Loin du complexe minier de Peragus, et loin aussi des tourments de la guerre de cette galaxie de ténèbres, se tenait dans une planète asser éloigné du noyau, un curieux rassemblement de personnes oublier de tous, l’un d’entre eux était un Twi’lek a la carrure de brute, un guerrier aguerrie et un héros de légende, plus célèbre sous le nom de Tott Donneeta, il y avait aussi une femelle Cathar avec des yeux de braise, la sublimissime Jedi Sylvar, plus belle et plus dangereuse au combat. Sans oublier Oss Wilum, dernier élève du grand maître Thon. Tous regardaient Vima qui avait un visage triste mais paisible à la fois
Cette réunion ce tenait dans un endroit remplis de Yasalamari, des créatures qui peuvent rejeter la force, ainsi l’incident de Katarr ne se reproduirait plus, les derniers survivants étaient au nombre de neuf, tous attendaient un dernier invité qui semblait en retard.
- Les temps sont dure et nous prenons beaucoup de risque en nous réunissons ici ! Intervins Sylvar, nous devrions commencer des maintenant.
- Je suis d’accord, approuva Tott, maître Sunrider ?
Vima était âgé de cinquante cinq ans, mais son visage gardait toujours une jeunesse biens étrange, la dernière fille de Nomi regarda ces camarades puis hocha la tête tristement, la réunion pourra commencer :
- Mes amis de toujours, dit Vima gravement, et honorable Jedi qui ont combattus avec ma mère dans le passé, vous vous êtes rassembler pour parler de cette menace qui vient d’un mal que vous connaissez asser biens pour l’avoir combattus durant les guerres Sith, la galaxie est au bord de la destruction et nul ne peut y échapper. Restez séparer et vous resterez faibles, réunissez vous et peut êtres auriez vous une chance de la vaincre. Chacun d’entre vous est liée à ce destin, alors décidez vite car l’ennemie est en marche.
- Nous ne pouvons partir les combattre alors que la République est au bord du gouffre, intervins Oss Wilum, comment vaincre des ennemies alors que nous en avons d’autres sur le dos ?
- Il n’y a plus d’ordre des Jedi, dit Sylvar gravement, vous l’aviez compris depuis que le conseil avait refusé d’aider les gens de la bordure extérieur contre les Mandaloriens.
- Ils voulaient évaluer la menace, continua Vima, mais ils étaient conscients que ce n’était pas vraiment une menace, et que l’ennemie est cachée quelque part.
- Mais le conseil aurait finis par réagir au moment venus ! dit une vois derrière eux.
Tous le monde ce retourna, et tous découvrirent une jeune fille a la beauté lumineuse avancer fièrement vers eux, Bastila Shan venait d’avoir vingt deux ans, et elle semblait plus sereine et plus réceptive a la force, devant eux ce tenait un vrais chevalier Jedi prêt a combattre pour les causes justes.
- Le passé reste un passé et c’est l’avenir que nous devons préparer. Poursuivie Bastila.
- Nous ne pouvons revenir à Coruscant ou à Dantooine, dit Vima gravement, nous devons partir découvrir cette menace dans la bordure extérieure.
- Mais il est déjà partie l’affronter seul, dit Bastila déchirer par l’angoisse, il était notre seul espoir.
- Ce péril nous concerne tous Bastila, consola Sylvar, votre époux n’a riens a prouver, il en a déjà fais suffisamment dans la bataille de Roon il y a cinq ans.
La jeune femme baissa la tête et Vima poursuivie avec une vois sonore :
- Nous devons reconstruire l’ordre des Jedi, mais il faut une personne asser responsable pour accomplir cette tache, notre temps ici est révolus.
- Et a qui pensez vous maître Sunrider ? Intervins Donneeta, a Atris qui continu a maudire les Jedi mort a la guerre ? A Vrook qui ne croit en personne ? Où a Kavar qui devint un vassal du royaume d’Onderon ?
