la suite est dans la page 11, et la suite de cette suite sera pour bientos
Atton tournoyait tranquillement une carte de Pazzak entre ces doigts, l’Exilé s’approcha de lui et entendis des algorithmes mathématiques en répétition dans son esprit, le contrebandier avait l’air calme et serein, et c’est justement cela le problème.
- Vous m’aviez dit que vous êtes déjà venus sur Nar Shadda n’est ce pas Atton ?
- Exactement !
- J’ai rencontré justement une personne qui prétend vous connaître.
- Ah ouais ? dit Atton froidement, et il vous a dit que je lui devais peut être des crédits.
- Non ! dit Den gravement, il dit que vous n’êtes pas Atton et que vous étiez arrivé avec les réfugiés durant la guerre civile.
- Je suis Atton, répondit le contrebandier nerveusement, et je vous signale que sans moi vous serez encore bloqué sur Peragus.
- Personne ne prétend le contraire.
- Je croyais vous avoir dit de ne pas me poser de questions doc.
- Ce ne sont que des questions légitimes ! dit Den les yeux brillants, de la part d’un amis qui veut vous connaître.
- Moi mon rôle c’est de descendre des gens riens de plus ! dit Atton froidement, ça vous va ?
- Pour quoi Atton ? dit Den durement, amitié et confiance vous sont étrangères ? Pour quoi croyez vous que j’ai respecter votre silence tout ce temps ?
- Qu’est ce que ça peut me foutre ! dit Atton méchamment.
Den regarda le contrebandier droit dans les yeux puis tourna froidement le dos et fis quelque pas, Atton fous de rage lui barra la route :
- De quel droit vous osez me juger doc ? Hein ? De quel droit vous me posez des questions sur moi ou sur mon passé ?
- Posez moi des question sur le miens alors, dit Den gravement.
- Comment vous avez fait pour vivre avec tout ces morts sur la conscience ? dit il avec un sourire moqueur, sur Malachor 5 vous avez tout éradiquer sur votre passage n’est ce pas ?
- Oui et je déplore les morts des deux cotés.
- Quand vous êtes revenus au conseil vous vouliez être exécuter n’est ce pas ? Avouez le !
- ça ne c’est pas passer comme ça.
- Pour quoi vous n’étiez pas rester avec Revan ? demande Atton froidement.
- Pour quoi faire ? dit Den gravement, en tuer d’autre ? Trahir ceux en qui j’ai prêté sermon de protéger contre les Mandaloriens ?
- Laissez moi vous dire une chose doc ! Tous ces Jedi mort dans la guerre civile, ils n’ont eu ce qu’ils méritaient, et la république n’en valait pas moins plus.
- Pour quoi dites vous cela ?
- J’étais soldat doc ! Raconte Atton, et je faisais partie du cent treizième escadrons sous les ordres du général Tarep, et j’ai pris part a l’expédition sur Duro sous le commandement de Revan et Malak, bien peu de Jedi ont rejoins l’armée et beaucoup de soldat étaient tuer, mais nous avions réussi a reprendre Duro, mais le cauchemar ne faisait que commencer.
- Atton ! dit Den ahuris.
- Quand Tarep envoya un message de détresse au conseil Jedi, ils ont refusé de nous aider, et le résultat, Eres III fut brûlé et les incendies ont ravagé toute la planète forestière, et sans compter aussi l’expédition de Venjagga, j’ai y entendus parler vous savez ? Quand la pauvre Cariaga Sin fut tuer et que le général Den Orion prit le commandement du légendaire cent vingt septième escadron et réussi a conquérir tout le système sans demander de renfort, même Revan était impressionner, et je ne parle pas non plus de ces Jedi minable qui ne faisaient que nous regarder crever, il y avait de quoi les haïre.
- Et que c’est il passer ensuite ?
- Après Malachor 5 j’ai tourné le dos a la république et j’ai rejoins les Sith, c’est la moindre des choses qu’ont pouvaient faire pour Revan après nous avoir donner la victoire, surtout que Revan disposait d’une grande puissance politique avec les officiers qui étaient rester avec lui. Mon Hallan, Saul Karath, le général Derred, tout les héros de la guerre le suivait, sauf le général Orion qui était retourné à Coruscant, à l’époque je vous ai traité de lâche.
- Et vous avez combattus à la guerre civile ! Conclut l’Exilé.
- Ouais ! dit Atton avec lassitude, j’avais pour mission de capturer des Jedi vivants et de les torturer jusqu´à ce qu’il accepte la vision de Revan, et ont prétend qu’un Jedi est invincible, il suffisait de les droguer et de les torturer, personne ne réussissait a tenir avec mes méthodes d’interrogatoire, j’étais douée pour ça, et sans parler de mes capacités d’infiltrations, les pauvres ne savaient même pas que j’étais dans les parages, mais un jour j’ai mis les voiles, j’en avez assez de cette vie.
Den poussa un soupire et regarda le contrebandier attentivement.
- Bah voila ! dit il avec un doux sourire, c’était pas la mer a boire.
- Mais doc ! Protesta Atton, j’ai tuer des Jedi et j’ai trahis beaucoup de gens, comment vous allez me regarder après ce que je vous ai dit ?
- A coté de moi vous êtes un enfant de cœur, répondis Den, mon score de tuerie dépasse largement le votre et je n’ai pas le droit de vous juger quel que soient vos actes.
- Mais vous ne savez pas tout.
- Cela me suffit mon amis, dit Den en posant une main affectueuse sur son épaule, vous êtes le pilote de l’Ebon Hawk, et je vous aime biens.
Atton regarda l’exilé avec gratitude, c’était un grand type, un peu téméraire mais un sacré bonhomme, il ce sentait léger maintenant.
« L’enfoiré ! dit il tout heureux, moi qui pensait que jamais tu me pardonnerais et que t’allais me virer ; doc ! T’es une bête ».
- Merci Atton ! dit Den gentiment.
- Chutta ! J’ai arrêté de compter, dit Atton les larmes aux yeux.
L’exilé donna une bonne accolade a Atton, le contrebandier pleura et serra son meilleur amis avec ardeur, cette fois il le protégera jusqu’au bout, il en fais le sermon, et Kreia peut aller ce faire voir.
- Mon vrais nom est Zayne ! dit Atton avec émotion, Zayne Carrick !
