Le 28 octobre 2021 à 11:19:00 :
Le 28 octobre 2021 à 11:14:34 :
Le 28 octobre 2021 à 11:10:49 :
Tenter de maintenir une opposition fictive gauche sociale / droite libérale, c'est une illusion et un échec assuré.Les groupes sociaux qui votaient à gauche ont compris qu'on n'ira pas plus loin dans la taxation, les aides sociales et la réglementation des activités : on est déjà allé plus loin que n'importe quel pays, et les résultats n'ont pas été positifs.
Les classes populaires et moyennes inférieures ont abandonné ces demandes et souhaitent maintenant qu'on agisse sur l'immigration qu'elles voient comme une source de concurrence.Le PS et l'UMP ont alterné pendant 40 ans sans que personne ne voit de différence fondamentale entre leurs politiques, malgré les discours. Cette fausse alternance a beaucoup abîmé la démocratie et plus personne n'en veut sauf quelques militants désespérés par la disparition de leur camp.
Oui, le PS et l'UMP avaient un programme similaire, mais c'est le jeu du scrutin uninominal à deux tours dans l'absolu. Seulement, il reste une demande pour une politique de gauche dans le pays, seulement il n'y a pas d'offre et la gauche est divisée.
Que les électeurs de gauche soient prêts à faire barrage dès le premier tour montre que le problème, ce n'est pas l'électorat mais les candidats.
Et la gauche ne doit pas forcément avoir comme électorat les classes populaires, ça aussi c'est une erreur. Ce serait plutôt les fonctionnaires pour moi le cœur de cible de la gauche avec à côté les salariés CSP+.
Ça ce sont tes souhaits, OK.
Mais la réalité est différente. Les électeurs ont le choix, l'offre politique à gauche est pléthorique : Hidalgo, Jadot, Montebourg, Mélenchon, Roussel, Poutou, Arthaud ... il y en a pour tous les goûts.Et pourtant aucun d'eux ne décolle.
Le problème de fond est clairement idéologique. Le libéralisme a gagné et les gens ne regardent plus les candidats qui font comme si la gauche du 20ème siècle existait encore.
Et 2022 va achever ce que 2017 a commencé. Il restera un petit bout de LFI, et un parti vert adolescent, pas plus.
Car aucun d'entre eux ne concilie un véritable programme social de gauche avec le fait de s'adresser aux classes populaires
La France soumise qui croit toujours au diable de l'extrême-droite.
Le 28 octobre 2021 à 11:18:59 :
Le 28 octobre 2021 à 11:10:49 :
Tenter de maintenir une opposition fictive gauche sociale / droite libérale, c'est une illusion et un échec assuré.Les groupes sociaux qui votaient à gauche ont compris qu'on n'ira pas plus loin dans la taxation, les aides sociales et la réglementation des activités : on est déjà allé plus loin que n'importe quel pays, et les résultats n'ont pas été positifs.
Les classes populaires et moyennes inférieures ont abandonné ces demandes et souhaitent maintenant qu'on agisse sur l'immigration qu'elles voient comme une source de concurrence.Le PS et l'UMP ont alterné pendant 40 ans sans que personne ne voit de différence fondamentale entre leurs politiques, malgré les discours. Cette fausse alternance a beaucoup abîmé la démocratie et plus personne n'en veut sauf quelques militants désespérés par la disparition de leur camp.
Je suis d'accord avec toi sur le constat, sauf sur les préoccupations à avoir : l'immigration est une problématique mais ce n'est pas la seule, et il y a largement plus grave à traiter en priorité.
Et c'est là notre divergence : en tant que macroniste tu soutiens les lois sur le passe sanitaire et toute la politique qui va avec, alors que personnellement je vois ça comme une atteinte très grave à nos libertés et le début d'une réduction de celles-ci sans précédent. D'où selon moi la droitisation du gouvernement depuis le dernier remaniement : ils veulent préoccuper les gens avec les mêmes problématiques clivantes qui permettent d'oublier les vrais sujets les plus importants.
On devrait être plus attentifs à la préservation des libertés publiques et individuelles oui. Mais pendant la crise sanitaire c'était logique de mettre en place des contraintes.
Le passe sanitaire va sauter dans quelques temps, et il n'est pas appliqué de manière très rigoureuse ...
