Le 14 janvier 2019 à 17:40:13 Deteeer a écrit :
Le 12 janvier 2019 à 17:08:27 kongstrong a écrit :
Le khey de la forêtPersonne ne sait qui il est. Mais l’étrange être qui erre dans la forêt de Maules, en Gruyère, avec une pèlerine militaire sur le dos et un masque à gaz sur le visage n’a rien du dahu ou d’un fantôme. Il existe. Il a un surnom: «le Loyon». Et il n’amuse personne.
Voici une photo de l’individu de dos. «Il a apeuré mes enfants», lâchait l’auteur du cliché, qui l’a croisé dimanche. Depuis, les témoignages affluent. Une habitante de Sâles (FR) l’a vu il y a un an. «Il est sorti du sous-bois avec ses habits militaires. On ne voit ni son visage ni ses yeux derrière son gros masque à gaz sombre. C’était effrayant et je connais des femmes qui ne s’aventurent plus seules en forêt», explique-t-elle.
c'est chez moi ca
Go le trouvé et faire une dédi clé
Le 14 janvier 2019 à 17:34:46 kongstrong a écrit :
Anneliese MichelAnneliese Michel (1952-1976) est une jeune Allemande catholique sur laquelle furent pratiqués 67 exorcismes sur une periode de 10 mois et qui mourut au bout de huit années de maladie pour certains, de possession pour d'autres, après avoir notamment cessé de s'alimenter. Sa vie a servi de modèle pour les films L'Exorcisme d'Emily Rose (film de Scott Derrickson sorti en 2005) et Requiem (film de Hans-Christian Schmid sorti en 2006).
epuis sa naissance le 21 septembre 1952 à Leiblfing (Bavière), Anneliese Michel mena d'abord une vie normale, caractérisée par une grande piété.
Un jour de 1968, elle commença à trembler violemment et à ne plus contrôler son corps. Lors de ses crises, elle perdait sa voix et ne pouvait plus appeler ses parents pour leur demander de l'aide. Un neurologue diagnostiqua qu'elle souffrait d'épilepsie et elle fut admise à l'hôpital pour un traitement.
Après ses premières attaques, elle vit des visages démoniaques, auquel elle attribua le nom de Fratzen, en train de grimacer lors de sa prière quotidienne. Elle entendait aussi des voix. Anneliese en parla aux médecins qui ne savaient plus comment l'aider.
Au début de l'année 1973, les parents d'Anneliese demandèrent à plusieurs prêtres d'exorciser leur fille, mais ils pensaient qu'il lui suffisait de continuer de prendre ses médicaments. De plus, pour pratiquer un exorcisme, il fallait que la personne possédée réponde à des caractéristiques bien spécifiques. Selon le rituel romain, pour être possédé, un individu doit comprendre ou parler des langues inconnues, souvent mortes (xénoglossie récitative ou responsive). En deuxième lieu, un individu doit connaître des fait cachés (cryptesthésie). Enfin, un individu doit montrer un décuplement de ses forces.
En 1974, un prêtre l'examina et accepta qu'on pratique un exorcisme, mais sa hiérarchie le lui interdit. Son état alors empira et les crises devinrent de plus en plus violentes. Elle insultait les membres de sa famille, les battait et les mordait.
Elle refusait de s'alimenter. Elle bougeait tellement dans son lit qu'elle dormait à même le sol. On pouvait l'entendre toute la journée en train de hurler, de briser les crucifix et de détruire des peintures représentant Jésus.
En 1975, après avoir vérifié l'état de sa possession supposée, l'archevêché autorisa un exorcisme fondé sur le rituel romain. Le curé de sa paroisse considérait qu'Anneliese était possédée par plusieurs démons dont il fallait la libérer. À partir de 1975, on pratiqua un ou deux exorcismes sur elle chaque semaine. Parfois, les crises étaient tellement fortes qu'il fallait trois hommes pour la maîtriser si on ne l'enchaînait pas. Malgré cela, elle put reprendre un semblant de vie normale : retourner à l'école, participer à un concours…
Cependant, les crises ne cessèrent pas. De plus en plus souvent, elle se trouvait paralysée et inconsciente. Elle refusait complètement de manger. Ses nombreuses génuflexions (plus de 600 de suite), provoquèrent une rupture au niveau des genoux. Quarante cassettes audio furent enregistrées lors des exorcismes afin d'en conserver des détails.