Bao Dur avait finis de bricoler le droïde rouge, il devait admettre que son créateur était un vrai génie, ça conception était singulière et son système de fonctionnement encore plus complexe, il irait même a supposer que les droïdes Krath ne feraient pas le poids a coté de lui, et maintenant qu’il est prêt, le général pourra l’activer facilement.
Le Zabrak leva brusquement les yeux, il y avait quelqu’un derrière lui, ces sens étaient en alerte maximum et l’étranger est un type dangereux, à en juger par ces paisibles battements de cœur.
- lieutenant et chef du corps des ingénieurs du cent vingt septième escadrons ! dit une vois sensuelle, le tout puissant Bao Dur.
Le Zabrak aperçus une silhouette adossée contre le mur d’entrer du garage, elle portait une combinaison noire moulante comme celle des commandos d’élite, l’étrangère avait des cheveux noirs comme ceux de Visas mais avec de petite mèches blondes nouées, une peau brune, et des yeux humides et glacials, elle s’avançait vers lui doucement, pas a pas, avec un sourire vide de toute chaleurs humaines, dénouée de sentiments comme un spectre des enfers, Bao Dur fronça les sourcilles, comment oublier cette femme ?
- Toi ! dit le Zabrak en colère, je te connais ! Tu étais capitaine du corps des éclaireurs sur Onderon, toute ton escouade c’est fait massacrés et toi tu as survécus et t’as organiser un mouvement de résistance qui reprit la mission que le général Orion t’a donné, localiser la base pour une attaque en surface, et désactiver les boucliers planétaires.
Bao Dur sortis sa hache et lourde et désigna l’intruse avec son arme.
- Lisa Hesse ! dit il gravement, capitaine du corps des éclaireurs sur Dxun, et chef d’infanterie sur Vendaxa ; a l’époque je ne comprenais jamais pour quoi le général t’accorder ça confiance. Toi ! Avec t’es méthodes cruelle, tu n’épargnais personne au combat, et tu exécutais froidement t’es prisonniers de guerre.
Lisa éclata d’un rire diabolique, elle était amusé a souhait, Bao Dur sentis un frisson lui parcourir l’échine, cette femme possède une froideur digne d’un seigneur Sith, et l’assurance qu’elle affichait la rendait encore plus dangereuse.
- Un Morgukaï m’avait dit un jour, dit elle amusé, qu’ils me haïssent, pourvus qu’ils me craignent, dix années ont suffit pour te ramollir mon beau, quand je pense que personne ne pouvait te battre au corps a corps, tu étais le meilleur d’entre nous, a la fois savant et guerrier, tu faisais la fierté de ta race. Dix ans, ça fait juste deux mots, mais ces années ont été longues à vivre.
- Suffisamment longues pour que quelqu’un puisse devenir encore plus pourri, quand je pense que le général te tenait en estime, car avant tu avais une force indescriptible en toi, quand tu commençais un combat, tu te battais à la loyale, mais cette femme que je vois devant moi, n’est pas une guerrière, mais un assassins sans âme et sans cœur ! dit Bao dur en levant son arme.
- L’assassin connaît mieux la force guerrière de ces ennemies, répliqua Lisa en souriant, devenirs un simple mécanicien t’a affaiblie.
- La force d’un mécanicien est suffisante pour protéger mes proches, dit Bao Dur froidement, je n’ai plus besoins d’être soldat pour être fort.
- Si c’est le cas ! Laisses moi te dire que t’a échouer, dit Lisa moqueuse, pendant que tu bricolais ici, j’ai observer attentivement l’exilé, et j’ai tirer sur lui avec un fusil Blaster a lunette, et le résultat a dépasser toute mes espérances, le général est suffisamment fort pour ce protéger lui-même, par contre, cette Mandalorienne que tu appelles petite sœur, ce trouvait en plein dans ma ligne de mire.
- Tu n’as quand même pas………… ?!
- Rassure toi je n’étais pas d’humeur a tuer, mais ce sera différend quand je t’aurais tuer ici, vois tu ! J’ai un cœur mon chérie, une fois mort, elle te rejoindra dans l’autre monde.
Bao Dur jeta son arme et ce mit directement en position de K’thri, Lisa amusé leva ces main adopta la position du K’tara. Un art martial utilisé par les Forces Spéciales, le K´tara était rapide et mortel: il s´agissait d´infliger le maximum de dommage à son ennemi (voire le tuer) en faisant le minimum de bruit. Les mouvements étaient rapides et par des gestes précis. L´attaquant effectuait ainsi plusieurs prises entre les épaules de son ennemi et ses hanches. Ainsi, un combattant expérimenté pouvait en quelques secondes désarmer son ennemi, le rendre inconscient sans attirer un tant soit peu l´attention, Lisa était un vrai maître dans cette discipline, et le Zabrak le savait parfaitement, sans crier gare les deux combattants s’élancèrent au combat avec des coups de poings dévastateurs, Lisa fut étonner de voir que l’Iridonniens n’avait pas du tout changé, il avait toujours cette force prodigieuse, et sans parler de sa capacité a contrôler son rythme cardiaque, Lisa bloquait et contre attaquait, Bao Dur évitait les coups et enchaîna des doubles coups de pieds en l’air que la jeune femme évita avec justesse, puis elle donna un rapide coup de poing dans sa poitrine mais le Zabrak encaissa vigoureusement, Lisa décida de jouer sa stratégie préféré, elle sauta sur lui, et l’embrassa goulûment sur la bouche, Bao Dur surpris, relâcha sa garde, Lisa donna rapidement un violent coup tranchant sur sa nuque, le Zabrak s’effondra et la jeune femme sortis enfin son Blaster et pointa le canon de son arme entre ces deux yeux.
- Les mecs sont tous pareilles ! dit elle amusé, baraqués et stupide, si je pouvais en dire des Zabraks.
Lisa essuya sa bouche et crache par terre.
- Tu vas me dire maintenant ou est l’exilé où sinon………
- Ou sinon quoi ? dit une vois froide derrière elle.
Lisa sentis brusquement une lame d’un poignard glisser sur sa gorge, et regardant doucement par-dessus son épaule, elle aperçus une jeune femme au un voile rouge avec les yeux bandées, comment elle a fait pour s’approcher d’elle sans qu’elle sente sa présence.
- Si tu bouges un muscle, menace la Miraluka, je te tranche la tête.
- Il ce passe quoi ici ? demande Hobby en arrivant au courant.