Vima tourna la tête et répondit quelque chose d’impossible :
- l’Exilé le fera !
Le Twi’lek se figea et Sylvar décroisa les bras qui tombèrent mollement sur les cotés, l’Exilé reconstruire l’ordre millénaire des Jedi ?
- Den Orion fus mon padawan, poursuivie Vima, en lui coule un pouvoir beaucoup plus puissant que vous ne pouvez imaginer, sa détermination est sans faille et ne s’avoue jamais vaincus, sans Den Orion et son sacrifice exemplaire sur Malachor 5, les guerres Mandaloriennes seraient encore aujourd’hui, lui seul réunira les Jedi perdus.
- Mais il c’est détourner de cette vois il y a fort longtemps, dit Oss peu convaincus, il a choisis l’exil.
- Ce n’est pas nous qui avons exilé le général Orion, dit Vima, il reste encore un espoir même si l’avenir est trouble. Puis en regardant Bastila ; c’est l’Exilé qui vous a enseigner la méditation de combat n’est ce pas ? Je le sais car nul autre ne pouvait le faire sinon lui, il était votre maître avant qu’il ne parte en guerre et il dut vous abandonner comme votre époux l’a fait plus tard, trouvez Den Orion Bastila, lui seul vous aidera a reconstruire l’ordre, et peut être vous donnera t’il des réponses a vos questions.
enfin la suite !! !
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Den fut projeter par une violente poussée de force, mais se releva rapidement et porta un vigoureux coup de d’épée a son adversaire, celui-ci bloqua le coup mais fus surpris par la force physique de l’Exilé, qui dit liens perdus avec la force, ne vaut pas dire un homme qui sait pas ce battre, de son coté, Den fus effrayer par l’endurance de ce monstre, il ne se fatiguait pas, et utilisait un style de combat Makashi mélangé avec le Shien, le Sith n’avait aucune peur d’être blesser et laisser Den le blesser avec une expression de satisfaction sur le visage.
- Il me faut admettre que vous êtes vraiment très fort général ! dit admiratif, mais vous ne pouvez me tuer car je suis immortel.
Avec horreur, l’Exilé découvrit que les blessures de Sion ce refermaient, le Sith attaqua l’anciens Jedi avec une férocité inouïe, Den eu beaucoup de mal a esquiver ces coups et risquait de succomber devant la puissance du Sith. Mais alors qu’il s’apprêtait à lui porter le coup fatal, Kreia surgit de nulle part et para la charge, mais son coup fut mal calculé, et elle se fit couper le bras.
Den hurla de douleur et tomba par terre sans connaissance, Kreia projeta une pousser de force et projeta Sion dans une salle derrière lui, puis rapidement et en utilisant la force elle ferma la porte et la scella en détruisant le panneau d’ouverture. Fous de rage, le Sith se mit à porter des coups de sabres pour ouvrir la porte.
- Je sais que c’est vous maître, cria le Sith, je sens votre faible présence, vous tuer n’est pas facile.
- Pour quelqu’un de limité que vous peut être, dit elle moqueuse, être tomber si bas et n’avoir riens appris.
- Vos murmures ne résonnent plus dans mon esprit vieille femme, je ne souffre plus de votre enseignement destiner a nous affaiblir.
Kreia releva l’Exilé qui revint peu a peu a lui, Sion donna un coup de poing vigoureux qui fit trembler la porte en acier :
- Il ne reste plus aucun Jedi sauf un seul, et un Jedi désarmer ne peut riens face a l’avènement des ténèbres.
- Il vous détruira tous ! Menaça Kreia, et je serais la pour apprécier le spectacle.
Pendant ce temps, Atton a réussi à rejoindre l’Ebon Hawk, sur ça route il croisa T3 M4 et ce dernier l’aida à déverrouiller l’ordinateur de navigation, l’appareil semblait fonctionner et ces réacteurs tremblèrent avec un bruit assourdissant, le comlink sonna ! C’était le docteur Orion, malgré lui, le contrebandier fut soulager d’entendre sa vois.
