Oh merde, sweet 
Sweet khey j'adore pour l'instant 
La suite de nœud papillon ! 
Oh putain.
Tu t'es mass amélioré en écriture, mais c'est dommage que y est plus l'aspect bordélique de la fic, c'est bien plus sérieux maintenant. 
A mon avis ce n'est seulement que le début
D'ailleurs j'en profite pour dire l'info Osef: la scène dans le parc est la première de cette suite a être inspiré de mon vécu 
L'idée de la fic entière d'ailleurs est inspiré de mon vécu et d'histoires que j'entend, en modifié/amplifié évidemment
Voila c'est tout peut-être à demain
Sweet stp khey 
Sweet
Sweet
Si on je DDB 
Sweet putaaaaaaaing
La sweet
Sweeeet 
![[[sticker:p/1jng]]](https://image.jeuxvideo.com/stickers/p/st/1jng)
Je suis un peu en retard je sais, j'étais pas mal occupé/crevé cette semaine La suite 
Je jette un regard noir au proprio.
-Vous êtes sérieux?
-On ne peux plus sérieux jeune homme, me dit-il de sa voix mielleuse.
C'est un homme ventripotent, chauve, rasé de près avec un visage bouffi. Il est habillé d'un costume-cravate classique, veste, pantalon et cravate noir, chemise blanche. Et par dessus tout, il a une vraie tête de faux-cul, le genre de mec qui te baise avec le sourire.
-Mais...
-Mais mais mais t'as quatre mois de loyer en retard mon petit lapin! T'as dégradé la porte des chiottes et jamais fais le ménage? Tu pense que je vais te laisser faire longtemps?
-Mais avec tout le respect que je vous dois je vous emmerde, rétorquai-je, je travaille, j'ai un vie! Et puis tant que c'est ma merde a moi je...
-T'es chez moi! Me coupe-t-il, je loue ce studio! Et t'as de la chance que j'ai rien dit aux flics pour la beuh planquée sous le canapé! Alors maintenant tu prend tes clics et tes clacs, ou ton shit et ton crach et tu t'en va!
-Pfff très bien...
Je prend les quelques affaires survivantes, à savoir des cigarettes, la fameuse beuh, des feuilles slim, un greender, du pain, une bouteille de whisky, deux t-shirt, un pantalon, un briquet, un paquet de chips, un peu de viande, met le tout dans le sac poubelle et m'en vais.
Cette fois ça y est, je suis SDF. Que va-t-il advenir de moi? Qu'importe...
-William, chuchotai-je a moi même dans la rue, je crois bien que c'est la fin cette fois...
J'attrape la première bouteille presque finie et bois une grande goulée.
-Aaaah... Ahhhhh....
Je ressens une sensation étrange, une chaleur désagréable en moi, mais qui m'est familière...
-Bleeeeuuuurg!
Et je dégueule le peu que j'ai dans le ventre et le whisky précédemment absorbé. Je crache les restes, me redresse difficilement et reprend mon chemin. J'ai mal putain, je me tords de douleur intérieurement,. Non pas depuis maintenant, quoique la douleur à un peu augmenté, mais depuis des années, je brûle, je brule a petit feu, et la boisson n'arrive pas à l'éteindre...
Je sais ou aller cette nuit finalement. Je continue à marcher sur quelques rues en boitant jusqu'aux vieux quartiers, qui sont progressivement devenus des logements à cas soc' au fil du temps...
Mais l'ambiance n'est pas comme d'habitude, puisqu'un rassemblement de véhicule, appartenant aux pompiers, à l'hopital et à la gendarmerie y sont présents. Que se passe-t-il ici? Une bagarre? Je vais y aller voir de plus près...
-Alors, tu l'as ce pétard?
-J'ai mieux, dis-je a cette fille, un rail ça te dit?
-Pourquoi pas ouais.
Ni une ni deux, je répand la poudre blanche et l'aspire d'une traite par le nez.
-Aaah! A toi!
Elle fais de même.
-Aaah ça démonte! S'écrie-t-elle.
Elle a encore des résidus sur le nez, qu'elle enlève avec ses doigts pour les avaler. Je ne connais pas cette fille, nous sommes la pour affaire, si vous voyez ce que je veux dire. Elle doit avoir la vingtaine, les cheveux noirs très longs, le visage dégradé, des yeux marrons, habillée comme une clocharde avec une longue veste kaki usée, un jean trouée et des chaussures marrons dégueulasses. On m'avait dit qu'elle cherchait un plan et qu'elle serai prête à faire écouler ma cocaïne et mon herbe. Pas manqué.
-Par contre j'ai pas de thunes sur moi...
-Quoi?
-Non, me dit-elle presque apeurée, j'ai rien sur moi...
-Tu te fous de ma gueule?! Dis-je en haussant le ton.
Elle baisse les yeux de peur et de honte. Après un temps, elle relève la tête:
-Mais on peut s'arranger autrement...
-?
-Si tu vois ce que je veux dire... Souffle-t-elle en caressant ma jambe.
Surpris mais agréablement, je me dis que pourquoi pas, ça fait longtemps, faut bien se les vider. Voyant que je met du temps à répondre, elle accentue la pression sur mon pantalon en se rapprochant doucement de mon sexe.
-Ok, me décidai-je, fais moi juste une pipe, ça ira très bien.
Je commence même à bander...
-Okay... dit sa voix coquine.
Elle déboutonne mon jean, pose sa bouche sur mon pubis me masse avec ses lèvres en faisant glisser ses doigts sur l'elastique de mon caleçon pour le baisser progressivement.
-Fiou... Soufflai-je de plaisir.
Je sens la chaleur monter une fois le monstre à l'air quand elle l'empoigne fermement et commence a faire des va-et-vient. Au fur et à mesure que je me détend, mon sexe devient de plus en plus dur, elle prend l'initiative à glisser quelques coups de langue sur le bout de mon gland.
-Ooohh...
Puis elle le met d'abord partiellement en bouche avant de l'engloutir complètement. Cette chaleur... Cette humidité... Qui n'est rien qu'à moi... Vendre de la drogue ça paye, purééée...
Elle y met du coeur à l'ouvrage, ça se voit que ce n'est pas la première fois qu'elle fait ça...
L'oeuvre dure bien dix minutes quand la jouissance atteint son paroxysme, et qu'elle sent la chose venir, je l'attrape par les cheveux, lui fait ouvrir grand la bouche. Après les derniers mouvements, je lui ordonne, juste avant la sauce:
-Avale!
Ce qu'elle fit sans broncher, comme une actrice porno.
Suite après mangé
"Avale!
Ce qu'elle fit sans broncher, comme une actrice porno.
Suite après mangé "
Gros porc,t'es ignoble
