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Blabla 18-25 ans

Sujet : Topic du Glauque
cessna51
Niveau 10
23 janvier 2019 à 18:34:56

Le 23 janvier 2019 à 18:29:26 ]Neo[ a écrit :
J'ai tout lu, topic d'une grande qualité merci à toi l'auteur et à ceux qui contribuent.
Je voulais posté l'histoire du mec coincé dans sa grotte mais j'arrive quelques pages trop tard :hap:

Et stop avec cette creepypasta de merde sur les scientifiques russes et l'expérience sur le sommeil, c'est tellement bidon

C'est clairement chiant les creepy, a la rigueur ça aurait été réel avec de vrais doc pourquoi pas mais le fait que c'est faux ça retire le charme sur le topic

PatateChaude14
Niveau 37
23 janvier 2019 à 18:44:42

Les creepys c'est bien que si on sait pas que c'est fake. C'est pour ça que c'est demodé maintenant, c'est plus que des fics pour préados

kongstrong
Niveau 10
23 janvier 2019 à 18:46:42

je compte aussi mettre du paranormal, mais des vrai articles. putain il me reste 36 pages

kongstrong
Niveau 10
23 janvier 2019 à 18:47:24

Le 23 janvier 2019 à 18:44:42 PatateChaude14 a écrit :
Les creepys c'est bien que si on sait pas que c'est fake. C'est pour ça que c'est demodé maintenant, c'est plus que des fics pour préados

si y'a des images un peu gore il risque pas de se faire stike le blog ?

PatateChaude14
Niveau 37
23 janvier 2019 à 18:48:34

Le 23 janvier 2019 à 18:47:24 kongstrong a écrit :

Le 23 janvier 2019 à 18:44:42 PatateChaude14 a écrit :
Les creepys c'est bien que si on sait pas que c'est fake. C'est pour ça que c'est demodé maintenant, c'est plus que des fics pour préados

si y'a des images un peu gore il risque pas de se faire stike le blog ?

Je pense pas, au pire mets des avertissements

]Neo[
Niveau 15
23 janvier 2019 à 19:02:30

:mort: L'irradié :mort:

https://www.noelshack.com/2019-04-3-1548265912-jap.jpg

Hisashi Ouchi, 35 ans, est la première victime d'un incident radioactif au Japon (13 septembre 1999) depuis les débuts du nucléaire civil.

La cause de l'accident est que les travailleurs ont ajouté une solution de nitrate d'uranyle qui contenait environ 16 kg d'uranium dans le réservoir de précipitation. Cela dépassait considérablement la limite d'uranium du réservoir de 2,4 kg et provoqua une réaction en chaîne nucléaire instantanée et incontrôlée. Dans les procédures correctes, le nitrate d'uranyle aurait été stocké dans un réservoir tampon et ensuite pompé à partir de là dans le réservoir de précipitation à des intervalles du niveau de volume correct ne dépassant pas 2,4 kg.

Dans ce cas-ci, les travailleurs ont contourné complètement les réservoirs tampons et ont versé le nitrate d'uranyle directement dans le réservoir de précipitation avec un godet en acier inoxydable plutôt que d'utiliser une pompe. Le réservoir tampon aurait effectivement tenu cette solution en toute sécurité, car il avait une géométrie haute et étroite et était conçu pour éviter la criticité. Cependant, le réservoir de précipitations n'avait pas été conçu pour contenir ce type de solution et n'était pas configuré pour empêcher la criticité.

Hisachi tenait l'entonnoir servant à déverser l'uranium dissous dans la cuve. A 9 grays, la moelle osseuse est en grande partie détruite, ce qui effondre l'hématopoïèse, c'est-à-dire la " fabrication " des cellules sanguines.

Les médecins l'ont maintenus en vie contre sa volonté et ont tentés des greffes. Ouchi est décédé à la suite de la défaillance de plusieurs organes vitaux après avoir subi quatre-vingt-trois jours de traitements intensifs jamais tentés nulle part au monde.

