Je fais une légère pause sur les articles, je reprend dans pas longtemps
Evian
Je fav
Le 22 janvier 2019 à 23:07:16 MoneyMyBro3 a écrit :
Le 22 janvier 2019 à 22:52:03 kongstrong a écrit :
Un policier vraiment pourri
La vidéo est glaçante. En janvier 2016, Daniel Shaver, 26 ans, a été lâchement abattu par un policier du même âge dans un hôtel de Mesa en Arizona. Jugé jeudi, Philip Mitchell Brailsford, l’ancien policier à l’origine de ce meurtre a été acquitté. Daniel Shaver est mort sur le coup, après avoir reçu cinq balles dans la poitrine tandis qu’il hurlait «Ne me tuez pas». Un acte que l'avocat de la famille Mark Geragos qualifie «d'une exécution pure et simple».
Père de deux enfants, Daniel Shaver était en voyage d’affaires et recevait deux connaissances dans sa chambre d’hôtel, selon un média local. Il leur montrait une carabine à air comprimé, utilisée pour tuer les oiseaux qu’il a brandie à l’extérieur de la fenêtre de sa chambre d’hôtel, incitant un occupant à appeler la police.
L’homme sort de sa chambre et est abattu quelques instants après. Le policier s’est défendu en affirmant avoir vu Daniel Shaver attraper sa ceinture, pensant qu’il avait une arme à feu. Aucune arme n'a été trouvée sur le corps de la victime. Les enquêteurs pensent qu'il aurait simplement essayé de relever son short pendant qu'il se dirigeait vers la police.
Lien de la vidéo en vostfr ( l'image a été flouté au moment fatidique )
https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/daniel-shaver-abattu-alors-qu-il-suppliait-un-policier_2510289.html
Cette vidéo je la connaissais par contre mais impossible de défendre la victime
A quel moment tu fais un geste brusque de ce genre alors qu'on te braque avec un flingue bordel surtout aux USA
Déjà il lui dit "rampe" et ce con marche à 4 pattes
Et ensuite quelle idée de faire ce geste de merde comme si il allait sortir un gun, il devait etre bourré c'est pas possible
Après je pense que c'était surtout une crise de panique, c'est surtout le fait que le flic éprouve aussi peu d'émotion, dans la vidéo entière, le gars s'en battait les couilles
Je poste ca ici suite a ce topic fait par L-imbanissable6
: https://m.jeuxvideo.com/forums/42-51-58753355-1-0-1-0-la-mort-du-speleologue-john-jones-bordel-ames-sensibles-s-abstenir.htm
John Jones
Une histoire terrifiante, amis CLAUSTROPHOBES, vous allez vivre votre pire cauchemar !
John Jones, jeune père de famille de 26 ans et étudiant en médecine, est passionné de spélélogie. En 2009, il se rend en Utah pour visiter et explorer la fameuse Nutty Putty Cave, une grotte thermale connue pour quelques missions de sauvetages de jeunes scouts, coincés à l'intérieur. Bien que réputée pour abriter de nombreux coins exigus, aucune victime ne fut à déplorer depuis sa découverte en 1960.
http://assets.nydailynews.com/polopoly_fs/1.419614.1314526628!/img/httpImage/image.jpg_gen/derivatives/landscape_1200/alg-john-jones-jpg.jpg
https://cdn.deseretnews.com/images/article/hires/700435073/700435073.jpg
Le 24 novembre 2009, John Jones part donc explorer la grotte en compagnie de son frère. Rampant dans les tunnels étroits, Il décide à un moment de bifurquer de la voie classique et se retrouve confronté à un cul de sac. Malgré de nombreuses tentatives, John ne peut sortir à reculons de cette impasse. Il faut qu'il se rend à l'évidence, il est coincé, le corps quasiment à l'envers.
Son frère Josh se démène pour alerter les secours, qui mettrons tout en oeuvre pour tenter de dégager John du cul de sac. Cependant, il est impossible de passer à plusieurs dans le passage. Ils n'ont accès qu'aux pieds de John. Ils ne peuvent pas tirer sur ce dernier sans lui casser les jambes.
Une idée de l'étroitesse du passage, voici la photo d'un sauveteur : http://i.imgur.com/AN6vGWI.jpg
Voici un plan du passage où John est coincé, tête la première au fond de l'impasse : http://i.imgur.com/cxEkp1O.jpg
Malgré tous leurs efforts pendant près de 28 heures, John meurt. Le sang lui étant monté à la tête et dans ses poumons.
A ce jour, la grotte reste interdite au public, le corps de John toujours coincé à l'intérieur.
