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Assassin's Creed Origins

Sujet : [FIC] Cent Ans
Darth_Golgoth
Niveau 10
18 juillet 2018 à 00:14:52

Je sais :hap:

Jadas
Niveau 10
12 août 2018 à 16:04:00

https://drive.google.com/open?id=1WAtTha8NLCMvxy43id8t9OL5FyqCbv2c
 
 

Précédemment dans « Cent Ans » : Après s'être séparés dans les différents quartiers de l'Hôtel, les trois Assassins se retrouvent et partagent leurs maigres informations. Loup n'a pas trouvé grand chose, et Alix en sort seulement avec la quasi certitude que Sigismond désire la paix et la fin du schisme. Néanmoins, Gautier leur révèle une information plus concrète : la reine Isabeau, peu après Azincourt, a tenté de doubler Bernard VII, nommé connétable peu avant, en offrant sa place à Charles de Lorraine, partisan des Bourguignons. Bien qu'il ait refusé, cela diminue davantage encore la crédibilité d'Isabeau aux yeux de Gautier.
 
 

                                                                      • CHAPITRE 44 •
 
 

« Elle aura sûrement regagné ses quartiers après le Conseil, fit Gautier. Peut-être même s'est-elle entretenue avec le connétable, qui sait ?
— Ou alors a-t-il appris l'information par un quidam.
— Certes, renchérit Alix, je ne vois pas pourquoi la reine l'aurait gratifié d'un tel fait. Bernard lui en veut assez.
— Vous avez raison, admit Gautier. Je parie qu'il sait pour le duc de Lorraine depuis un petit bout de temps, mais qu'il a gardé cela dans un coin de son esprit pour confondre Isabeau plus tard. Après tout, ce doit être son but.
— Probable, acquiesça Loup. Pour l'heure, allons exiger des réponses. »

Dès lors qu'un quelconque rapport était nécessaire, les Assassins avaient pris l'habitude de s'entretenir avec la reine dans sa propre chambre ; ce fut donc tout naturellement qu'ils en prirent le chemin. Néanmoins, ne désirant pas davantage attirer l'attention, ils se permirent une petite fantaisie, et empruntèrent un passage dérobé qu'Isabeau leur avait révélé « au cas où les choses viendraient à se corser ». D'accord, ce n'était pas là un cas d'extrême urgence, mais l'idée d'être épiés par des gardes et autres ne leur plaisait pas, surtout maintenant qu'il était question d'incriminer leur souveraine. Cette dernière ne faisait certes pas l'unanimité, mais tout de même.

Dos au passage, la reine eut un léger hoquet de surprise lorsque Loup accepta qu'elle le remarquât, ce qu'elle n'avait pas eu le loisir de faire jusqu'à présent, tant les Assassins maîtrisaient leur art. Si Ralph avait été là, sûr qu'on se serait fait repérer.
Gautier serra le poing. Ralph n'était plus là, il ne devait plus constamment tout ramener à lui.

« Pourquoi prendre le passage ? demanda la reine, curieuse.
— L'envie, répliqua nonchalamment Gautier, dont le visage baignait à demi dans la lumière.
— L'envie de me procurer de fabuleuses nouvelles, j'en suis persuadée.
— Oh, vous n'allez pas être déçue. »

Sur le ton presque malicieux de Gautier, Isabeau, retournée depuis peu vers le groupe, fronça les sourcils une fraction de seconde, avant de se reprendre.
Un silence s'installa, durant lequel la reine les détailla un par un, comme pour sonder leurs intentions, mais elle sembla ne rien en tirer, car son expression royale jamais ne se dégrada.

« Eh bien ? s'impatienta-t-elle au bout d'un moment.
— Eh bien... »

Une fois encore, Gautier la laissa sur sa faim, savourant autant que possible son maigre avantage. Dans un sens, il pouvait comprendre l'attrait du pouvoir ; manipuler les puissants n'avait pas de prix. Le soucis, c'était que ce pouvoir résidait souvent entre de mauvaises mains. Enfin, mauvaises... L'avenir en déciderait.

S'apercevant que ses comparses lui accordaient gracieusement le loisir de s'occuper d'Isabeau, Gautier fit s'éterniser le silence. Seul le froissement de ses vêtements emplit la pièce lorsqu'il se posta une poignée de secondes à la fenêtre, faussement penseur. Il pouvait sentir le regard de la souveraine ; ce regard davantage empreint d'inquiétude au fil des minutes sans fin.

