À Bolzano, au nord de l’Italie , Benno Neumair, un homme de 31 ans a étranglé son père et sa mère puis s’est débarrassé de leurs corps dans l’Adige, un fleuve qui passe notamment par Vérone. À l’origine du drame, une querelle au sujet de la participation du fils au loyer. L’homme qui avait commis ce double homicide en janvier ne s’est confié que très récemment sur les raisons qui l’ont poussé à tuer ses parents Peter Neumair et Laura Perselli. Il raconte.
« Papa me rappelait que je ne valais rien »
Benno Neumair rentre au domicile familial dans l’après-midi du 4 janvier dernier et une dispute éclate entre son père et lui. « Papa me rappelait que je ne valais rien. Il m’a servi un discours sur mes responsabilités, sur ma sœur… Je me suis senti sous pression, sans aucune échappatoire. » Il développe ensuite : « Mon père me reprochait de ne pas participer assez à la maison. Et comme souvent, je suis allé dans ma chambre pour ne plus avoir à lui répondre ». L’homme actuellement en détention pour double homicide et dissimulation de cadavres raconte s’être finalement endormi. C’est à son réveil qu’une nouvelle dispute a éclaté.
« Mon père voulait que je me prenne un appartement, autrement il me demanderait 700 euros, soit 1/3 du loyer puisque nous sommes trois adultes à la maison. Je lui ai répondu que ce n’était pas juste alors que de son côté il insistait sur le fait que je devais quitter le domicile familial puisque ma sœur, elle, se payait toute seule son appartement en Allemagne. »
« Je l’ai fait taire »
Le meurtrier explique ensuite comment il a commis ses crimes, car il a aussi tué sa mère alors qu’elle n’était même pas encore présente au moment de la dispute. « Je l’ai fait taire et j’ai pris la première corde de randonnée que j’ai trouvée dans une bassine en plastique où je range mes outils. » Il confie avoir étranglé son père « très fort » et s’être ensuite allongé par terre, dans le couloir, jusqu’à entendre les clés de sa mère dans la porte.
De là, il se dirige vers l’entrée, corde à la main, et raconte qu’il a eu l’idée de lui réserver le même, « sans même lui dire bonjour ». Il part ensuite en balade à vélo pour se débarrasser des téléphones de ses parents, puis revient récupérer les corps qu’il jette dans l’Adige. À son retour à la maison, il prend une douche puis téléphone à sa mère qu’il a tuée… Il conclut « J’étais content d’entendre son téléphone sonner parce que ça voulait dire que je m’étais peut-être imaginé tout ça. »
Son procès est en cours.
https://www.xibaaru.sn/il-tue-son-pere-qui-lui-demande-de-payer-le-loyer/
Kang Hosoon (né le 10 octobre 1969) est un tueur en série sud-coréen suspecté d’avoir tué sept femmes. Il fut arrêté le 25 janvier 2009 pour avoir assassiné une étudiante universitaire à Ansan, à une trentaine de kilomètres au sud de la capitale sud-coréenne1. Le 30 janvier, après que l’on a découvert des traces de sang de l’une de ses victimes sur ses vêtements, il a confessé avoir torturé, violé et étranglé à mort six autres femmes dans la province de Kyonggi1, qui ont été portées disparues entre le mois de décembre 2006 et le mois de novembre 2008, dans un des pires cas de meurtres en série de la Corée du Sud2.
Crimes et investigation
« Les apparences sont souvent trompeuses ». On ne peut mieux décrire que par cette expression le tueur en série Kang, qui était décrit comme « un homme doux et à qui on pouvait faire confiance »1 par ses voisins et collègues de travail. Il était également bel homme et affable. Son visage rieur, apparaissant dans quelques journaux, est assez pour démonter la nature brutale de son crime. Le suspect était aussi apparemment adroit à cacher sa vraie identité sous son apparence docile2.
Il est allégué que son premier homicide se fit le 14 décembre 2006 lorsqu’il a étranglé à mort une employée d’un bar karaoké de 45 ans après avoir passé la nuit avec elle à Hwaseong1 et que les deux eurent eu des rapports sexuels. En date du 7 janvier 2007, il avait déjà tué quatre autres femmes. Censément, il tua une femme au foyer de 48 ans 22 mois plus tard, soit le 19 novembre 2008, à Suwon, ainsi qu’une étudiante de 20 ans à Gunpo un mois plus tard2.
Durant 2 jours, la police a emmené Kang Ho-soon sur les lieux de ses meurtres avoués pour reconstituer les crimes, devant les caméras de télévision. Le suspect a expliqué comment il avait agi sans montrer la moindre émotion, "sans regret, ni agitation". Il a indiqué où il avait abandonné ses autres victimes, qu’il a enterrées dans les collines1. Des investigateurs ont ainsi pu trouver quatre corps et les ont envoyés à l’Institut National d’Investigation Scientifique pour des analyses d’ADN, a dit Na Won-ho, un officier de police impliqué dans le cas. Un autre corps a été trouvé l’an dernier. Les investigateurs n’ont pas trouvé le corps d’une victime. Tel que reporté par Na, Kang a dit qu’il avait enterré le corps à un endroit ayant subi des changements de terrain depuis qu’un terrain de pratique de golf fut bati à cet endroit2.
Kang est également suspecté d’avoir lui-même allumé l’incendie criminel de 2005 ayant causé la mort de sa quatrième femme et de sa mère1, laquelle accusation Kang a dénié, comme l’a mentionné la police dans un rapport. La police a également mentionné aux investigateurs que Kang s’est senti « délaissé » après la mort de sa femme et a ainsi développé ce besoin de tuer environ un an après2.
Les investigateurs, experts en crime, et le public se demandent ce qui a pu motiver Kang à commettre autant de meurtres, bien qu’il eût déjà été condamné dans le passé pour d’autres crimes1. Des psychologues criminels ont précisé que Kang pouvait bien être un psychopathe typique, manquant de sentiments de componction et de culpabilité. Kang a dit à la police qu’il approchait ses victimes pour le sexe ou avec l’intention de les violer pour ensuite les étrangler avec une paire de bas de nylon et enterrer leurs corps. On a d’ailleurs découvert des sous-vêtements féminins et plus de 70 paires de collants dans sa maison de Ansan1. Les investigateurs ont rapporté une citation de Kang : « je n’ai pu supprimer mes pulsions après avoir commis le premier meurtre »2.
