Bonjour à tous, je me présente : je m'appelle Xavier ( d'où mon pseudo ) et je suis nouveau ici. Comme vous l'avez remarqués, je viens de créer mon compte car j'ai créé le début d'une fic dont je voulais faire part pour obtenir d'éventuelles critiques. je suis venu ici car je suis fan de ce film et j'ai adoré le jeu.
je n'ai pas voulu poster sur un bla-bla car j'ai trop peur des mauvais jugements, en tout cas j'ai lu quelques un de vos posts sur les sujets ici présent et je vous trouve amical, j'espère en tirer de bonne critiques.
La fic va bientôt commencer.
Voici donc cette prologue. Je vous précise que la prologue est très petite mais que les chapitres seront quant à eux très très grands.
J'espère que ça vous a plus en tout cas, et sachez bien que cela ne donne pas du tout le ton de l'histoire.
Ça m'a l'air d'un bon début, j'ai hâte de voir le premier chapitre bien que ça n'a pas l'air d'avoir un quelconque rapport avec Transformers si ce n'est le fameux "cube". Mais c'est bien quand même
Un profil comme par hasard qui à 0 jours .
Qui à créé un compte ?
Non mais t'es con ou quoi ? Il a créer son compte aujourd'hui plu poster sa fic, c'est tout. Faudrait avoir de profond problèmes mentaux pour se créer un double compte juste pour poster une fic.
C'est... Très intéressant
Sérieusement, ça m'a l'air d'être un bon début tout ça, mais effectivement je vois pas le rapport avec Transformers
au fait, megablackout68 : "Comme vous l'avez remarqués, je viens de créer mon compte car j'ai créé le début d'une fic dont je voulais faire part pour obtenir d'éventuelles critiques"
Tu vois, il vient de créer son conte car il voulait nous faire part de sa fic
Pourquoi avoir mis un f majuscule à "famille" ?
C'est vrai que j'ai pas trop compris le début
Alors là, moi je dis chapeau à l'auteur pour son pseudo !
Espèce de malade mental ! Tu nous a espionné pendant des mois pour trouver le nom de Xavier !
J'ai remarqué que c'est ton prénom, eh bien sache que c'est une drôle de coïncidence, Xavier, toi le vénéré et maître absolu des légendes de ce Forum, bienvenue à toi
Et ça a l'air intéressant, bonne continuation
Sache que Xavier est un dieu sur ce forum et ce grâce à l'arrivée de son prophète Dark953, l'un des ennemis de la communauté de l'encyclopédie
Ouai, moi aussi ça m'a fait penser à ça en plus
Et aussi au professeur Xavier
El-Jess Merci j'ai compris mais c'est Zarb tout ça.
Ps : Tu me demende si je suis con, moi aussi j'te demende alors : T'est con ou quoi?
Ah oui aussi le premier qui réplique c'est Jess. VERY ZARB.
J'aime bien quand les gens disent "t'es con ou quoi ?"
Moi je réponds: Quoi.
Tu deviens parano mega, tu vois des doubles comptes partout sérieux réfléchis deux secondes.
Ont sait jamais.
Arrêtez de vous disputer ( )
Xavier-X tu feras des pavés tous les combien de jours ?
Sincèrement ça m'intéresse ce genre d'histoire, même si y'a pas de Transformers
Merci a tous pour vos jolis commentaires.
Par contre, megablackout68, pourquoi me prend-tu pour un "double compte ? Bref, en tout cas je mettrais un "pavé" tous les 3 ou 4 jours; plus de la moitié de ma fic est déjà écrite sur min ordinateur.
Pour vous remercier de vos commentaires, j'ai une petite surprise : la suite !
Chapitre #0 :
La machette maniée d'une main experte trancha une dernière liane, achevant de dégager l'entrée au sommet de la pyramide.
João Bousca, le guide Brésilien qui avait œuvré sans relâche depuis que l'expédition était parvenue sur le site, était un colosse de presque deux mètres, doté d'une impressionnante musculature et ignorant jusqu'à l'idée de fatigue. Il s'écarta avec nonchalance pour laisser le passage au professeur et à son assistant.