Jugeant que c'était là le moment parfait pour tout dévoiler, il lâcha : « Ma reine, je crains ne plus pouvoir vous appeler ainsi encore longtemps. »

En lui faisant de nouveau face, Gautier se délecta de son air estomaqué. D'instinct, Isabeau chercha du regard Loup et Alix qui, malheureusement pour elle, arboraient un air grave.

« Comment osez-vous...
— Comment osé-je ? Oh, gardez-vous de poser une telle question, vous qui intriguez à tout rompre.
— L'intrigue fait partie de...-
— Votre probable acoquinement avec nos ennemis fait-il aussi partie de vos obligeances royales ?
— Jamais je...-
— Tt-tt, la coupa une nouvelle fois Gautier, goguenard. Quid de Charles de Lorraine ? »

Interdite, la reine ne savait quoi répondre. L'intrigant en herbe profita de ce nouveau silence pour s'autoriser un léger rire, presque moqueur.

« Ce n'est pas ce qu'il paraît.
— Ah oui ? Pourtant, il me paraît très clair que votre camp diffère à présent du nôtre. (Il enchaîna, empêchant Isabeau de se défendre.) Il me paraît très clair que vous avez trahi.
— Jamais ! fit la reine avec une pointe de désespoir dans la voix, mêlé à sa fierté naturelle. Pourquoi diable me serais-je alliée au parti qui m'a calomniée des années durant ?
— L'on oublie vite certains affronts lorsque notre intérêt est en jeu.
— Quel intérêt ?
— À vrai dire, je ne sais quel bénéfice vous tireriez d'une telle trahison. Ou peut-être désiriez-vous mourir ? Pour sûr, quand le roi l'apprendra...
— Le roi ? Ah ! À votre avis, qui croira-t-il ? Sa reine bien aimée, ou vous, qui avez tenté de le tuer ?
— Reine bien aimée..., se gaussa Loup.
— Jamais nous..., tenta Alix dans le même temps, vite interrompue.
— Oh, je sais. Mais l'histoire est si facilement manipulable. Et vous semblez oublier à qui vous vous adressez. (Son regard, de nouveau confiant, transperça Gautier.) Vous accusez la reine de France, idiots. Au beau milieu de son propre palais. Il me suffirait d'appeler les gardes, et...
— Et quoi ? osa Gautier. Qui glanerait des informations pour votre compte ? Qui serait vos bras et vos jambes ? Qui serait votre ombre ? Nous n'avons rien à perdre ; vous, si. »

Jadas
Niveau 10
12 août 2018 à 16:06:43

Son interlocutrice sembla se noyer dans ses pensées, pesant probablement le pour et le contre. Gautier ne perdit pas de temps.

« Nous vous servons, alors même que notre alliance initiale fut fondée avec les Armagnacs, dont vous ne semblez plus aussi proche. La raison me dirait d'accorder ma confiance à leur chef, et non à vous.
— Vous ne savez pas de quoi vous parlez. Bernard est...
— Il est ? demanda Gautier, impatient.
— Ce n'est pas l'homme qu'il faut pour diriger le parti. Ce n'est pas ce qu'aurait voulu Louis.
— Louis d'Orléans ? l'interrogea Loup alors qu'il connaissait sans doute déjà la réponse.
— Oui, confirma la reine avec une pointe de mélancolie. Vous n'êtes pas sans savoir que son assassinat a déclenché la guerre civile, qui guettait depuis un certain temps. Les méthodes de Bernard sont inacceptables. S'il vient à gagner, nous perdrons en réalité tout.
— Comment savoir ce qu'aurait voulu d'Orléans, alors même que le conflit n'avait pas commencé à l'époque, hm ? Corrigez moi si je me trompe, mais sa maison et celle d'Armagnac se sont alliées suite à son meurtre, pas avant. Parler pour un cadavre est une perte de temps et d'énergie.
— Je le connaissais, et Louis...
— Louis, Louis, Louis, l'interrompit Gautier, qui n'y tenait plus. Vous n'avez donc que cela à la bouche ? Votre cher duc est mort. Inutile de me lancer cette œillade, tout un chacun connaît votre passé commun. (Isabeau ouvrit la bouche, il leva la main avec un claquement de langue.) Non, je me fiche de savoir si c'est là mensonge ou vérité. Vous mettez sur un piédestal un homme avide du pouvoir qui causa sa perte. Il le désirait tellement qu'il est en mort. Pourquoi en vouloir encore plus alors que vous possédez le trône ? Je viens d'exposer le destin qui vous tend les bras si vous poursuivez dans cette voie. (Personne ne pipait mot.) Vous n'appréciez pas les méthodes du chef Armagnac ? Très bien, vous n'êtes pas la seule, mais cet homme ne représente pas que lui ; vous devez voir plus loin, agir pour votre royaume, et non pas dans votre intérêt propre. Pensez-vous réellement y gagner en essayant de vous rapprocher des Bourguignons ? Si les Anglais sortent vainqueurs du conflit, nous perdrons tout, à votre instar. Oh, ils peuvent bien vous promettre monts et merveilles, mais votre tête finira sur une pique avant même qu'Henri pose son postérieur sur le trône. Sans oublier Jean sans Peur, qui, gargarisé par la victoire, aura à peine le temps de la célébrer. Sa soif de pouvoir finira elle aussi par avoir raison de lui, à l'image de votre duc. Nous pouvons gagner cette guerre, bouter définitivement nos ennemis hors de France, mais pas sous une bannière discordante. Isabeau, il est encore possible de choisir le bon camp ! »