Le dernier exorcisme eut lieu le 30 juin 1976. À ce stade, Anneliese souffrait d'une pneumonie. Elle avait le visage émacié et souffrait d'une grande fièvre. Elle mourut le lendemain à son domicile. Le rapport d'autopsie indique que sa mort est liée à une sévère malnutrition et à une déshydratation consécutives à sa privation de nourriture pendant la dernière année.
Un procureur fit alors une enquête à la suite de laquelle les deux prêtres exorcistes et les parents d'Anneliese furent inculpés de négligence ayant entraîné sa mort.
Les prêtres exorcistes firent écouter des enregistrements des différents exorcismes qu'ils avaient pratiqués, au cours desquels ils affirmaient pouvoir distinguer la voix de deux démons en train de se disputer, se demandant lequel des deux quitterait le premier le corps d'Anneliese.
Les parents et les deux prêtres furent condamnés à 6 mois de prison avec sursis.
Les enregistrements disponibles peuvent heurter la sensibilité des personnes les plus fragiles : en effet, ceux-ci sont en règle générale des compilations d'enregistrements oraux, accompagnés des photos de la jeune femme dans un état de délabrement physique plus ou moins avancé.
Enregistrement et photos ( ame sensible s'abstenir ) https://www.youtube.com/watch?v=EijAlyJXacI
Bordel son hurlement à 48 secondes
L'ordre du temple solaire
L'ordre du Temple solaire (OTS), d'abord appelé ordre international chevaleresque de Tradition solaire, est un groupe ésotérique néo-templier fondé en 1984 à Genève par Luc Jouret et Jo Di Mambro à la suite de la Fondation Golden Way de ce dernier. Ce faux ordre de chevalerie est principalement connu pour des suicides collectifs en Suisse, en France et au Canada ayant fait en tout 74 victimes en 1994, 1995 et 1997 et pour les controverses qui ont suivi. L'affaire a été un facteur majeur du durcissement de la lutte contre les sectes en France.
Avant les massacres
Selon Françoise Champion, sociologue, ce groupe a une « filiation templière bricolée ». Jean-François Mayer décrit certaines croyances du groupe, telles que les notions de « transit » (voyage de l'âme vers une autre planète, par le biais du suicide, notion similaire à celle du groupe Heaven's Gate) ou l'importance de « transporter le germe de vie sur une autre planète », comme les causes de la dérive ultérieure. Une bonne part des concepts et principes de l'ordre étaient inspirés des écrits « hermétiques » de Tabachnik, « Les Archées ».
Les objectifs affichés du groupe étaient :
Reconnaître et rassembler une élite spirituelle afin de la préparer, par l'étude des Hautes Sciences, à participer à des Travaux en vue de perpétuer la Conscience UNE et la VIE dans le temps et l'espace.
Prendre une part prépondérante et active à l'édification des Centres de Vie.
Former à travers le monde une chaîne de fraternité véritable, au service des forces positives et du Temple unifié, constitué par l'ordre du Temple solaire.
La hiérarchie de l'ordre est absolue. Les cérémonies rituelles auraient été mises en scène par un membre du nom de Tony Dutoit. Selon les termes du jugement rendu en 2001 pour Michel Tabachnik, les lieux de culte ont été le « théâtre d'apparitions et de manifestations perçues comme surnaturelles au cours de cérémonies rituelles. […] De nombreux témoins ont rapporté avoir vu […] des matérialisations d'objets ou de personnages ». Une ancienne adepte déclare avoir assisté à « l'apparition de Maîtres, du Saint-Graal, de l'épée Excalibur, des douze apôtres et même du Christ ». En réalité, les apparitions surnaturelles du Maître, au son d'une musique cosmique assourdissante et au milieu d'hologrammes, ne sont que Jocelyne Di Mambro, l'épouse de Jo, juchée sur un tabouret.