Le 28 octobre 2021 à 11:21:47 :
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Tenter de maintenir une opposition fictive gauche sociale / droite libérale, c'est une illusion et un échec assuré.Les groupes sociaux qui votaient à gauche ont compris qu'on n'ira pas plus loin dans la taxation, les aides sociales et la réglementation des activités : on est déjà allé plus loin que n'importe quel pays, et les résultats n'ont pas été positifs.
Les classes populaires et moyennes inférieures ont abandonné ces demandes et souhaitent maintenant qu'on agisse sur l'immigration qu'elles voient comme une source de concurrence.Le PS et l'UMP ont alterné pendant 40 ans sans que personne ne voit de différence fondamentale entre leurs politiques, malgré les discours. Cette fausse alternance a beaucoup abîmé la démocratie et plus personne n'en veut sauf quelques militants désespérés par la disparition de leur camp.
Oui, le PS et l'UMP avaient un programme similaire, mais c'est le jeu du scrutin uninominal à deux tours dans l'absolu. Seulement, il reste une demande pour une politique de gauche dans le pays, seulement il n'y a pas d'offre et la gauche est divisée.
Que les électeurs de gauche soient prêts à faire barrage dès le premier tour montre que le problème, ce n'est pas l'électorat mais les candidats.
Et la gauche ne doit pas forcément avoir comme électorat les classes populaires, ça aussi c'est une erreur. Ce serait plutôt les fonctionnaires pour moi le cœur de cible de la gauche avec à côté les salariés CSP+.
Ça ce sont tes souhaits, OK.
Mais la réalité est différente. Les électeurs ont le choix, l'offre politique à gauche est pléthorique : Hidalgo, Jadot, Montebourg, Mélenchon, Roussel, Poutou, Arthaud ... il y en a pour tous les goûts.Et pourtant aucun d'eux ne décolle.
Le problème de fond est clairement idéologique. Le libéralisme a gagné et les gens ne regardent plus les candidats qui font comme si la gauche du 20ème siècle existait encore.
Et 2022 va achever ce que 2017 a commencé. Il restera un petit bout de LFI, et un parti vert adolescent, pas plus.Car aucun d'entre eux ne concilie un véritable programme social de gauche avec le fait de s'adresser aux classes populaires
Montebourg ?
Le 28 octobre 2021 à 11:21:05 :
Le 28 octobre 2021 à 11:19:00 :
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Tenter de maintenir une opposition fictive gauche sociale / droite libérale, c'est une illusion et un échec assuré.Les groupes sociaux qui votaient à gauche ont compris qu'on n'ira pas plus loin dans la taxation, les aides sociales et la réglementation des activités : on est déjà allé plus loin que n'importe quel pays, et les résultats n'ont pas été positifs.
Les classes populaires et moyennes inférieures ont abandonné ces demandes et souhaitent maintenant qu'on agisse sur l'immigration qu'elles voient comme une source de concurrence.Le PS et l'UMP ont alterné pendant 40 ans sans que personne ne voit de différence fondamentale entre leurs politiques, malgré les discours. Cette fausse alternance a beaucoup abîmé la démocratie et plus personne n'en veut sauf quelques militants désespérés par la disparition de leur camp.
Oui, le PS et l'UMP avaient un programme similaire, mais c'est le jeu du scrutin uninominal à deux tours dans l'absolu. Seulement, il reste une demande pour une politique de gauche dans le pays, seulement il n'y a pas d'offre et la gauche est divisée.
Que les électeurs de gauche soient prêts à faire barrage dès le premier tour montre que le problème, ce n'est pas l'électorat mais les candidats.
Et la gauche ne doit pas forcément avoir comme électorat les classes populaires, ça aussi c'est une erreur. Ce serait plutôt les fonctionnaires pour moi le cœur de cible de la gauche avec à côté les salariés CSP+.
Ça ce sont tes souhaits, OK.
Mais la réalité est différente. Les électeurs ont le choix, l'offre politique à gauche est pléthorique : Hidalgo, Jadot, Montebourg, Mélenchon, Roussel, Poutou, Arthaud ... il y en a pour tous les goûts.Et pourtant aucun d'eux ne décolle.
Le problème de fond est clairement idéologique. Le libéralisme a gagné et les gens ne regardent plus les candidats qui font comme si la gauche du 20ème siècle existait encore.