Lisa aperçus le général qui arrivait avec Atton et la servante, il portait toujours son brassard dans le bras et la jeune femme sentis une émotions violente déchirer sa poitrine, il était la ! A quelque pas d’elle, c’était son général, son supérieur, un des rares hommes qu’elle respecte au plus haut point, il avait toujours ce visage grave et paisible, et cette sensation de sérénité encore plus chaude qu’avant, le pouvoir de Den parcourait son corps telle une aura protectrice et la jeune femme s’avança vers lui et ce mit en garde a vous.
- Capitaine Lisa Hesse sous vos ordres mon général !
- Repos soldat ! répondit Den gentiment.
Lisa avait toujours traiter les hommes comme des jouets, idiots et facile a manipuler, pareille au tous et pourtant l’homme qui ce tenait en face d’elle était biens étrange, elle n’avait aucun pouvoir sur lui, il faisait partis des hommes véritable comme son fiancé défunt, ou comme un anciens amis disparus.
- Les années ont laisser peu de marques dur vous mon général.
- Vous le croyez vraiment ? dit Den avec un triste sourire.
Lisa fronça les sourcilles mais n’insista pas.
- Puis je vous avouez que vos beau yeux bleus illuminent ce vaisseau ? dit elle avec un sourire angélique.
Den sourit amusé, Lisa n’a pas changé d’un pouce, toujours aussi séductrice que jamais, mais néanmoins ce compliment lui réchauffa le cœur, Atton poussa un soupire ennuyer, la servante regardait l’étrangère soupçonneuse, et Visas planta froidement le poignard dans l’établis puis ce dirigea vers ces appartements sous les regards surpris des autres, Lisa ce pencha vers Den et murmura tout doucement sur son oreille.
- Elle me déteste !
- Vous vouliez me parler ? dit Den gravement.
- En privée mon général ! Puis en regardant Bao Dur ; a charge a revanche mon beau.
Le Zabrak baissa les yeux et serra le poing mécanique, Hobby lui prit doucement la main.
- Quand tu voudras ! dit il tout bas.
Lisa marchait a coté de Den, ils étaient a quelque mètres de l’Ebon Hawk, la nuit était plus éclatante que jamais, et les lumières de Nar Shadaa ressemblaient a des étoiles terrestres.
- Nous vivons vraiment dans une fausse paix, dit Lisa gravement , les troubles ne cessent de grandir partout dans la galaxie.
- Vous ne m’apprenez riens de nouveau, répondit Den, j’ai vue le secteur des réfugiés.
- Ce n’est riens comparé a ce que la république endure chaque jours.
- Riens comparé a la république ? dit Den froidement, ces gens meurent chaque jours sous l’oppression de l’Echange, comment dites vous des chose pareilles ?
Lisa affronta le regard du général sereinement.
- Ce sera plus pire mon général ! Vous ignorez que beaucoup de systèmes ont quitter la république après la fin de la guerre civile, ils estiment qu’ils n’ont riens a gagner avec un gouvernement qui n’a pas sue garder la paix dans leur protectorats, le sénat est a moitié vide, d’ici trois ans au plus la république chutera.
- Que fait le gouvernement ?
- L’administration du chancelier fut dissoute, et l’amiral Dodonna prit le commandement et déclara la loi martiale, et de ce pas, tout les anciens corps d’armes des guerres Mandaloriennes furent reformés, parmi eux le célèbre Cent vingt septième escadron.
- Pour qu’elle raison ?
- Trois puissances réclament la place du chancelier suprême, le système Corelliens, le consortium Hapes, et l’alliance Bothan, tous ont mit leur flottes de combats en état de guerre, et sans parler d’une vive hostilité entre Dodonna et ces trois partis qui risque de conduire a une autre guerre civile.
- Dont la république et les Sith seront l’arbitre !
- Sa me dégoûte autant que vous mon général, dit Lisa écoeuré.
- Qu’envisage Dodonna ?
- L’amiral a tout essayer, mais les trois puissance refusent d’entendre raison ,et c’en fiche éperdument de la menace Sith , et sont même prêt a employer la force, les autre mondes c’en fiche éperdument, leur seuls soucis est de reconstruire leur planètes loin de tous.
- Qui leur en voudraient ! Ironisa l’exilé.
- Le projet restauration était l’unique moyen de regagner confiance en l’opinion publique, mais avec la destruction de Peragus, et Onderon qui connaît en ce moment une grande crise politique, les chose sont de pire en pire.
- Quelle est votre mission capitaine ?
- Je fais partie des services secrets Alpha Blue, mon général ! dit Lisa gravement, ma mission est d’assassiner les bosses de la Czerka dans huit systèmes, le projet restauration ne dois en aucun cas échouer.
- Assassiner ! dit Den gravement, c’es très mal d’employer ce terme devant un médecin capitaine !
- Je suis nettoyeuse mon général, dit Lisa gravement, et mon rôle dans cette galaxie, est de la nettoyer de ces puces, un soldat reste un soldat, et une tueuse reste une tueuse.
Den resta silencieux, et la jeune femme regarda son ancien supérieur attentivement, le général semblait méditer les paroles de Lisa.
- L’amiral Dodonna souhaite que vous repreniez le commandement du cent vingt septième, cette armée est toujours rester votre, et la république a grondement besoins d’un Jedi avec elle.
- Je dois malheureusement décliner cette offre capitaine, dit Den a regret, je dois rapidement retrouver les derniers Jedi restants, et si possible, organiser rapidement un conseil Jedi extraordinaire, mais par contre, je verrais ce que je peux faire pour le carburant.
- Et ensuite ?
- Ensuite ont verra.
Lisa afficha un sourire au coin, elle ne sait pas comment, mais elle est rassuré, l’exilé est toujours un allier de la république, et reste un atout majeur dans leur efforts pour la reconstruire.
- Chutta ! dit elle amusé.
- Pour quoi ? dit Den surpris.
- Il faut dire que je n’ai pas de chance avec les mecs ! j’en rencontre toujours des idiots, mais pour une fois que j’en vois un qui me plait, il ce trouve qu’il est déjà pris, c’est la deuxième fois que ça m’arrive.
Lisa regarda Den avec des yeux brillants, l’exilé vit la jeune femme s’approcher doucement de lui, ces lèvres n’étaient qu’à quelques centimètres des siens.
- Elle a raison de vous aimer mon général ! dit elle chargé d’émotions, vous êtes un brave type.
- Capitaine je………
- Chut ! dit elle en posant le doigt sur sa bouche, ne dites plus riens.