La naissance de « l'enfant cosmique »
Dominique Bellaton, jeune femme toxicomane qui aurait été recherchée par des proxénètes cherchant à l'assassiner, s'intègre à l'ordre à la demande de ses parents. Di Mambro a rapidement le projet d'en faire la mère porteuse de « l'enfant cosmique ». Une cérémonie dans la crypte de l'ordre, avec effets spéciaux (une épée touche le ventre de la jeune femme devant l'assistance et un éclair de lumière surgit), contribue à confirmer aux membres les pouvoirs surnaturels des dirigeants. Di Mambro appelle son rituel : « conception théogamique », une conception sans rapport sexuel, alors qu'en fait, Dominique est sa maîtresse et est enceinte depuis quelques semaines. L'enfant, Emmanuelle, naît le 22 mars 1982. Elle et sa mère meurent lors du premier massacre à Salvan.
Premières dissensions
Plusieurs mois avant le premier massacre, certains fidèles évoquent la mégalomanie, les supercheries et les malversations des chefs. Plusieurs donateurs (dont des notables, industriels, propriétaires) réclament le remboursement partiel des fonds qu'ils ont engagés alors que cet argent a été détourné pour investir dans des entreprises fictives, propriétés ou pour les fondateurs qui ne se refusent rien (villa, voiture de luxe, voyages).
Octobre 1994 : Premier massacre
Le 30 septembre 1994, au Québec, au 199 chemin Belisle à Morin Heights, 3 personnes sont retrouvées assassinées et deux suicidées (les meurtriers des trois premières) dans un chalet ensuite incendié, comme les autres lieux avec des dispositifs de mise à feu commandés par téléphone.
Le 5 octobre 1994, en Suisse, 25 personnes sont retrouvées mortes au lieu-dit « les roches de cristal » à Salvan, en Valais, et 23 à la ferme de « la rochette » à Cheiry, dans le canton de Fribourg. Les victimes étaient, dans la plupart des cas, « revêtues d'une cape rituelle blanche, noire ou dorée, selon le degré d'initiation atteint ». À Salvan, il se révèle qu'il a été injecté aux victimes (ou qu'elles se sont injecté elles-mêmes) un poison à base de curare, d’opioïde et de benzodiazépine. À Cheiry, 20 victimes sont mortes d'une ou de plusieurs balles dans la tête, deux étouffées par un sac plastique autour de leur tête et une autre probablement de la même manière. Le juge d'instruction fribourgeois André Piller est chargé de l'affaire. L'affaire se présentant selon lui comme un suicide collectif flagrant, sans indice à rechercher, il ordonne la destruction des lieux « pour ne pas choquer les croyants ni attirer les curieux », une décision qui soulèvera des controverses.
Thierry Huguenin, ancien membre de l'OTS qui avait alors quitté le groupe, témoigne avoir été appelé le 4 octobre à Salvan sur la promesse que de l'argent qui lui était dû lui serait rendu ce jour-là. Mais, pressentant un danger, il aurait quitté les lieux. Il explique ensuite qu'il pense que le projet était de l'assassiner avec les autres afin d'atteindre le nombre de 54 victimes, en rapport avec les 54 chevaliers de l'ordre du Temple exécutés sur le bûcher le 18 mars 1314 sous le règne de Philippe IV le Bel,.
Le matin du 5 octobre, 300 plis destinés aux médias, à d'autres adeptes et à plusieurs personnalités politiques ou publiques, dont Charles Pasqua, seront envoyés par un membre selon les consignes de Di Mambro. Ces courriers divers contenaient principalement des messages extraits des croyances de l'ordre.
Décembre 1995 : Deuxième massacre
Dans la nuit du 15 au 16 décembre 1995, seize personnes — treize adultes et trois enfants de 2, 4 et 6 ans — ont été immolées par le feu au lieu-dit « le trou de l'enfer », dans une clairière isolée du plateau du Vercors, près de Saint-Pierre-de-Chérennes (Isère) en France.
L'enquête menée par la Section de recherche de la Gendarmerie nationale de Grenoble qui a confié les expertises techniques à l'Institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale (IRCGN) a déterminé que quatorze personnes avaient été tuées par une ou deux balles de pistolet .22 Long Rifle, après avoir absorbé des sédatifs, puis incendiées à l'aide de bois et d'essence. Selon la théorie des enquêteurs, les deux exécuteurs seraient l'inspecteur Jean-Pierre Lardanchet et André Friedli. Ils se seraient tiré une balle de 9 mm parabellum dans la tête (armes retrouvées près de leurs corps) en se jetant dans le foyer. Le Procureur de Grenoble a alors ouvert une information judiciaire pour « assassinats » et « association de malfaiteurs » avec possibilité de complicité extérieure.