Toujours au top, j'en veux encore
bravo pour ce topic khey heureux de voir qu'il est toujours en vie
tu devrais fusionner avec celui des disparitions dans les grands parc US
Eveillé jusqu'à la folie ou l'expérience russe sur le sommeil
Rappel des faits : durant les années ’40, d’éminents scientifiques soviétiques auraient fait subir une expérience à des cobayes afin d’étudier les effets du manque de repos
Les malheureux élus n’étaient autres que des prisonniers politiques considérés comme des ennemis de l’état. On leur promis la liberté s’ils pouvaient rester éveillés durant 14 jours. Ceux-ci furent enfermés dans une chambre et exposés à un gaz stimulant. Les prisonniers portaient des microphones et ils étaient observables grâce à un hublot. Seul des lits, une toilette, des livres, composaient l’intérieur de la pièce. De la nourriture étaient servie de façon régulière.
Peu d’évènements notables arrivèrent durant les 5 premiers jours, à part le fait que les discussions entre les détenus devenaient plus empreintes d’émotions et qu’ils commençaient à révéler toutes leurs pensées.
La situation se compliquât à partir du sixième jour, lorsque les cobayes commencèrent à devenir paranoïaque et à tous s’accuser pour leur enfermement.
Ils se mirent à émettre d’étranges murmures.
Au bout de neuf jours, l’un des hommes se mit à crier et à courir dans tous les sens à travers la chambre. Il ne s'arrêta que lorsque ses cordes vocales furent déchirées. Deux autres détenus ont commencé à déféquer sur des livres et à les coller sur le hublot, ce qui les rendaient ‘’invisible’’ à tous observateurs extérieurs.
Après 15 jours d’expérience, plus aucun bruit ne venait de la chambre. Seul l’indicateur d’oxygène fit comprendre aux scientifiques que les sujets étaient encore vivants. Les chercheurs ont décidé d’entrer dans la pièce pour l’inspecter. Ceux-ci ont alors vu l’horreur. Les cobayes n’avaient plus touché à la nourriture depuis des jours et de la chair pendait de leurs corps. Ils avaient commencé à manger un des détenus mort au milieux de la pièce à qui il ne restait plus que quelques lambeaux de peau. Certains de leurs organes internes étaient visibles à l’œil nu. Ils ont alors attaqué ceux qui venaient d'entrer dans la chambre. L'un des patients arracha la testicule d'un des gardes avec les dents et celui-ci mourut dans les secondes qui suivirent, d'autres gardes succombèrent à cette assaut..
L'organisme des sujets semble résister aux sédatifs. Deux d'entre eux perdent la vie avant que les trois autres ne soient finalement maîtrisés. Ils sont emmenés au bloc opératoire.
Les sujets veulent à tout prix rester éveillés. Ils refusent toute anesthésie et acceptent avec joie que les docteurs traitent leur blessures à vif !
Un autre cobaye meurt rapidement. Les scientifiques procèdent à une autopsie et se rendent compte que 9 de ses os sont brisés. Il semble qu'ils se soient broyés sous la pression que les muscles exerçait sur eux !
Le deuxième exprime son contentement de sa voix endommagée à chaque fois que le scalpel découpe sa chair.
Le troisième murmure simplement : « Je dois rester éveillé... »
Ils veulent en savoir plus, et veulent réinsérer les deux survivants dans la salle. L'un s'endort avant d'avoir pu y retourner. Il entre dans un sommeil agité et meurt d'une crise cardiaque.
Le deuxième sujet s'enrage et demande à être enfermé de nouveau avec le gaz stimulant. Il se jette sur l'arme de l'un des soldats et tue deux chercheurs. Il est ensuite maîtrisé.