- Atton ! Vous m’entendez ?
- Ouais je vous entends Doc !
- Nous somme poursuivis par des troupes armés jusqu’aux dents, actionner les tourelles du vaisseau et couvrez nous quand nous arriverons au hangar.
- C’est parti.
Deux canons lasers sortirent de l’avant et ce mirent à tirer sur des hommes habillés en soldats Sith de Darth Malak, Den et Kreia montèrent a bord et la porte se ferma derrière eux, Atton fis décoller le vaisseau sous les tires de Blaster, mais en sortant du complexe, le Harbinger tira a son tour des salves mortelles sur le petit vaisseau, des roches d’astéroïdes explosèrent en manquant l’Ebon Hawk.
Atton grimaça en évitant un autre tire, mais il grimaça encore plus en voyant Kreia avec un seul bras, Den s’assit ça droite et examina une issue possible, mais riens n’y fait.
- Soit ils nous touchent et ont crèvent, sois il nous touchent pas mais ont crèvent aussi, ont peut dire que c’est notre jour de chance.
T3 bipa, a ces dires il semblait vraiment paniqué
- Faites moi taire ce compacteur a ordure, dit le contrebandier en grincent des dents
- Atton ! Exigea Den.
- Je fais ce que je peux bon sang, dit il froidement, qu’est ce que vous leur avaient fait pour qu’ils soit aussi énervé.
- Ce vaisseau est celui qui a attaquer l’Ebon Hawk et qui a faillis nous tuer, dit Kreia.
- Et si ont passait en hyperespace ? Proposa Den.
- Pas en plein milieu de cet astéroïde, dit le contrebandier en hochant la tête.
- Et les astéroïdes ? dit vivement Kreia, leur explosions pourrait couvrir notre fuite.
- Résultat finis le complexe de Péragus, répondit Atton, et la colonie entière.
Den réfléchis un moment, si il y a encore des mineurs la bas, ils seraient tous mort, le voila maintenant obligé de prendre des décisions grave comme a la guerre, comme sur Dxun…………comme sur Malachor 5………….
- Détruisez l’astéroïde, ordonna l’ancien Général de la flotte de la République.
Atton en passant devant une roche, tira des rafales de Blaster sur elle, et celle-ci explosa, et les autres s’en suivirent, l’Ebon Hawk sortis du champ et plongea en hyperespace, laissant le Harbinger affronter le feu de Péragus.
Den ce leva du siége et s’adossa contre le mur, ces cauchemars refirent surface, ces démons du passé qui le hantaient, hurlaient a pleine gorge, Atton lui, actionna le pilotage automatique et ce leva a son tour :
- Bon ! Maintenant qu’ont a détruis une planète entière, quelqu’un pourrait m’expliquer ce qui ce passe ici ? Parce que a force d’affronter des droïdes assassins, ou des type en pyjama noir capable de ce camoufler, ou au vibrosabre d’un cadavre vivant, je vais finir par regretter ma cellule moi.
- Ces Sith vous cherchez docteur Orion, dit Kreia gravement, ils croient que vous êtes le dernier des Jedi.
- Saviez vous ce que nous venons de faire ? dit Den froidement, nous avons détruis tout une stations de mineurs Kreia, il se pourrait que des gens innocents sont rester coincé sur le complexe, et il se trouve que nous avons détruis ce complexe.
- Je comprends votre amertume, mais des morts il y en aura demains et toujours et je crains que nous n’avions pas eu le choix, et ces Sith ne finirons pas de vous traquer.
- Comment ce fait il qu’il n’y a plus de Jedi ?
