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Chapitre second : Un craquement sourd, did you say ?
« *Crac ! * », entendit Likou. D’où est-ce que ça venait, bon sang ? Selehn sortit du local avant que prévu. Il se promena dans les couloirs… Devant la salle des professeurs, un autre craquement, comme un verre qui aurait explosé suite à un choc si violent. Il regarda par la serrure… quand un troisième craquement et un cri assez aigu se fit entendre…
« Un concours de chant ? Il n’y a que le cristal qui peut se faire fissurer par une voix si grave ! », se murmura Likou… d’un air ironique. Stupidité de prof, de s’amuser à briser des verres en cristal coûtant certes la peau des bras, mais chacun a le droit de s’amuser !
L’étudiant retourna donc finaliser son travail au local de science. Lorsqu’il passa devant le local de chimie, assez isolé, il entendit des murmures étranges. Il alla les écouter, au cas où… D’un coup d’œil discret, il ne vit… personne ! Il entra dans la salle, dans un silence d’assassin… Les bruits continuèrent jusqu’à ce qu’un cri d’agonie se fit entendre ! Selehn sortit de la salle, d’une dose d’adrénaline. Il retourna à ses anciennes occupations…
Quelques minutes plus tard, le travail était enfin fini ! Un scalpel de forme irrégulière à celle habituelle traînait dans le pupitre du professeur. En le testant, l’idiot se coupa au bras. « Aïe ! Ne jamais faire confiance à son instinct. Allons chercher du désinfectant… », Hurla-t-il. Il n’y avait rien dans le local, bien sûr. Le saignement se faisait de plus en plus fort. Il fallait aller en chercher à l’infirmerie. Toujours rien, l’institut se faisait d’un silence mortel. Il ne restait plus qu’à aller chercher dans le local de chimie, d’où provenaient ces bruits étranges… L’hémorragie, elle, devenait vraiment inquiétante, comme si quelque chose empêchait la coagulation…
Toujours aussi courts...
Et pour yannichou, pour qu'il me fasse plus ch... avec ça:
J'ai lu ton chapitre !
T'es sûr que tu as lu?
Ce n'est pas parce que mon prof de français me croit pas quand je dis la vérité que tu dois faire pareil.
Merci pour avoir achevé Michel, mon chéri.
Je te ferai lire mon chapitre à moi avant post officiel, tu vas en jouir de plaisir (et peut-être même en gicler ).
hors de question, je le lirais seulement quand tu l'aura posté
Ok.
It's my turn! Mwa ha... J'ai presque fini mes chéris!
dépêche
Chapitre 3 : L’affrontement
Tyson courut le long du couloir devant et se retrouva dans un grand réfectoire, comme celle d’une cafétéria. Un grand réfectoire blanc, avec une vingtaine de tables et trois plus de chaises. Un comptoir se trouvait au fond à droite, et on y voyait deux cuisinettes électriques derrière. Des colonnes grises soutenaient la fondation de la pièce.
«C’est pas vrai… ces porcs bouffent dans la pièce à côté de cette boucherie ! Vociféra le monstre. Bon, où se trouve ce connard d’Albert ?
-Je suis là, mon fils… Fit une voix.»
Albert sortit de derrière une colonne, ses lèvres exprimant un rictus déplaisant, probablement tout comme ses yeux, éternellement cachés par ses lunettes fumées.
«Que me veux-tu ? Questionna Wesker, très calme.
-Je veux ta peau, sale enfoiré ! Hurla Tyson. Regarde ce que tu m’as fait !
-Quoi, tu n’aimes pas la puissance, mon fils ? Demanda Albert.
-NON ! Remet moi comme avant ! Vociféra le monstre.
-Je suis désolé, mais le processus est irréversible ! Ricana le père de Tyson.
-Alors… CRÈVE ! Hurla Tyson.»
Le monstre lança ses deux épées vers Wesker qui ne bougeait pas. Mais, au dernier moment, il fit un pas de côté, à la vitesse de l’éclair, et se saisit des lames dans ses mains.
«I… Impossible ! S’exclama Tyson, effaré.
-Tu croyais vraiment que je ne prendrais pas de précautions avec toi ? Tu es pathétique… Tu me fais vomir ! Fit Albert.»