Lisa embrassa tendrement l’exilé sur la bouche, mais ce n’était qu’un frôlement de lèvres qui n’a durer que quelque secondes, puis la jeune femme partie sans ce retourner, elle ne voulait pas croiser son regard, sinon elle risquerait de chavirer, sur son chemins, elle aperçus Bao Dur adossé contre le mur, les bras croisés, en passant a coté de lui :
- Veilles sur lui ! Ordonne-t-elle froidement, un gars de sa trompe ne coure pas les rues de nos jours.
- Je suis assez biens placé pour le savoir ! réplique le Zabrak.
- Heureusement pour toi, car je te garantie que si jamais il lui arrivait malheur tu serais ma prochaine cible.
- Je m’en réjouis d’avance ! dit Bao Dur amusé.
Lisa sourit a son tours et continua son chemin.
(voila! je l´ai mis dans la page 12 acr je crois que personne ne la lue a la 11) a la prochaine
Hobby examina attentivement le droïde HK, Bao Dur l’avait terminé et était parfaitement opérationnel, la fillette aperçus une poussière dans sa nuque, en l’essuyant avec un chiffon huilé, le droïde se redressa soudainement et ces yeux s’illuminèrent d’une couleur écarlate. Hobby fit une grimace ; oh la la ! Bao Dur va lui arracher les yeux, qu’est ce qui lui a prit de poser ces mains sur cette chose.
De son coté, HK47 examina les alentours et scanna l’Ebon Hawk de fond en comble, il y avait sept personnes a bord, ainsi qu’un droïde mécaniciens, en voyant Hobby qui le regardait effrayer, il fit une gracieuse révérence.
- Stupéfaction ! Il me faut avouer que je n’ai jamais eu de sac a viande a la fleur de l’age comme maître ! Mais consolation ! Je présume que c’est vous qui avait accomplis ces brillantes réparations, ce qui fait de vous mon nouveau maître, mes plus plates félicitations.
- Hé mais attends une minute ! s’écria Hobby horrifié.
- Déclaration ! Je présume que l’Ebon Hawk à subit aussi des réparations. Satisfaction ! Vous êtes vraiment un génie maître !
- Mais je n’ai riens fais moi !
- Impression ! Votre modestie me touche énormément maître, et mes circuits ont hâte de retrouver mon programme d’assassinat pour vous satisfaire au mieux, et cela en remerciement de vos soins.
- Programme d’assassinat ? dit Hobby horrifié, tu es un droïde assassins ?
- Etonnement ! Maître si vous voulez je pourrais torturer vos ennemies en leur arrachant les yeux ou la moelle épinière, ou tout simplement en leur broyant leur tibias avec mes mains délicates, le choix vous appartiens.
Hobby avait envie de crier de rage, mais qui est l’imbécile qui a inventé cette calamité ambulante, a cet instant, Bao Dur entra au garage avec Den et ceux-ci affichèrent une grande surprise en voyant HK47 avec Hobby.
- Bao ! Je peux tout expliquer, dit elle tremblante.
- Je peux savoir ce que t’a encore fait comme bêtise ? Gronda le Zabrak furieux.
- C’est pas ma faute je te le jure ! Supplia Hobby, je voulais nettoyer une poussière et il c’est réveiller.
- Tu ne crois pas que c’est un peu banale comme excuse ? dit il avec un air de biais.
- Intervention ! Je constate que ce Zabrak vous manque de respect maître, dois je le buter ?
- Ta gueule ! s’écria Hobby folle de rage.
Den eu un sourire crispé, Hobby et HK47 formaient un drôle de couple.
- Tu sais ce que tu vas faire ? dit Bao Dur froidement, tu vas tout simplement terminer toute seule sa programmation.
- Quoi ?! Dit elle scandalisé, mais ces programmes sont de vrais chie en nid de Mynock, et sans parler de les décrypter un par un.
- Sans blague ! dit le Zabrak avec un sourire moqueur, ou c’est marquer que c’est mon problème.
- Mais Bao………
- Il n’y a pas de Bao ! Coupa froidement le Zabrak, ce droïde est désormais sous t’a responsabilité.
- Est-ce que au moins T3 M4 pourrait m’aider ? Propose-t-elle avec une toute petite vois.
- Absolument pas ! Dit il sévèrement.
- Affirmation ! Biens que je suis désormais sous votre responsabilité, j’exige être traiter correctement et avec honneur, ainsi je pourrais effectuer mes fonctions d’assassinat avec efficacité.
- Je crois que je vais attraper la crise ! dit elle tout bas.
ouf bao est pas de bonne humeur aujourd hui
"attraper la crise"??? c´est l´équivalent de faire une crise???
Désolé de la question qui peut paraître stupide mais j´ai besoin d´un éclaircissement.
bof vous n´avez pas trouvé de meilleurs questions!?ce jeune homme a toute l´encyclopédie de l´univers de STAR WARS dans sa tête essayez de lui poser des questions sur le sujet et pas des questions sur la langue ou l´ortographe.
attrapper la crise, c´est en language cool, c´est tout,c´est une expression qu´emploie souvant ma fiancée quand elle est en rogne, je me suis un peu inspirer d´elle et elle m´en remercie
ok, pardon pour la question.
andryl_fury: pas la peine de t´emporter, certaines tournure de phrase peuvent être incomprise et moi je préfère demander que de dire j´ai comprit alors que se n´est pas le cas.
Atton c’était écroulé de fatigue sur son siége de pilote, cette journée était vraiment riche en émotions, et le contrebandier en profita pour faire un somme, mais durant une heure, son visage ce crispa et sa respiration s’accéléra a un rythme infernal. Envahis par une angoisse terrible, elle ce mit a trembler de peur.
Il voyait Den hurler de douleur puis succomber gravement de ces blessures, a ces cotés Bao Dur et la servante qui tentaient désespérément de le sauver.
- Den ! Hurla une vois mystérieuse ; Den non pas ça !
Atton ce cabra et ouvrit les yeux subitement, ce n’était qu’un cauchemar, mais il semblait tellement réel. Le contrebandier secoua la tête et regarda autour de lui comme pour ce rappeler la réalité, un curieux sentiment d’angoisse l’envahis, comme sur Peragus avant que le doc n’affronte le cadavre vivant de Sion, mais cette fois, c’était plus intense, et tout ces sens étaient en alerte maximum.
Il n’existait qu’un seul moyens d’en avoir le cœur net, il ce dirigea a grande enjambé dans les appartements de Kreia, la vieille seule pouvait lui donner une explication concrète.
