la critique du dessin ça m´a fait plaisir ( j´avais aussi remarqué pour les bras )
Si tout se passe bien j´essaye de sortir le chapitre 2eme partie demain
Et est ce kil repren la suite de TOS,sinon je vé pa la lire parce ke g pa encore fini le jeu
euh une suite lontaine, mais il y a pas mal de spoilers... Il faut la lire après avoir fini le jeu
Et mon PC rame à mort
XD j´ai eu un petit problème très zarb
ça m´a rajouté un "Et mon PC rame à mort"
Chapitre... en train de se terminer
Sortie... probablement dans une demi-heure
oui ça arrive, il sera peut être moins bien que d´autre parce que les chapitresde transition c´est toujours assez dur à écrire
Chapitre 14 : ManaCorp ( 2nde Partie )
Le laboratoire dans lequel ils étaient arrivés était tout ce qu’il y a de plus banal dans les bâtiments scientifiques. La pièce, de forme rectangulaire, était spacieuse. Au fond de la salle se trouvait une longue table, sur laquelle étaient posés en vrac des éprouvettes, des tubes à essai, des flacons remplis de toutes sortes de liquides ( plusieurs contenaient d’ailleurs du polycarbonate ) et de réchauds fonctionnant grâce à la magitechnologie ( l’énergie du mana permettait d’arriver à des températures beaucoup plus élevées qu’avec n’importe quelle autre source de chaleur ). C’était un laboratoire comme on en voyait beaucoup à Sybak.
Ce qui rendait la situation déroutante pour Koji, c’était la présence de l’un des scientifiques : un elfe aux cheveux blancs brillants et aux yeux indigos. Âgé d’environ quarante ans ( à l’échelle elfique ), il portait une longue blouse blanche, comme les deux chercheurs qui l’accompagnaient. Son regard luisait et on pouvait deviner qu’il avait l’esprit vif. Koji se jeta dans ses bras en prononçant : « Papa ! ». Il le retrouvait enfin, son père parti sans raison qu’il avait passé des mois à chercher sans avoir de nouvelles, son père qui l’avait abandonné. Le jeune elfe se dégagea brusquement de l’étreinte du scientifique apparemment très ému de le retrouver. Ce dernier le fixa d’un regard stupéfait.
« Je crois que tu me dois des explications » annonça Koji, avec un ton lourd de reproches.
Le savant continuait de dévisager son fils. Comme il avait changé en si peu de temps. Bon, au niveau du physique il avait juste un peu grandi, mais ce n’était pas très étonnant. Par contre, il devait avoir beaucoup mûri. Le scientifique sentait dans le ton peu chaleureux de Koji bien plus d’assurance qu’auparavant. Son fils était assez timide habituellement, et peu sûr de lui. Mais là, c’était différent. De plus, l’ancien Koji aurait demandé des réponses à ses questions, d’une voix un peu tremblotante comme il se laissait souvent dominer par ses sentiments. Là ; il les lui exigeait, et parlait d’un ton sec. Néanmoins, l’érudit était fier de son fils : prendre confiance en soi et s’endurcir un peu, c’était une bonne chose.
« Je t’ai demandé quelque chose ! » s’exclama Koji à son père perdu depuis un moment dans ses pensées.
Ce dernier retrouva un comportement plus normal et commença à expliquer :
« Je suis un employé de la ManaCorp, je…
- Ah je comprends ! le coupa Koji. Tous ces voyages, tous ces moments où tu partais « te balader ». C’était du bidon ! C’était pour le boulot ! Et tu ne me l’as jamais dit !
- Ça va. Calme toi, répliqua le scientifique. Alors premièrement, je ne me suis jamais opposé à l’idée de te dire la vérité. C’est ta mère qui a voulu garder le secret. »
Le jeune elfe pâlit…
« Maman ne voulait rien me dire, marmonna-t-il. Mais elle fait aussi partie de la ManaCorp ?
- Oui et non… Nous nous sommes en réalité rencontrés au sein de la ManaCorp. Au début nos relations ne dépassaient pas l’ordre professionnel, puis nous sommes tombés amoureux… Au moment de ta naissance, elle a abandonné ses fonctions pour s’occuper de toi.
- Et donc même si elle ne faisait plus partie de l’organisation, elle avait toujours sa part d’influence, déduit Koji. Mais ça n’explique pas pourquoi elle ne voulait rien me révéler.