Gautier, presque à bout de souffle, concentra toute son attention sur la reine un instant mais, la voyant plongée dans ses doutes, il se tourna rapidement vers ses comparses, redoutant par ailleurs leur possible désaccord. Après tout, il venait de s'accaparer le dialogue sans concertation préalable, sinon leur accord tacite, mais peut-être avait-il mal interprété celui-ci..
Néanmoins, il comprit vite l'absurdité de ses craintes lorsqu'il croisa le regard approbateur des Assassins.
Alors qu'il mirait de nouveau la reine, celle-ci commença à prononcer de vagues mots dont personne ne saisit la teneur, car la porte s'ouvrit soudainement dans un détonnant fracas, laissant apercevoir la silhouette menaçante... de Bernard VII ? Diantre, qu'est-ce-que...

« Désolé, ma reine », babilla un jeune soldat, avant de se faire éjecter de l'encadrement de l'huis d'un coup d'épaule.
L'air résolu et implacable, le chef des Armagnacs pénétra dans la pièce, ses traits durs imprégnés d'une lumière qui ne les adoucissait en rien.
« Votre Majesté, je viens sur ordre du roi votre époux. (Il dévoila un parchemin officiel frappé du sceau royal. La reine faillit vaciller ; Bernard, pas.) Préparez vos malles, une voiture sous bonne escorte vous attend d'ores et déjà. »

Ébahis, les Assassins se regardèrent comme pour s'entretenir silencieusement. Que diable était-il en train de se tramer ?

« Cette missive, puis-je la voir ? risqua poliment Loup, face à un connétable méfiant, mais plus conciliant qu'à l'accoutumée.
— Faites donc. (Loup s'en empara, puis la lut.) Je précise encore une fois, à toutes fins utiles, qu'une escorte massive attend Sa Majesté.
— Donnez-nous le nom des chevaux, pendant que nous y sommes, ironisa Gautier, qui décida de jouer cartes sur tables. Nous n'allons pas suivre la troupe, mais désirons des explications.
— Fort bien. (Sa réponse étonna Gautier, mais il n'en montra rien.) Votre Majesté, l'un de mes hommes va rester ici pour vous aider, ainsi que vos dames. Je reviens. »

Ni une ni deux, ils se rendirent dans une autre pièce, à l'abri des regards et des oreilles.

« Confronter la reine était osé, dit le connétable de but en blanc.
— Nous écoutiez-vous ? le questionna Alix.
— Plus ou moins. Je vous pensais les roquets de Sa Majesté, mais force est de constater que j'avais tort. Mes excuses. »

Loup hocha la tête pour signifier qu'elles étaient acceptées. Gautier, quant à lui, plissa un moment les yeux, tentant de percer à jour l'Armagnac. Contre toute attente, il ne voyait en lui que pure sincérité en l'instant présent, ce qui le surprenait fortement. Avait-il vraiment changé d'avis à leur propos sur la base d'un unique mouvement de leur part ? Douteux. Et anormal. Mais pas désagréable. Encore moins désavantageux. Toutefois, ce n'était pas la question.