Le responsable des scientifiques, pistolet au poing, est furieux de la tournure des évènements. Il hurle au dernier des cinq, désespéré : « QU'ÊTES-VOUS ? Je dois savoir ! »
« L'avez-vous oublié si facilement ? Nous sommes vous. Nous sommes la folie qui se cache en chacun de vous. Dans votre esprit animal, elle supplie d'être libérée. Nous sommes ce dont vous vous cachez chaque nuit dans vos lits. Nous sommes ce que vous reléguez au silence et à la paralysie lorsque vous dormez, et que vous allez rejoindre ce paradis nocturne que nous ne pouvons fouler. »
Le scientifique recule d'un pas, puis vise le cœur du survivant, et tire. Dans son dernier souffle, le cobaye murmure « Si... près... d'être libres... »
Le 23 janvier 2019 à 00:23:38 ligne7575 a écrit :
tu devrais fusionner avec celui des disparitions dans les grands parc US
je peux plus l'éditer
up ce topic est génial
Le 23 janvier 2019 à 00:24:53 Ritokappa35 a écrit :
Eveillé jusqu'à la folie ou l'expérience russe sur le sommeil
Rappel des faits : durant les années ’40, d’éminents scientifiques soviétiques auraient fait subir une expérience à des cobayes afin d’étudier les effets du manque de repos
Les malheureux élus n’étaient autres que des prisonniers politiques considérés comme des ennemis de l’état. On leur promis la liberté s’ils pouvaient rester éveillés durant 14 jours. Ceux-ci furent enfermés dans une chambre et exposés à un gaz stimulant. Les prisonniers portaient des microphones et ils étaient observables grâce à un hublot. Seul des lits, une toilette, des livres, composaient l’intérieur de la pièce. De la nourriture étaient servie de façon régulière.
Peu d’évènements notables arrivèrent durant les 5 premiers jours, à part le fait que les discussions entre les détenus devenaient plus empreintes d’émotions et qu’ils commençaient à révéler toutes leurs pensées.
La situation se compliquât à partir du sixième jour, lorsque les cobayes commencèrent à devenir paranoïaque et à tous s’accuser pour leur enfermement.
Ils se mirent à émettre d’étranges murmures.
Au bout de neuf jours, l’un des hommes se mit à crier et à courir dans tous les sens à travers la chambre. Il ne s'arrêta que lorsque ses cordes vocales furent déchirées. Deux autres détenus ont commencé à déféquer sur des livres et à les coller sur le hublot, ce qui les rendaient ‘’invisible’’ à tous observateurs extérieurs.
Après 15 jours d’expérience, plus aucun bruit ne venait de la chambre. Seul l’indicateur d’oxygène fit comprendre aux scientifiques que les sujets étaient encore vivants. Les chercheurs ont décidé d’entrer dans la pièce pour l’inspecter. Ceux-ci ont alors vu l’horreur. Les cobayes n’avaient plus touché à la nourriture depuis des jours et de la chair pendait de leurs corps. Ils avaient commencé à manger un des détenus mort au milieux de la pièce à qui il ne restait plus que quelques lambeaux de peau. Certains de leurs organes internes étaient visibles à l’œil nu. Ils ont alors attaqué ceux qui venaient d'entrer dans la chambre. L'un des patients arracha la testicule d'un des gardes avec les dents et celui-ci mourut dans les secondes qui suivirent, d'autres gardes succombèrent à cette assaut..
L'organisme des sujets semble résister aux sédatifs. Deux d'entre eux perdent la vie avant que les trois autres ne soient finalement maîtrisés. Ils sont emmenés au bloc opératoire.
Les sujets veulent à tout prix rester éveillés. Ils refusent toute anesthésie et acceptent avec joie que les docteurs traitent leur blessures à vif !
Un autre cobaye meurt rapidement. Les scientifiques procèdent à une autopsie et se rendent compte que 9 de ses os sont brisés. Il semble qu'ils se soient broyés sous la pression que les muscles exerçait sur eux !
Le deuxième exprime son contentement de sa voix endommagée à chaque fois que le scalpel découpe sa chair.
Le troisième murmure simplement : « Je dois rester éveillé... »
Ils veulent en savoir plus, et veulent réinsérer les deux survivants dans la salle. L'un s'endort avant d'avoir pu y retourner. Il entre dans un sommeil agité et meurt d'une crise cardiaque.
Le deuxième sujet s'enrage et demande à être enfermé de nouveau avec le gaz stimulant. Il se jette sur l'arme de l'un des soldats et tue deux chercheurs. Il est ensuite maîtrisé.
Le responsable des scientifiques, pistolet au poing, est furieux de la tournure des évènements. Il hurle au dernier des cinq, désespéré : « QU'ÊTES-VOUS ? Je dois savoir ! »
« L'avez-vous oublié si facilement ? Nous sommes vous. Nous sommes la folie qui se cache en chacun de vous. Dans votre esprit animal, elle supplie d'être libérée. Nous sommes ce dont vous vous cachez chaque nuit dans vos lits. Nous sommes ce que vous reléguez au silence et à la paralysie lorsque vous dormez, et que vous allez rejoindre ce paradis nocturne que nous ne pouvons fouler. »
Le scientifique recule d'un pas, puis vise le cœur du survivant, et tire. Dans son dernier souffle, le cobaye murmure « Si... près... d'être libres... »
merci khey
t'es sur que c'est vrai ce truc de fou ?