Kang Ho soon a manifesté l’intérêt d’écrire un livre relatant ses propres crimes, dans le but que ses 2 fils issus de son premier mariage puissent toucher des droits sur les ventes. Bien qu’il ait nié avoir personnellement allumé l’incendie criminel ayant tué sa quatrième épouse et la mère de cette dernière, il craindrait encore que les assurances lui réclament l’argent qu’il avait reçu de l’assurance vie après le décès de ces dernières1.
Liste des victimes connues
Bae, 45 ans, employée dans un bar karaoké, à Gunpo, le 14 décembre 2006
Park, 37 ans, employée dans un bar karaoké, à Suwon, le 24 décembre 2006
Park, 52 ans, employée de bureau, à Hwaseong, le 3 janvier 2007
Kim, 37 ans, employée dans un bar karaoké, à Anyang, le 7 janvier 2007
Yeon, 20 ans, étudiante universitaire, à Suwon, le 7 janvier 2007
Kim, 48 ans, femme au foyer, à Suwon, le 9 novembre 2008
Étudiante universitaire inconnue, 21 ans, à Ansan, le 19 décembre 2008
Condamnation
En 2005, un autre tueur en série sud-coréen, Yoo Young-chul, a été condamné à la peine capitale pour les meurtres de 20 personnes qu’il avait démembrées afin de les enterrer1.
En 2007, un autre tueur en série sud-coréen, Chung Nam gyu, avait pour sa part été condamné à mort pour les meurtres de 13 personnes et 20 autres tentatives1.
Si Kang Ho soon est déclaré coupable, il devrait être en mesure d’échapper à la peine capitale comme ses deux derniers prédécesseurs, celle-ci était encore dispensée mais n’étant plus exécutée depuis près de 10 ans en Corée du Sud1.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Kang_Ho-soon
Daniele Lopresti, l'étrange mort d'un paparazzo
Beyoncé, Scarlett Johansson, Rihanna... Le photographe Daniele Lopresti avait surpris les stars dans leur intimité. Il a été retrouvé mort cette semaine à Rome, une balle dans la tête.
Ses faits d'armes lui ont valu la haine de personnalités du monde entier. Daniele Lopresti, 43 ans, était de ces photographes dont les stars préfèrent fuir les objectifs plutôt que les rechercher. Paparazzo de renom, il avait, comme le rappelle le «Daily Mail», surpris les plus grandes célébrités de la planète dans leur intimité: Scarlett Johansson, Beyoncé, Rihanna... Le chasseur de stars a été retrouvé mort à Rome, tué d'une balle dans la tête.
Les faits se sont déroulés le 27 février et c'est l'agence de presse italienne La Presse , avec qui collaborait Daniele Lopresti, qui les a rapportés. En fin d'après-midi, alors que le photographe partait faire son jogging, il a été abattu sur une piste cyclable du quartier de Testaccio, à Rome, la ville où il habitait et travaillait. Il a été retrouvé dans une mare de sang par des amis avec qui il avait convenu d'aller courir, d'après le «Mail». Tout indique que le paparazzo a été victime d'une exécution dans le pur style mafieux.
La police n'exclut pas un lien entre les clichés gênants de Daniele Lopresto et sa mort
Toujours de bonne humeur selon ses collègues, il s'était fait une spécialité d'embarrasser les gens connus par ses clichés. La police n'exclut pas «une connexion entre son travail et sa mort». «Nous examinons tous ses reportages récents, ses coups de fils et ses ordinateurs», a expliqué un porte-parole de la police. Rien n'indique pour l'heure qu'une des célèbres «victimes» du photographe soit liée en quelque manière que ce soit au meurtre. Le «Mail» note que Daniele Lopresti avait semble-t-il été agressé il y a cinq ans par des individus qui avaient incendié sa voiture et menacé sa famille. Troublant aussi, un étrange accident de moto dont a été victime il y a un mois Danilo Ceretti, un collègue de Daniele Lopresti.
Claudio Bernardi, un photographe à La Presse, a expliqué que Daniele Lopresti venait de rentrer d'un voyage d'une semaine en Calabre. «Il avait probablement l'intention de partir pour Capri ou une autre destination touristique pour y faire des images exclusives.» La mort l'en a empêché.
https://www.parismatch.com/Actu/International/Daniele-Lopresti-l-etrange-mort-d-un-paparazzo-228625
Les meurtres à l'hôpital de Malmö Östra étaient un cas suédois de meurtres en série commis par Anders Hansson, 18 ans, dans un hôpital de Malmö entre octobre 1978 et janvier 1979.[1] Hansson a empoisonné des patients âgés pendant ses heures de travail comme infirmier avec les détergents Gevisol et Ivisol.
Dans la partie de soins de longue durée de l'hôpital, un total de 27 patients sont morts empoisonnés, avec au moins 15 victimes confirmées.[2] Quinze autres patients ont également été victimes de tentative de meurtre. En août 1979, Hansson a été condamné à un traitement psychiatrique fermé, où il est resté jusqu'en 1994.
https://en.wikipedia.org/wiki/Malm%C3%B6_%C3%96stra_hospital_murders
Genene Anne Jones (née le 13 juillet 1950) est une tueuse en série américaine, responsable de la mort de jusqu'à 60 nourrissons et enfants dont elle avait la garde en tant qu'infirmière professionnelle agréée dans les années 1970 et 1980. En 1984, Jones a été reconnu coupable de meurtre et de blessures sur un enfant.[1] Elle avait utilisé des injections de digoxine, d'héparine, puis de succinylcholine pour provoquer des crises médicales chez ses patients, provoquant de nombreux décès. Le nombre exact de victimes reste inconnu ; les responsables de l'hôpital auraient égaré puis détruit les dossiers des activités de Jones, pour éviter de nouveaux litiges après la première condamnation de Jones.