Google est votre ami si vous cherchez des photos de son état après irradiation

kongstrong
Niveau 10
23 janvier 2019 à 19:06:36

plus que 35...

kongstrong
Niveau 10
23 janvier 2019 à 19:10:10

pour les truc gore je mettrais les mots clé exact pour ceux qui veulent aller plus loin

cessna51
Niveau 10
23 janvier 2019 à 19:25:46

Le 23 janvier 2019 à 19:02:30 ]Neo[ a écrit :
:mort: L'irradié :mort:

https://www.noelshack.com/2019-04-3-1548265912-jap.jpg

Hisashi Ouchi, 35 ans, est la première victime d'un incident radioactif au Japon (13 septembre 1999) depuis les débuts du nucléaire civil.

La cause de l'accident est que les travailleurs ont ajouté une solution de nitrate d'uranyle qui contenait environ 16 kg d'uranium dans le réservoir de précipitation. Cela dépassait considérablement la limite d'uranium du réservoir de 2,4 kg et provoqua une réaction en chaîne nucléaire instantanée et incontrôlée. Dans les procédures correctes, le nitrate d'uranyle aurait été stocké dans un réservoir tampon et ensuite pompé à partir de là dans le réservoir de précipitation à des intervalles du niveau de volume correct ne dépassant pas 2,4 kg.

Dans ce cas-ci, les travailleurs ont contourné complètement les réservoirs tampons et ont versé le nitrate d'uranyle directement dans le réservoir de précipitation avec un godet en acier inoxydable plutôt que d'utiliser une pompe. Le réservoir tampon aurait effectivement tenu cette solution en toute sécurité, car il avait une géométrie haute et étroite et était conçu pour éviter la criticité. Cependant, le réservoir de précipitations n'avait pas été conçu pour contenir ce type de solution et n'était pas configuré pour empêcher la criticité.

Hisachi tenait l'entonnoir servant à déverser l'uranium dissous dans la cuve. A 9 grays, la moelle osseuse est en grande partie détruite, ce qui effondre l'hématopoïèse, c'est-à-dire la " fabrication " des cellules sanguines.

Les médecins l'ont maintenus en vie contre sa volonté et ont tentés des greffes. Ouchi est décédé à la suite de la défaillance de plusieurs organes vitaux après avoir subi quatre-vingt-trois jours de traitements intensifs jamais tentés nulle part au monde.

Google est votre ami si vous cherchez des photos de son état après irradiation

En effet la photo trouver sur Google tu comprend pourquoi il voulais pas être réanimé, c'est même abuser le fait que les médecin on ignoré sa demande pendant 83 jour

ligne7575
Niveau 7
23 janvier 2019 à 19:40:17

Le 23 janvier 2019 à 19:02:30 ]Neo[ a écrit :
:mort: L'irradié :mort:

https://www.noelshack.com/2019-04-3-1548265912-jap.jpg

Hisashi Ouchi, 35 ans, est la première victime d'un incident radioactif au Japon (13 septembre 1999) depuis les débuts du nucléaire civil.

La cause de l'accident est que les travailleurs ont ajouté une solution de nitrate d'uranyle qui contenait environ 16 kg d'uranium dans le réservoir de précipitation. Cela dépassait considérablement la limite d'uranium du réservoir de 2,4 kg et provoqua une réaction en chaîne nucléaire instantanée et incontrôlée. Dans les procédures correctes, le nitrate d'uranyle aurait été stocké dans un réservoir tampon et ensuite pompé à partir de là dans le réservoir de précipitation à des intervalles du niveau de volume correct ne dépassant pas 2,4 kg.

Dans ce cas-ci, les travailleurs ont contourné complètement les réservoirs tampons et ont versé le nitrate d'uranyle directement dans le réservoir de précipitation avec un godet en acier inoxydable plutôt que d'utiliser une pompe. Le réservoir tampon aurait effectivement tenu cette solution en toute sécurité, car il avait une géométrie haute et étroite et était conçu pour éviter la criticité. Cependant, le réservoir de précipitations n'avait pas été conçu pour contenir ce type de solution et n'était pas configuré pour empêcher la criticité.

Hisachi tenait l'entonnoir servant à déverser l'uranium dissous dans la cuve. A 9 grays, la moelle osseuse est en grande partie détruite, ce qui effondre l'hématopoïèse, c'est-à-dire la " fabrication " des cellules sanguines.

Les médecins l'ont maintenus en vie contre sa volonté et ont tentés des greffes. Ouchi est décédé à la suite de la défaillance de plusieurs organes vitaux après avoir subi quatre-vingt-trois jours de traitements intensifs jamais tentés nulle part au monde.