Et 2022 va achever ce que 2017 a commencé. Il restera un petit bout de LFI, et un parti vert adolescent, pas plus.ce serai magnifique qu'on se debarrasse du gauchisme mais ... Hidalgo va monter petit a petit en faisant de l'opposition macron et en donnant demagogiquement du pouvoir d'achat pris dans nos poches
Je ne pense vraiment pas. La pauvre risque plutôt de se retirer au profit de cette grande saucisse de Jadot.
Le 28 octobre 2021 à 11:19:00 :
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Tenter de maintenir une opposition fictive gauche sociale / droite libérale, c'est une illusion et un échec assuré.Les groupes sociaux qui votaient à gauche ont compris qu'on n'ira pas plus loin dans la taxation, les aides sociales et la réglementation des activités : on est déjà allé plus loin que n'importe quel pays, et les résultats n'ont pas été positifs.
Les classes populaires et moyennes inférieures ont abandonné ces demandes et souhaitent maintenant qu'on agisse sur l'immigration qu'elles voient comme une source de concurrence.Le PS et l'UMP ont alterné pendant 40 ans sans que personne ne voit de différence fondamentale entre leurs politiques, malgré les discours. Cette fausse alternance a beaucoup abîmé la démocratie et plus personne n'en veut sauf quelques militants désespérés par la disparition de leur camp.
Oui, le PS et l'UMP avaient un programme similaire, mais c'est le jeu du scrutin uninominal à deux tours dans l'absolu. Seulement, il reste une demande pour une politique de gauche dans le pays, seulement il n'y a pas d'offre et la gauche est divisée.
Que les électeurs de gauche soient prêts à faire barrage dès le premier tour montre que le problème, ce n'est pas l'électorat mais les candidats.
Et la gauche ne doit pas forcément avoir comme électorat les classes populaires, ça aussi c'est une erreur. Ce serait plutôt les fonctionnaires pour moi le cœur de cible de la gauche avec à côté les salariés CSP+.
Ça ce sont tes souhaits, OK.
Mais la réalité est différente. Les électeurs ont le choix, l'offre politique à gauche est pléthorique : Hidalgo, Jadot, Montebourg, Mélenchon, Roussel, Poutou, Arthaud ... il y en a pour tous les goûts.Et pourtant aucun d'eux ne décolle.
Le problème de fond est clairement idéologique. Le libéralisme a gagné et les gens ne regardent plus les candidats qui font comme si la gauche du 20ème siècle existait encore.
Et 2022 va achever ce que 2017 a commencé. Il restera un petit bout de LFI, et un parti vert adolescent, pas plus.
Si on additionne les voix de Mélenchon+Jadot+Hidalgo, on arrive à plus de 20%.
Et personne ne se revendique libéral en France, personne ne défend réellement l'idéologie libérale. Macron est un radical, pas un libéral.
Il y a de l'espace à gauche mais il y a trop de divisions. Un candidat unique à gauche pourrait virtuellement être au second tour et un bon candidat de gauche pourrait imposer ses sujets pour la présidentielle.
Ce ne sont pas les souhaits, c'est un fait.
Ça me fait penser à 2002 où la multiplication des candidats de gauche à fait que Jospin est même pas arrivé au second tour.
Le 28 octobre 2021 à 11:22:40 :
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Tenter de maintenir une opposition fictive gauche sociale / droite libérale, c'est une illusion et un échec assuré.Les groupes sociaux qui votaient à gauche ont compris qu'on n'ira pas plus loin dans la taxation, les aides sociales et la réglementation des activités : on est déjà allé plus loin que n'importe quel pays, et les résultats n'ont pas été positifs.
Les classes populaires et moyennes inférieures ont abandonné ces demandes et souhaitent maintenant qu'on agisse sur l'immigration qu'elles voient comme une source de concurrence.Le PS et l'UMP ont alterné pendant 40 ans sans que personne ne voit de différence fondamentale entre leurs politiques, malgré les discours. Cette fausse alternance a beaucoup abîmé la démocratie et plus personne n'en veut sauf quelques militants désespérés par la disparition de leur camp.
Oui, le PS et l'UMP avaient un programme similaire, mais c'est le jeu du scrutin uninominal à deux tours dans l'absolu. Seulement, il reste une demande pour une politique de gauche dans le pays, seulement il n'y a pas d'offre et la gauche est divisée.
Que les électeurs de gauche soient prêts à faire barrage dès le premier tour montre que le problème, ce n'est pas l'électorat mais les candidats.