Première vie et mariages
Jones a été adopté par un propriétaire de boîte de nuit et sa femme.[6] Elle a travaillé comme esthéticienne avant de fréquenter une école d'infirmières à la fin des années 1970.[7][8]
Jones a été mariée à son amie du lycée entre 1968 et 1974 et ils ont eu un enfant pendant cette période. La relation s'est terminée par un divorce. Trois ans plus tard, Jones et son mari se sont réconciliés et ont eu un autre enfant ensemble en 1977.[6] Juste avant sa mise en examen, elle a épousé une aide-soignante de 19 ans. Il a demandé le divorce peu de temps après.[7]
Carrière et parcours
Alors que Jones travaillait comme infirmière professionnelle agréée (LVN) à l'hôpital du comté de Bexar (maintenant l'hôpital universitaire de San Antonio) dans l'unité de soins intensifs pédiatriques, un nombre statistiquement improbable d'enfants sont morts sous ses soins. Parce que l'hôpital craignait d'être poursuivi, il a simplement demandé à tous ses LVN, y compris Jones, de démissionner et a doté l'unité de soins intensifs pédiatriques exclusivement d'infirmières autorisées. Aucune autre enquête n'a été menée par l'hôpital.[10]
Jones est parti et a pris un poste dans une clinique pédiatrique à Kerrville, au Texas, à environ 60 miles au nord-ouest de San Antonio. C'est ici qu'elle a été accusée d'avoir empoisonné six enfants. Le médecin du cabinet a découvert deux marques de perforation dans une bouteille de succinylcholine (chlorure de suxaméthonium) dans le stockage de médicaments, auquel seuls elle et Jones avaient accès. Le contenu de la bouteille apparemment pleine s'est avéré plus tard fortement dilué avec de l'eau, où il a été estimé que seulement 20 % du contenu du flacon était de la succinylcholine. La succinylcholine est un puissant paralytique à courte durée d'action qui provoque une paralysie temporaire de tous les muscles squelettiques, ainsi que de ceux qui contrôlent la respiration ; le médicament est utilisé dans le cadre d’une anesthésie générale. Un patient ne peut pas respirer sous l’influence de ce médicament. Chez les jeunes enfants, l'arrêt cardiaque est le résultat ultime de la désoxygénation due au manque de respiration.[11]
Jones a affirmé qu'elle essayait de stimuler la création d'une unité de soins intensifs pédiatriques à Kerrville.
Poursuite
En 1985, Jones a été condamné à 99 ans de prison pour avoir tué Chelsea McClellan, 15 mois, avec de la succinylcholine. Plus tard cette année-là, elle a été condamnée à une peine concurrente de 60 ans de prison pour avoir failli tuer Rolando Santos avec de l'héparine.[14]
Depuis mai 2016, Jones était détenu à l'unité Lane Murray du ministère de la Justice pénale du Texas. Elle devait être libérée d'office en 2018 en raison d'une loi du Texas visant à prévenir la surpopulation carcérale.[1][15] Pour éviter cela, Jones a été inculpé le 25 mai 2017 du meurtre de Joshua Sawyer, 11 mois. Nico LaHood, procureur du comté de Bexar, a déclaré que des accusations supplémentaires pourraient être déposées en cas de décès d'autres enfants. En raison de la loi sur la libération anticipée obligatoire couvrant les condamnations initiales de Jones, elle aurait autrement été libérée après avoir purgé un tiers de sa peine initiale. Les nouvelles accusations ont été déposées pour empêcher sa libération. En avril 2018, un juge de San Antonio a rejeté une demande de rejet de cinq nouveaux actes d'accusation pour meurtre contre Jones.[19] Le 16 janvier 2020, Jones a plaidé coupable du meurtre de Joshua Sawyer, 11 mois, le 12 décembre 1981, dans le cadre d'une négociation de plaidoyer au cours de laquelle quatre autres accusations ont été abandonnées. Elle a été condamnée à la prison à vie. Elle ne sera admissible à la libération conditionnelle qu'à l'âge de 87 ans environ.
Dans la culture populaire
Elle a été interprétée par Susan Ruttan dans le téléfilm Deadly Medicine (1991)[22] et par Alicia Bartya dans le film directement en vidéo Mass Murder (2002).[23] Elle a également figuré dans un documentaire de Discovery Channel, Lethal Injection ; Forensic Files saison cinq épisode dix intitulé Nursery Crimes ; un épisode de la première saison de la série documentaire britannique Nurses Who Kill (2016) ; ainsi que "Dark Secrets", un épisode de la série Investigation Discovery Deadly Women. 26]
https://en.wikipedia.org/wiki/Genene_Jones
Beverly Allitt, née le 4 octobre 1968, est une tueuse en série britannique condamnée pour quatre meurtres et trois tentatives de meurtres commis sur des nourrissons ainsi que pour avoir causé des dommages corporels à plus de six nourrissons1. Ces crimes ont été commis pendant une période de 59 jours entre février et avril 1991 dans le service pédiatrique du Grantham and Kesteven Hospital, Lincolnshire, dans lequel Allitt était employée en tant qu'infirmière2,3,4. Elle a administré des doses importantes d'insuline à au moins deux victimes afin de provoquer un arrêt cardiaque ou une insuffisance respiratoire5. En mai 1993, elle a obtenu 13 peines d'emprisonnement à perpétuité pour ses crimes.
Peine et emprisonnement
Allitt s'en est pris à un total de trois nourrissons pendant une période de 59 jours, causant quatre décès, avant d'être arrêtée. Ce n'est qu'après le décès de la petite Claire Peck que l'équipe médicale suspecte l'infirmière et appelle donc la police6. Allitt était la seule infirmière présente au moment des arrêts cardiaques et également la seule à avoir accès libre aux médicaments. Elle est accusée de meurtre en novembre 1991. Le 28 mai 1993, alors âgée de 24 ans, elle est déclarée coupable et écope de 13 peines de prison à perpétuité, soit une peine par victime7,8.
Ses motivations n’ont jamais été entièrement expliquées. D'après les experts, elle serait atteinte d'un trouble psychologique connu sous le nom de syndrome de Münchausen par procuration9. Ce trouble mental implique habituellement des maltraitances sur mineurs, les patients entraînant des troubles médicaux chez des mineurs dont ils ont la charge dans le mais de devenir un centre d'attention. En 2005, la chaîne télévisée BBC a réalisé un documentaire intitulé Angel of Death, dans lequel Charlie Brooks incarne le rôle d'Allitt10.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Beverly_Allitt
Que se passe-t-il au Japon ? Depuis juillet, 46 patients d’un même service de l’hôpital de Yokohama, au sud de Tokyo, sont décédés. Si cette série de décès n’avait pas éveillé les soupçons, les autopsies des deux derniers défunts, Sozo Nishikawa et Nobuo Yamaki, 88 ans, laissent présager le pire puisque tous deux ont été empoisonnés. Selon les médias locaux, une substance chimique aurait été administrée dans leur perfusion intraveineuse.