- Que voulez vous ? demande Kreia avec une froideur de marbre.
- Vous dire que j’ai tout déballer au doc ! répondit Atton sur le même ton, alors finis les menaces et les chantages ! Vous et moi ont en restent la.
- Il vous a pardonné ? Ou simplement ignoré vos crimes ?
- La n’est pas la question et je ne suis pas ici pour ça seulement, j’ai fais un rêve et j’ai vue le doc mourir.
- Un rêve ? dit elle sceptique.
- C’était réel ! Insista le contrebandier, ça ressemblait à mon instinct de danger, mais c’était plus intense, comme si j’avais eu une……………
- Une prémonition ! Coupa Kreia gravement, comme je le soupçonnais vous avez bel et biens une sensibilité avec la force et elle c’est manifester quand vous avez dévoiler votre lourd passé a l’exilé, le blocage que vous effectuez inconsciemment sur vous-même c’est brisé, et c’est la que votre potentiel c’est réveiller, quand vous avez accepter votre passé et commencé a regarder vers l’avenir. Etrange ! dit elle gravement, avoir une prémonition sans même avoir appris a canaliser la force montre que votre sensibilité est biens plus puissante que je le pensais.
- La ont parlent du doc qui va peut être y rester, répliqua Atton froidement, comment faire pour que ça n’arrive pas.
- Ont ne peut changer l’avenir ! dit elle avec sagesse, ce qui va ce passer ce passera, et riens de ce que vous ferez n’y changera.
- Mais c’est votre apprenti qui va mourir ! Cria-t-il indigné, avez-vous vraiment un cœur vieille femme ?
- Je ne m’attache jamais à mes élèves, dit elle avec un calme qui fit frissonner le contrebandier, je connais déjà son avenir, et j’ai une vue plus grande du futur que vos rêves stupides.
- Et dire que vous prétendez être son mentor, dit il écœuré, vous voulez qu’ont restent la les bras croisé, tandis que le doc aille ce faire pendre ailleurs c’est ça ?
- Pour quoi croyez vous que je désapprouvais ces actes de charité ? Demande Kreia avec une vois étrange, en l’exilé coule un pouvoir biens plus puissant que vous ne l’imaginez, et les Jedi n’ont jamais comprit pour quoi ces compagnons et padawan prenaient les mêmes décisions que lui, Den tisse tout simplement des liens de force avec les autres, et attire ceux qui sont sensible a la force comme un aimant, entre autre et malgré son pouvoir, il n’en reste pas moins un homme comme les autres, et peu importe le nombre de blessure qu’il recevra, avec le temps elle s’accumulent, et si un jour il rencontrera le Sith de Peragus ou le maître de l’aveugle, je ne serais pas surprise si il mourrait, Den Orion n’est pas assez fort pour les combattre.
- Le doc ? dit Atton ahuris, pas assez fort ?
- Ces adversaires sont encore plus puissants que vous ne l’imaginez, et même si l’exilé retrouve totalement son liens, il n’est pas encore prêt à combattre, et c’est moi qui dois l’initié pour qu’il gagne, ce n’est pas un médecin qui changera la destinée de la galaxie, mais le général qui a exterminer les Mandaloriens sur Malachor 5.
- Mais le doc a fait veau de ne plus tuer.
- Il faut savoir tuer quand c’est nécessaire ! dit Kreia lentement, même pour protéger les autres, et Den devra réapprendre a combattre si il veut survivre, c’est la seule solution.
- Et moi que dois je faire ?
- Choisir d’aider votre ami par des chemins détourner, ou l’aider tout simplement dans cette mauvaise vois qu’il veut suivre, Den doit ce souvenir qu’il est Jedi avant tout, et je dis biens JEDI.
de la part de tamene : passionter la suite c´est pour bientot ,et il vous atent biens des surprises
PS:la mort de Den orion est iminente
"PS:la mort de Den orion est iminente"
S´il meurt, où est la logique de l´histoire ?? ?
Ou alors, il va falloir qu´il ressucite...
bah aten et tu verra !!
Visquis ! Le chef de l’Echange sur Nar Shadda contacta l’exilé sur l’Ebon Hawk, le message lui disait de ce rendre sur le Jek-Jek-Tarr pour parler affaire, Atton sentit un frisson, les événements s’accéléraient et il ce pourrait que Visquis le prenne en otage et puisse empocher la tranquillement prime de Goto.
- Heureusement que ce n’est pas un piége ! dit il avec un sourire nerveux.
- C’en est un ! Intervins Visas, je sens une perturbation dans la force.
- Les piéges marchent dans les deux sens ! répliqua Kreia, si vous êtes décidé a partir, personne ne vous en empêchera.
L’Echani voulais parler mais aucun mot ne sortait de sa bouche, elle avait honte d’elle-même, Den voulais seulement lui montrer comment manier un sabre, et elle l’a repoussé sans raison, la jeune femme garda donc le silence, de son coté Den prit une décision final :
- Où ce trouve le Jek-Jek-Tarr ?
- Dans le quartier des docs, répondit Atton, mais il est infester de vapeur toxique, si ont snifent un coup, et biens ont snifent plus jamais riens, et le gaz entre même dans la peau.
- La vache ! Intervins Hobby effrayer, dire que je pensais avoir tout vue dans la galaxie.
- Je prendrais avec moi ma combinaison spatiale de Peragus !
L’Exilé ce tourna vers Bao Dur, l’Iridonniens est le seul membre du groupe capable de diriger une équipe.
- Bao Dur vous serez le chef en mon absence, je veux que vous maintenez une sécurité renforcé autours du vaisseau, c´est-à-dire que personne ne dois s’en approcher même pour le contempler.
- Oui général ! Opina ce dernier du chef.
- Vous autres écoutez moi ! Bao Dur est désormais votre commandant, vous obéirez à ces ordres, et lui seul prendra les décisions qu’il jugera bonnes et nécessaires, si jamais je ne revenais pas, quittez Nar Shadda et partez pour Dantooine.
Tous hochèrent la tête par l’affirmatif, Kreia sentis que Den redevenais général petit à petit, la vieille femme refusait de tout enseigner à l’Exilé, il devait retrouver ces instincts guerriers et son esprit combatif, comme ça il serait apte à recevoir enfin son savoir, même si elle lui a apprit a lire les pensées ou même a canaliser son énergie, il demeurait loin d’être prêt, de son coté Den salua ces amis et partie pour les quartiers nord.
