Le 24 janvier 2019 à 07:48:05 EliteNocturne a écrit :
Le 23 janvier 2019 à 21:52:35 Boiteapunaise a écrit :
L’affaire Léa BoltinLéa Boltin était une jeune femme à peine âgée de 18 ans en passe de devenir militaire au 511 ème régiment du train, à Auxonne. Entrée dans l’institution le premier décembre 2014, elle fut portée disparue le 16 juillet de la même année alors qu’elle atteignait avec brio la fin de ses classes.
Biographie :
Léa Boltin est née à Paris le 9 août 1996. Son père Philippe Boltin, ancien militaire, est devenu carrossier suite à une blessure et sa mère Caroline Boltin, anciennement Houveau, est femme au foyer. La famille fut plusieurs fois au bord de la misère, mais la mère possédant par chance un don pour le poker, réussit à maintenir la famille à flot. De plus, vers les années 2000 les activités du père s’arrangèrent beaucoup lorsqu’il s’associe à un mécanicien, montant avec lui un garage qui deviendra une vraie entreprise qui marcha très bien. Léa connut donc malgré quelques périodes creuses, une enfance normale malgré quelques soucis de poids. Après un baccalauréat littéraire et une déception amoureuse qu’elle vécu très mal aux alentours de 2013, Léa décide de commencer une nouvelle vie et s’engage dans l’armée, voulant en finir une bonne fois pour toute avec ses problèmes de poids entre autre.
Appréciée par ses supérieurs et travaillant dur, elle finit major de sa promotion et semble encline à une belle carrière dans l’armée de terre française.Fait :
C’est après être rentrée chez elle pour le dernier week-end avant la fin des classes que Léa disparaît soudainement. Après avoir passé la fin de semaine en compagnie de sa famille, Léa prend le train pour rentrer à son régiment où il est prévu qu’elle passe la nuit de dimanche à lundi. Malheureusement, Léa n’arrivera jamais dans sa chambre au régiment.
Débarrassée de sa timidité au fil des mois qu’elle a passé à l’armée, Léa put discuter avec quelques voyageurs dans la gare et c’est grâce à cela que les forces de police purent retrouver sa trace et ainsi reconstituer les faits même si de nombreuses zones d’ombre existent. Son train partant à 19 h 23 en destination d’Auxonne, il est prévu qu’elle arrive de nuit et qu’un collègue passerait la chercher à la gare pour l’emmener au régiment. Stéphane Felautako, son camarade, l’attendit à la gare plus d’une heure en lui envoyant plusieurs messages et en essayant de l’appeler plusieurs fois sur son portable sans qu’elle ne réponde. Excepté une fois. En effet, lorsque Stéphane appela pour la deuxième fois alors que cela faisait plus de quarante-cinq minute qu’il attendait, Léa ou quelqu’un d’autre décrocha pendant deux secondes. Stéphane décrivit ce qu’il avait entendu par les mots qui suivent : « Un bruit sourd et un claquement sec puis plus rien. » Après cela Stéphane appela l’encadrement qui s’occupait de leur classe et les mit au courant sans que cela n’inquiète les officiers et sous-officiers. Il était fréquent que les jeunes engagés aient du mal à arriver à l’heure à la fin d’un week-end même si cela ne ressemblait pas à Léa. C’est le lendemain constatant qu’elle n’était toujours pas réapparue que le lieutenant Pourcole téléphona aux parents de Léa pour savoir si elle n’était pas encore chez eux. Abasourdis, les Boltin répondirent que non, que leur fille avait prit le train vers 19 h et qu’elle était censé arriver au régiment vers les 22 h au plus tard. C’est à ce moment-là que le lieutenant appelle la police.