La majorité des corps déjà incinérés
Autre signe alarmant, les personnels hospitaliers auraient découvert des marques de perforation sur une dizaine de poches de perfusion intraveineuse près du local des infirmiers. Impossible néanmoins de savoir si l’auteur de ces meurtres est un infirmier pour le moment. De même qu’on ignore encore si les 44 premiers défunts ont été empoisonnés, la plupart ayant déjà été incinérés sans autopsie. Ce qui n’est pas pour faciliter l’enquête de la police. "Nous voyons beaucoup de gens mourir ici en raison de la nature de notre établissement mais il nous semble que leur nombre augmente un peu", a déclaré un responsable de l'hôpital à l'agence Kyodo, cité par RTBF.
Ce drame n’est pas sans rappeler l’attaque à l’arme blanche dans un centre pour handicapés, qui avait fait 19 morts en juillet. Agé d’une vingtaine d’années, le tueur en série, qui avait travaillé dans ce centre, avait affirmé aux enquêteurs que les "handicapés devaient disparaître" et qu’il avait agi dans le cadre de "sa révolution de l’humanité".
https://www.tf1info.fr/international/japon-46-morts-dans-un-service-hospitalier-2006172.html
Roger Andermatt (né en 1969) est un tueur en série suisse. Avec 22 personnes tuées entre 1995 et 2001, il est le tueur en série avec le plus de victimes dans l'histoire criminelle suisse.
Il a tué entre 22 et 27 personnes entre 1995 et 20011 dans la région de Lucerne en Suisse, essentiellement des femmes entre 65 et 95 ans. Il a avoué ses crimes, disant qu'il voulait abréger les souffrances de ses victimes souffrant de la maladie d'Alzheimer ou en état de grande dépendance.
Il a été condamné à la prison à perpétuité en 2005
https://fr.wikipedia.org/wiki/Roger_Andermatt
Up
L'une des dernières séries à succès de Netflix, The Watcher, s'inspire de l'histoire d'une famille américaine harcelée par un mystérieux corbeau lors de leur emménagement en 2014.
Elle aura marqué le mois d'octobre 2022. Après avoir raconté le parcours du tueur en série Jeffrey Dahmer dans leur précédente réalisation, Ryan Murphy et Ian Brennan se sont penchés pour leur nouvelle série Netflix sur l'histoire d'une famille dont l'emménagement dans le New Jersey va tourner au cauchemar.
Dans The Watcher, disponible sur la plateforme depuis octobre, les Brannock s'installent dans une grande maison de Westfield en n'aspirant qu'à une chose: de la tranquillité. Mais rapidement, un mystérieux corbeau les assaille de messages menaçants tapés à la machine à écrire et signés The Watcher.
Si la série prend quelques libertés, les deux réalisateurs s'appuient sur un vrai fait divers, survenu aux Etats-Unis en 2014.
Naomi Watts et Bobby Cannavale incarnent les Broaddus, un couple avec enfants venu s'installer au 657 Boulevard à Westfield. En réalité, Maria et Derek Broaddus achètent la maison en juin 2014. Dès le départ, alors qu'ils rénovent les lieux, ils reçoivent des lettres anonymes écrites à la main: l'individu dit connaître à la perfection la demeure, se réjouit d'y voir "du sang neuf" et les prévient qu'il scrutera les moindres faits et gestes des habitants de la maison.
"Ma famille veille sur le 657 Boulevard depuis des décennies et, alors que la maison approche de son 110e anniversaire, je suis à mon tour chargé de la garder à l’œil, en attendant son second avènement. (...) Connaissez-vous l’histoire de la maison? Savez-vous ce qui se cache entre ses murs? Pourquoi êtes-vous là? Je le saurai bientôt. (...) Que la fête commence", est-il écrit dans ce courrier, comme le rapporte un épisode du podcast "Strange and unexplained".
Au total, la famille recevra quatre lettres signées "The Watcher", leur reprochant notamment de faire des travaux dans la maison et leur demandant de lui apporter du "sang neuf".
La maison dans laquelle les Broaddus ont emménagé en 2014.
La maison dans laquelle les Broaddus ont emménagé en 2014. © Google Street View
Se sentant menacée, elle fait alors appel à des détectives et même au FBI pour enquêter et retrouver l'identité du corbeau. Des investigations poussées sont menées sur l'écriture et sur le langage utilisé, décrit par les experts comme ayant un certain "panache littéraire", peut-être le signe que le coupable est un féru de lecture.
L'identité du corbeau toujours inconnue
Mais aucune des pistes envisagées, des plus absurdes aux plus plausibles, n'aboutit. Les Broaddus, eux, font une obsession de la recherche de leur harceleur. Chaque voisin est tour à tour soupçonné. Le couple va même jusqu'à porter plainte contre les précédents propriétaires pour lui avoir caché l'existence du corbeau au moment de la signature.
Le harceleur n'a jamais été démasqué et toutes les poursuites ont été abandonnées en 2019. Les Broaddus n'ont jamais pleinement vécu dans la maison, et ont fini par réussir à la vendre à un prix bien en-dessous de sa valeur initiale. Les nouveaux propriétaires ne semblent avoir reçu aucun courrier depuis leur emménagement.
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La série de Ryan Murphy et Ian Brennan extrapole assez largement par rapport aux faits réels: personne ne s'est jamais introduit dans la maison et aucun tunnel n'a été découvert au sous-sol, souligne Konbini. Les Broaddus avaient préalablement donné leur accord pour que leur histoire soit adaptée, à condition que les personnages ne leur ressemblent pas et que leur nom soit modifié, une promesse que les réalisateurs ont honorée.
https://rmccrime.bfmtv.com/affaires-criminelles/films-et-series/l-histoire-vraie-derriere-la-serie-the-watcher_AN-202301090637.html
Les maniaques de Dniepropetrovsk ou « les fous de Dniepropetrovsk » est le surnom donné à deux Ukrainiens inculpés pour avoir assassiné 21 personnes à Dniepropetrovsk entre le 25 juin 2007 et le 16 juillet 2007.
Les auteurs des crimes, Viktor Sayenko et Igor Souprouniouk âgés de 19 ans au moment des faits1, ont filmé certains des meurtres et l’une des vidéos s’est retrouvée sur Internet. Un troisième complice, Oleksandr Hanja , a été accusé de vol à main armée.
Contexte personnel
Ces deux personnes provenaient d'une ville pauvre d'Ukraine. À l'âge de 16 ans, ils commencent par tuer des animaux domestiques en guise de passe-temps, et prennent des photos.[réf. nécessaire] Ensuite, leur déséquilibre mental les a poussés à tuer des êtres humains.[réf. nécessaire]
Les faits
Les deux premiers meurtres ont été commis le 25 juin 2007. La première victime était une femme de 33 ans, Ekaterina Iltchenko, assassinée alors qu'elle rentrait chez elle après avoir passé la soirée chez un ami. Selon les dires de Sayenko, il était « parti faire une promenade » avec Souprouniouk, qui portait un marteau.[réf. nécessaire] Ekaterina marchait un peu plus loin devant, Souprouniouk la rattrape et lui porte un coup à la tête.[réf. nécessaire] Le corps d'Ekaterina a été retrouvé par sa mère à 5 heures.