Insensible au vacarme des oiseaux et des singes comme à la majesté des itahubas et des caricaris qui le surplombaient, Ernesto Sappati essuya d'une main impatiente la sueur ruisselant sur son visage et s'avança. De petit taille, les gestes vifs et précis, il émanait de lui un fascinant mélange d'intelligence et de rouerie qui incitait a la prudence autant qu'à l'admiration.
- Enfin ! s'exclama-t-il. Voilà pour ceux qui prétendent que la civilisation maya ne s'est jamais étendue si loin au sud, et voilà pour ces êtres bornés qui ont tentés par tous les moyens de me mettre des bâtons dans les roues.
Emiliano, son jeune assistant, l'interrompit pour désigner du doigt les bas-reliefs sculptés dans la pierre sombre de l'édifice. Ils disparaissaient à moitié sous l'exubérante végétation équatoriale, mais leur partie visible avait suffi à alerter.
- Ces motifs ne ressemblent pas a ceux qui ornent Uxmal ou Tikal, remarqua-t-il. On dirait...
- Billeversés ! le coupa Ernesto Sappati. Cette pyramide à été construite par les Mayas. Son architecture le prouve, cet escalier que nous venons de gravir, son orientation...
- Justement, il n'y a qu'un escalier au lieu des quatre traditionnels. Je n'ai en outre compté que sept paliers et non neuf.
- Qu'importe le nombre de paliers ! s'emporta le professeur. Éclairez plutôt ce couloir et suivez-moi.
Avec un haussement d'épaules, Emiliano dirigea le faisceau de la puissante lampe torche électrique qu'il avait tirée de son sac vers l'intérieur de la pyramide. Une nuée de chauves-souris géantes jaillit soudain de l'obscurité, frottant leurs têtes avant de plonger sur les arbres. Le professeur gratifia son assistant qui avait sursauté d'un regard dédaigneux et s'engagea dans le couloir.
Emiliano et João Bousca le suivirent.
Sous leurs pieds, la poussière et un entrelacs de racines rampantes remplacèrent très vite les mousses et les fougères, tenues à distance par l'absence de lumière. Les murs de pierre étaient gravés de motifs géométriques complexes qu'Emiliano aurait aimé étudier de plus près, mais Ernesto Sappati en avait décidé autrement. Courant presque, il gagna la salle qui s'ouvrait a l'extrémité du couloir. Y trouver la statue d'un dieu maya, peut-être Quetzalcòatl en personne, lui offrirait bien la célébrité et la reconnaissance de ses pairs. Cette reconnaissance qu'il avait toujours recherchés. Cette reconnaissance qui l'avait toujours fui. Cette...
Il se figea.
La salle était peut-être un temple, mais elle ne contenait aucune effigie, aucun autel, aucune sculpture en rapport avec les Mayas ou autre civilisation précolombienne. Elle n'était pourtant pas vide. Un cube de pierre d'un peu plus d'un mètre d'arête, effrayant de noirceur, occupait son centre.
Flottant entre le sol et le plafond.
Pendant une minute qui parut durer une éternité, Ernesto Sappati et Emiliano restèrent figés par la stupeur et l'incrédulité, puis ils se reprirent. L'un se baissa pour observer le dessous du cube tandis que l'autre en effectuait le demi-tour.
Rien.
Aucune attache, aucun lien ne retenait le bloc de pierre. Il flottait comme une baudruche alors que sa structure clamait une masse de plusieurs tonnes.
- É magia, é a obra do diablo ! gémit João.
- Tais-toi donc ! l'invectiva Ernesto Sappati. Il y a forcément une explication rationnelle à ce phénomène et je vais la trouver.
- É a obra do diablo, répéta le colosse en reculant d'un pas.
Sans se soucier d'avantage du guide, le professeur s'approche du cube. Du granit, ça devrait être du granit, ou, peut-être, une variété de marbre grumeleux. Cela n'expliquait toutefois pas pourquoi ce diable de rocher tenait en l'air... Avec une infinie hésitation, Ernesto Sappati posa sa main à plat sur la pierre. Il la retira aussitôt. Il faisait une chaleur étouffante dans la jungle. Quarante degrés au moins, qui en paraissait dix de plus tant l'atmosphère était chargée d'humidité.
Or le cube était glacé.
- Va chercher les autres, ordonna le professeur à João. Qu'ils montent le matériel.