- Pour la simple raison que tous les employés de la ManaCorp sont tenus au secret professionnel absolu. Il n’ont même pas le droit de dire s’il y travaillent. Vous voyez : la ManaCorp est très connue, mais pas ses membres, ni ses actions, ni ses objectifs : nous tenons à garder le secret pour ça. Je voulais faire exception pour toi, mais ta mère y était farouchement opposée. Tu la connais, toujours très pointilleuse au niveau des règles… »
Alvec s’éclaircit la gorge, puis intervint dans la conversation :
« Excusez-moi, mais si vous êtes tenus à ce secret professionnel, pourquoi Feth et Zoras nous ont-ils révélé leur identité.
- C’était prévu dans notre mission, expliqua Feth en enlevant son casque, découvrant une bonne masse de cheveux châtains. Notre supérieur a l’intention de vous dire tout sur la ManaCorp.
- Bon, merci pour le renseignement, dit Koji à l’adresse de Feth sans laisser le soin de répondre à Alvec. Mais je n’ai pas fini de demander des renseignements à mon père. Est-ce que maman est ici ? Et pourquoi toute cette absence ?!
- L’absence était involontaire…, répondit le savant d’une petite voix. Justement à cause de ta mère…
- Qu’est-ce que tu veux dire par là ?! » s’écria Koji.
L’elfe décida d’être un peu plus direct et prononça rapidement :
« Ta mère a été enlevée. »
Le teint, déjà pâle, du jeune elfe vira carrément au blanc.
« Pourquoi ?… »
Une larme coula le long de son visage.
« Je ne peux pas répondre à cette question, annonça le père ému lui aussi en se remémorant la disparition de sa femme. Tout ce que je peux te dire c’est que des désians l’ont enlevée au début de notre voyage. A proximité d’Yzoold, il y a maintenant soixante et un jours.
- Et tu n’as pas pu la protéger ?
- Non, je n’ai rien pu faire : j’étais parti chercher de l’eau à une source de montagne pendant qu’elle préparait le repas au bivouac. Au moment où je suis revenu, les désians s’en allaient avec elle, ils étaient déjà loin, j’ai essayé de courir pour les rattraper mais au plus profond de moi même je sentais que je n’y arriverais pas. »
Koji sécha les quelques larmes qui coulaient sur son visage et reprit un peu d’espoir.
« Qu’est-ce qu’on attend pour aller la sauver alors ? » lança-t-il.
Son père était très surpris ; il n’avait jamais vu son fils aussi intrépide !
« Désolé, dit-il d’une voix abattue, mais pour ça il faudrait réussir à s’infiltrer dans le QG désian de Fornius.
- Et alors ? On est déjà sorti d’un QG, ça ne doit pas être beaucoup plus difficile d’y entrer ! s’enthousiasma le jeune elfe.
« Non… Fornius utilise des systèmes de sécurité ultra-performants ; ça nous mettrait une éternité de nous infiltrer là-bas. »
Koji baissa la tête, il n’y avait donc aucune solution. Son père tenta tant bien que mal de le consoler.
« Ne perds pas espoir. Nous finirons bien par la délivrer, c’est juste une question de temps, crois-moi, moi aussi je voudrais aller la sauver, mais au final, ta mère et moi serions tous les deux morts. Il ne faut pas se précipiter, parfois il faut laisser le temps faire les choses à notre place… »
Koji fut plus où moins convaincu mais il comprit que le scientifique ne changerait pas d’avis. Les priorités n’étaient maintenant plus les mêmes ; il fallait en savoir plus sur cette fameuse organisation.
« Je pense que tu as raison. Mais parle-nous un peu de la ManaCorp. Qui êtes vous ? Et que faites vous ?
- Tu devras patienter un peu. Le soleil va bientôt se coucher, vous pourrez vous promener dans la ville. J’irais vous chercher pour le dîner où nous nous entretiendrons avec le dirigeant de la ManaCorp. Il éclaircira quelques mystères. »
L’elfe s’en voulait d’avoir été si désagréable avec son père ; il était déjà très heureux de le revoir et il avait trouvé le moyen de gâcher leurs retrouvailles, néanmoins il n’avait pas pu s’en empêcher, il avait été trop pessimiste sur le coup, maintenant c’était trop tard…
Koji se tourna vers ses compagnons de voyage auxquels il n’avait adressé aucun regard depuis qu’il s’entretenait avec son père.
« C’est pas si mal comme ça, hasarda Elian. Trop de révélations en si peu de temps, et on se serait facilement embrouillés. »
Tous hochèrent la tête en signe d’approbation et sortirent du laboratoire histoire de se dégourdir les jambes.
Les différents membres de la ManaCorp s’assurèrent qu’ils étaient suffisamment loin de leurs invités et entamèrent une conversation sérieuse.