- L’académie de Dantooine n’est plus qu’un cratère suite au bombardement de Malak, le temple Jedi de Coruscant est vide et la salle des milles fontaines coule en mémoire des Jedi disparut, à la suite de la guerre civile, de nombreux chevalier quittèrent l’ordre car leur fois en le conseil avait disparut, le peu qui sont rester furent tuer dans la purge qui s’en suivie, et la République affaiblie se relève difficilement.
- Il n’y a plus de Jedi ? dit Den terrifié.
- Vous êtes le seul encore en vie.
- Et voila le résultat de tant de mort et de sang verser contre les Mandaloriens, dit Den déchirer, plus de Jedi…. et des Sith partout qui circulent librement, j’ai donc risquer ma vie pour riens sur Malachor.
Atton fut bouleversé en entendant le doc s’exprimer ainsi, le contrebandier tourna la tête, et T3 s’approcha de son maître pour lui témoigner son affection. En posant sa main sur la tête du droïde, Den ferma les yeux un moment.
- Je sais ce que vous pensez, dit la vieille femme, vous voulez chercher les derniers Jedi qui restent encore en vie et tenter de reconstruire l’ordre, ce ne sera pas facile compte tenus de votre état actuel.
- Je n’ai pas le choix, dit Den décidé, je refuse de voir disparaître plusieurs centaine de milliers d’années d’héritage comme sa sans riens faire.
- Vous avez tant perdus durant la guerre, voulez vous tenter de perdre le peu qui vous reste ? Ce genre de décisions ne se prenne pas à la légère.
- Je n’ai plus riens à perdre de toute façon.
- Vous êtes aussi borné qu’un Jedi ! Cela suffit ma blessure me fait mal, je pare me reposer dans mes appartements, trouvez moi la bas si vous voulez poursuivre notre conversation
- Si vous voulez parler derrière mon dos ne vous gênez pas ! dit Atton vivement, je commence a m’assoupir.
- En privée nous ne serons pas déranger par les paroles de certains imbéciles, dit elle froidement.
bueno!!!!
magnifique
j´adore !! !!!!!
C´est pour quand la suite
- Ce n’est pas que j’y tiens doc, dit Atton troublé, mais si vous pouviez jeter un coup d’œil à l’ancêtre…..et sur sa main surtout.
Den se rappela la douleur qu’il avait eu quand Sion a couper le bras de Kreia, elle était intense, comme si il avait perdus une moitié de lui-même.
- Pour une femme qui a perdus une main elle n’avait pas l’air de souffrir !
- Moi a sa place j’aurai hurlé comme un Mynock qu’ont étripe…………..enfin un gros Mynock ! Précisa Atton. A mon avis elle est trop fière de montrer ses faiblesses, surtout avec vous
- Qu’est ce qui vous fais croire qu’elle s’intéresse a moi ? dit Den troublé
- Vous rigolez ou quoi ? dit Atton surpris, vous avez remarqué qu’elle m’adresse quasiment jamais la parole, alors que vous, elle vous bassines sans arrêt. A mon avis elle accorde beaucoup d’importance à votre sujet, et elle veut surtout que vous la respectiez.
Den regarda Atton attentivement, contrebandier d’accord mais très futé pour quelqu’un qui pratique ce métier.
- Vous avez raison je vais aller l’examiner.
Den trouva Kreia entrains de méditer, en observant la vieille femme, l’Exilé ressentis de l’admiration pour elle. Si calme et si maître d’elle-même qu’un frisson traversa sa colonne vertébrale, celle-ci sentis sa présence et se tourna en lui faisant face.
Kreia était une femme âgée d’une soixantaine d’années au plus, elle était de taille moyenne et semblait afficher une vitalité vigoureuse, mais ce qui étonna Den, c’était sa pâleur effroyable, comme si elle était enfermé dans un tombeau et qu’elle n’a repris sa place cher les vivants que très récemment.
- Je n’ai plus riens a vous dire ! dit elle froidement.
- Je suis venu examiner votre main, dit Den d’un air autoritaire, laisser moi voir ça !
