Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban

en fait j´ai fait ça parce-que j´en ai marre des fics qui commencent toujours par " Harry était seul dans sa chambre. Ce soir-là il devait avoir 17 ans. Il entendit un bruit à la fenêtre. trois hiboux se tenaient là. il ouvrit les lettres. C´était ses amis qui lui souhaiteaient un bon anniversaire..." je trouve que c´est toujours pareil, et c´est c***** à la longue...

Ecris ta fic sans te soucier de celles des autres
( quoi que je peux parler moi )

devant l´enthousiasme délirant qu´a suscité le début de ma fic, je me voit dans l´obligation de mettre la suite !
( même si certains ne la lisent pas, je ne vise personne ne particulier, j´aimerais avoir quelques commentaires)...

Harry redressa la tête et regarda sa tante. Comment avait-elle pu lui cacher cela? Il s´agissait de sa vie, et toutes les personnes qui connaissaient la vérité s´étaient appliquées à la lui cacher. Dumbledore avait attendu cinq ans pour lui révéler l´existence de la prophétie, et maintenant, il apprenait que sa tante avait fait de même avec cette lettre.
Depuis qu´il était revenu à Privet Drive, il n´avait cessé de penser à Sirius. Mais sa tristesse et sa colère avaient peu à peu laissé place à un autre sentiment, indéfinissable.
Lui, Harry, constituait le seul espoir des sorciers de voir la fin de Voldemort. S´il échouait, plus rien n´empêcherait le mage noir de devenir tout puissant. Bien sûr, il y aurait de la résistance, mais personne ne serait capable de le tuer définitivement. Harry avait essayé d´analyser ce sentiment, mais il n´avait pu lui donner de nom. Il était certain que celui-ci contenait une part de fierté, cette fierté que l´on ressent quand on nous confie une tache importante, impliquant une grande responsabilité. Mais il y avait autre chose que le jeune homme ne parvenait pas à définir. Ce n´était pas tout-à-fait de la peur. C´était une sorte d´excitation, de tension permanente qui ne baissait jamais. Harry se demandait également s´il aurait préféré que Neville soit à sa place. Cela aurait été un immense soulagement, mais il ne supportait pas l´idée que la souffrance qu´il éprouvait en ce moment soit reportée sur un autre. En fait, il préférait souffrir lui-même que voir les autres souffrir. C´était ce trait de caractère qui l´avait poussé à se rendre au département des mystères ce jour là. Il n´avait pas supporté de voir souffrir son parrain.

Tu décris très bien les sentiments de Harry, continue comme ça !

merci

bon allez, je vais manger
je reviendrais en fin d´après-midi je pense

Très bonne suite continue comme sa Snapy !

Ok j´attends la suite avec impatience !

le début est bien mais voyons si ça continue dans cette lignée

oui ses trés bien je voudrai la suite et vite stp

Merci pour ces commentaires
je mets la suite dans 2 min

Perdu dans ses pensées, Harry ne vit pas la larme couler le long de la joue de sa tante, toujours debout devant lui. Quand il s´aperçut qu´elle pleurait, il pris conscience du combat quelle avait du mener contre elle-même tout au long de sa vie. Jalouse de l´attention qu´on portait à sa sœur, si belle, si douée, elle avait laissé la haine l´envahir et n´avait pas senti l´amour qu´elle avait pour elle.
Maintenant qu´elle voyait son neveu, avec une si lourde tache à accomplir, elle comprenait qu´elle ne l´avait pas élevé comme elle aurait du.
" Je voudrais que tu nous pardonnes pour ce que nous t´avons fait subir, ton oncle et moi." dit-elle. " Nous ne nous étions pas rendu compte de ce que tu avais à accomplir."
-"De toute façon, ça n´aurait rien changé" répondit Harry, " Et je n´ai pas l´intention de vous pardonner aussi facilement, maintenant, si tu veux bien, je vais aller prendre l´air".
La tante Pétunia s´écarta pour laisser passer Harry, un mélange de tristesse, d´anxiété, mais également de reproche dans le regard. Certes, elle n´avait pas traité ce gamin comme elle aurait du, mais cela ne l´autorisait pas à lui parler comme ça. Se rendant compte que ce qu´elle venait de dire, qu´elle venait de demander pardon à ce morveux, elle se ressaisit et se promit " d´oublier" de préparer le repas de Harry ce soir là.
Mais Harry était trop bouleversé pour se rendre compte de l´état d´esprit de sa tante, et franchement, il avait d´autres choses à penser. Ce qu´il venait d´apprendre n´était certes, pas nouveaux, mais cela remuait en lui des tas de souvenirs qu´il s´était efforcer de refouler tout au long de l´été.
Il descendit les escaliers en sautant une marche sur deux et sortit de la maison en claquant la porte. Il sauta par dessus le muret du jardin et se retrouva dans la rue.
Il marchait de plus en plus vite, ne sachant pas très bien où il allait. Mais peu lui importait, il voulait fuir, oublier. Il aperçut au loin la bande de voyous servant d´amis à son cousin. S´il l´avait pu, il aurait volontiers été voir ce qu´ils faisaient pour se changer les idées, mais une main s´était plaquée sur sa bouche et l´avait tiré derrière une haie.