« Vous envisagez vraiment de tout leur révéler, s’inquiéta Feth.
- Même les Manéens ? ajouta Zoras.
- Voyons… Restez calmes mes amis ! J’ai dit qu’on éclaircirait quelques mystères, ce n’est pas moi qui m’en chargerai d’ailleurs, mais notre chef… et je doute qu’il leur donne de nombreuses informations, expliqua le père de Koji.
- Ah… Je comprends maintenant, triompha Feth.
- C’est sûr que c’est très dur de comprendre ça » rétorqua son coéquipier.
L’espion préféra se taire plutôt que d’engager une nouvelle dispute. Après quelques secondes de silence, un scientifique en blouse blanche fit irruption dans la salle.
« M. Azumi ! On vous attend dans la salle de recherche.
- J’arrive tout de suite » répondit aimablement l’elfe.
Le scientifique qui était entré reprit son souffle, il avait couru pour retrouver son supérieur, puis accompagna la père de Koji jusqu’aux laboratoires privés de la ManaCorp.
Alvec et ses trois amis après être sortis du laboratoire, où il faisait une chaleur étouffante, traversèrent un des nombreux couloirs du campus et de l’académie impériale de recherche. Ils étaient bien éclairés pas les larges fenêtres le jour et par de nombreuses « lampes à mana ». Les lampes à mana possédaient une ampoule de forme sphérique et un dispositif magitechnologique qui séparait dans le mana ambiant le mana d’Efreet, et le diffusait dans l’ampoule. Le soir, ces éclairages diffusaient une lumière jaune-orangée. Les murs étaient, à l’intérieur, constitués de bois, mais la façade extérieure était métallique.
Le bâtiment avait été reconstruit 3000 ans auparavant, le roi trouvait qu’il était à l’époque trop petit pour répondre aux besoins de recherche magitechnologique.
Il se composait de quatre parties. La première, dans laquelle se trouvaient les jeunes gens, était également la plus vaste. La petite bande se trouvait au troisième et dernier étage de l’infrastructure et ils s’apprêtaient à prendre les escaliers. Au rez-de-chaussée, au premier et au second étage se trouvaient les salles de cours et de travaux pratiques de l’université de Sybak. Au dernier étage, se trouvaient les laboratoires de recherches basiques, c’est à dire l’étude des différentes substances ; c’était ici qu’on avait pu découvrir les propriétés du polycarbonate à l’état liquide.
Ensuite, la seconde construction, située à la droite de la première, et de forme cylindrique était réservé aux recherches sur le mana et les esprits originels : c’était le nouveau laboratoire de recherche élémentale ( celui de Meltokio n’existait plus ). Il était exclusivement métallique et comprenait huit vastes salles réparties sur le rez-de-chaussée et l’unique étage du bâtiment.
Placé en face de l’université, le troisième bâtiment était le plus grand. Ce gigantesque cube de métal était consacré à l’invention et au perfectionnement des différents moyens de transport ( ptéroplans, Aquajets, et même la téléportation ).
Enfin, face au laboratoire de recherche élémentale, et fermant le rectangle que le complexe formait, se trouvait le quatrième bâtiment : le plus mystérieux lieu de recherche du monde. Il était construit en bois, contrairement aux autres lieux de l’académie ; mais surtout, personne ne savait ce qu’on y faisait ; les gens qui y travaillaient étaient discrets et pas bavards pour un sou, il était impossible de leur extirper rien qu’une petite information…
Le petit groupe, lorsqu’il sortit de l’université ne prêta guère attention aux bâtiments scientifiques de l’académie et se dirigèrent vers la ville.
Sybak s’était beaucoup développée : la taille de la ville n’avait pas changé, mais le nombre de maisons s’était multiplié par cinq en mille ans ! Les architectures étaient plutôt tassées, mais la ville avait gardé son plan d’autrefois : toujours organisée autour d’une rue principale, où se trouvaient la grande bibliothèque, l’auberge du campus, les différentes boutiques, la petite forge et la taverne de la ville. Quelques ruelles s’étaient formées depuis mais elles ne modifiaient pas le fonctionnement de la cité ; elles restaient des lieux de second plan.
Le groupe passa sa fin d’après-midi à acheter quelques victuailles avec les flouz qui leur restaient à l’épicerie puis ils se dispersèrent un peu pour explorer la ville, chacun de son côté. Alvec fit un petit passage à la forge pour affûter la lame de son épée. Yena partit vers l’Institut Technologique pour acheter des tas d’objets magitechnologiques, ou plutôt « bidules bizarres » selon Elian qui l’accompagnait, tandis que Koji flânait simplement dans la ville pour se détendre, bouleversé par tous ces évènements qui s’enchaînaient à une vitesse incroyable… Ils s’étaient donnés rendez-vous devant l´entrée de l´académie de recherche impériale de la ville.