- Ce n’est pas la peine, dit elle fièrement, je peux très biens la guérir moi-même.
- Je vous dis de me laisser voir ça, dit Den fermement, ou je vous assomme avec un coup de poing, des patients comme vous j’en vois tous les jours.
La grande Kreia fus à la fois choqué et ému, voila la première fois qu’elle perd la face devant un autre, Den était différend des autres Jedi, il avait une forte personnalité et appartenait à ces rares personnes qui échappe totalement à son pouvoir.
- Vous êtes l’adversaire le plus redoutable que j’ai eu à affronter docteur !
- Ce monstre a parfaitement exécuté le Cho Maï sur vous, le coup fut pratiqué avec une précision chirurgicale, et la cicatrisation avec l’aide la force vous demandera beaucoup d’énergie, il faut que je vous soigne sur le champ.
- Cette blessure était nécessaire, certaine chose ne peuvent être apprise qu’avec la douleur, dit Kreia gravement.
- Je vais désinfecter la blessure avec du vin Tarisiens et un peu de vinaigre d’épice, mais je n’ai pas d’antidouleur et il va falloir supporter l’incision.
- Allez-y ! dit elle fermement, la douleur m’est très familière.
Den commença l’opération en coupant la chair vive, puis enfila une aiguille sur un file, et commença a coudre sur les lèvres du poignet coupé, Kreia supporta l’incision avec un sang froid remarquable, cette médecine était peut être primitive mais très efficace, et puis ils n’avaient pas le choix, la trousse de secoure de l’Ebon Hawk était vide.
- Comment ce fait il que j’ai sentis votre main quand elle fus perdus ?
- Il me semble qu’un lien étrange c’est forgé entre nous, et j’avoue que ça nature m’échappe.
- Sans parler de la force que j’ai ressentis à nouveau sur Péragus, dit Den en pansent la blessure, cela fait dix ans que je ne l’ai plus écouté.
- Les dégâts provoquer par le conseil des Jedi n’était pas importants, ce n’est pas aisé de séparer quelqu’un de la force.
- Vous insinuez que c’est le conseil qui est fait ça ?
- Qu’est ce que vous croyez ? dit elle froidement, qu’ont perd la force du jour au lendemain ?
- Si vous saviez le nombre de personnes que j’ai tué durant la guerre. Dit Den perdus dans une vision antérieure, j’en méritais biens plus.
- La guerre renforce notre lien avec la force, même si elle est effroyable. Dit Kreia, je connais votre histoire général Orion, et je sais vous que étiez banni pour avoir désobéis au conseil des Jedi qui préconisait la patience et l’évaluation de la menace Mandalorienne, et je sais aussi que votre liens si brisé soit il, peut encore être sauver.
- Et si je ne veux pas que mon lien soit sauvé ?
- Quelle importance puisque qu’aucun Jedi n’est présent pour vous rappelez vos démons du passé, retrouver des Jedi perdus avec ces assaillants a nos trousses ne sera pas facile, il vous faut des armes, des alliers, et…….un maître. L’univers est trip petit pour quelqu’un comme vous puisse disparaître, quelque soit la profondeur du trous dans le quelle il s’enfonce.
- J’ai finis ! dit Den en se levant, gardez ce pansement sur vous et la blessure cicatrisera rapidement.
- J’ai aussi appris ! dit Kreia gravement, que vous obéissiez a la doctrine de la force vivante, et que vous n’aviez pas bonne réputation au conseil Jedi de Coruscant, et que même certains maîtres conservateurs étaient contre le fait de vous voir monter chevalier.
Den foudroya la vieille femme du regard
- Qui êtes vous ?
