Peut-être pas transcender la vitesse de la lumière (qui semble être une limite physique insacre bleuable), mais utiliser des plis de l'espace-temps, ou trous-de-verre, pour "court-circuiter" les distances. Jean-Pierre Petit a travaillé sur ces théories-là, en s'inspirant des Lettres Ummites, fort intéressant... Pour ce qui est de Billy Meier, je ne connais pas le personnage mais je compte me renseigner par curiosité.
Voici une explication en anglais du voyage temporel :
http://meiersaken.info/Time_Travel.html
Ces explications me dépassent mais c'est écrit dans le même livre où il décrit de manière très précise des décennies à l'avance la disparition des dinosaures.
Je cite http://billymeiertraductionsfr.blogspot.fr/2017/01/confirmations-scientifiques-3.html :
S) Dans le livre Existentes Leben im Universum (publié en 1978), Billy Meier décrit la fin des dinosaures, tués par une comète de 11 300 m de diamètre frappant la terre et créant un cratère de 200 km environ. Il en donne les détails : La température serait montée de 27°c puis retombée à -32°c par rapport aux températures habituelles à cause de la poussière de l'atmosphère. Les dinosaures seraient donc morts de froid. Le cycle aurait duré près de 342 ans.
source
http://theyfly.com/gaia/toutatis.htm
Leben im Universum (Existing Life in the Universe), pp. 180-183 Copyright 1978
The first comet of this system was several times larger in diameter measuring 11,300 meters, as declared by the Plejarans, and hurried 1.2 million kilometers ahead of the smaller ones. It follows that around 66 million years ago, the giant entered into the direct orbit of Earth and plunged down into it, specifically in the still young and shallow Atlantic. The impact tore a crater around 200 kilometers in diameter and about 1,500 meters deep in the ocean floor. Through the violent energy of the impact, the comet was vaporized, as well as 120,000 cubic kilometers of water and rock from the ocean and the Earth mantel. Rock fragments, dust, molten rock, and immense quantities of steam were ejected into the atmosphere, while simultaneously, primeval tidal waves as well as fire and storm waves broke out and the entire Earth shifted over. The whole planet shuddered, and new and dormant volcanos erupted and produced a veritable inferno. Within only nine months, the Earthly atmosphere was saturated in a world-encompassing form through the gigantic masses of steam and highly ejected dust and soot particles in such a way that a powerful greenhouse effect developed. The temperature rapidly climbed about 27 degrees Celsius, and again cooled off to about 32 degrees Celsius lower than the temperature prior to the impact of the comet. The planetary temperature rise and subsequent temperature plunge was not the only aftermath of this catastrophe. The masses of steam and the dust and soot particles, which circulated in the atmosphere, grossly reduced the solar radiation and effected a global, incessant night and darkness lasting 342 years. There arose acid rains that destroyed much on the Earth right up to the buds, stemming from all the filth in the atmosphere.
These spoken of events were the reason the dinosaurs died out on the Earth as well as all animal life that weighed more than 36 Kilos (75 lbs.). Countless microscopic life was also destroyed in the waters and sandbanks, as well as manifold plant life on land and in water. The acidity of the acid rains also destroyed the plankton in the seas and other waters, as well as certain types of rocks and deposits of lime. The food chain of those creatures, that was dependent on the plankton nutritionally, was also destroyed by the death of the plankton and other diverse vegetable life-forms. The same also happened in the animal-world: Many types perished because of the eternal darkness and drop in climate, while others subsequently starved because their food-source, lower animals through which they had nourished themselves, had died.
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En 2013, on a bien étalbi qu'une météorite d'environ 10 km de diamètre a frappé la terre il y a 66 millions d'années :
La chute d'une météorite de près de dix kilomètres de diamètre au Mexique a été l'une des causes de l'extinction des dinosaures il y a 66 millions d'années, selon une nouvelle étude publiée dans la revue américaine "Science".
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L'extinction des dinosaures avait été liée la première fois à la chute d'un astéroïde ou d'une comète en 1980 par le professeur de science planétaire de l'université de Berkeley Luis Alvarez, aujourd'hui décédé, et son fils Walter. L'impact a formé un cratère, appelé Chicxulub, de 177 kilomètres de largeur dans les Caraïbes au large des côtes du Mexique.
source
http://www.lemonde.fr/sciences/article/2013/02/07/la-chute-d-un-meteorite-a-bien-ete-fatale-aux-dinosaures_1828886_1650684.html
L'impact de la météorite aurait bien activé les éruptions volcaniques :
"Un demi million d’années pour récupérer"
Selon les géophysiciens, l’impact de la météorite géante a changé la "plomberie" des volcans ce qui a profondément modifié la chimie et la fréquence des éruptions qui ont duré très longtemps, retardant ainsi la ré-émergence de la vie animale et végétale pendant 500 000 ans comme en témoigne l’absence de fossiles datant de cette période d’un grand nombre d’animaux terrestres et de petites créatures marines.