Et la gauche ne doit pas forcément avoir comme électorat les classes populaires, ça aussi c'est une erreur. Ce serait plutôt les fonctionnaires pour moi le cœur de cible de la gauche avec à côté les salariés CSP+.
Ça ce sont tes souhaits, OK.
Mais la réalité est différente. Les électeurs ont le choix, l'offre politique à gauche est pléthorique : Hidalgo, Jadot, Montebourg, Mélenchon, Roussel, Poutou, Arthaud ... il y en a pour tous les goûts.Et pourtant aucun d'eux ne décolle.
Le problème de fond est clairement idéologique. Le libéralisme a gagné et les gens ne regardent plus les candidats qui font comme si la gauche du 20ème siècle existait encore.
Et 2022 va achever ce que 2017 a commencé. Il restera un petit bout de LFI, et un parti vert adolescent, pas plus.Car aucun d'entre eux ne concilie un véritable programme social de gauche avec le fait de s'adresser aux classes populaires
Montebourg ?
Il est un peu trop mou sur l'UE je trouve, par contre j'aime beaucoup sa défense du nucléaire
Et sur les questions sociales il ne va pas assez loin aussi
Le 28 octobre 2021 à 11:21:59 :
Le 28 octobre 2021 à 11:18:59 :
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Tenter de maintenir une opposition fictive gauche sociale / droite libérale, c'est une illusion et un échec assuré.Les groupes sociaux qui votaient à gauche ont compris qu'on n'ira pas plus loin dans la taxation, les aides sociales et la réglementation des activités : on est déjà allé plus loin que n'importe quel pays, et les résultats n'ont pas été positifs.
Les classes populaires et moyennes inférieures ont abandonné ces demandes et souhaitent maintenant qu'on agisse sur l'immigration qu'elles voient comme une source de concurrence.Le PS et l'UMP ont alterné pendant 40 ans sans que personne ne voit de différence fondamentale entre leurs politiques, malgré les discours. Cette fausse alternance a beaucoup abîmé la démocratie et plus personne n'en veut sauf quelques militants désespérés par la disparition de leur camp.
Je suis d'accord avec toi sur le constat, sauf sur les préoccupations à avoir : l'immigration est une problématique mais ce n'est pas la seule, et il y a largement plus grave à traiter en priorité.
Et c'est là notre divergence : en tant que macroniste tu soutiens les lois sur le passe sanitaire et toute la politique qui va avec, alors que personnellement je vois ça comme une atteinte très grave à nos libertés et le début d'une réduction de celles-ci sans précédent. D'où selon moi la droitisation du gouvernement depuis le dernier remaniement : ils veulent préoccuper les gens avec les mêmes problématiques clivantes qui permettent d'oublier les vrais sujets les plus importants.On devrait être plus attentifs à la préservation des libertés publiques et individuelles oui. Mais pendant la crise sanitaire c'était logique de mettre en place des contraintes.
Le passe sanitaire va sauter dans quelques temps, et il n'est pas appliqué de manière très rigoureuse ...
Non, c'était pas logique. C'était cohérent si on voit qui vote aux présidentielles et, surtout, qui vote Macron mais c'était pas logique, on aurait pu choisir de ne pas faire de confinements, qui amène à une vraie souffrance sociale (c'est pour ça que je ne vais surement pas voter Macron : il m'a fait énormément souffrir en l'isolant et même aujourd'hui, je suis très seul en grande partie à cause de ses mesures) mais Macron en a décidé autrement.
Normal, mieux vaut ça que laisser un boulevard aux racistes.
Le 28 octobre 2021 à 10:10:55 :
"plutot detruire totalement la france et finir en chine bis plutot que de laisser gagner un zemmour ou philippot "logique
Au moins en Chine les woke ils les foutent en taule
La gauche veut détruire la France normal
Le 28 octobre 2021 à 11:23:51 :
Le 28 octobre 2021 à 11:19:00 :
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Tenter de maintenir une opposition fictive gauche sociale / droite libérale, c'est une illusion et un échec assuré.Les groupes sociaux qui votaient à gauche ont compris qu'on n'ira pas plus loin dans la taxation, les aides sociales et la réglementation des activités : on est déjà allé plus loin que n'importe quel pays, et les résultats n'ont pas été positifs.