Google est votre ami si vous cherchez des photos de son état après irradiation

je vous conseille pas :malade:

kongstrong
Niveau 10
23 janvier 2019 à 19:41:56

https://www.noelshack.com/2019-04-3-1548268912-1474490235-risitas434.png

Seibba
Niveau 23
23 janvier 2019 à 19:49:03

Ça aurait été dommage de le laisser mourir alors qu'on peut faire des expériences sur sa personne :ok:

kongstrong
Niveau 10
23 janvier 2019 à 21:40:24

up

EliteNocturne
Niveau 10
23 janvier 2019 à 21:40:44

Pour l'instant, les 4 secondes de cris qu'on peut entendre lors du procès des toolbox killers, c est ce qui m'as mis le plus mal.

Quand on sait que l'enregistrement complet dure 17 minutes... les gens du jury ou du public qui ont entendu ça ont du être traumatisé à vie. C est d'ailleurs ce qu ils disent quand ils sortent de la salle.

Le procureur qui a travaillé la dessus, et qui a pourtant sur beaucoup d'autres affaire glauques comme celle de la famille Manson , en a fait des cauchemars pendant 2 ans à ce jour, et il continue aujourd'hui à clamer pour que bittaker soit exécuté, plus de 30 ans après les faits. A ce jour, il s agit de son dossier le plus traumatisant.

Le flic qui mena l'enquête se suicida peu de temps après le procès, tellement l'affaire l avait mis mal. Dans une lettre qu il laissa après sa mort, il affirma ne pas pouvoir supporter l idée qu un jour ces monstres puissent sortir de prison, et craignait qu'ils s en prennent à sa famille.

Toutefois, tout le monde n est pas traumatisé par eux, et bittaker reçu de nombreuses lettres de fans en prison. L une d elle se maria même avec lui ( oui oui Celestin, tu es toujours puceau mais y a des meufs qui préfèrent se marier avec l un des pires humain que l histoire a engendré ). A noté qu il signait ses lettres à ses fans "plier". Ce qui veut dire "pince " en français...

Un autre audio particulièrement tendu est celui de toybox killer - à ne pas confondre avec les précédents- si vous êtes plutôt bon en anglais, le transcript est dispo en ligne, c'est particulièrement sinistre.

Aucune de ces victimes n a été retrouvé , pourtant on estime le nombre a plus de 60. Ray est mort d une crise cardiaque en prison ( death note :hap: )
Le FBI recense tous les objets appartenant aux victimes trouvés dans sa baraque dans l espoir que des proches puissent les identifier. Et il y en a... beaucoup.

kongstrong
Niveau 10
23 janvier 2019 à 21:42:33

Le 23 janvier 2019 à 21:40:44 EliteNocturne a écrit :
Pour l'instant, les 4 secondes de cris qu'on peut entendre lors du procès des toolbox killers, c est ce qui m'as mis le plus mal.

Quand on sait que l'enregistrement complet dure 17 minutes... les gens du jury ou du public qui ont entendu ça ont du être traumatisé à vie. C est d'ailleurs ce qu ils disent quand ils sortent de la salle.

Le procureur qui a travaillé la dessus, et qui a pourtant sur beaucoup d'autres affaire glauques comme celle de la famille Manson , en a fait des cauchemars pendant 2 ans à ce jour, et il continue aujourd'hui à clamer pour que bittaker soit exécuté, plus de 30 ans après les faits. A ce jour, il s agit de son dossier le plus traumatisant.

Le flic qui mena l'enquête se suicida peu de temps après le procès, tellement l'affaire l avait mis mal. Dans une lettre qu il laissa après sa mort, il affirma ne pas pouvoir supporter l idée qu un jour ces monstres puissent sortir de prison, et craignait qu'ils s en prennent à sa famille.

Toutefois, tout le monde n est pas traumatisé par eux, et bittaker reçu de nombreuses lettres de fans en prison. L une d elle se maria même avec lui ( oui oui Celestin, tu es toujours puceau mais y a des meufs qui préfèrent se marier avec l un des pires humain que l histoire a engendré ). A noté qu il signait ses lettres à ses fans "plier". Ce qui veut dire "pince " en français...

Un autre audio particulièrement tendu est celui de toybox killer - à ne pas confondre avec les précédents- si vous êtes plutôt bon en anglais, le transcript est dispo en ligne, c'est particulièrement sinistre.