Qui le tire derrière une haie ?

La suite stp ! !!

anonymous59 Posté le 26 octobre 2004 à 19:01:32

Qui le tire derrière une haie ?

Comme si j´allais te le dire

J´attends d´autres commentaires pour mettre la suite.

Vu comment le forum est aujourd´hui...

ouai

vu que ano a l´air d´être la seule personne présente, je lui mets une suite et je vais manger. Je reviendrais peut-être plus tard...

-"C´est bon lâche-le" dit une voix que Harry connaissait bien. George Weasley se tenait devant lui et il devinait facilement la présence de son frère jumeau qui venait de retirer sa main de la bouche de Harry.
-"On est venu voir comment tu allais. On n´avait rien à faire, alors on a décidé de te rendre une petite visite surprise". Remis de sa surprise, Harry remarqua que les deux frères étaient vêtus de vestes en cuir noir flambant neuves avec des pantalons assortis.
-"Je vois que le magasin tourne toujours aussi bien" déclara-t-il
-"On ne se plaint pas. Mais le problème n´est pas notre magasin, mais toi. Ca fait trois jours qu´on n´a pas eu de tes nouvelles." répondit Fred les sourcils froncés.
-"J´allais écrire ce soir." répliqua Harry, sentant sa mauvaise humeur revenir. " Et de toutes façons, ce n´est pas à vous que je dois écrire, mais à l´ordre."
Cette fois ci, ce fut George qui fronça les sourcils :
-"Il va falloir que l´on mette quelques petites choses au point jeune homme. Premièrement, nous n´y sommes pour rien si tu as des soucis en ce moment et je te prierais de passer ta mauvaise humeur sur quelqu´un d´autre. Ensuite, nous sommes maintenant membres de l´ordre du phénix, alors fait attention à ce que tu dis…Bon, on a aussi quelque chose pour toi" ajouta-t-il en sortant une grande enveloppe de sa poche. " C´est de la part de Dumbledore. Il nous a dit de te la donner, mais on ne sait pas ce que c´est. Il vaut peut-être mieux que tu l´ouvres plus tard, chez toi…"
-"Ce n´est pas chez moi" répondit Harry en prenant tout de même la lettre. Il commençait à en avoir assez de recevoir des nouvelles de Dumbledore uniquement par lettres. Si c´était tellement important, il n´avait qu´a venir le lui dire lui-même. Mais peut-être qu´il n´osait pas, comme pour la prophétie...
Fred semblait avoir deviné ce qui se passait dans la tête de Harry car il ajouta :
-"Dumbledore fait ce qu´il pense être le mieux pour toi Harry, il est possible qu´il se trompe, mais l´expérience nous a montré qu´il avait souvent raison."
-"Bon, maintenant que l´essentiel est fait, que dirais-tu d´aller enquiquiner l´énorme membre de ta famille qui se trouve à 100 mètres d´ici ? " reprit George sur une note un peu plus joyeuse qui lui allait beaucoup mieux d´après Harry. Celui-ci, un peu honteux de s´être emporté se rappela l´idée qu´il avait eu juste avant l´intervention des jumeaux et acquiesça avec un sourire un peu forcé, mais sincère.

Excellent !