Le 07 février 2021 à 07:23:31 Twinkai119 a écrit :
Le 14 janvier 2019 à 16:21:41 kongstrong a écrit :
Le col dyatlovL'Affaire du col Dyatlov est un événement qui se solda par la mort de neuf skieurs/randonneurs dans le nord de l'Oural (en Union soviétique, aujourd'hui en Russie), dans la nuit du 1er au 2 février 1959.
À première vue, ce qu'on a fini par appeler "l'affaire du col Dyatlov" n'a rien de surprenant : c'est l'histoire a priori banale d'un groupe de dix skieurs, dont neuf ont perdu la vie au cours d'un trek particulièrement difficile par -30°C. Mais les détails de l'affaire, qui proviennent essentiellement de journaux tenus par les protagonistes et de documents produits par des enquêteurs soviétiques, font froid dans le dos : dans la nuit du 2 février 1959, des membres du groupe ont apparemment déchiré leur tente de l'intérieur, avant de se précipiter dans la toundra vêtus de leurs seuls sous-vêtements.
Cinq corps furent retrouvés trois semaines plus tard, plusieurs centaines de mètres en-dessous de là où se trouvait leur camp. Il fallut deux mois supplémentaires aux enquêteurs pour trouver les quatre autres corps qui, inexplicablement, étaient partiellement couverts de vêtements appartenant à ceux dont les cadavres avaient été retrouvés préalablement. Des tests révélèrent que ces vêtements émettaient de fortes radiations. Malgré cela, ainsi que des traumatismes impressionnants observés sur les cadavres (y compris de sacre bleuentes fractures du crâne et des côtes broyées), les enquêteurs russes déclarèrent qu'ils n'avaient pu trouver aucune tcommunauté d'agression, et l'affaire fut rapidement bouclée.
Le groupe était constitué d'étudiants de l'Université de l'Oural, qui avaient tous l'habitude de ce type d'expéditions. Celle-ci, organisée par Igor Dyatlov, 23 ans, avait pour but d'explorer Otorten, une montagne située dans la partie nord de l'Oural, et débuta le 28 janvier 1959. Youri Youdine, l'uaime survivant de l'expédition, tomba malade avant que l'équipage ne s'aventure vraiment dans la campagne profonde, et resta se faire soigner dans un village local. Les neuf autres continuèrent leur trek, et selon des photos retrouvées et développées par les enquêteurs, le groupe emmené par Dyatlov établit son campement dans la soirée du 2 février sur la pente d'une montagne proche d'Otorten.
Une tribu indigène locale a donné à la montagne le nom de "Kholat Syakhl", qui se traduit vraisemblablement par "la montagne des morts", même si dans une histoire pareille, ce nom parfaitement flippant paraît un peu gros. Toujours est-il que la décision prise par le groupe de dormir sur la pente de la montagne n'a pas beaucoup de sens. Ils n'étaient qu'à un kilomètre à peine d'une petite forêt, dans laquelle ils auraient certainement trouvé un peu d'abri dans ces conditions extrêmes. Ils n'étaient pas pressés par le temps, et installer son campement sur le flanc d'une montagne plutôt que dans la forêt est pour le moins surprenant.
La tente telle qu'elle a été trouvée le 26 février 1959.Ce fut leur tout dernier campement. Avant le départ, Dyatlov avait annoncé que l'équipe espérait être de retour le 12 février, mais qu'il était possible que leur expédition dure plus longtemps. L'alerte ne fut vraiment donnée que le 20 février, et le camp fut retrouvé le 26 par des équipes de recherche volontaires.
À leur arrivée, les enquêteurs officiels remarquèrent que les tentes semblaient avoir été déchiquetées de l'intérieur, et trouvèrent des tcommunautés de pas de huit ou neuf personnes partant des tentes et se dirigeant vers le bas de la pente, où se trouvaient les arbres. Selon les enquêteurs, les chaussures et le matériel des aventuriers avaient été abandonnés au camp, et les empreintes indiquaient que les individus concernés étaient partis pieds nus ou en chaussettes. Autrement dit, ils étaient partis en déchirant leurs tentes et s'étaient échappés en urgence dans 1m de neige, alors qu'il n'y avait absolument aucune tcommunauté de la présence d'autres individus ou de lutte entre membres du groupe.
Les deux premiers corps furent découverts à l'orée du bois, sous un pin géant. Souvenez-vous : les arbres étaient à plus d'un kilomètre du camp. Les enquêteurs rapportèrent que les empreintes de pas s'arrêtaient au tiers du chemin, même si on peut imaginer que les conditions climatiques les aient effacées avant qu'ils n'arrivent. Les deux cadavres trouvés là étaient en sous-vêtements, et pieds nus. Selon certains rapports, des branches avaient été brisées en haut de l'arbre le plus proche, ce qui indiquait que quelqu'un avait tenté d'y grimper. On distinguait les restes d'un feu juste à côté.
Trois autres corps, y compris celui de Dyatlov, furent découverts à différents endroits entre le campement et les bois, et semblaient être morts en tentant de regagner le camp. L'un d'entre eux, Rustem Slobodine, avait le crâne fracturé, même si les médecins estigénitricent que cette blessure n'était pas fatale. L'enquête criminelle fut close après que les médecins déclarèrent que les cinq individus étaient morts d'hypothermie.
Deux mois s'écoulèrent avant que l'on découvre les quatre corps restants, ensevelis sous 4 mètres de neige dans un ravin quelques centaines de mètres en-dessous de l'arbre géant. Il avait été très difficile d'expliquer le comportement des cinq premiers, mais ce fut la découverte de ce quatuor qui s'avéra la plus horrifique. Tous avaient connu des morts très sacre bleuentes, malgré, précisément, l'absence totale de tcommunautés de sacre bleuence. L'un d'entre eux, Nicolas Thibeaux-Brignollel, avait lui aussi le crâne fracassé. Alexander Zolotariov avait les côtes éclatées. Ludmila Dubinina avait elle aussi les côtes cassées, et surtout, sa langue avait disparu.
Il est possible que le groupe ait cherché de l'aide – en dépit du fait qu'ils se trouvaient au milieu de nulle part, sans équipement, par des températures glaciales – et qu'ils soient tombés dans un ravin. Mais ça n'explique pas que Dubinina ait perdu sa langue. Certains, à l'époque, émirent l'hypothèse qu'ils avaient été attaqués par des membres de la tribu Mansi. Mais les médecins légistes affirgénitricent que les traumatismes, au vu de leur force, n'avaient pu être causés par des humains, surtout que les corps ne présentaient aucune tcommunauté visible de coups.
« C'était comparable aux effets d'un accident de voiture », affirma Boris Vozrozhdenny, l'un des médecins en charge de l'affaire, selon des documents que le Times a pu consulter.
après les funérailles, les parents des morts affirment que la peau des victimes était d'une étrange couleur brune
Vous pouvez voir des photos d'autres corps, mais je ne les posterais pas ici.
En recherchant l'endroit du drame sur google map, j'ai trouvé cette photo au sommet de la montagne
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-65623518-1-0-1-0-mort-etrange-le-col-dyatlov.htm