Aucune de ces victimes n a été retrouvé , pourtant on estime le nombre a plus de 60. Ray est mort d une crise cardiaque en prison ( death note :hap: )
Le FBI recense tous les objets appartenant aux victimes trouvés dans sa baraque dans l espoir que des proches puissent les identifier. Et il y en a... beaucoup.

yep j'ai mis la transcription audio d'ailleurs ^^

EliteNocturne
Niveau 10
23 janvier 2019 à 21:44:40

Le 23 janvier 2019 à 21:42:33 kongstrong a écrit :

Le 23 janvier 2019 à 21:40:44 EliteNocturne a écrit :
Pour l'instant, les 4 secondes de cris qu'on peut entendre lors du procès des toolbox killers, c est ce qui m'as mis le plus mal.

Quand on sait que l'enregistrement complet dure 17 minutes... les gens du jury ou du public qui ont entendu ça ont du être traumatisé à vie. C est d'ailleurs ce qu ils disent quand ils sortent de la salle.

Le procureur qui a travaillé la dessus, et qui a pourtant sur beaucoup d'autres affaire glauques comme celle de la famille Manson , en a fait des cauchemars pendant 2 ans à ce jour, et il continue aujourd'hui à clamer pour que bittaker soit exécuté, plus de 30 ans après les faits. A ce jour, il s agit de son dossier le plus traumatisant.

Le flic qui mena l'enquête se suicida peu de temps après le procès, tellement l'affaire l avait mis mal. Dans une lettre qu il laissa après sa mort, il affirma ne pas pouvoir supporter l idée qu un jour ces monstres puissent sortir de prison, et craignait qu'ils s en prennent à sa famille.

Toutefois, tout le monde n est pas traumatisé par eux, et bittaker reçu de nombreuses lettres de fans en prison. L une d elle se maria même avec lui ( oui oui Celestin, tu es toujours puceau mais y a des meufs qui préfèrent se marier avec l un des pires humain que l histoire a engendré ). A noté qu il signait ses lettres à ses fans "plier". Ce qui veut dire "pince " en français...

Un autre audio particulièrement tendu est celui de toybox killer - à ne pas confondre avec les précédents- si vous êtes plutôt bon en anglais, le transcript est dispo en ligne, c'est particulièrement sinistre.

Aucune de ces victimes n a été retrouvé , pourtant on estime le nombre a plus de 60. Ray est mort d une crise cardiaque en prison ( death note :hap: )
Le FBI recense tous les objets appartenant aux victimes trouvés dans sa baraque dans l espoir que des proches puissent les identifier. Et il y en a... beaucoup.

yep j'ai mis la transcription audio d'ailleurs ^^

Le vrai enregistrement n a jamais été rendu public mais en effet plusieurs personnes se sont "amusés " à lire le texte et à le poster sur youtube :hap:

Le passage avec le berger allemand :malade:

kongstrong
Niveau 10
23 janvier 2019 à 21:52:21

Le 23 janvier 2019 à 21:44:40 EliteNocturne a écrit :

Le 23 janvier 2019 à 21:42:33 kongstrong a écrit :

Le 23 janvier 2019 à 21:40:44 EliteNocturne a écrit :
Pour l'instant, les 4 secondes de cris qu'on peut entendre lors du procès des toolbox killers, c est ce qui m'as mis le plus mal.

Quand on sait que l'enregistrement complet dure 17 minutes... les gens du jury ou du public qui ont entendu ça ont du être traumatisé à vie. C est d'ailleurs ce qu ils disent quand ils sortent de la salle.

Le procureur qui a travaillé la dessus, et qui a pourtant sur beaucoup d'autres affaire glauques comme celle de la famille Manson , en a fait des cauchemars pendant 2 ans à ce jour, et il continue aujourd'hui à clamer pour que bittaker soit exécuté, plus de 30 ans après les faits. A ce jour, il s agit de son dossier le plus traumatisant.

Le flic qui mena l'enquête se suicida peu de temps après le procès, tellement l'affaire l avait mis mal. Dans une lettre qu il laissa après sa mort, il affirma ne pas pouvoir supporter l idée qu un jour ces monstres puissent sortir de prison, et craignait qu'ils s en prennent à sa famille.