Une heure plus tard, la salle était brillamment éclairée par quatre projecteurs placés à chaque coin, Ernesto Sappati avait pris une cinquantaine de photos du cube, sous tous ses angles, avec toutes les résolutions que lui offrait son objectif... Et il n'avait toujours pas la moindre idée de ce qui causait la lévitation.
Les six porteurs brésiliens et João se tenaient à l'entrée de la salle, psalmodiant une litanie de prières et d'incantations. Ils étaient blêmes et le mot "diablo" - diable en brésilien - revenait sans cesse. Emiliano, après avoir contemplé le cube avec une moue dubitative, s'était lancé dans l'étude d'une fresque gravée sur un des murs.
- C'est curieux, finit-il par dire. Les personnages représentés sur cette fresque sont rassemblés en sept groupes. Croyez-vous qu'il s'agisse des sept tribus nahuas de la légende ?
Ernesto Sappati haussa les épaules.
- La légende à laquelle vous faites allusion est aztèques et non maya. Elle n'a donc rien a voir avec ce qui nous intéresse.
Il avait parlé sur le ton méprisant qu'il avait coutume d'employer lorsqu'il s'adressait a son assistant, ce qui ne l'empêcha pas de s'approcher pour observer la fresque.
- Chaque groupe possède des particularité physiques remarquables, constata-t-il en passant les doigts sur la pierre. Comme s'il s'agissait de familles plutôt que de tribus... Et là !
Il désignait, à l'endroit ou semblaient converger les sept familles, une forme sculptée avec précision.
Un cube.
Une cube creux, ouvert selon une ligne de courbes.
Ernesto Sappati et Emiliano comprirent au même moment. Ils se précipitèrent sur le bloc de granit noir et entreprirent de l'épousseter avec soin. Ils eurent toutefois du mal à distinguer l'infime sillon qui serpentait sur quatre de ses faces. Sans lafresque, ils ne l'auraient jamais découvert.
- João ! Un marteau et un burin !
- Attendez, intervint Emiliano. Ne croyez-vous pas que vous devions prendre le temps de réfléchir ? Ne serait-il pas préférable d'étudier cet objet dans un laboratoire ?
- Et comment comptez-vous le déplacer ? railla le professeur. La masse volumique du granit est supérieur a deux mille sept cents kilos par mètre cube. Sans parler de ce phénomène de lévitation que nous n'avons aucun moyen de contrôler.
- Nous pourrions demander de l'aide.
- Pour que des confrères peu scrupuleux s'arrogent le fruit de mon travail ? Il n'en ai pas question ! João, un marteau et un burin !
Ernesto Sappati devinait que la pierre sombre était plus dire que du granit. Bien plus dure. La bataille pour l'entamer serait longue et difficile. Il gala le burin dans la rainure, leva son marteau et l'abattit de toutes ses forces.
Avec un craquement sec, le cube se fendit.
Ses deux moitiés s'écrasèrent au sol dans un vacarme assourdissant.
Une volute de fumée noire, si dense qu'elle en paraissait huileuse, se répandit à l'intérieur de la salle.
À cet instant précis, les lampes des quatre projecteurs explosèrent, plongeant la scène dans une totale obscurité.
Des hurlements s'élevèrent.
D'abord de terreur.
Puis de douleur.
Terribles.
Ils cessèrent très vite.
Après trois mille six cents ans de captivité, le Vengeur était de nouveau libre.
Et bien megablackout est devenu parano depuis l'arrivée de trois ou quatre faux comptes de gens qu'on connaissait et ils ont foutu le bordel.
Sinon j'ai hâte de voir ça
Il est temps de vous éclaircir un peu plus : cette fic n'a effectivement rien a voir avec l'univers des Transformers; j'espère qu'elle vous plaira quand même !
Remarque : ceci était le chapitre #0, je l'ai nommé ainsi car je ne savais pas quoi mettre à la place. En fait, c'est plutôt une prologue qu'une chapitre.
Bon sang c'est vraiment trop bien écrit
J'ai eu l'impression de lire un de ces vieux livres ennuyeux écrit par un de ces auteurs super connus par les profs de français. Bref c'est vraiment génial quoi, bravo continue comme ça