- Disons que je suis quelqu’un qui obéis a une doctrine parallèle a la votre, sauf que je ne crois a aucun aspect lumineux ou obscure de la force, je crois en l’unité. Et je comprend aussi que c’est en obéissant a votre philosophie que vous êtes partie en guerre, n’ai-je pas raison ? Agir maintenant ou jamais, faire ou ne pas faire car essayer ne veut riens dire, telle est la philosophie de la force vivante, contrairement au conseil des Jedi qui crois en la force unificatrice, mais peu importe ceci, car je vous propose un chemins plus intéressant docteur Orion.
- Qu’est ce qui vous fait croire que j’ai besoins d’un autre chemin ?
- Un homme comme vous, n’est en exile que par choix personnel, vous aviez choisis de partir en guerre en respectant votre religion, mais malgré vos premières intentions honorables, vous vous êtes gravement égaré.
- Et quel est ce chemin que vous me proposez ?
- Celui de ceux qui partagent la vision des deux aspects, le chemin de la force unifiée.
- Des Jedi gris ? dit l’Exilé troublé.
- Non, non ! dit Kreia lentement, un Jedi gris n’est riens d’autre qu’un égaré qui cherche a fuir les tourments de la galaxie. Mais……ajouta t’elle lentement, si vous décidez de devenir d’avantage qu’un homme et que vous ayez une idéal et que ce faisant il ne peut vous arrêtez, alors vous deviendrez tout autre chose.
- Que deviendrai-je ?
- Une légende qui traversera le temps comme une lame de sabre laser, votre nom sera peut être oublier, mais tout le monde se rappellera de l’Exilé, le dernier des Jedi a avoir redonner vie a la galaxie.
Den fus troublé par cette révélation, la vieille femme avait l’air de le connaître mieux que lui-même, si il pouvait redonner vie a une galaxie morte, peut être sera-t-il laver du sang qu’il a verser durant les guerres Mandalorienne.
- Très biens Kreia, j’accepte d’être reformer………du moins pour l’instant.
- Vous devriez voir cet imbécile qui pilote avant qu’il nous fasse perdre.
- Atton n’est qu’un gosse !
- c’est un imbécile doublé d’un idiot, et il y a peu de chance que sa s’améliore
toujour ossi parfait continu
tain c´est pas trop tot ce seré bien que tu écrit plus souven kan méme
* Posté le 23 octobre 2006 à 18:38:32 avertir modérateur
* tain c´est pas trop tot ce seré bien que tu écrit plus souven kan méme
Essaye d´avoir l´imagination et le temps d´écrire apres tu pourra reposter
Bien mais l´histoire me rappelle quelque chose donc ce n´est pas trop de l´imagination
Trés bonne suite
toujour aussi bien rien a redire !! ! si continu
Hum... C´est très agréable à lire.
encore magnifique
Den se réveilla en entendant la porte s’ouvrir, c’était le lieutenant Gren, qui leur annonça qu’ils étaient libre, apparemment, le Harbinger était sur les lieux, et les recherches pour le trouver ont déjà commencé.
Les trois prisonniers furent libérés, mais ils découvrirent avec surprise que l’Ebon Hawk avait disparue. Atton jura que si jamais il mettrait la main sur T3-M4, il lui serait bouffer les circuits électriques, même s’il lui inventera une bouche en métal. Den visita la station citadelle avec Kreia, la cité grossissait et semblait oublier la guerre civile des Jedi, le souvenir de Saul Karath disparaissait de jour en jour, l’exilé remarqua qu’il y avait des mercenaires partout, les uns travaillaient pour la Czerka, les autre pour l’Echange.
Le docteur Orion aperçus deux mercenaires qui maltraitaient une gamine a peine entrer dans l’adolescence, la petite avait du cran et se débâter avec hargne.
- Lâches moi tas de graisse fourrée ! dit elle avec hargne.
- Petite peste ! dit l’un d’entre eux en colère, je vais t’enseigner les bonnes manières moi.
La brute s’apprêtait a la gifler, mais la gamine réussi a se dégager et leur donna un double coup de pied qui les assomma sur le coup, Den eu un choc terrible en reconnaissant cette prise, il avait déjà vue cet art martial quelque part, la fillette riait a plein poumon.