Mars 1997 : Troisième massacre
5 autres membres sont retrouvés morts à Saint-Casimir au Québec, le 22 mars 1997, dont trois Français ; 3 adolescents sont retrouvés vivants, ayant survécu parce qu'ils ont négocié avec leurs parents leur droit à vivre.
Suites judiciaires
En 1997, du fait de la mort des deux dirigeants à Salvan en 1994, le chef d'orchestre et compositeur Michel Tabachnik est l'unique prévenu dans le cadre de l'affaire du Temple solaire. Il publie pour sa défense Bouc émissaire. Dans le piège du Temple Solaire, avec une préface de Pierre Boulez.
Le 25 juin 2001, le tribunal correctionnel de Grenoble relaxe Michel Tabachnik au bénéfice du doute.
Le parquet, lui reprochant d'avoir « par ses écrits ésotériques », poussé les adeptes à un « transit vers Sirius », fait appel et Michel Tabachnik est à nouveau jugé en 2006. L'avocat général, estimant que le prévenu n'était pas membre actif de l'ordre et que « sa responsabilité dans les décès n'était pas établie », ne requiert aucune peine contre lui. Il est une seconde fois relaxé en décembre 2006.
Soucre : wikipedia
Il y a également pas mal de théorie du complot autour de ça
Ce topic
Désolé j'étais pas trop dispo hier, content que les khey alimentent le topic vous êtes en or. j'ai quelques articles
L'incident Max Headroom
L'incident Max Headroom désigne le piratage d'un signal télévisé qui a eu lieu le 22 novembre 1987, à Chicago, aux États-Unis, réalisé par deux individus inconnus.
C'est un exemple de ce qui est connu dans le monde de la télévision comme une intrusion sur le signal de diffusion. Deux stations de télévision de Chicago ont vu leurs signaux de radiodiffusion détournés par une personne inconnue portant un masque de Max Headroom, ainsi que des lunettes de soleil. L'arrière-plan était aussi une imitation réalisée à la main de ceux présents habituellement derrière Max Headroom, dans le programme de télévision parodié.
Les pirates ont réussi à interrompre deux stations de télévision à deux reprises, sur trois heures. La première interruption a lieu pendant 25 secondes pendant les informations sportives de 21 h sur la chaîne 9 de WGN-TV ; la seconde, deux heures plus tard, après 23 h sur la chaîne 11, WTTW, liée à PBS, pendant environ 90 secondes, lors de la diffusion d'un épisode de Doctor Who, nommé Horror of Fang Rock.
Le deuxième piratage de l'émission, qui a duré 90 secondes et était pré-enregistré sur cassette vidéo, constitue une parodie des programmes de WGN, et de la télévision plus largement. Le pirate divaguait, faisant référence à la campagne promotionnelle de Max Headroom pour Coca-Cola, à la série Clutch Cargo, au présentateur de télévision Chuck Swirsky, puis prétend avoir produit un « chef-d'œuvre pour tous les nerds du plus grand journal du monde », une référence aux initiales de WGN, World's Greatest Newspaper. Le programme se conclut en montrant le pirate se faisant fesser par un (ou une) complice à l'aide d'une tapette à mouche, juste avant que la programmation normale ne reprenne.
L'incident a eu une grande couverture médiatique, à l'échelle nationale ; les personnes responsables n'ont jamais été identifiées
Vidéo de l'incident : https://www.youtube.com/watch?v=tWdgAMYjYSs
Le 21 janvier 2019 à 21:15:31 kongstrong a écrit :
L'incident Max Headroom
L'incident Max Headroom désigne le piratage d'un signal télévisé qui a eu lieu le 22 novembre 1987, à Chicago, aux États-Unis, réalisé par deux individus inconnus.
C'est un exemple de ce qui est connu dans le monde de la télévision comme une intrusion sur le signal de diffusion. Deux stations de télévision de Chicago ont vu leurs signaux de radiodiffusion détournés par une personne inconnue portant un masque de Max Headroom, ainsi que des lunettes de soleil. L'arrière-plan était aussi une imitation réalisée à la main de ceux présents habituellement derrière Max Headroom, dans le programme de télévision parodié.