Toutefois, tout le monde n est pas traumatisé par eux, et bittaker reçu de nombreuses lettres de fans en prison. L une d elle se maria même avec lui ( oui oui Celestin, tu es toujours puceau mais y a des meufs qui préfèrent se marier avec l un des pires humain que l histoire a engendré ). A noté qu il signait ses lettres à ses fans "plier". Ce qui veut dire "pince " en français...

Un autre audio particulièrement tendu est celui de toybox killer - à ne pas confondre avec les précédents- si vous êtes plutôt bon en anglais, le transcript est dispo en ligne, c'est particulièrement sinistre.

Aucune de ces victimes n a été retrouvé , pourtant on estime le nombre a plus de 60. Ray est mort d une crise cardiaque en prison ( death note :hap: )
Le FBI recense tous les objets appartenant aux victimes trouvés dans sa baraque dans l espoir que des proches puissent les identifier. Et il y en a... beaucoup.

yep j'ai mis la transcription audio d'ailleurs ^^

Le vrai enregistrement n a jamais été rendu public mais en effet plusieurs personnes se sont "amusés " à lire le texte et à le poster sur youtube :hap:

Le passage avec le berger allemand :malade:

horrible ce passage

boiteapunaise
Niveau 9
23 janvier 2019 à 21:52:35

L’affaire Léa Boltin

Léa Boltin était une jeune femme à peine âgée de 18 ans en passe de devenir militaire au 511 ème régiment du train, à Auxonne. Entrée dans l’institution le premier décembre 2014, elle fut portée disparue le 16 juillet de la même année alors qu’elle atteignait avec brio la fin de ses classes.

Biographie :

Léa Boltin est née à Paris le 9 août 1996. Son père Philippe Boltin, ancien militaire, est devenu carrossier suite à une blessure et sa mère Caroline Boltin, anciennement Houveau, est femme au foyer. La famille fut plusieurs fois au bord de la misère, mais la mère possédant par chance un don pour le poker, réussit à maintenir la famille à flot. De plus, vers les années 2000 les activités du père s’arrangèrent beaucoup lorsqu’il s’associe à un mécanicien, montant avec lui un garage qui deviendra une vraie entreprise qui marcha très bien. Léa connut donc malgré quelques périodes creuses, une enfance normale malgré quelques soucis de poids. Après un baccalauréat littéraire et une déception amoureuse qu’elle vécu très mal aux alentours de 2013, Léa décide de commencer une nouvelle vie et s’engage dans l’armée, voulant en finir une bonne fois pour toute avec ses problèmes de poids entre autre.
Appréciée par ses supérieurs et travaillant dur, elle finit major de sa promotion et semble encline à une belle carrière dans l’armée de terre française.

Fait :

C’est après être rentrée chez elle pour le dernier week-end avant la fin des classes que Léa disparaît soudainement. Après avoir passé la fin de semaine en compagnie de sa famille, Léa prend le train pour rentrer à son régiment où il est prévu qu’elle passe la nuit de dimanche à lundi. Malheureusement, Léa n’arrivera jamais dans sa chambre au régiment.
Débarrassée de sa timidité au fil des mois qu’elle a passé à l’armée, Léa put discuter avec quelques voyageurs dans la gare et c’est grâce à cela que les forces de police purent retrouver sa trace et ainsi reconstituer les faits même si de nombreuses zones d’ombre existent. Son train partant à 19 h 23 en destination d’Auxonne, il est prévu qu’elle arrive de nuit et qu’un collègue passerait la chercher à la gare pour l’emmener au régiment. Stéphane Felautako, son camarade, l’attendit à la gare plus d’une heure en lui envoyant plusieurs messages et en essayant de l’appeler plusieurs fois sur son portable sans qu’elle ne réponde. Excepté une fois. En effet, lorsque Stéphane appela pour la deuxième fois alors que cela faisait plus de quarante-cinq minute qu’il attendait, Léa ou quelqu’un d’autre décrocha pendant deux secondes. Stéphane décrivit ce qu’il avait entendu par les mots qui suivent : « Un bruit sourd et un claquement sec puis plus rien. » Après cela Stéphane appela l’encadrement qui s’occupait de leur classe et les mit au courant sans que cela n’inquiète les officiers et sous-officiers. Il était fréquent que les jeunes engagés aient du mal à arriver à l’heure à la fin d’un week-end même si cela ne ressemblait pas à Léa. C’est le lendemain constatant qu’elle n’était toujours pas réapparue que le lieutenant Pourcole téléphona aux parents de Léa pour savoir si elle n’était pas encore chez eux. Abasourdis, les Boltin répondirent que non, que leur fille avait prit le train vers 19 h et qu’elle était censé arriver au régiment vers les 22 h au plus tard. C’est à ce moment-là que le lieutenant appelle la police.
L’enquête permit de confirmer que Léa avait bien prit le bon train à la bonne heure le dimanche 16 juillet 2014. Mais n’était pas arrivée à Auxonne. Quelque chose s’était produit.