« Alors comme cela, vous êtes sur le point d'évincer votre propre reine ? fit Gautier.
— Reine qui tenta de me devancer avant même que j'y songe. Le vent tourne.
— Comment ?
— Comment ? Mieux vaut que cela reste secret, voulez-vous.
— Qu'importe, abrégea Loup, devançant Gautier cette fois-ci. Pourquoi l'exiler à Tours ?
— L'abbaye de Marmoutier est le lieu idéal. Non seulement j'en connais certains tauliers, mais elle est aussi suffisamment reculée et protégée. Sa Majesté ne nous gênera plus, mais sans rien risquer pour autant.
— Nous ? s'esclaffa Gautier.
— Vous n'êtes plus tout à fait de son côté, n'est-ce-pas ? (Gautier ne nia pas.) Bien, notre alliance est donc sauve. Isabeau n'est plus ce qu'elle était, et son pouvoir décroît. Je suis le gouvernement, à présent ; chacun devra s'y habituer.
— Naturellement, répondit Loup d'un ton toujours aussi courtois. Mais êtes-vous sûr que les Bourguignons ne l'atteindront point ?
— Certain. Quant à Charles, son fils fraîchement revenu, il restera ici. Sa mère ne lui manquera pas, je vous le garantis. Apprendre à régner lui sera davantage profitable.
— Et Jean de Touraine dans tout cela ? Il est le dauphin actuel, après tout.
— Certes, mais sa présence à la cour du Hainaut complique les choses. Les Bourguignons ont quasiment la mainmise sur le garçon.
— Je vois. J'imagine que nous parions donc sur Charles ? déduisit Loup.
— Vous imaginez bien. D'ailleurs, j'ai cru comprendre que vous l'intriguiez, lança-t-il à Gautier, qui arqua le sourcil. Vous devriez vous pencher sur son cas tant que vous êtes ici.
— Hm, j'y penserai », lâcha nonchalamment Gautier.

De fait, il y penserait et le ferait certainement très bientôt. Se rapprocher d'un potentiel dauphin pouvait avoir du bon, non ? Et si ce Jean venait à se positionner réellement du côté bourguignon... Les Armagnacs ne le laisseraient pas agir ainsi, n'est-ce-pas ? Non, ce n'était définitivement pas le genre de Bernard VII. C'était décidé ; s'ils devaient rester quelques jours de plus à la cour, il en profiterait pour visiter le fils d'Isabeau, qui ne l'empêcherait plus d'agir. Quant aux gardes du roi... L'Armagnac s'en chargerait, non ?

« D'ailleurs... Comment se porte votre cher frère ? Où demeure-t-il ? » voulut se renseigner le connétable.
L'aîné se racla la gorge, ne sachant pas trop quoi répondre à cela.
« Ailleurs ? (Il haussa les épaules.) Aucune nouvelle, à vrai dire.
— Regrettable, vraiment. Il surveillait toujours vos arrières, ici... Et il manque aux soldats.
— Je n'en doute point. Nous, les Du Lac, sommes irremplaçables. »

Au grand étonnement de Gautier, le comte eut un rire rocailleux. Le son, pour sûr, venait d'émerger d'un long sommeil au sein de sa cavité buccale. Se pouvait-il qu'il pût se montrer agréable ?

« Enfin. Vous connaissez maintenant le destin de la reine. En tant que dirigeant du parti Armagnac, j'aimerais exprimer mon ravissement de vous savoir de notre côté. Vos exploits d'Harfleur, entre autres, n'ont pas atterri dans l'oreille d'un sourd, sachez-le.
— Dans ce cas, puissent de prochaines prouesses mettre fin à la guerre, rebondit Loup.
— Alors... alliés ? » fit Gautier, avant d'allonger son bras vers le connétable.

Ce dernier le toisa un instant, puis serra fermement la main tendue, véritable symbole.

« Alliés. »

Darth_Golgoth
Niveau 10
12 août 2018 à 17:45:12

Incroyable !
On voit bien que tu ne jettes pas Ralph aux oubliettes jusque parce qu'il est mort. Gautier est toujours en deuil et moi aussi :rire:
Gautier toujours aussi badass lors du face à face avec la reine ! J'ai bien aimé la façon de mettre entre parenthèse qu'il n'y avait pas de bruit ce qui accentue l'effet je l'ai lu en "chuchotant" :rire:
Bernard qui devient un personnage cool :oui:
On nous rapelle le cas de Mathias
Et le plus intéressent à cours terme à mon avis est la possible futur relation que Gautier et le Dauphin vont entretenir.
Grand frère symbolique ? Une relation Maître / élève ?
Hâte de lire la suite :oui:

Jadas
Niveau 10
12 août 2018 à 21:36:27

Incroyable qu'il y ait un chapitre surtout :hap:

Évidemment que j'allais pas abandonner le petit Ralph même s'il est mort. Au moins sa fin était plutôt bien amenée, enfin il est pas tombé dans les escaliers bourré quoi.