Le 23 janvier 2019 à 00:24:53 Ritokappa35 a écrit :
Eveillé jusqu'à la folie ou l'expérience russe sur le sommeil
Rappel des faits : durant les années ’40, d’éminents scientifiques soviétiques auraient fait subir une expérience à des cobayes afin d’étudier les effets du manque de repos
Les malheureux élus n’étaient autres que des prisonniers politiques considérés comme des ennemis de l’état. On leur promis la liberté s’ils pouvaient rester éveillés durant 14 jours. Ceux-ci furent enfermés dans une chambre et exposés à un gaz stimulant. Les prisonniers portaient des microphones et ils étaient observables grâce à un hublot. Seul des lits, une toilette, des livres, composaient l’intérieur de la pièce. De la nourriture étaient servie de façon régulière.
Peu d’évènements notables arrivèrent durant les 5 premiers jours, à part le fait que les discussions entre les détenus devenaient plus empreintes d’émotions et qu’ils commençaient à révéler toutes leurs pensées.
La situation se compliquât à partir du sixième jour, lorsque les cobayes commencèrent à devenir paranoïaque et à tous s’accuser pour leur enfermement.
Ils se mirent à émettre d’étranges murmures.
Au bout de neuf jours, l’un des hommes se mit à crier et à courir dans tous les sens à travers la chambre. Il ne s'arrêta que lorsque ses cordes vocales furent déchirées. Deux autres détenus ont commencé à déféquer sur des livres et à les coller sur le hublot, ce qui les rendaient ‘’invisible’’ à tous observateurs extérieurs.
Après 15 jours d’expérience, plus aucun bruit ne venait de la chambre. Seul l’indicateur d’oxygène fit comprendre aux scientifiques que les sujets étaient encore vivants. Les chercheurs ont décidé d’entrer dans la pièce pour l’inspecter. Ceux-ci ont alors vu l’horreur. Les cobayes n’avaient plus touché à la nourriture depuis des jours et de la chair pendait de leurs corps. Ils avaient commencé à manger un des détenus mort au milieux de la pièce à qui il ne restait plus que quelques lambeaux de peau. Certains de leurs organes internes étaient visibles à l’œil nu. Ils ont alors attaqué ceux qui venaient d'entrer dans la chambre. L'un des patients arracha la testicule d'un des gardes avec les dents et celui-ci mourut dans les secondes qui suivirent, d'autres gardes succombèrent à cette assaut..
L'organisme des sujets semble résister aux sédatifs. Deux d'entre eux perdent la vie avant que les trois autres ne soient finalement maîtrisés. Ils sont emmenés au bloc opératoire.
Les sujets veulent à tout prix rester éveillés. Ils refusent toute anesthésie et acceptent avec joie que les docteurs traitent leur blessures à vif !
Un autre cobaye meurt rapidement. Les scientifiques procèdent à une autopsie et se rendent compte que 9 de ses os sont brisés. Il semble qu'ils se soient broyés sous la pression que les muscles exerçait sur eux !
Le deuxième exprime son contentement de sa voix endommagée à chaque fois que le scalpel découpe sa chair.
Le troisième murmure simplement : « Je dois rester éveillé... »
Ils veulent en savoir plus, et veulent réinsérer les deux survivants dans la salle. L'un s'endort avant d'avoir pu y retourner. Il entre dans un sommeil agité et meurt d'une crise cardiaque.
Le deuxième sujet s'enrage et demande à être enfermé de nouveau avec le gaz stimulant. Il se jette sur l'arme de l'un des soldats et tue deux chercheurs. Il est ensuite maîtrisé.
Le responsable des scientifiques, pistolet au poing, est furieux de la tournure des évènements. Il hurle au dernier des cinq, désespéré : « QU'ÊTES-VOUS ? Je dois savoir ! »
« L'avez-vous oublié si facilement ? Nous sommes vous. Nous sommes la folie qui se cache en chacun de vous. Dans votre esprit animal, elle supplie d'être libérée. Nous sommes ce dont vous vous cachez chaque nuit dans vos lits. Nous sommes ce que vous reléguez au silence et à la paralysie lorsque vous dormez, et que vous allez rejoindre ce paradis nocturne que nous ne pouvons fouler. »
Le scientifique recule d'un pas, puis vise le cœur du survivant, et tire. Dans son dernier souffle, le cobaye murmure « Si... près... d'être libres... »
C'est juste une creepy pasta il me semble.