Atton mit ces mains dans les poches de sa veste et regarda le vide, le doc était partie et c’était peut être la dernière fois qu’il le voyait, les autres rentrèrent au vaisseau mais lui resta dehors seul, cela fait presque un mois qu’il a rencontrer Den, et pourtant il avait l’impression de le connaître depuis toujours, il ce souvenait de leur première rencontre sur Peragus, et de leur fuite aussi, en chemins il avait apprit a le connaître, et sans le vouloir, Atton s’attacha a lui plus qu’il ne l’aurait avouer, Den était un type mystérieux, un peu compliqué et bizarre mais un bon type au fond, qui croirait que ce simple docteur est un anciens général Jedi ?!
Et qui croirait aussi que cet exilé de l’ordre des Jedi cherche encore a respecté le code malgré son statut de bannis, il avait une telle fois en le bien, en l’espoir, en la justice, mais aussi en la rédemption et sans parler du pardon.
Aucun Jedi de n’importe quelle époque ne pouvait lui pardonner ces crimes, Atton en avait tuer beaucoup, et pourtant le regard de Den sur lui n’avait pas changé, il le considérer toujours comme son amis, son meilleurs amis après Bao Dur, et malgré cela, un rêve étrange prédit que Den mourrait bientôt. Atton serra les dents par rage, il était en colère contre cette force qui contrôle la destinée de chacun, pour quoi parmi tout les êtres pourrie de cet univers, il a fallut qu’elle choisisse le doc ? Qu’est ce qu’il a fait de mal pour mourir ? Désobéir à cet ordre Jedi minable qui est resté les bras croisé tandis que des gens innocents mourraient sous le feu des Mandaloriens ? Avoir aider les autres sans demander riens en retours ? Avoir combattus par conviction et non par obsession du pouvoir ? Avoir aider une république pourrie et un ordre Jedi hypocrite ? Est-ce que le doc a trahis ceux qu’il a protégé comme l’ont fait Revan et Malak ? Est-ce qu’il a participer a cette stupide guerre civile des Jedi qui n’était qu’une guerre de religions entre Revan et le conseil ? Jamais le doc n’a faillis une fois a sa parole, c’est un homme d’honneur et Atton pouvait deviner ça souffrance de voir des milliers de Jedi mourir dans la guerre civile, certains avaient combattus avec lui, et d’autres dans l’ordre restaient ces amis, comment pouvait il prendre partie entre les deux ?
Qu’elle était sa récompense d’avoir verser son sang dans les champs de batailles ? L’exile et la honte d’avoir désobéis au conseil comme l’a montait la vidéo tout simplement, quelle est cette vie que Den avait eu pour mourir sans vivre encore des années et des années, la galaxie avait cruellement besoins de lui, d’autre gens attendent son aide et il ne pouvais pas disparaître comme ça.
Atton secoua la tête et s’élança à la poursuite de l’exilé
- Chutta doc ! dit il avec colère, t’as toujours tout porter sur tes épaules et les autres s’en foutaient, mais moi je ne suis pas comme les autres et je risquerai ma peau pour te sauver, t’entends doc ? Je te laisserai jamais crever après tout ce que t’a fais pour nous, car moi je laisse jamais tomber mes amis, et les Jedi n’ont qu’a aller ce faire foutre tous comme ils sont.
Atton accéléra sa course et courut rejoindre l’exilé.
:bravo
Ca c´est du Atton tout craché !
ba moi je trouv ke t 1 super ecriv1 et g adoré la derniere replique d atton
Personnages principaux des deux commencements
Revan : « Celui qui transforma les enseignements Sith en religions »
Certainement le Jedi le plus puissant de tout les temps, et j’ajouterai même qu’Anakin Skywalker ne pourrait faire le poids contre lui malgré son statut d’élu. Revan reste un personnage emblématique, synonyme d’obscurité et de ténèbres mais aussi un symbole vivant d’un nouveau Sith tout a fait différend de ces prédécesseurs.
Son histoire commence dans la paisible planète Déralia, Revan était encore enfant quand sa planète fus mystérieusement attaqué par les Mandaloriens, jusqu´à ce jour, ont ignore pour quoi les néo-croisés ont choisis un monde isolé sans aucune importance stratégique, ce qui est sur c’est que ces parents furent tué et aucun des habitants de la colonie n’a survécue, l’enfant fut recueillis par Kreia, un maître Jedi qui l’emmena sur Dantooine pour suivre une formation de Jedi.
C’est un Jedi extrêmement doué (dès son plus jeune age, il parvins a apprendre rapidement les base de Shii-cho) et devint la fierté de son maître, et parvins ensuite a monter rapidement dans la hiérarchie Jedi, il devins Padawan et ensuite chevalier Jedi, puis maître, néanmoins il ne reçus aucune place dans le conseil des Jedi.
Les guerres Mandaloriennes et civile des Jedi :
Un conflit qui dura pendant cinq ans, les Néo-Croisés Mandaloriens commencèrent par attaquer des mondes qui ne faisait nullement partie de la République, telle les colonie d’Iridonnia ou le secteur Venjagga, leur leader Mandalore l’ultime, un brillant chef de guerre unifia tout les clans Mandaloriens sous sa bannière et commença sa croisade meurtrière, il demanda la reine Talia Kira d’Onderon en mariage mais devant son refus, Mandalore prétexta l’humiliation et attaqua Dxun avec sa flotte de combat, la République refusa au début d’interférer dans l’affaire mais devant la monté de puissance de Mandalore ils déclarèrent officiellement la guerre contre les Néo-croisé, pendant ce temps Revan n’était pas dupe, et voyait parfaitement le plan de Mandalore, la demande en mariage n’était qu’un leurre et Onderon est une importante route commerciale que le néo-croisé réussi a prendre sans même que la république ou même les Jedi n’y puissent y faire grand-chose. Le Jedi décida de partir combattre et emmena avec lui Malak et Arren Kae qui devinrent ces premiers généraux Jedi, il décida de sacrifier les défenses de plusieurs mondes sans importance stratégiques et ce concentrer sur des fronts capitales.
Revan et Malak menèrent les jeunes Jedi à l´assaut des troupes Mandaloriennes, et Revan prouva à cet occasion qu´il n´était pas seulement le plus fort des Jedi de l´Ordre, mais aussi un redoutable tacticien. Il préféra sacrifier des planètes indéfendables et inintéressantes pour la République plutôt que de sacrifier les troupes de la République à les défendre. Les soldats, aussi nombreux soient-ils, respectaient ce chef incontesté et étaient prêts à le suivre n´importe où...