J'aime assez cette "technique" de mettre entre parenthèse oui. Tant que j'en abuse pas.
Gautier badass j'espère bien :cool:

Et enfin, tu soulèves un point très intéressant en ce qui concerne la possible future relation entre le dauphin et Gautier. Je spoilerai rien :sournois:

Darth_Golgoth
Niveau 10
12 août 2018 à 23:35:44

T'as pas intérêt à spoil :rire:

Jadas
Niveau 10
15 octobre 2018 à 23:51:14

Mon dieu déjà 2 mois :ouch:
... Toujours fidèle au poste mon cher Golgoth ?

Darth_Golgoth
Niveau 10
24 octobre 2018 à 16:30:14

Ouais je suis là !

Jadas
Niveau 10
25 octobre 2018 à 12:16:08

Alors je te préviens que je vis encore :oui: J'ai une semaine de pause là, donc je vais bosser sur le chapitre autant que possible

Darth_Golgoth
Niveau 10
25 octobre 2018 à 16:48:05

Ah cool ! :oui:

Jadas
Niveau 10
16 décembre 2018 à 14:24:53

Golgoth vu que tu es certainement le dernier survivant je m'adresse directement à toi : vraiment désolée pour cet immense retard, je galère un peu à concilier tout ce que je fais, mais jevais tenter de me remettre à fond dedans autant que possible pour reprendre une cadence honorable et terminer Cent Ans (bien qu'on soit encore relativement loin de la fin). Un énorme merci à toi d'être encore là.

Darth_Golgoth
Niveau 10
16 décembre 2018 à 19:34:48

Pas de problème ! J'ai commencé cette fic il y a un baille je compte bien la terminer ! :rire:
N'hésite pas à m'envoyer des mp dès qu'un chapitre sort :oui:

Jadas
Niveau 10
19 décembre 2018 à 09:52:17

On fait ça ! :oui:

Jadas
Niveau 10
02 mai 2019 à 11:53:15

Mon fidèle Golgoth si tu passes par ici... :hap:
Non, toujours pas un chapitre, mais mes partiels se finissent le 8 mai, donc après ça je vais mettre le turbo pour espérer finir Cent Ans en un temps plus acceptable. Voilà voilà

Darth_Golgoth
Niveau 10
04 mai 2019 à 21:55:19

Comme dirait Renault : "Toujours debout, toujours la banane"

Il n'y a pas de problème je sais me montrer patient ! Bon courage pour tes partiels :oui:

Jadas
Niveau 10
05 mai 2019 à 12:52:18

Je dois tirer la même gueule que lui en ce moment donc bon exemple :hap:
Merci ! Toi c'est le bac cette année ?

Darth_Golgoth
Niveau 10
05 mai 2019 à 18:20:37

Bac de français :oui:
Faudrait que je m'y mette...
Surtout l'oral qui m'a l'air d'être le plus dur.

Jadas
Niveau 10
06 mai 2019 à 13:59:02

C'est ce que je me disais. Boh tu sais c'est pas si difficile,ds surtout que t'as moins de textes ? Dans mes souvenirs t'es pas en L. Mais bon je vais pas faire genre je stressais pas mal à l'époque (pas si lointaine). Mon 20 à cet oral reste une fierté, merci Montaigne :hap:

Courage aussi alors ! Heureusement que je finis déjà demain :noel:

Darth_Golgoth
Niveau 10
06 mai 2019 à 23:02:19

Ouais je suis en S donc oui moins compliqué :oui:

Wouaw 20 à l'oral ! Franchement gg :fete:

Jadas
Niveau 10
07 mai 2019 à 12:11:18

Argh ces S :hap:
Ouais et 19 à l'écrit. J'aurais bien aimé avoir ma copie pour voir ce qu'on me reprochait :noel:

Sujet : [FIC] Cent Ans
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