Les pirates ont réussi à interrompre deux stations de télévision à deux reprises, sur trois heures. La première interruption a lieu pendant 25 secondes pendant les informations sportives de 21 h sur la chaîne 9 de WGN-TV ; la seconde, deux heures plus tard, après 23 h sur la chaîne 11, WTTW, liée à PBS, pendant environ 90 secondes, lors de la diffusion d'un épisode de Doctor Who, nommé Horror of Fang Rock.
Le deuxième piratage de l'émission, qui a duré 90 secondes et était pré-enregistré sur cassette vidéo, constitue une parodie des programmes de WGN, et de la télévision plus largement. Le pirate divaguait, faisant référence à la campagne promotionnelle de Max Headroom pour Coca-Cola, à la série Clutch Cargo, au présentateur de télévision Chuck Swirsky, puis prétend avoir produit un « chef-d'œuvre pour tous les nerds du plus grand journal du monde », une référence aux initiales de WGN, World's Greatest Newspaper. Le programme se conclut en montrant le pirate se faisant fesser par un (ou une) complice à l'aide d'une tapette à mouche, juste avant que la programmation normale ne reprenne.
L'incident a eu une grande couverture médiatique, à l'échelle nationale ; les personnes responsables n'ont jamais été identifiées
Vidéo de l'incident : https://www.youtube.com/watch?v=tWdgAMYjYSs
Perso je pense depuis toujours que ce sont juste de jeunes hackeur qui veulent se la jouer subversif
Je m'installe pour la nuit, j'ai ramené ma couverture et des bougies, je suis prêt
Le 21 janvier 2019 à 21:31:50 Nomore- a écrit :
Je m'installe pour la nuit, j'ai ramené ma couverture et des bougies, je suis prêt
tu a tout lu `?
Les tueurs fous du Brabant Wallon
Ce groupe de criminels belges commit une série de braquages sanglants pour la plupart dans la région de Brabant, en Belgique.
De 1982 à 1985, un série de braquage armé eu lieu, ils furent commis par une bande de criminels organisés belges, surnommés les Tueurs fous du Brabant par la presse franco-belge du fait de la violence extrême dont firent preuve les braqueurs.
Les autorités dénombrent 28 morts du fait de leurs exactions.
Leur premier acte eu lieu à Dinant le 13 mars 1982 et fut le vol d'un fusil dans l'armurerie de la ville, aucun blessé n'est à déplorer.
Leur second braquage eu lieu à Maubeuge, le 13 août 1982, c'est le seul à s'être dérouler en France. Ils attaquèrent l'épicerie Piot et y volèrent du thé ainsi que du vin. Un policier fut blessé lors de l'opération. Nous pouvons nous étonner de la maigreur du butin, mais les enquêteurs pensent qu'il ne s'agissait que d'un entraînement grandeur nature pour la bande.
Leur premier braquage d'importance eut lieu à Wavre dans l'armurerie Daniel Dekaise, ou deux hommes, le visage découvert et armé d'un fusil volèrent plus d'une quinzaine de pistolets automatiques, un policier fut tué et plusieurs personnes blessés.
Le 23 décembre 1982, ils s'attaquent à l'Auberge du Chevalier à Beersel, ils ne volent rien mais tuent le concierge de l'auberge après l'avoir violemment torturé pendant plusieurs minutes, une fois l'aubergiste mort, ils se servent un repas et boivent du champagne avant de quitter les lieux.
À Mons, le 9 janvier 1983, un chauffeur de taxi est retrouvé assassiné avec les mêmes stigmates que l'aubergiste, l'autopsie révélera qu'ils ont été à peu près tué de la même manière.
Leur premier vol d'argent liquide eu lieu au supermarché Delhaize de Genval ou 17 163€ sont volés (692 384 BEF) le 11 février 1983
Leur second vol d'argent eu lieu lui dans le Delhaize de Uccle ou ils blessèrent un passant et volèrent 14 873€.
Leur troisième braquage de supermarché eu lieu à Hal au supermarché Colruyt de la ville le 3 mars 1983, le butin est cette fois ci est de 17 453€, un homme perd la vie durant l'opération.
Le 7 mai 1983, ils s'attaquèrent au supermarché GB à Houdeng-Goegnies ou 19 831€ sont volés.
Leur méfait suivant eu lieu à l'usine textile Wittock-Van Landeghem le 10 septembre 1983 ou ils tuèrent un agent de sécurité et dérobèrent 7 gilets par balle.