Une heure après le premier meurtre, les deux hommes attaquent une autre victime, Roman Tatarevitch.[réf. nécessaire] Il dormait sur un banc non loin de la première scène de meurtre. La tête de Tatarevitch fut fracassée avec des outils à plusieurs reprises, rendant ainsi le cadavre méconnaissable.[réf. nécessaire] Le banc sur lequel il a été découvert se trouvait de l'autre côté de la rue où le procureur général local avait son bureau.
Le 1er juillet, Evguenia Grischenko et Nikolaï Sertchouk sont retrouvés sauvagement assassinés dans la ville proche de Novomoskovsk.[réf. nécessaire]
Dans la nuit du 6 juillet, trois personnes furent assassinées à Dniepropetrovsk. La première victime, Egor Netchvoloda, une recrue militaire récemment renvoyée, est matraquée[Par qui ?] alors qu'elle rentrait chez elle d'une boîte de nuit.[réf. nécessaire] Sa mère aperçut le corps le matin depuis son immeuble dans la rue Khmelnytski. Elena Schram, garde de nuit de 28 ans, est assassinée à un coin de la rue Kossiora.[réf. nécessaire] Selon la confession enregistrée de Sayenko, quand la jeune femme est venue vers eux, Souprouniouk l'a frappée avec le marteau qu'il avait caché sous sa chemise et a ensuite continué à plusieurs reprises, même après que la victime fut tombée.[réf. nécessaire] Elle portait un sac rempli de vêtements. Les agresseurs ont ramassé le sac, utilisé les vêtements pour nettoyer le marteau et jeté le sac. Plus tard dans la même nuit, les hommes assassinèrent Valentina Hanja (homonyme du coaccusé Alexandre Hanja), femme mariée à un homme handicapé.[réf. nécessaire]
Le jour suivant, le 7 juillet, deux garçons de 14 ans de Pidhorodne, village proche, sont attaqués en plein jour pendant une partie de pêche. Andreï Sidiouk est tué, Vadim Lyakhov réussit à s'enfuir.[réf. nécessaire]
Le 12 juillet, un homme de 48 ans, Sergueï Yatzenko, handicapé après une tumeur à la gorge, est la cible d'un guet-apens sur une petite route forestière.[réf. nécessaire] Ce meurtre a été largement médiatisé après que les deux jeunes hommes eurent filmé le meurtre et diffusé la vidéo sur Internet.[réf. nécessaire]2Son corps a été retrouvé quatre jours plus tard. L'état de son cadavre témoignait d'un acte de barbarie de grande cruauté : coups extrêmement violents au visage, dégradations au ventre et d'autres actes inhumains. Étrangement, les coups portés par les Ukrainiens auraient très probablement dû le tuer avant la fin de la torture. Son identité a même été difficile à confirmer à cause de l'extrême sauvagerie du meurtre.[réf. nécessaire]
Douze meurtres ont suivi. Souvent, plusieurs corps étaient trouvés dans la même journée.[réf. nécessaire] Les principales victimes étaient des personnes vulnérables : des enfants, des personnes âgées, des sans domiciles fixes ou des personnes ivres.[réf. nécessaire]
La plupart des victimes ont été tuées en utilisant des objets émoussés, des tournevis, des marteaux ou encore des barres de fer. Les coups étaient souvent portés aux visages des victimes, les rendant alors méconnaissables. Beaucoup de victimes ont ainsi été mutilées et torturées, certaines eurent même les yeux arrachés en étant encore en vie.[réf. nécessaire]
Arrestation et condamnation
Les trois suspects sont arrêtés le 23 juillet 2007. Souprouniouk tente de vendre un téléphone volé à une victime dans la boutique d'un prêteur sur gages ; les agents chargés de l'enquête géolocalisent le téléphone ; Souprouniouk et Sayenko sont alors arrêtés près de la caisse de la boutique. Hanja est arrêté chez lui, après avoir réussi à faire disparaître dans les toilettes les téléphones portables qu'il a en sa possession ; les téléphones sont par la suite retrouvés, mais toutes les informations qu'ils contenaient ont été perdues.[réf. nécessaire]
Les trois hommes sont accusés d'être impliqués dans 29 incidents distincts, dont 21 meurtres et 8 attaques auxquelles les victimes ont survécu.[réf. nécessaire]
Le 11 février 2009, Sayenko et Souprouniouk sont reconnus coupables des 21 meurtres et condamnés à l’emprisonnement à perpétuité. Hanja est condamné à neuf ans de prison pour deux vols à main armée ayant eu lieu avant la série de meurtres.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Maniaques_de_Dniepropetrovsk
La chambre criminelle de la cour d'appel de Sousse a condamné, ce mardi 12 février 2013 le tueur en série, Kamel Lahouel accusé d'homicide volontaire, à la peine capitale, par pendaison, pour avoir tué le propriétaire d’un taxiphone, à M’saken.
Selon Shems Fm, le meurtrier est impliqué dans plusieurs autres affaires en attente de jugement et a déjà été condamné à la peine de mort pour un autre meurtre.
A noter toutefois que la Tunisie a signé, le 20 décembre 2012, avec 109 autres Etats, le moratoire des Nations Unies sur l’application de la peine de mort. Et dans les faits, aucun accusé, même jugé coupable de meurtre, et condamné à la peine capitale, n’a été réellement exécuté depuis 1991. Ce qui n’a pas empêché les tribunaux tunisiens de prononcer pas moins de 97 sentences de mort jusqu’en 2010.
Mais en janvier 2012, lors de la célébration du premier anniversaire de la Révolution Tunisienne, le président de la République provisoire Moncef Marzouki a décidé de commuer la peine capitale pour 122 détenus en une peine à perpétuité. En clair, l’exécution de la peine de mort est matériellement suspendue, et il y a donc peu de chance, que le condamné de Sousse soit pendu.
peine-de-mort-tunisieIl n’empêche. Certains, parmi les plus attachés à l’application de la chariaa, continuent de considérer que la mise à mort d’un coupable de meurtre est une obligation religieuse. A cet égard, M. Habib Khedher, député à l’Assemblée Nationale Constituante, et rapporteur général de la constitution, s’est ouvertement déclaré, en octobre dernier, pour le maintien de la peine de mort dans la législation tunisienne. Par ailleurs, la voix des abolitionnistes ne parait pas très audible, en Tunisie.