Les classes populaires et moyennes inférieures ont abandonné ces demandes et souhaitent maintenant qu'on agisse sur l'immigration qu'elles voient comme une source de concurrence.Le PS et l'UMP ont alterné pendant 40 ans sans que personne ne voit de différence fondamentale entre leurs politiques, malgré les discours. Cette fausse alternance a beaucoup abîmé la démocratie et plus personne n'en veut sauf quelques militants désespérés par la disparition de leur camp.
Oui, le PS et l'UMP avaient un programme similaire, mais c'est le jeu du scrutin uninominal à deux tours dans l'absolu. Seulement, il reste une demande pour une politique de gauche dans le pays, seulement il n'y a pas d'offre et la gauche est divisée.
Que les électeurs de gauche soient prêts à faire barrage dès le premier tour montre que le problème, ce n'est pas l'électorat mais les candidats.
Et la gauche ne doit pas forcément avoir comme électorat les classes populaires, ça aussi c'est une erreur. Ce serait plutôt les fonctionnaires pour moi le cœur de cible de la gauche avec à côté les salariés CSP+.
Ça ce sont tes souhaits, OK.
Mais la réalité est différente. Les électeurs ont le choix, l'offre politique à gauche est pléthorique : Hidalgo, Jadot, Montebourg, Mélenchon, Roussel, Poutou, Arthaud ... il y en a pour tous les goûts.Et pourtant aucun d'eux ne décolle.
Le problème de fond est clairement idéologique. Le libéralisme a gagné et les gens ne regardent plus les candidats qui font comme si la gauche du 20ème siècle existait encore.
Et 2022 va achever ce que 2017 a commencé. Il restera un petit bout de LFI, et un parti vert adolescent, pas plus.Si on additionne les voix de Mélenchon+Jadot+Hidalgo, on arrive à plus de 20%.
C'est comme si on additionnait les voix d'Hidalgo et celles de Zemmour.
Hidalgo et Jadot sont libéraux (au sens européen, cad du libéralisme politique, et libéralisme économique modéré) et mondialistes, alors que Mélenchon est anti-libéral et souverainiste sur plusieurs sujets (sauf pour l'immigration).
Ils ont d'ailleurs bien pris acte qu'ils ne s'allieront pas. De toute façon un électeur du PS votera plutôt Macron que Mélenchon, les études d'opinion le montrent clairement.
Le 28 octobre 2021 à 11:19:00 :
Le 28 octobre 2021 à 11:14:34 :
Le 28 octobre 2021 à 11:10:49 :
Tenter de maintenir une opposition fictive gauche sociale / droite libérale, c'est une illusion et un échec assuré.Les groupes sociaux qui votaient à gauche ont compris qu'on n'ira pas plus loin dans la taxation, les aides sociales et la réglementation des activités : on est déjà allé plus loin que n'importe quel pays, et les résultats n'ont pas été positifs.
Les classes populaires et moyennes inférieures ont abandonné ces demandes et souhaitent maintenant qu'on agisse sur l'immigration qu'elles voient comme une source de concurrence.Le PS et l'UMP ont alterné pendant 40 ans sans que personne ne voit de différence fondamentale entre leurs politiques, malgré les discours. Cette fausse alternance a beaucoup abîmé la démocratie et plus personne n'en veut sauf quelques militants désespérés par la disparition de leur camp.
Oui, le PS et l'UMP avaient un programme similaire, mais c'est le jeu du scrutin uninominal à deux tours dans l'absolu. Seulement, il reste une demande pour une politique de gauche dans le pays, seulement il n'y a pas d'offre et la gauche est divisée.
Que les électeurs de gauche soient prêts à faire barrage dès le premier tour montre que le problème, ce n'est pas l'électorat mais les candidats.
Et la gauche ne doit pas forcément avoir comme électorat les classes populaires, ça aussi c'est une erreur. Ce serait plutôt les fonctionnaires pour moi le cœur de cible de la gauche avec à côté les salariés CSP+.
Ça ce sont tes souhaits, OK.
Mais la réalité est différente. Les électeurs ont le choix, l'offre politique à gauche est pléthorique : Hidalgo, Jadot, Montebourg, Mélenchon, Roussel, Poutou, Arthaud ... il y en a pour tous les goûts.Et pourtant aucun d'eux ne décolle.
Le problème de fond est clairement idéologique. Le libéralisme a gagné et les gens ne regardent plus les candidats qui font comme si la gauche du 20ème siècle existait encore.