Ils continuèrent les braquages de supermarché en s'attaquant au Colruyt de Neuville, ou ils tuèrent un gendarme et un couple de passant, blessant un autre badaud.
Cependant ils ne volèrent rien du tout.
Le 2 octobre de la même année ils attaquèrent à l'auberge des Trois Canards à Ohain, ou ils tuèrent le gérant dans le même style opératoire que lors de l'attaque de l'Auberge du Chevalier, rien n'est dérobé.
Le 1 décembre 1983, un nouveau braquage eu lieu au supermarché Delhaize de Beersel, ou un passant est tué. Ce sera le dernier coup du groupe avant 1985.
C'est en 1985 qu'eurent les plus violents et meurtriers braquages, l'année des meurtriers commença le 27 septembre au supermarché Delhaize de Braine-l'Alleud, ils tuèrent 3 personnes, en blessèrent une et volèrent un peu moins de 5000€.
Après le coup de Braine-l'Alleud, ils attaquèrent le supermarché Delhaize de Overijse ou ils tuèrent 5 personnes (dont un jeune enfant de 13 ans) dont le banquier Léon Finné et en blessèrent une autre, ils volèrent à cette endroit plus de 25 000€.
Leur dernier coup eu lieu à Alost le 9 novembre 1985 dans un autre supermarché Delhaize. Après avoir volé 23 246€, une grande fusillade éclata devant le supermarché, il y eu 8 morts et 9 blessés.
La tête pensante du groupe, surnommé «Le Tueur» fut blessé mortellement ce qui expliqua la fin des exactions du groupe, son corps n'a cependant jamais été retrouvé par les enquêteurs.
Au total, ils tuèrent 28 personnes, en blessèrent 22 et volèrent entre 150 000€ et 170 000€
Les 3 principaux acteurs de ce groupe ont été surnommé «Le Tueur», «Le Géant» et «Le Vieux», ceux ci n'ont jamais été démasqué, aujourd'hui, deux de ces trois criminels seraient morts, Le Tueur serait mort à Alost à la suite d'une blessure très grave et enterré par ces acolytes non loin de la ville, son corps n'ayant jamais été retrouvé.
Le Géant lui serait mort dans son lit le 23 octobre 2017 et aurait avoué ces méfaits lors de son extrême onction, il s'agirait de Christiaan Bonkoffsky, qui était suspecté de son vivant par les enquêteurs.
Seul Le Vieux serait toujours vivant, bien que des doutes sur la mort du Tueur existent encore de nos jours et que son identité de soit pas connu.
Cela nous rappelle la fragilité de notre vie quotidienne face à un groupe de personne, il suffit de se rendre au travail ou au supermarché un mauvais jour pour voir notre vie disparaître. Prenez soin de vous les kheys
Et ils ont pu mourir dans leur lit de mort...
Je up pour ceux qui n'aurait pas encore vu ce topic en or
Up, ce topic doit se maintenir
Excellent topic
Île de North Sentinel
L'île de North Sentinel est l'une des îles Andaman dans le golfe du Bengale (océan Indien). Elle se situe à l'ouest de la partie sud de l'île Andaman du Sud, et a une superficie de 72 km2. Officiellement, l'île est administrée par l'Inde depuis 1947 et fait partie du territoire des îles Andaman-et-Nicobar. Sa population présente depuis des millénaires, les « Sentinelles », est considérée comme une des dernières tribus sur la planète totalement coupée du monde moderne. L'île est défendue par les guerriers Sentinelles qui n'hésitent pas à tuer les intrus avec leurs flèches et leurs lances ; elle est considérée comme un territoire souverain sous sa protection par l'Inde, qui en interdit strictement l'approche depuis 2010
Sentinelles (peuple).
L'île de North Sentinel est le territoire d'une ancienne tribu autochtone, les Sentinelles, dont la population actuelle est estimée à environ 150 personnes vivant sur l'ile depuis environ 60 000 ans. Ils rejettent tout contact avec d'autres personnes, et sont parmi les derniers humains à rester pratiquement isolés de la civilisation moderne. Le seul contact avec l'Inde qui a eu lieu a été filmé, et les Sentinelles ont accepté uniquement les noix de coco qui ne poussent pas sur l'île. Les Sentinelles sont vraisemblablement liés aux Jarawa-Onge, avec lesquels ils auraient perdu tout contact.