"Le scénario que nous suggérons selon lequel l’impact de la météorite a provoqué une plus grande intensité de l’activité volcanique permet de réconcilier ce qui paraissait jusqu’alors être une coïncidence incroyable", pointe pour sa part Mark Richards, professeur de géophysique à l’Université de Californie à Berkeley, un des principaux co-auteurs de cette recherche. Il avait été le premier à proposer cette hypothèse.
source
http://www.sudouest.fr/2015/10/02/une-nouvelle-theorie-pour-enfin-expliquer-la-disparition-des-dinosaures-2142290-4725.php
Science 02 Oct 2015
State shift in Deccan volcanism at the Cretaceous-Paleogene boundary, possibly induced by impact
Making an impact in more ways than one
Massive eruptions formed the Deccan Traps flood basalts in India at around the same time as the mass extinction event 65 million years ago. Renne et al. precisely dated the massive volcanic field, which suggests a simultaneous increase in volcanism associated with the famous Chicxulub impact. Strong ecologic recovery may have been impossible until the volcanism slowed down 500,000 years later.
Abstract
Bolide impact and flood volcanism compete as leading candidates for the cause of terminal-Cretaceous mass extinctions. High-precision 40Ar/39Ar data indicate that these two mechanisms may be genetically related, and neither can be considered in isolation. The existing Deccan Traps magmatic system underwent a state shift approximately coincident with the Chicxulub impact and the terminal-Cretaceous mass extinctions, after which ~70% of the Traps' total volume was extruded in more massive and more episodic eruptions. Initiation of this new regime occurred within ~50,000 years of the impact, which is consistent with transient effects of impact-induced seismic energy. Postextinction recovery of marine ecosystems was probably suppressed until after the accelerated volcanism waned.
source
http://science.sciencemag.org/content/350/6256/76
En janvier 2017, un papier d'une équipe de chercheurs allemands établit par une simulation climatique que les dinosaures sont morts de froids suite à une baisse de température de plus de 26°c qui aura duré au moins 30 ans.
Abstract :
Sixty-six million years ago, the end-Cretaceous mass extinction ended the reign of the dinosaurs. Flood basalt eruptions and an asteroid impact are widely discussed causes, yet their contributions
remain debated. Modeling the environmental changes after the Chicxulub impact can shed light on this question. Existing studies, however, focused on the effect of dust or used one-dimensional, noncoupled atmosphere models. Here we explore the longer-lasting cooling due to sulfate aerosols using a coupled climate model. Depending on aerosol stratospheric residence time, global annual mean surface air temperature decreased by at least 26 ∘C, with 3 to 16 years subfreezing temperatures and a recovery time larger than 30 years. The surface cooling triggered vigorous ocean mixing which could have resulted in a plankton bloom due to upwelling of nutrients. These dramatic environmental changes suggest a pivotal role of the impact in the end-Cretaceous extinction.
source
http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/2016GL072241/abstract
Tout ceci n'est pas neuf. Une étude publiée dans Science en 1980 expliquait déjà que le manque de Soleil avait provoqué une réaction en chaîne: disparition des plantes, des herbivores et donc des carnivores. Mais jusqu'ici, la plupart des études se focalisaient sur l'effet des poussières uniquement, sans l'associer à des modèles climatiques. Or les poussières n'auraient pas pu, à elles seules, provoquer le changement constaté par les relevés scientifiques.
C'est pour résoudre ce problème que des chercheurs allemands ont tenté, pour la première fois, d'associer l'impact de la météorite à un modèle de simulation du climat. Leur étude, publiée dans les Geophysical Research Letters et repérée par Le Monde, décrit particulièrement les différents "aérosols" propulsés dans l'atmosphère à l'occasion de cette mauvaise rencontre orbitale. Elle apporte un éclairage nouveau sur ses effets à long terme.
Les chercheurs expliquent qu'en plus des poussières catapultées dans l'atmosphère, 100 gigatonnes de soufre ont provoqué une sorte de "bouclier réflecteur" durable. Cela a empêché, dans un premier temps, plus de 98 % des rayons du Soleil d'atteindre le sol.
source
http://www.lexpress.fr/actualite/sciences/l-asteroide-qui-a-tue-les-dinosaures-a-provoque-une-chute-de-temperature-de-26-c_1872141.html
Non seulement les plantes sont presque entièrement privées de leur source d’énergie mais, comme le révèle l’étude, la conséquence principale de ce blocage presque total de la lumière solaire est un refroidissement sévère et persistant pendant des années, voire des décennies suivant les scénarios retenus. Suivant le plus sévère, qui prévoit que les aérosols à base de soufre résident une dizaine d’années dans la stratosphère, la température perd 34°C, passant, en moyenne, de près de 19°C à -15°C. Dans l’hypothèse la moins rude, privilégiée par les auteurs de l’étude, la chute est tout de même de 27°C et la Terre se retrouve sous le point de congélation pendant quelques années. La banquise voit sa surface multipliée par six, ce qui a pour conséquence d’augmenter l’albédo de la planète, c’est-à-dire sa capacité à renvoyer les rayons solaires vers l’espace puisqu’ils sont réfléchis par les glaces. Il y a là une sorte de cercle vicieux inverse de celui que nous vivons actuellement avec le réchauffement climatique, qui, en faisant fondre la banquise, réduit l’albedo de la planète et alimente encore plus son réchauffement…
source
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2017/01/23/les-dinosaures-sont-morts-de-froid/
Je vous rappelle que des scientifiques aujourd'hui postulent que la vitesse de la lumière diminue. Je rappelle aussi que les contacts Ummites pourraient très bien être écrits pas des services secrets comme le pense Gildas Bourdais :
http://bourdais.blogspot.fr/2010/04/ummo-controverses.html
Alors que les milliers de pages écrites par Billy Meier ne proviennent que de lui (et qu'il n'est semble t-il pas allé au-delà de la 5e et qu'il a commencé à écrire et se faire connaître vers 40 ans).