Up
Le 23 janvier 2019 à 00:24:53 Ritokappa35 a écrit :
Eveillé jusqu'à la folie ou l'expérience russe sur le sommeil
Rappel des faits : durant les années ’40, d’éminents scientifiques soviétiques auraient fait subir une expérience à des cobayes afin d’étudier les effets du manque de repos
Les malheureux élus n’étaient autres que des prisonniers politiques considérés comme des ennemis de l’état. On leur promis la liberté s’ils pouvaient rester éveillés durant 14 jours. Ceux-ci furent enfermés dans une chambre et exposés à un gaz stimulant. Les prisonniers portaient des microphones et ils étaient observables grâce à un hublot. Seul des lits, une toilette, des livres, composaient l’intérieur de la pièce. De la nourriture étaient servie de façon régulière.
Peu d’évènements notables arrivèrent durant les 5 premiers jours, à part le fait que les discussions entre les détenus devenaient plus empreintes d’émotions et qu’ils commençaient à révéler toutes leurs pensées.
La situation se compliquât à partir du sixième jour, lorsque les cobayes commencèrent à devenir paranoïaque et à tous s’accuser pour leur enfermement.
Ils se mirent à émettre d’étranges murmures.
Au bout de neuf jours, l’un des hommes se mit à crier et à courir dans tous les sens à travers la chambre. Il ne s'arrêta que lorsque ses cordes vocales furent déchirées. Deux autres détenus ont commencé à déféquer sur des livres et à les coller sur le hublot, ce qui les rendaient ‘’invisible’’ à tous observateurs extérieurs.
Après 15 jours d’expérience, plus aucun bruit ne venait de la chambre. Seul l’indicateur d’oxygène fit comprendre aux scientifiques que les sujets étaient encore vivants. Les chercheurs ont décidé d’entrer dans la pièce pour l’inspecter. Ceux-ci ont alors vu l’horreur. Les cobayes n’avaient plus touché à la nourriture depuis des jours et de la chair pendait de leurs corps. Ils avaient commencé à manger un des détenus mort au milieux de la pièce à qui il ne restait plus que quelques lambeaux de peau. Certains de leurs organes internes étaient visibles à l’œil nu. Ils ont alors attaqué ceux qui venaient d'entrer dans la chambre. L'un des patients arracha la testicule d'un des gardes avec les dents et celui-ci mourut dans les secondes qui suivirent, d'autres gardes succombèrent à cette assaut..
L'organisme des sujets semble résister aux sédatifs. Deux d'entre eux perdent la vie avant que les trois autres ne soient finalement maîtrisés. Ils sont emmenés au bloc opératoire.
Les sujets veulent à tout prix rester éveillés. Ils refusent toute anesthésie et acceptent avec joie que les docteurs traitent leur blessures à vif !
Un autre cobaye meurt rapidement. Les scientifiques procèdent à une autopsie et se rendent compte que 9 de ses os sont brisés. Il semble qu'ils se soient broyés sous la pression que les muscles exerçait sur eux !
Le deuxième exprime son contentement de sa voix endommagée à chaque fois que le scalpel découpe sa chair.
Le troisième murmure simplement : « Je dois rester éveillé... »
Ils veulent en savoir plus, et veulent réinsérer les deux survivants dans la salle. L'un s'endort avant d'avoir pu y retourner. Il entre dans un sommeil agité et meurt d'une crise cardiaque.
Le deuxième sujet s'enrage et demande à être enfermé de nouveau avec le gaz stimulant. Il se jette sur l'arme de l'un des soldats et tue deux chercheurs. Il est ensuite maîtrisé.
Le responsable des scientifiques, pistolet au poing, est furieux de la tournure des évènements. Il hurle au dernier des cinq, désespéré : « QU'ÊTES-VOUS ? Je dois savoir ! »
« L'avez-vous oublié si facilement ? Nous sommes vous. Nous sommes la folie qui se cache en chacun de vous. Dans votre esprit animal, elle supplie d'être libérée. Nous sommes ce dont vous vous cachez chaque nuit dans vos lits. Nous sommes ce que vous reléguez au silence et à la paralysie lorsque vous dormez, et que vous allez rejoindre ce paradis nocturne que nous ne pouvons fouler. »
Le scientifique recule d'un pas, puis vise le cœur du survivant, et tire. Dans son dernier souffle, le cobaye murmure « Si... près... d'être libres... »
Ca c'est une creepypasta
Le 23 janvier 2019 à 00:22:48 Breloque a écrit :
Toujours au top, j'en veux encore
haha toujours en vie toi
Oui je fais un peu le ghostfag mais je passe tous les jours
Pour occupez de nouveaux posts https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Expérimentation_médicale_nazie