Parce qu'il n'y a jamais eu de traité avec les habitants de l'île, ni de trace écrite d'une occupation physique durant laquelle la population de l'île aurait cédé sa souveraineté, le statut de l'île n'est pas clairement défini par le droit international, et elle peut être considérée comme une entité souveraine sous protection de l'Inde. Elle est, de facto, l'une des régions autonomes de l'Inde.
Le gouvernement territorial (îles Andaman-et-Nicobar) a déclaré qu'il n'avait aucune intention d'interférer avec le mode de vie ou d'habitat des Sentinelles
Tsunami de 2004
Bien que l'île ait sans doute gravement souffert des effets du tsunami de décembre 2004, les Sentinelles ont survécu. La confirmation a été obtenue quelques jours plus tard, quand un hélicoptère du gouvernement indien a observé plusieurs d'entre eux, qui ont tiré des flèches vers l'appareil afin de le repousser.
Conflits avec les braconniers
Plus d'une dizaine de pêcheurs illégaux birmans ont été arrêtés par les garde-côtes indiens dans les îles Andaman en août-septembre 2010. Certains pêchaient devant l'île de North Sentinel, près de la réserve jarawa. La tribu des Sentinelles attaquant ceux qui s'approchent de son île, deux pêcheurs avaient ainsi été tués en 2006.
Mais selon l'ONG Survival International, les braconniers indiens locaux, à la différence des birmans, sont rarement inquiétés par les autorités. Ils capturent les tortues et le concombre de mer pour alimenter le marché chinois et chassent illégalement dans la forêt des Jarawa sur l'île Andaman voisine, en y pénétrant généralement par la route illégale qui traverse le territoire de la tribu. Survival a demandé à plusieurs reprises aux autorités locales de fermer cette route, mais sans succès (à la date du 20 septembre 2010). Des sources locales laissent entendre que la situation est bien plus grave que ne le laissent supposer les arrestations de braconniers birmans, la plupart des braconniers n'étant pas même détectés par les autorités, bien qu'ils mettent en danger les ressources en poissons et gibier vitales pour les Jarawas et les Sentinelles qui sont tous chasseurs-cueilleurs. Les braconniers sont aussi une source de microbes dangereux (grippe ou rougeole par exemple contre lesquelles les tribus autochtones ne sont pas immunisées). Les Sentinelles sont selon Survival particulièrement en danger car ils vivent dans un isolement total du reste du monde.
Cas de John Chau
John Allen Chau, un missionnaire américain âgé de 27 ans, a été encerclé et tué par les autochtones de l'île le 16 novembre 2018.
Après une première tentative avortée le 14 novembre, John Chau a soudoyé des pêcheurs qui l'ont transporté à proximité de l'île de North Sentinel, puis a continué son voyage seul à l'aide d'un canoë. Selon les témoins, il a reçu une volée de flèches à peine débarqué sur l'île mais a continué à marcher. Les pêcheurs ont ensuite vu les tribaux nouer une corde autour de son cou et traîner son corps. Les pêcheurs ont pris peur et se sont enfuis mais ils sont revenus le matin suivant et ont retrouvé son corps sur la plage.
Selon India Today, John Chau avait dans l'idée d'évangéliser les Sentinelles
Les gars, possible de traduire le Post deep web ou de résumer le truc ?
C'est bon j'ai vue quelques pages plus bas. ;-)
Encore une fois super sujet hormis les pyj's qui viennent casser les couilles avec leurs creepypastas de merde dont l'auteur a demandé plusieurs fois de dégager d'ici avec ce genre d'âneries.
Faut vraiment être trouillard pour flipper sur ce genre de fantaisies sorti tout droit de l'imagination d'un puceau sérieux... Perso, la prochaine je ddb d'office.
Pas laisser couler le sujet les clefs. Sinon l'enregistrement de Shirley se trouve ou les gars ?
J'ai ghostfag les 28 premières pages, excellent sujet khey. Je fav et j'attends la suite
Je me régale, merci pour le topic
Excellent topic
Ce qui me fait le plus "peur" c'est les cas de meurtres inexpliqués comme la famille Allemande ou la disparition des 5 enfants quand la maison à pris feu