L´ultime bataille des Guerres Mandaloriennes arriva, et le champ de bataille fut choisi: Malachor V. Les restes de la flotte Mandalorienne atteignit la planète et Revan ordonna à l´Exilé Jedi (un certains Den Orion) d´activer le générateur anti-gravifique pour détruire la flotte. Mais la planète, quant à elle, fut presque anéantie par cette manoeuvre guerrière. Tous les habitants périrent et de nombreux vaisseaux de la République comme les vaisseaux Mandaloriens furent détruits par les minuscules trous noirs créés par les distortions.
Revan retrouva le chef des Mandaloriens, Mandalore (un nom générique) et le tua au cours du duel qui s´ensuivit. Sur Malachor V, il découvrit l´Académie de Trayus, un bâtiment de l´époque de l´Empire Sith, où il apprit les enseignements du roi Adas, qui le corrompurent. C´est à ce moment là qu´il prit le surnom de "Seigneur Noir de la Sith".
Après sa corruption par le Côté Obscur, Dark Revan retrouva au cours de ses voyages dans la galaxie, la Forge Stellaire, relique très ancienne des débuts de la galaxie. La découverte de la Forge Stellaire fut l´aboutissement pour Revan et Malak de longues années de recherches d´artefacts, qui disaient que ce bâtiment pouvait créer une quantité impressionnante de vaisseaux de guerre. En associant cela au fait qu´il possédait déjà la totalité de l´armée de la République, Revan pouvait désormais anéantir l´Ancienne République et les Jedi.
Les Sith (le camp opposé à la République) remportaient victoire sur victoire grâce à Revan. Du moins jusqu´à ce qu´une jeune Jedi nommée Bastila Shan utilise son pouvoir de la Méditation de Combat qui pouvait saper la volonté des ennemis et leur faire prendre peur. Mais ce pouvoir fut sans influence contre Revan et Malak. Les Jedi montèrent un piège contre les chefs des Sith afin de les capturer. Bastila Shan et un commando Jedi infiltrèrent le vaisseau de Revan jusque sur le pont.
Malak vit là une bonne opportunité pour éliminer Revan et les Jedi, afin de devenir le seul et unique Seigneur Noir de la Sith. Il fit feu sur le pont du vaisseau amiral des Sith ce qui faillit presque tuer Revan. Ce dernier, sur le point de mourir, fut sauvé par la jeune Bastila Shan qui créa un lien de force.
Revan, désormais entre les mains de l´Ordre Jedi, eut son esprit reprogrammé par les Maîtres du Conseil. Ils lui firent oubliés tout ce qu´il savait, surtout son identité et ses connaissances sur la Forge Stellaire. On lui donna un nouveau nom et il fut intégré sur l´Endar Spire en tant que soldat de la République, sous bonne garde de Bastila Shan. Mais Malak rattrapa Bastila et Revan en orbite de Taris, et l´Endar Spire fut détruit, ce qui obligea Revan et Carth Onasi, un autre soldat de la République, à retrouver Bastila pour qu´elle ne tombe pas aux mains des Sith.
Un gang malfaisant des bas fonds de Taris, les Vulkars Noirs, avaient réussi à s´emparer de Bastila lorsque cette dernière avait atterrit dans sa capsule de sauvetage. Revan dut faire une course de fonceurs pour délivrer la jeune Jedi. Il remporta la victoire et Bastila se joignit au groupe. Mais en orbite, Malak avait décidé que la poursuite contre Shan durait depuis trop longtemps et ordonna le bombardement orbital de Taris.
Revan, Carth, Bastila, un Mandalorien du nom de Canderous, la jeune Twi´lek Mission Vao et Zaalbar son Wookie de compagnie, volèrent l´Ebon Hawk, le vaisseau personnel de Davik Kang , le Seigneur du Crime sur Taris, que Revan tua. La course pour la Forge Stellaire venait de commencer. Pour la retrouver, il fallait assembler les parties d´une carte incomplète.
Revan et ses compagnons se rendirent sur Dantooine, et c´est ainsi que Bastila réussit à convaincre le Conseil des Jedi de l´Enclave que Revan avait changé en bien et qu´il pouvait désormais réapprendre les voies de la Force. Il accomplit l´entraînement de base et fut envoyé en première mission dans une vieille structure de pierre où Bastila et lui découvrirent la première partie de la Carte Stellaire.
Cette ancienne relique de l´Empire Infini de Rakata menait directement à la Forge si Revan et ses compagnons réussissaient à recoller les morceaux. Ils se rendirent alors sur Tatooine, Kashyyyk, Manaan et Korriban (on ignore l´ordre dans lequel ces planètes ont été visitées) et réussirent à assembler les morceaux de la carte. Les cartes assemblées donnèrent l´emplacement de la Forge, en orbite de Rakata.
Au cours de leurs aventures, les compagnons de Revan avaient marché sur les traces du défunt Seigneur Noir de la Sith qu´il avait été autrefois. Sur chaque planète, les aventures qu´ils avaient vécu, avaient fais apparaître Revan comme le chef du groupe, un chef charismatique qui avait une influence grandissante sur chaque personne. Les pouvoirs de Revan avaient eux aussi grandis et il était parvenu à sa puissance d´antan.
Après avoir découvert les Cartes Stellaires, Revan et ses compagnons furent capturés sur le Leviathan, le vaisseau amiral de Malak. Alors qu´ils s´échappaient vers l´Ebon Hawk, Revan combattit Malak, mais ce dernier prit en otage Bastila afin de la convertir au Côté Obscur. Dépitié, Revan fut obligé de laisser Bastila se faire capturer pour mieux s´échapper et rejoindre la surface de Rakata.
Bastila subit la torture de Malak et sombra dans le Côté Obscur. Elle devint l´apprentie du Seigneur Noir de la Sith Dark Malak, dont son ancien apprenti, Dark Bandon, avait été tué par Revan lorsque ce dernier recherchait les Cartes Stellaires. Au sommet du Temple de Rakata, Bastila demanda à Revan de la rejoindre pour réclamer son héritage : le titre de Seigneur Noir de la Sith, usurpé par Dark Malak. A partir de là, le choix de la galaxie était entre les mains de Revan.