Quelques personnes avec qui Léa avait rapidement fait connaissance à la gare avant d’embarquer témoignèrent et affirmaient qu’elle était bien descendue à la correspondance de Dijon-ville. Elle avait donc dix minutes pour attraper le train qui l’amènerait à Auxonne. Brigitte B. précise même que la jeune femme stressait de ne pas réussir à arriver à temps et de rater son train, surtout avec sa grosse valise et son gros sac. Un homme écoutant la conversation se serait alors proposé de l’aider à porter ses affaires, lui aussi faisant route pour Auxonne. A ce que Brigitte et les quelques autres personnes ayant été présent, Léa avait gentiment refusée l’offre de l’homme, qui avait une apparence qualifiée par Brigitte de : « Louche, il est vrai ». Après plusieurs jours d’investigation, la police parvint à retrouver l’homme en question et celui-ci devint donc le principal suspect. Vivant entre deux adresses et plutôt seul, il n’avait pas d’alibi solide mais il s’avéra que ne possédant pas de véhicules ni aucun antécédents judiciaires, cet homme ne correspondait pas au profil. De plus des caméras de surveillance révélèrent que Léa avait quittée la gare de Dijon-ville seule, peu avant que son train pour Auxonne ne parte.
La police pencha donc pour la théorie suivante : craignant de rater son train, Léa avait donc opté pour un voyage en taxi, plus onéreux mais plus sûr. La police réussit donc à retrouver un chauffeur de taxi qui se rappelait d’elle mais qui jura ne pas l’avoir prise dans son véhicule pour la simple et bonne raison que la jeune femme avait retrouvée un homme qu’elle connaissait alors même qu’elle allait lui demander une course. Le remerciant, elle s’était ensuite allée vers une voiture blanche avec à son bord un homme de couleur noire. La police prit tout de même le signalement du chauffeur de taxi mais saisirent aussitôt cette piste et contactèrent le 511 ème régiment du train. Le lieutenant Pourcole leur affirma qu’il ne manquait personne parmi la promotion de Léa. La police s’oriente donc vers les autres militaires du régiment, nombreux étant ceux qui avaient eut le temps de faire connaissance avec Léa, qui était devenue une jeune femme plutôt jolie et qui n’avait plus la langue dans sa poche. Sans succès.
La police revint donc vers le chauffeur de taxi, qui ne comprenait pas, qu’il avait peut-être mal compris, que peut-être était-ce un homme qui avait entendu où est-ce qu’elle comptait se rendre et qui se proposait gentiment de l’amener pour rien. La course en taxi de Dijon-ville à Auxonne se révélant chère, il est possible que Léa ait sautée sur l’occasion d’économiser une ou deux centaine d’euros. De plus rien dans le compteur du taxi ne trahissait que celui-ci l’avait prise. En effet, peu après 21h 15, il emmenait déjà une autre cliente. La police retrouva cette dite cliente qui affirma. Le chauffeur de taxi fut donc hors de cause.
Malgré des semaines d’enquête, la police ne trouva aucun autre éléments et l’affaire fut rangée dans le dossiers non-résolus à ce jour encore.

Quelques mois plus tard, on fit remonter un sac militaire semblant appartenir à Léa Boltin qui fut trouvé dans un bois aux alentours de Sémur-en-Auxois, non-loin du parc Naturel Régional du Morvan. Il était vide, hormis quelques affaires moisies. Ce nouvel élément ne permit pas de retrouver la jeune femme.

Pseudo supprimé
Niveau 8
23 janvier 2019 à 22:07:58

Le passage avec le berger allemand ?

kongstrong
Niveau 10
23 janvier 2019 à 22:11:53

Le 23 janvier 2019 à 22:07:58 HEPHAIST0S a écrit :
Le passage avec le berger allemand ?

oui dans la restranscription audio de ray david parker

Sujet : Topic du Glauque
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