De son côté, une militante des droits humains comme Radhia Nasraoui, objectera, que, de toute manière, «les juges tunisiens font souvent preuve d’une grande sévérité, et continuent de prononcer des condamnations à mort malgré le moratoire». Parce qu’au niveau strictement juridique, la peine n’a effectivement pas été abrogée. L’avocate rappellera ainsi, dans l’hebdomadaire «Réalités», que «trois peines de morts ont été prononcées en 2012, pour des affaires de meurtre à Gafsa et au Kef».
Toutefois, certains commentateurs font remarquer, à propos de ce verdict prononcé à Sousse, que la justice tunisienne a souvent fait preuve de plus de clémence envers les responsables des 300 assassinats qui ont visé les martyrs de la Révolution. Et en cet hiver 2013, l’actualité tunisienne, déjà marquée par l’assassinat du leader Chokri Belaid, semble verser de plus en plus dans le morbide.
https://mag14.com/actuel/35-societe/1538-condamnation-a-mort-dans-la-tunisie-de-la-revolution.html
Pedro Pablo Nakada Ludeña (né le 28 février 1973), alias « El Apóstol de la Muerte » (« L'Apôtre de la mort ») est un tueur en série péruvien qui a fait 25 victimes et a été reconnu coupable de 17 meurtres. Il a été condamné à 35 ans de prison.
Début de la vie
Nakada est né Pedro Pablo Mesías Ludeña le 28 février 1973 à Lima, au Pérou. Le père biologique de Nakada était alcoolique et sa mère souffrait d'un trouble mental non précisé.[1] Enfant, Nakada était soumis et souvent maltraité par ses frères et sœurs. Il a été dévasté lorsque son père est mort très jeune, car il le défendait des moqueries de ses sœurs et de leurs amis, qui obligeaient Nakada à s'habiller comme une fille. Il a également affirmé avoir été violé. par ses frères après avoir cru qu'il avait tué leur chienne enceinte. Il a imputé cet incident à sa haine des homosexuels.[2] Nakada affirme avoir torturé des animaux lorsqu'elle était enfant.
En 2003, Nakada a payé 800 soles péruviens à un citoyen japonais pour l'adopter comme adulte, dans l'espoir que cela pourrait l'aider à émigrer au Japon en tant que descendant japonais, et a changé son nom de famille paternel de Mesías en Nakada japonais en conséquence. ] Cette tactique est couramment utilisée par les criminels péruviens pour fuir la justice locale.[4][5] Bien que Nakada n'ait jamais déménagé au Japon, son jeune frère Vayron Jonathan Nakada Ludeña l'a fait et y a été arrêté en 2015, après une tuerie de trois jours au cours de laquelle il a poignardé mortellement six personnes. La famille de Nakada affirme que les deux frères sont des schizophrènes paranoïaques.[1]
Meurtres et arrestations
Nakada a tué ses victimes avec des pistolets de 9 mm équipés de ses propres silencieux en caoutchouc fabriqués à la main et modifiés à partir de pantoufles. Son motif invoqué était que Dieu lui avait ordonné de nettoyer la Terre en éliminant les toxicomanes, les prostituées, les homosexuels et les criminels.
Nakada a été arrêté le 28 décembre 2006, après une fusillade avec la police sur son lieu de travail. Un policier a été blessé par balle. Bien qu'il ait avoué avoir tué 25 personnes, il a été reconnu coupable de 17 meurtres seulement et condamné à une peine de prison maximale de 35 ans.
https://en.wikipedia.org/wiki/Pedro_Pablo_Nakada_Lude%C3%B1a
https://aujourdhui.ma/archives/mohamed-belahrach-lepicurien-qui-tue-les-prostituees-14-91648
Mohamed Belahrach se tient debout dans un coin de Derb El Berkaoui, guette les passants, regarde les prostituées en quête d’un client, mais il essaie de ne pas être remarqué. Tout d’un coup, il avance rapidement vers une maison close qu’il avait fréquentée à plusieurs reprises. C’est le domicile de Aïcha Slima, une maquerelle qui se prostitue parfois, très élégante, à la taille svelte, un visage aimable et les yeux charmants. Son corps excite Mohamed Belahrach et le rend comme un fou qui désire, à chaque moment, coucher avec elle. Elle, également, le désire, le trouve très chaud, très excité, le trouve comme une machine sexuelle qui apaise les flammes de son corps. Belahrach arrive au seuil du domicile d’Aïcha Slima, s’y plante pour quelques secondes comme s’il hésite, puis il regarde autour de lui. On dirait qu’il s’assure que personne ne se rend compte de sa présence. Doucement, il frappe à la porte. Personne ne lui répond. Il frappe une seconde fois. La voix d’Aïcha provient de l’intérieur: Qui frappe à la porte ?
«Moi, moi…», répond Mohamed rapidement et à voix basse comme s’il craint d’être entendu par une autre personne qu’elle.
«Rentre, Si Mohamed. Tu n’es pas un étranger de la maison pour rester dehors à attendre afin que je te permette de rentrer».
La réponse le réconforte. Il pousse doucement la porte et rentre.
«Ahlan, Mrahba, Mrahba Si Mohamed…Où étais-tu pendant tout ce temps ? Nous ne t’avons pas vu depuis plus d’un mois…Je ne te plais plus ?».
Mohamed la regarde du haut vers le bas, lui touche les fesses et éclate de rire.
«Tu me plais toujours Lalla Aïcha…Tu es la meilleure des femmes. Je rêve de toi chaque nuit», lui chuchote-t-il à l’oreille.
Et elle lui répond en souriant : «Mais tu ne dors pas la nuit pour rêver de moi».
Il éclate de rire une fois encore. Puis, il lui embrasse les lèvres. Elle sent comme un court-circuit qui électrocute ses veines. Elle le serre en lui disant que : «Personne n’est à la maison et personne ne sera là cette nuit sauf moi et toi». Mohamed la serre également, puis la relâche pour la jeter ensuite sur le lit et commence à la couvrir d’étreintes. En tenue d’Eve, ils se basculent sur le lit. Dans les quatre coins du domicile, on n’entend que des soupirs et les grincements du lit. Tout d’un coup, c’est le septième ciel. Ils se reposent, conversent, versent un premier verre de vin rouge, puis un deuxième. Et il fixe ses yeux comme s’il cherche sa lumière, il la dévisage tout en touchant sa chair.