L’enquête permit de confirmer que Léa avait bien prit le bon train à la bonne heure le dimanche 16 juillet 2014. Mais n’était pas arrivée à Auxonne. Quelque chose s’était produit.Quelques personnes avec qui Léa avait rapidement fait connaissance à la gare avant d’embarquer témoignèrent et affirmaient qu’elle était bien descendue à la correspondance de Dijon-ville. Elle avait donc dix minutes pour attraper le train qui l’amènerait à Auxonne. Brigitte B. précise même que la jeune femme stressait de ne pas réussir à arriver à temps et de rater son train, surtout avec sa grosse valise et son gros sac. Un homme écoutant la conversation se serait alors proposé de l’aider à porter ses affaires, lui aussi faisant route pour Auxonne. A ce que Brigitte et les quelques autres personnes ayant été présent, Léa avait gentiment refusée l’offre de l’homme, qui avait une apparence qualifiée par Brigitte de : « Louche, il est vrai ». Après plusieurs jours d’investigation, la police parvint à retrouver l’homme en question et celui-ci devint donc le principal suspect. Vivant entre deux adresses et plutôt seul, il n’avait pas d’alibi solide mais il s’avéra que ne possédant pas de véhicules ni aucun antécédents judiciaires, cet homme ne correspondait pas au profil. De plus des caméras de surveillance révélèrent que Léa avait quittée la gare de Dijon-ville seule, peu avant que son train pour Auxonne ne parte.
La police pencha donc pour la théorie suivante : craignant de rater son train, Léa avait donc opté pour un voyage en taxi, plus onéreux mais plus sûr. La police réussit donc à retrouver un chauffeur de taxi qui se rappelait d’elle mais qui jura ne pas l’avoir prise dans son véhicule pour la simple et bonne raison que la jeune femme avait retrouvée un homme qu’elle connaissait alors même qu’elle allait lui demander une course. Le remerciant, elle s’était ensuite allée vers une voiture blanche avec à son bord un homme de couleur noire. La police prit tout de même le signalement du chauffeur de taxi mais saisirent aussitôt cette piste et contactèrent le 511 ème régiment du train. Le lieutenant Pourcole leur affirma qu’il ne manquait personne parmi la promotion de Léa. La police s’oriente donc vers les autres militaires du régiment, nombreux étant ceux qui avaient eut le temps de faire connaissance avec Léa, qui était devenue une jeune femme plutôt jolie et qui n’avait plus la langue dans sa poche. Sans succès.
La police revint donc vers le chauffeur de taxi, qui ne comprenait pas, qu’il avait peut-être mal compris, que peut-être était-ce un homme qui avait entendu où est-ce qu’elle comptait se rendre et qui se proposait gentiment de l’amener pour rien. La course en taxi de Dijon-ville à Auxonne se révélant chère, il est possible que Léa ait sautée sur l’occasion d’économiser une ou deux centaine d’euros. De plus rien dans le compteur du taxi ne trahissait que celui-ci l’avait prise. En effet, peu après 21h 15, il emmenait déjà une autre cliente. La police retrouva cette dite cliente qui affirma. Le chauffeur de taxi fut donc hors de cause.
Malgré des semaines d’enquête, la police ne trouva aucun autre éléments et l’affaire fut rangée dans le dossiers non-résolus à ce jour encore.Quelques mois plus tard, on fit remonter un sac militaire semblant appartenir à Léa Boltin qui fut trouvé dans un bois aux alentours de Sémur-en-Auxois, non-loin du parc Naturel Régional du Morvan. Il était vide, hormis quelques affaires moisies. Ce nouvel élément ne permit pas de retrouver la jeune femme.
Y a absolument rien sur google la concernant, j aimerais bien une source please
Si vous voulez vraiment des disparues célèbres sans le moindre indice ni piste, il y a Marion Wagon et Estelle Mouzin les kheys. Très glauque aussi, ces gens qui disparaissent sans laisser la moindre trace.
Oui aucune source, pas de Léa boltin ou de disparition liée au régiment en question sur goole... un beau fake cette histoire