Et 2022 va achever ce que 2017 a commencé. Il restera un petit bout de LFI, et un parti vert adolescent, pas plus.
Mauvaise grille de lecture.
Les gens sont clairement contre les inégalités sociales, on l'a bien vu avec les gilets jaunes et l'épisode ISF. C'est juste que les corps intermédiaires ont peu à peu perdu de leur superbe au fil du temps (et Macron les néglige puissamment, au point de ne plus en tenir compte). Les classes populaires d'aujourd'hui ne sont pas passées par un militantisme comme à l'époque du PCF. C'est donc les intellectuels qui théorisent et façonnent les idées de gauche (revenu universel, Piketty etc enfin bref tu as l'idée). Mais ça veut pas dire que le constat des intellectuels n'est pas partagé par les classes populaires qui votent LR/RN ou s'abstiennent. C'est juste qu'il y a un hiatus profond entre les idées de gauche et leur représentation et leur coeur de cible, hiatus clairement perceptible sur la question de l'immigration.
Mais penser que les classes populaires acceptent le libéralisme est faux, y'a qu'à voir le succès d'un Ruffin, c'est juste que les gens en ont marre de la gauche institutionnelle actuelle qui a fait sécession d'eux
Le 28 octobre 2021 à 11:25:47 :
Le 28 octobre 2021 à 11:21:59 :
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Tenter de maintenir une opposition fictive gauche sociale / droite libérale, c'est une illusion et un échec assuré.Les groupes sociaux qui votaient à gauche ont compris qu'on n'ira pas plus loin dans la taxation, les aides sociales et la réglementation des activités : on est déjà allé plus loin que n'importe quel pays, et les résultats n'ont pas été positifs.
Les classes populaires et moyennes inférieures ont abandonné ces demandes et souhaitent maintenant qu'on agisse sur l'immigration qu'elles voient comme une source de concurrence.Le PS et l'UMP ont alterné pendant 40 ans sans que personne ne voit de différence fondamentale entre leurs politiques, malgré les discours. Cette fausse alternance a beaucoup abîmé la démocratie et plus personne n'en veut sauf quelques militants désespérés par la disparition de leur camp.
Je suis d'accord avec toi sur le constat, sauf sur les préoccupations à avoir : l'immigration est une problématique mais ce n'est pas la seule, et il y a largement plus grave à traiter en priorité.
Et c'est là notre divergence : en tant que macroniste tu soutiens les lois sur le passe sanitaire et toute la politique qui va avec, alors que personnellement je vois ça comme une atteinte très grave à nos libertés et le début d'une réduction de celles-ci sans précédent. D'où selon moi la droitisation du gouvernement depuis le dernier remaniement : ils veulent préoccuper les gens avec les mêmes problématiques clivantes qui permettent d'oublier les vrais sujets les plus importants.On devrait être plus attentifs à la préservation des libertés publiques et individuelles oui. Mais pendant la crise sanitaire c'était logique de mettre en place des contraintes.
Le passe sanitaire va sauter dans quelques temps, et il n'est pas appliqué de manière très rigoureuse ...Non, c'était pas logique. C'était cohérent si on voit qui vote aux présidentielles et, surtout, qui vote Macron mais c'était pas logique, on aurait pu choisir de ne pas faire de confinements, qui amène à une vraie souffrance sociale (c'est pour ça que je ne vais surement pas voter Macron : il m'a fait énormément souffrir en l'isolant et même aujourd'hui, je suis très seul en grande partie à cause de ses mesures) mais Macron en a décidé autrement.
T'es pas seul, on est là avec toi
Le 28 octobre 2021 à 11:27:50 :
Le 28 octobre 2021 à 11:23:51 :
Le 28 octobre 2021 à 11:19:00 :
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Tenter de maintenir une opposition fictive gauche sociale / droite libérale, c'est une illusion et un échec assuré.Les groupes sociaux qui votaient à gauche ont compris qu'on n'ira pas plus loin dans la taxation, les aides sociales et la réglementation des activités : on est déjà allé plus loin que n'importe quel pays, et les résultats n'ont pas été positifs.
Les classes populaires et moyennes inférieures ont abandonné ces demandes et souhaitent maintenant qu'on agisse sur l'immigration qu'elles voient comme une source de concurrence.Le PS et l'UMP ont alterné pendant 40 ans sans que personne ne voit de différence fondamentale entre leurs politiques, malgré les discours. Cette fausse alternance a beaucoup abîmé la démocratie et plus personne n'en veut sauf quelques militants désespérés par la disparition de leur camp.