Wesker tira un bon coup sur les épées et le monstre fut attiré presque immédiatement à lui. Tyson reçu un solide coup de genou dans l’estomac de la part de son père avant de se faire saisir par la gorge et jeté dans une colonne de la cafétéria. Cependant, le monstre eut le réflexe d’envoyer l’une de ses têtes mordre le bras d’Albert qui fut emporté dans l’élan. Lorsque Tyson frappa la colonne, il propulsa son père au plafond et il frappa de plein fouet l’une des lumières du réfectoire avant de tomber lourdement au sol. Le monstre, pour sa part, finit sa course dans un mur et y laissa un trou d’environ 50 centimètres.
Tyson ressortit aussitôt du mur et se mit à regarder autour de lui. Albert s’était volatilisé.
«Mais c’est pas vrai… qu’est-ce qu’il s’est injecté, lui ? Vociféra le monstre. Une triple dose de stéroïdes ?»
À peine eut-il finit sa phrase que Tyson reçu une balle de magnum dans l’une de ses têtes qui explosa presque instantanément. Le monstre rugit de douleur avant de tomber à genou et de regarder au dessus de sa tête. Wesker était là, accroché par les pieds au plafond. Tyson envoya ses épées à l’assaut, mais l’humain était trop rapide et esquiva sans trop de problèmes avant de tirer une balle dans le poitrail de sa création. Une giclée de sang noir coula de nouveau et le monstre recula en hurlant. Énervé, il cracha avec ses 3 têtes restantes une longue ligne de feu qui prit Wesker par surprise par sa vitesse. L’homme évita de justesse et dû éteindre son bras rapidement, car il vit avec horreur les blessures de son monstre se refermer et la tête explosée repousser.
Le feu avait cependant atteint quelques tables de la cafétéria et il commençait à se répandre, lui et sa chaleur étouffante.
Tyson profita de la surprise de son père pour renvoyer ses épées au loin. Wesker les esquiva sans trop de problèmes, mais le monstre les fit dévier et revient non pas dans le dos, mais le câble les retenant s’enroulèrent autour de l’humain, pris au piège. Tyson l’envoya tout d’abord fracasser une partie du plafond, pour le faire s’écraser dans une table pour finalement l’envoyer défoncer une colonne de béton et s’écraser au mur.
Wesker se releva péniblement et dit : «J’avais pourtant dit à mes chercheurs de ne pas te mettre à pleine puissance tant que je ne te contrôlerais pas !
-Tu connais les scientifiques, non ? Ricana Tyson. Ils n’écoutent jamais ce qu’on leur dit.»
C’est alors que des deux portes entrèrent une quinzaine d’hommes armées jusqu’aux dents et bien protégés. Ne voulant pas trop se risquer, Tyson prit la retraite en défonçant le plafond.
Quelques étages plus hauts, il atteignit une salle avec pleins de bocaux comme lui, pleins de spécimens. Il les libéra, un après l’autre les zombies, les lickers et autres créatures en tout genre avant de fracasser des éprouvettes, portant l’étiquette «VIRUS-T». Puis, il fracassa les ordinateurs et vit alors une chose qui le rendit presque malade.
Wesker et ses hommes avaient enlevé une fillette d’au maximum 8 ans pour faire des recherches. N’écoutant que son cœur d’adolescent il la libéra en fracassant la vitre.
La petite fille, toute vêtu de rouge, aux yeux noirs perçant le regarda et dit : «Tu… m’as libéré ? Pourquoi ?
-Parce que tu es comme moi… Répondit simplement Tyson.»
Puis, il prit de la hauteur et se mit à parler et tout les zombies et créatures, y comprit la fillette, se mirent à l’écouter. «Autrefois, c’était les humains qui nous traitaient comme des chiens ! Aujourd’hui, montrez leur leurs erreurs ! Sortez et faites ce que bon vous semble !»
Puis, Tyson continua sa remontée, en riant d’un rire sadique.
raaaah j'avais demandé de pas y toucher
normalement la fillette n'était pas sencée avoir un rapport avec umbrella
c'est déja mieux
Roh, je viens de lui donner un sens à sa vie, à la petite, contente toi!
Et pis j'aime ton chap Likou!
ouais mais là ça gaffe un bonne partie de mon histoire
c'est bon trouvé la solution au problème
Merci mon Yannichou chéri.
J'ai déjà fait le 4ème, il est encore plus méchant avec ce cher michel, comme quoi ça fait du bien au corps, au mental et à l'inspiration de le taper pour l'honneur d'une mignone brunette (chatin très clairs) aux yeux bleus.
Prochanie étape:
Vous connaissez la chanson de Pink Floyd "Another brick in the wall?", ben ça sera: "A michel in the wall."
Chaud l'humour de prof
Toujours aussi tordu mon p'tit Damien...