Certains historiens de l´Ancienne République pensant que Revan avait préféré le Côté Lumineux et avait été forcé de combattre Bastila , jusqu´à ce que cette dernière retourne sur la Forge Stellaire. Revan et ses compagnons la pourchassèrent dans l´Ebon Hawk et une flotte de la République sortit de l´hyperespace afin de combattre la flotte Sith.
Dans la Forge Stellaire, Revan affronta Bastila une nouvelle fois et l´emporta en la détournant du Côté Obscur, en lui rappelant l´amour qu´il avait pour elle depuis Taris, et le lien si fort qui les unissait. Peu après, Revan fut de nouveau confronté à son ancien ami et apprenti, Malak, pendant que Bastila Shan utilisait la Méditation au Combat pour mener la flotte de la République contre les Sith.
Malak aspirait la Force des survivants du bombardement orbital de l´Enclave de Dantooine pour survivre aux attaques de Revan. Mais il en fallait plus pour tuer son ancien Maître. Revan l´emporta finalement en duel contre Malak, et la Forge Stellaire fut détruite par la flotte de la République.
Un an après ces évènements, Revan quitta l´espace Républicain pour se remettre sur la trace de son passé lorsqu´il avait été Seigneur Noir. Revan se sépara de ses neuf autres compagnons qui l´avaient accompagné d´un coin à l´autre de la galaxie, durant sa quête. Il assura à Carh Onasi que l´Ancienne République était désormais saine et sauve, et il se sépara d´avec Bastila Shan, celle-ci prenant conscience que Revan voulait finir son périple seul. Disparut dans les Régions Inconnues, outre l´espace Républicain, et on n’entendit plus jamais parler de lui.
HOLOCRON DE DARTH REVAN :
Je suis Darth Revan, Seigneur Noir de la Sith.
Ceux qui font appel au Côté Obscur de la Force sont inévitablement destinés à la servir. Comprendre ceci revient à comprendre la philosophie fondamentale de la Sith.
Le Côté Obscur offre des pouvoirs pour en obtenir d´autres. Vous devez l´implorer. Le convoiter. Vous devez rechercher le pouvoir à travers toute autre chose, sans réserve ni hésitation.
La Force va vous changer. Elle va vous transformer. Certains craignent ce changement. Les enseignements des Jedi sont focalisés sur le combat et le contrôle de cette transformation. C´est pourquoi ceux qui servent la lumière sont limités dans ce qu´ils accomplissent.
Le véritable pouvoir ne peut sourdre que de ceux qui embrassent cette transformation. Il ne peut y avoir aucun compromis. La pitié, la compassion, la loyauté : toutes ces choses vous empêcheront de réclamer ce qui vous est légitimement dû. Ceux qui suivent le Côté Obscur doivent mettre de côté ces vanités. Ceux qui ne le font pas - ceux qui essayent de suivre la voie de la modération - échoueront, engloutis par leur propre faiblesse.
Ceux qui acceptent le pouvoir du Côté Obscur doivent aussi accepter le défi de lui tenir tête. De par sa nature le Côté Obscur invite à la rivalité et aux différends. Telle est la plus grande force de la Sith : elle énuclée les faibles hors de notre ordre. Pourtant cette rivalité peut également être notre plus grande faiblesse. Les forts doivent être prudents de peur qu´ils soient accablés par les ambitions de ceux qui travaillent de concert à leurs pertes. Tout maître instruisant plus d´un apprenti aux voies du Côté Obscur est un fou. En temps et en heure les apprentis uniront leurs forces et renverseront le maître. C´est inévitable ; Axiomatique. C´est pourquoi chaque maître ne doit avoir qu´un seul disciple.
C´est aussi la raison pour laquelle il ne peut y avoir qu´un seul Seigneur Noir. Les Sith ne doivent être dirigés que par un seul leader : l´incarnation même de la force et de la puissance du Côté Obscur. Si le leader s´avère faible, un autre doit s´élever pour prendre le manteau. La règle du fort ; le faible n´a d´autre choix que de servir. Telle est la voie qu´il se doit de prendre.
Mon temps ici est écoulé. Prenez ce que je vous ai enseigné et faites en bon usage.
De cette information ont peut noter que Revan est le premier Sith a avoir donner l’idée de « la règle des deux » avant Darth Bane, cette base qui a servis au nouvel ordre Sith qui renversa la République sous la domination de Palpatine.
TECHNIQUE ET FORME DE COMBAT :
Makashi : (forme II) il s’agit de sa première forme de combat qui lui fut apprise par Kreia mais il délaissa cette forme pour le Djem-So.
Djem-So : (forme V) une forme de combat puissante et agressive, elle utilise plusieurs attaques et posséde un champ de défense très restreint, Revan était le plus grand pratiquant du Djem-So de tout l’ordre Jedi et cette forme restait sa forme de prédilection dans des combats au corps a corps même sombré dans le coté obscure.
Juyo Sith : Une forme assez dangereuse pour le porteur que le porté, le Juyo Sith est la plus vieille variante qui fus jamais remodeler par les Jedi, elle utilise l’expression la plus noir des sentiments telle que la colère ou la haine pour arriver a ça pleine puissance, Revan apprit cette forme des Holocrons Sith sur Malachor 5, elle est devenus sa forme officielle quand il devint seigneur noir des Sith et il reste le seul humain capable de la maîtriser dans le plus pure style Jar Kai( sabre laser a deux mains).
Morichcro : C’est une technique de force assez peu courante cher les Jedi, car le Morichco consiste a ralentir le rythme cardiaque de l’adversaire et lui causer des convulsions et des nausées pour l’affaiblir durant un combat de sabre, Revan utilisa ces technique sur Kreia quand elle voulus l’arrêter et réussi a lui causé suffisamment de mal de tête pour qu’elle abandonne le combat rapidement.
Illusions Sith : Un pouvoir commun cher les seigneurs noirs des Sith, les illusions sont en faite des attaques psychologique au pouvoir mental assez destructeur, Revan utilisa ce pouvoir contre Kreia et Arren qui crurent l’avoir tuer, mais c’était sans compter sur la puissance du jeune Sith qui trompa facilement les deux femme grâce a ce pouvoir. A noter que les moines Fallanassi utilisaient ce genre de technique, et sans parler de Kreia qui utilisa une variante plus puissante sur Telos contre un mercenaire et contre Atton Rand qui réussi miraculeusement a résister a cette attaque.
c´est tout a fait l´esprit complexe de revan,grand jedi et siht a la fois éyant épousé le coté clair et le coté obscur dans toute sa splandeur ,cela fait de lui le meilleur adepte de la force jamais conu