«Tu sais ce qui m’excite en toi?», lui chuchote à l’oreille. Ce n’est pas la première fois qu’Aïcha a partagé le même lit avec Mohamed. C’est la énième. Elle connaît ses habitudes et ses penchants sexuels. Elle sait ce qu’il désire. Elle s’allonge sur le lit, sa poitrine collée au matelas. Mohamed couvre son dos et ses fesses d’étreintes. Tout d’un coup, elle s’agenouille. Belahrach se positionne et commence à la sodomiser. En atteignant son orgasme, il la sollicite de rester dans la même position.
«Je veux recommencer», lui dit-il. Elle lui cède. Quand ils commencent à branler, il met sa main dans sa veste qui est encore sur le lit. Aïcha ne se rend compte de rien. Elle halète et pousse des voix tout en lui demandant de continuer. Tout d’un coup, elle pousse un cri strident. Mohamed lui donne deux coups de couteau.
Kaspars Petrovs (né en 1978) est un tueur en série letton. Il a été reconnu coupable du meurtre de treize femmes âgées par le tribunal régional de Riga le 12 mai 2005 et condamné à la prison à vie.
Petrovs, fils d'un éminent médecin, était sans abri depuis plusieurs années. Initialement détenu pour le meurtre de cinq femmes en février 2003, il a ensuite avoué avoir tué plus de trente femmes. Il a été initialement inculpé de 38 meurtres, de 8 tentatives de meurtre et d'un certain nombre de vols et de vols qualifiés, impliquant principalement des femmes âgées résidant à Riga, en Lettonie, entre 2000 et 2003. Cependant, les autorités n'ont porté plainte que pour la mort de 13 des victimes en raison de un manque de preuves médico-légales dans les autres cas.
Petrovs, qui avait déjà été condamné pour vol en 1998, a soutenu après son arrestation et lors de son procès en 2005 qu'il n'avait pas « l'intention de tuer ses victimes, mais seulement de les voler. »[1] Petrovs a étranglé les femmes après les avoir suivies chez elles. et entrer de force dans leurs appartements ou se faire passer pour un employé de Latvijas gaze (compagnie nationale du gaz). Petrovs a volé environ 18 000 lats (26 000 euros) de biens et d'argent à ses victimes.[1]
Après sa condamnation, Petrovs s'est excusé auprès des familles de ses victimes devant le tribunal et leur a demandé pardon. "Je ne peux pas redonner vie aux victimes avec des mots, mais j'aimerais qu'elles soient encore en vie, que rien ne se soit passé.
https://en.wikipedia.org/wiki/Kaspars_Petrovs
Dipendra Bir Bikram Shah Dev, né le 27 juin 1971 à Katmandou et mort le 4 juin 2001 dans la même ville, est brièvement roi du Népal du 1er au 4 juin 2001.
Biographie
Fils aîné du roi Birendra et de la reine Aiswarya, Dipendra devient prince héritier du Népal en 1972. Il fait ses études au collège d'Eton et à l'université Tribhuvan.
Selon la thèse officielle népalaise, le 1er juin 2001, Dipendra assassine la majeure partie de sa famille, y compris son père, le roi Birendra, sa mère, la reine Aiswarya, son frère, le prince Nirajan, sa sœur, la princesse Shruti, et son oncle, le prince Dhirendra.
Dipendra se tire ensuite lui-même une balle dans la tête. Suivant l'ordre de succession, il est officiellement proclamé roi alors qu'il se trouve dans le coma, et meurt des suites de ses blessures trois jours plus tard. Son oncle, le prince Gyanendra, devenu régent, lui succède sur le trône.
Dans la littérature
L'auteur Gérard de Villiers, dans son roman Le Roi fou du Népal (2002), après avoir évoqué le massacre de la famille royale du Népal, rappelle que l'enquête officielle fut laconique et baclée, et émet l'hypothèse qu'il s'agissait d'un véritable coup d'État organisé par des membres de la famille royale népalaise (a priori par le prince Gyanendra) et par un service secret étranger.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dipendra_Bir_Bikram_Shah_Dev
Fusillade de Zoug
Une fusillade a lieu le 27 septembre 2001 au parlement cantonal de la ville de Zoug.
L'auteur est un Suisse âgé de 57 ans, Friedrich Leibacher1.
Déroulement des faits
Friedrich Leibacher a pénétré dans le parlement zougois aux environs de 10 h 30, habillé en policier et armé de deux fusils et d'un pistolet. Il ouvre le feu sur les parlementaires à 10 h 32 puis il déclenche une bombe incendiaire avant de se donner la mort à 10 h 342.
Bilan
15 morts (11 députés, 3 conseillers d'État et le tueur)
15 parlementaires blessés
Auteur
La salle ou l'attentat à eu lieu.
Friedrich Heinz Leibacher (21 juillet 1944 - 27 septembre 2001) est un tueur de masse suisse qui a tué 14 membres du parlement du canton de Zoug et en a blessé 18 autres, avant de se suicider.
Leibacher avait été employé de commerce et avait eu plusieurs mariages ratés avec des femmes de la République dominicaine, dont l'une avait une fille. En 1970, il est reconnu coupable d'inceste, de vol, de falsification et d'infractions au code de la route et condamné à 18 mois de détention. Il purge sa peine dans un établissement de formation professionnelle.
Après sa détention, Leibacher s'est retrouvé au chômage. Après s'être vu diagnostiquer un trouble de la personnalité et de l'alcoolisme, il obtient une rente d'invalidité[réf. nécessaire]. En 1998 il est reconnu coupable de menaces contre un conducteur d'autobus employé par la compagnie de transport de Zoug. Bouleversé par le traitement dont il est l'objet, Friedrich Leibacher écrit fréquemment des lettres de plainte aux autorités. Le temps écoulé ne diminue en rien son grief et il commence à se croire la cible d'un complot gouvernemental dirigé par Robert Bisig, un ministre cantonal. Il poursuit Robert Bisig mais, en septembre 2001, ses actions sont rejetées par le tribunal.
À 10h30 le 27 septembre 2001, Leibacher entre au Parlement de Zoug déguisé en policier et armé d'un pistolet, un revolver, un fusil à pompe de chasse et un fusil d'assaut. Il se rend dans la salle du Parlement où il tire plus de 90 coups au hasard. Des politiciens et des journalistes sont touchés. Finalement, Leibacher fait exploser une petite bombe artisanale, puis retourne son arme contre lui. Il laisse une note de suicide décrivant son action comme un "jour de colère pour la mafia de Zoug"3.