Ils arrivèrent presque en même temps mis à part Koji qui avait dix minutes de retard, ils attendirent encore un peu avant de voir Feth et Zoras qui allaient les chercher.
Les deux membres de la ManaCorp les conduisirent au quatrième et plus mystérieux bâtiment du complexe : il s´agissait en réalité du quartier général de l´organisation. Vu de près, l´édifice avait un air miteux avec ses murs en vieux bois, Feth poussa difficilement la porte qui s´ouvrit dans un grincement terrible...
L´intérieur du bâtiment se résumait à une pièce vide, au centre de laquelle se trouvait un dispositif de reconnaissance. Zoras posa sa main à l´emplacement prévu et, grâce à une réaction entre son Mana corporel et les capteurs présents sur l´objet, il fit apparaître un escalier en colimaçon. Ils descendirent trois étages et parcoururent un couloir déserté avant de se retrouver devant une vaste pièce : il s´agissait de la salle de réunion. Ils pénétrèrent à l´intérieur et s´assirent sur les six sièges qui n´étaient pas occupés. Autour de la table ronde étaient assis deux autres personnes : le père de Koji et un homme qui cherchait à se donner de la prestance : le chef de la ManaCorp. Il avait des cheveux blonds hirsutes et un petit bouc, pour un corps relativement imposant. Il semblait regarder chaque individu présent à la réunion de très haut...
« Bienvenue jeunes gens ! gronda-t-il. Après une très longue discussion avec les différents membres de premier plan de notre organisation, nous avons décidé de vous révéler quelques secrets que vous n´auriez jamais dû savoir ! »
L´homme était un bon orateur, il accompagnait son discours de gestes convaincants et avait prononcé ces derniers mots d´une forte voix.
« Cette petite séance sera très brève, je vous demanderais de ne pas m´interrompre, vous pourrez poser quelques questions, mais seulement ; je dis bien seulement, ... lorsque j´en aurais terminé. Ces questions ne devront porter que sur ce qui a été dit, vous ne pourrez pas vous arranger pour avoir une réponse plus précise. J´espère avoir été bien clair ! »
Il avait parlé avec sa voix tonitruante, et dans un ton qui n´acceptait aucun reproche. L’un après l’autre, il approuvèrent d’un mouvement de tête. Le dirigeant de la ManaCorp reprit la parole :
« Vous avez déjà, sans aucun doute, entendu parler de la ManaCorp. Comme vous le savez déjà, elle a joué un rôle capitale dans l’éradication des désians un millénaire auparavant. Après tous ces évènements notre monde est devenu stable, tranquille et prospère mais la ManaCorp a tout de même perduré. Il fallait toujours quelqu’un pour favoriser la prospérité de ce monde et écarter tous les dangers qui pouvaient nuire au fondement de Symphonia : l’arbre géant du Mana. Et il y en avait des dangers mais depuis très longtemps nous avons réussi à les surmonter sans aucun problème, nos agents reçoivent une excellente formation et chacun est un espion exceptionnel ! Nous sommes aussi parvenus à masquer ces dangers au peuple, pour qu’il garde un bon moral, mais maintenant, nous sommes dépassés… Les nouveaux désians sont nombreux et leurs chefs, comme l’Ancien d’Heimdall vous l’a dit, sont presque invincibles… »
« L’Ancien était donc de mèche avec la ManaCorp… » songea Alvec. C’était une évidence maintenant ! Il leur avait révélé peu d’informations, dans la perspective de cette réunion ! C’était aussi pour ça qu’ils les avait envoyés ici, pour rencontrer les membres de la ManaCorp ! Le jeune homme n’était pas content d’avoir été guidé de la sorte : l’Ancien aurait pu leur dire qu’ils allaient rencontrer les agents, au lieu de prétexter des actions à mener contre Etyon.
« Donc à l’heure actuelle notre travail est de contrecarrer les plans des désians, sans pouvoir pour autant s’attaquer à leurs dirigeants car les nains n’ont pas encore fini leurs recherches… Nous menons donc des actions dans chaque région du monde, sauf dans la partie qui est sous la tutelle de Fornius car il dispose d’une technologie surdéveloppée et des hommes de main très nombreux et toujours vigilant, de plus, il nous a pris de vitesse en prenant le contrôle de presque la totalité du territoire. Envoyer des agents là-bas serait synonyme de suicide ! Mais nous arrivons plus ou moins à contrecarrer les plans des autres cardinaux. Hélas, les nains m’ont depuis peu révélé un détail très important : « Les cinq cardinaux ne peuvent être vaincus que par ces jeunes gens qui se sont échappés du Q-G de Murda ». Il n’ont pas voulu l’expliquer, mais ils ont dit que vous, ou plutôt vos amis qui sont allées les voir, vous auriez des explications… »
Cette révélation figea de stupeur toute l’assemblée : le chef de la ManaCorp avait dû garder cette information pour lui-même jusqu’à ce jour et l’on pouvait dire que personne ne s’y attendait vraiment.