- Voila ce qui arrive quand ont me cherche mec.
La fillette était très mignonne, et semblait à voir quatorze a quinze ans, elle était habillée d’un fuso noir qui laissait voir ces muscles des jambes, et aussi une vieille veste de pilote toute chiffonné qui avait l’air d’avoir connue de meilleur jour, et sans parler d’une élégante queues de cheval comme coiffure, Den fus amusé a souhait, mais des que l’un des hommes pointa son arme sur elle :
- J’ai horreur qu’une fille se moque de moi, je vais te trouer comme du fromage a lait de Bantha, dit il avec un sourire diabolique.
La fille entendit un cri terrible par derrière, on se retournant rapidement, elle aperçus un grand ténébreux avec une barbe épaisse qui écrasait la main du type.
- Mon index….dit l’homme les larmes aux yeux, t’as bousillé….mon index.
Den avec une cruauté sans borne, cassa le bras de l’homme comme une branche d’un arbre mort, Kreia donna raison a ce geste, les traîtres sont les pires créatures de l’univers, et cet homme voulait tuer une personne par derrière, l’homme partis au courant et la fillette toute choqué, regardait l’homme qui l’a sauver avec des yeux minuscule, il était beau a souhait, et ses yeux étaient d’un bleu magnifique, mais les traits de son visage étaient a la fois sévères et tristes, comme si les tourments de l’univers tournaient tout autour de lui.
Den vint vers elle et un sourire magnifique illumina son visage, la gosse rougis et baissa la tête timidement, mais qu’est ce qui lui arrive bon sang ?!
- Est-ce que sa va ? demanda Den gentiment.
- Et biens...oui, oui, oui ! dit elle vivement, merci en fait.
- Tu t’appelles comment ?
- Hobby ! dit elle vivement, Hobby Cash ! Voleuse, tricheuse, menteuse, arnaqueuse et assez bon pilote.
- Au moins une qualité parmi tant d’autres, plaisanta Den.
Hobby eu envie de protester, mais le sourire de Den l’en empêcha, il y avait tant de bonté dans ces yeux qu’il fut difficile pour la fillette d’éclater son caractère.
- Et vous c’est quoi votre nom ?
- je suis Orion ! Docteur Den Orion, un médecin voyageur si tu veux, voici Atton Rand, et Kreia. Mais dis moi ! Qui t’as appris le K´thri ?
- Vous connaissez le K’thri ? dit elle impressionné.
- c’est un art martial très ancien, dit Den gravement, il est considéré comme un sport, pratiqué par des athlètes professionnels qui maîtrisaient toutes les figures de ce style de combat. Il faut non pas beaucoup de force pour le pratiquer, mais beaucoup d´agilité et de maîtrise de son corps. Chose que tu fais parfaitement.
- Vous serez étonné de voir ce qu’ont apprend dans la rue, dit Hobby.
- Seul les Zabraks le pratique, dit Den avec un léger sourire.
- Et biens…..c’est un amis qui me l’a appris, dit elle hésitante.
- Dit moi qui s’il te plait ?
Hobby le regarda un moment, puis ajouta fermement.
- Bao Dur ! dit elle tremblante, c’est mon paternel adoptif
- Bao Dur est ici ? dit Den avec surprise.
Bao Dur ! Son compagnon de toujours, l’homme qui a partagé tant d’épreuves à ces cotés durant les guerres Mandaloriennes, Den se souvenait très biens de l’Iridoniens, un homme d’une grande gentillesse, un sens des valeurs sans égale, comment oublier un amis cher qui a tant partager avec lui, l’anciens général admirait beaucoup le Zabrak, Bao Dur possède un courage et une volonté sans faille, un courage qui dépassait même le siens si ont osait dire.
- Vous connaissez Bao ? !