Hommage
Un mémorial situé devant le parlement est inauguré le 30 août 2004. Il s'agit d'une plaque de verre au sol, verte, sur laquelle on discerne 14 points lumineux qui représentent les 14 victimes du tueur4.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fusillade_de_Zoug
Charles Carl Roberts IV (7 décembre 1973- 2 octobre 2006) est un livreur de lait connu pour avoir assassiné cinq enfants Amish de Nickel Mines (Bart Township, Pennsylvanie) le 2 octobre 2006.
Biographie
Il est né dans le Comté de Lancaster (Pennsylvanie)1. Son père est policier, et sa mère travaille pour une compagnie de théâtre chrétien "Sight & Sound Theatres" à Lancaster County. En 2004, il obtient de l'État de Pennsylvanie un permis spécial pour la livraison intracommunautaire des marchandises pour les Amishs.
Charles Carl Roberts a reçu l'essentiel de son instruction à la maison, ni lui ni sa famille n'étaient amish.
En 1990 il travaille comme plongeur au Good 'N Plenty Restaurant à Smoketown, en Pennsylvanie. Deux de ses collègues étaient Lawrence Yunkin et Lisa Michelle Lambert, qui ont été reconnus coupables du meurtre de Laurie Show, 16 ans, le 20 décembre 1991 à Lancaster2.
Fusillade dans une école Amish
Le matin du 2 octobre 2006, après avoir déposé avec sa femme leur fille à l'école, C.C.Roberts laisse quatre notes à l'attention des membres de sa famille, dans lesquelles il déclare avoir violé deux petites filles de la famille (3 et 5 ans) 20 ans plus tôt (il aurait eu 12 ans), et annonce qu'il rêve de recommencer. Les filles citées ont nié les faits. Il a effectivement été trouvé sur lui dans l'école un tube de lubrifiant anatomique. Le meurtrier a déclaré dans sa lettre être en colère contre Dieu suite la mort d'un enfant prématuré 9 ans plus tôt.
Charles C. Roberts entre peu avant 10h du matin dans l'école "West Nickel Mines School" avec un pistolet 9 mm, un fusil calibre 12, un fusil militaire à verrou 7,62 mm, 600 munitions, deux couteaux, une arme électrique d'autodéfense, de la poudre à canon, des vêtements de rechange, un marteau, une scie à métaux, des tenailles, du fil de fer, des vis, des boulons et du ruban adhésif.
Le forcené prend en otage une classe et se barricade dans les locaux. Il laisse sortir les 15 élèves masculins ainsi qu'une femme enceinte et 3 nourrissons et ligote les otages. Après s'être échappée, l'enseignante contacte la police qui arrive quelques minutes plus tard. Les policiers tentent sans succès d'entrer en contact, puis doivent pénétrer par les fenêtres après que des coups de feu ont été entendus. Selon toute évidence, C.C.Roberts s'est suicidé après avoir tué 5 élèves (dont 3 sont mortes sur place et 2 le matin suivant). Les victimes étaient âgées de 6 à 13 ans. Le tueur a tiré au moins 13 balles avec son pistolet 9 mm.
Victimes
Naomi Rose Ebersol, 7 ans, morte le 2 octobre 2006.
Marian Stoltzfus Fisher, 13 ans, morte le 2 octobre 2006.
Anna Mae Stoltzfus, 12 ans, déclarée morte à son arrivée au Lancaster General Hospital, Lancaster, Pennsylvanie le 2 octobre 2006.
Lena Zook Miller, 7 ans, morte au centre médical Penn State Milton S. Hershey Medical Center à Hershey, Pennsylvanie le 3 octobre 2006.
Mary Liz Miller, 8 ans, morte à l'hôpital Christiana Hospital à Newark, Delaware le 3 octobre 20063.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Carl_Roberts
La fusillade de Jokela ou tuerie de Tuusula est une tuerie scolaire survenue au collège-lycée public de Jokela, à Tuusula en Finlande le 7 novembre 2007. Le massacre a été perpétré par un élève du lycée âgé de 18 ans au moyen d'un Sig Sauer .22 Long Rifle1. Cet élève, Pekka-Eric Auvinen, avait auparavant mis en ligne sur YouTube une vidéo pour annoncer le massacre et expliquer ses motivations, notamment sa haine de l'humanité. Le bilan est de neuf morts1 (la principale du lycée, cinq lycéens, deux lycéennes et l'auteur du massacre) et une douzaine de blessés, dont trois par arme à feu.
L'auteur du massacre
Arme utilisée par Pekka-Eric Auvinen, l'auteur de la tuerie de Jokela.
Pekka-Eric Auvinen, né le 4 juin 1989 était, au moment des faits, lycéen dans le collège-lycée de Jokela à Tuusula. Il se surnommait Sturmgeist89 (esprit de tempête en allemand) sur sa page YouTube où il exprimait ses convictions existentialistes, athées et où il prônait la sélection naturelle2.
Tueries similaires
Le mode opératoire n'est pas sans rappeler la fusillade de l'Université Virginia Tech (avril 2007) aux États-Unis, la fusillade au collège Dawson (septembre 2006), au Canada, ou encore la fusillade de l’école d’Emsdetten (novembre 2006) en Allemagne, où les auteurs avaient également transmis des documents aux médias avant de perpétrer leur massacre.
C'est la plus grave fusillade scolaire qui soit survenue en Finlande3. C'est également le crime qui a fait le plus de morts, plus que l'attentat-suicide de Myyrmanni de 2002 où un jeune de 19 ans avait fait exploser une bombe dans un centre commercial de Vantaa (banlieue d'Helsinki)4 en 2002 faisant 7 morts. En 1989, un jeune de 12 ans avait ouvert le feu dans son collège faisant deux morts4.
Détention d'arme en Finlande
Selon une étude de l'Institut de hautes études internationales de Genève, avec 56 armes légères pour 100 habitants, la Finlande se classe au troisième rang mondial pour sa possession d’armes à feu par habitant, après les États-Unis et le Yémen4. En Finlande, en 2007, toute personne de plus de 15 ans peut être autorisée à détenir une arme à feu sous conditions de détenir un permis de chasse ou d'appartenir à un club de tir4,5. Selon le ministère de l'Intérieur finlandais, 12 % des Finlandais possèdent une arme dont 60 % sont des armes de chasse4.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Fusillade_du_centre_scolaire_de_Jokela