« Vous portez donc un lourd fardeau, pour votre jeune âge… Mais d’après mes informateurs, votre détermination est sans égal et vous avez apparemment beaucoup de capacités ! Nous avons donc pensé dans un premier temps que nous aurions pu unir nos forces avec vous mais finalement la solution qui m’a semblé être la meilleure est de continuer chacun de son côté. Evidemment, cela n’empêchera pas quelques actions communes… mais sans plus. Maintenant je pense qu’il est temps pour vous d’aller vers Ozette, si votre objectif est toujours d’essayer de bloquer Etyon dans sa conquête ; de toute façon, vos amis devraient être au rendez-vous lorsqu’ils en auront fini avec les nains. Maintenant, si vous n’avez pas compris quelque chose, ce dont je doute, vous pouvez poser une question, ensuite M.Azumi vous conduira a téléporteur. »
Le dirigeant de l’organisation avait été très clair dans son discours, qui, selon Alvec, n’était pas très révélateur. En effet, ils étaient apparemment les seuls à pouvoir vaincre les cardinaux, mais de toute façon, s’ils s’étaient lancés dans ce voyage, c’était justement pour vaincre ces cardinaux. Alvec aurait été très déçu de ne pas pouvoir les combattre, mais il s’était préparé à le faire. Cette révélation ne changeait finalement rien à leurs objectifs et à leur voyage !
Ils se levèrent et saluèrent poliment le chef de la ManaCorp, Feth et Zoras et suivirent le père de Koji dans un dédale de couloirs souterrains. Personne ne parla ; ils étaient tous plongés dans leurs pensées. Ils entrèrent dans une salle où se trouvait le plus gros téléporteur qu’ils avaient jamais vu : c’était un bijou de technologie, capable de réaliser des téléportations à grande échelle : il pouvait envoyer quelqu’un dans chaque ville du monde.
Ils l’empruntèrent à tour de rôle ; d’abord Elian, puis Yena, puis Alvec… Koji échangea un sourire avec son père qui lui souhaita bonne chance puis l’emprunta à son tour.
bon bonne ( et longue ) lecture
pas du tout
De toute façon tu devrais avoir de quoi commenter car ce chapitre n´est pas l´un de mes meilleurs.
Pour le remake, je m´y attaquerais peut être un peu aujourd´hui mais pour l´instant... je fais un petit break
peut-être mais bon il y a des fois où je suis satisfait de moi... et des fois où je ne le suis pas comme maintenant
toujours pas fini
Bon ce message s´adresse à tous ceux qui me lisent ou qui passent ici par hasard
Voilà je prévois de faire un remake de ma fic et je veux changer le nom du monde : je l´avais appelé Symphonia mais c´est comme ça dans presque toutes les fics je veux le renommer ; seul problème j´ai pas beaucoup d´idées à par Gloutonnia et Gargantua
Alors si par hasard vous auriez une idée dites le moi
Pitié répondez-moi
J´ai trouvé
Resania ( du latin resano : guérir^^ )
en fait au début je voulais former le nom autour de arbre en grec ancien mais j´ai pas de dico et je ne fais pas de grec alors j´ai feuilleté mon gaffiot au pif et je suis tombé sur ça
Sinon prochaine étape : pour le titre je pensais soit à faire une variante style : le Pouvoir de l´Anam ou à remettre mom titre et écrire remake (mais pas V2 ) ou encore à un autre titre : le Secret de l´Arbre.
Moi je penche plutôt pour la dernière solution, qu´en est-il de vous (lecteurs ou non lecteurs ça m´est égal )
euh c´est juste la 4ème version mais
- le premier remake il y avait très peu de modifications, on ne pouvais même pas l´appeler remake
- le second remake je n´ai changé que les 4 premiers chapitres, et c´était des petits changement ( plus de descriptions... mais aucun changement scénaristique )
Mais là je m´attaque à des changements bien plus importants : un vrai remake en gros
vos amis qui sont allées les voir
faute!
Amis, c´est masculin pluriel
vos amis qui sont allés les voir