- C’est un amis, répondis Den, pouvez vous nous conduire jusqu´à lui ?
- Il est dans la zone de restauration entrains de chercher des preuves que la Czerka est une firme pourrie, même si tout le monde le sait déjà.
- Pour quoi ?
- La Czerka fait tout son possible pour mettre les bâtons dans les roues du projet restauration des Ithoriens, expliqua Hobby, mais maintenant que Péragus est détruite, le projet tombe a l’eau, car c’était l’unique source de carburant de la planète.
- Pouvez vous me conduire jusqu´à lui ?
- Biens sur ! s’exclama la jeune fille, j’ai une petite navette que j’ai acheter grâce aux parties de Pazzak, mais il me manque un pilote.
- Pas d’inquiétude ! dit fièrement Atton, j’suis le meilleur pilote de la galaxie.
- Oui ! dit la fillette en faisant le moue, t’as l’air plutôt d’un type qui ne fait qu’ouvrir sa grande gueule.
- Si tu veux, mais je te conseille de ne pas trop l’ouvrir avec moi.
- Tu veux peut être que je te bastonnes ? Proposa Hobby avec un sourire malicieux.
- En route ! Coupa Kreia froidement.
La vieille femme en marchant devant Den, senti que l’anciens Jedi devenait plus réceptif a la force, elle la sentait tournait autour de lui comme une auréole protectrice, mais il y avait quelque chose de bizarre cher la force, elle était a la fois vivante, mais instable, comme si elle hurlait une douleur sans nom, comme si elle cherchait a absorber l’énergie vivante en tissant une grande toile.
La vieille femme s’arrêta un moment, et laissa Hobby et Atton partir devant :
- Quelque chose ne va pas ?
- La force est puissante en vous ! Et vous êtes plus en paix avec vous-même que sur Peragus, mais je vois que vous faites preuves de pitié et de charité, pour quoi ?
- Il est du devoir de tout Jedi et de tout être humain d’aider son prochain, tant que la bonne fortune nous est acquise.
- Vous les rendrez dépendants de toute aide, et vous éteignez leurs instincts de survie, laisser ce genre de sentiments vous envahir ce n’est pas être fort car l’univers n’est ni blanc, ni noir, il est gris. Et les deux puissances se livre à un combat sans merci jusqu´à la fin des temps, vous devez apprendre a ne pas intervenir dans ce combat du biens et du mal, car vous n’y gagnerez riens du tout. Combien d’hommes mourront ? Combien de veuves pleureront leurs maris ? Combien de mère leur fils décédés ? Cet équilibre est la chose la plus abominable qui soit. Voila la philosophie de la force grise.
Le visage de Den s’assombrit comme si les massacres et les deuils évoqués par Kreia pesaient maintenant sur son esprit. Peut être que les Mandaloriens avaient aussi des femmes et des enfants ? Peut être qu’ils ont souffert autant que les gens de la république, ne pas posséder de patrie, ne pas avoir de cher sois, ou de terre ou poser leur pieds, leur compagne ressemblait plus a une recherche de territoire que de massacre ou de conquêtes, il regrettait amèrement de ne pas avoir comprit ces anciens ennemies, les guerre se produisent a cause des différances de race, de religions, ou de richesse, l’univers est ainsi depuis le commencement, le biens et le mal dans l’univers n’est qu’une chimère, ces deux manifestation n’existent que dans les cœur des hommes, ou d’humanoïdes, seul le choix compte.
- Le destin veut que les choses en aillent ainsi, répliqua Den, le destin veut que l’homme supporte les blessures, les maladies, les souffrances et la mort avant de ne faire plus qu’un avec la force. Mais il relève de son pouvoir et de son choix d’agir avec honneur et d’être clément chaque fois que cela lui est possible. C’est la seule dignité qui lui est concédée depuis ça venu au monde, la seule lumière avant que ne viennent les ténèbres d’une nuit sans fin.