Oui, le PS et l'UMP avaient un programme similaire, mais c'est le jeu du scrutin uninominal à deux tours dans l'absolu. Seulement, il reste une demande pour une politique de gauche dans le pays, seulement il n'y a pas d'offre et la gauche est divisée.
Que les électeurs de gauche soient prêts à faire barrage dès le premier tour montre que le problème, ce n'est pas l'électorat mais les candidats.
Et la gauche ne doit pas forcément avoir comme électorat les classes populaires, ça aussi c'est une erreur. Ce serait plutôt les fonctionnaires pour moi le cœur de cible de la gauche avec à côté les salariés CSP+.
Ça ce sont tes souhaits, OK.
Mais la réalité est différente. Les électeurs ont le choix, l'offre politique à gauche est pléthorique : Hidalgo, Jadot, Montebourg, Mélenchon, Roussel, Poutou, Arthaud ... il y en a pour tous les goûts.Et pourtant aucun d'eux ne décolle.
Le problème de fond est clairement idéologique. Le libéralisme a gagné et les gens ne regardent plus les candidats qui font comme si la gauche du 20ème siècle existait encore.
Et 2022 va achever ce que 2017 a commencé. Il restera un petit bout de LFI, et un parti vert adolescent, pas plus.Si on additionne les voix de Mélenchon+Jadot+Hidalgo, on arrive à plus de 20%.
C'est comme si on additionnait les voix d'Hidalgo et celles de Zemmour.
Hidalgo et Jadot sont libéraux (au sens européen, cad du libéralisme politique, et libéralisme économique modéré) et mondialistes, alors que Mélenchon est anti-libéral et souverainiste sur plusieurs sujets (sauf pour l'immigration).Ils ont d'ailleurs bien pris acte qu'ils ne s'allieront pas. De toute façon un électeur du PS votera plutôt Macron que Mélenchon, les études d'opinion le montrent clairement.
Et pourtant, il y a une forte volatilité des voix entre Jadot, Hidalgo et Mélenchon. Jadot a quand même une Rousseau dans son parti qui n'est pas spécialement réputée pour être libérale et une Batho qui prônait la décroissance, les deux ont fait plus de 20% aux primaires et Rousseau a fait 49%, il ne faut pas l'oublier.
Les querelles de chapelle, je pense que les électeurs de gauche s'en foutent, ils vont tous se mettre derrière le candidat qui est le plus haut dans les sondages comme c'était le cas en 2017
Le 28 octobre 2021 à 11:28:48 :
Le 28 octobre 2021 à 11:19:00 :
Le 28 octobre 2021 à 11:14:34 :
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Tenter de maintenir une opposition fictive gauche sociale / droite libérale, c'est une illusion et un échec assuré.Les groupes sociaux qui votaient à gauche ont compris qu'on n'ira pas plus loin dans la taxation, les aides sociales et la réglementation des activités : on est déjà allé plus loin que n'importe quel pays, et les résultats n'ont pas été positifs.
Les classes populaires et moyennes inférieures ont abandonné ces demandes et souhaitent maintenant qu'on agisse sur l'immigration qu'elles voient comme une source de concurrence.Le PS et l'UMP ont alterné pendant 40 ans sans que personne ne voit de différence fondamentale entre leurs politiques, malgré les discours. Cette fausse alternance a beaucoup abîmé la démocratie et plus personne n'en veut sauf quelques militants désespérés par la disparition de leur camp.
Oui, le PS et l'UMP avaient un programme similaire, mais c'est le jeu du scrutin uninominal à deux tours dans l'absolu. Seulement, il reste une demande pour une politique de gauche dans le pays, seulement il n'y a pas d'offre et la gauche est divisée.
Que les électeurs de gauche soient prêts à faire barrage dès le premier tour montre que le problème, ce n'est pas l'électorat mais les candidats.
Et la gauche ne doit pas forcément avoir comme électorat les classes populaires, ça aussi c'est une erreur. Ce serait plutôt les fonctionnaires pour moi le cœur de cible de la gauche avec à côté les salariés CSP+.
Ça ce sont tes souhaits, OK.
Mais la réalité est différente. Les électeurs ont le choix, l'offre politique à gauche est pléthorique : Hidalgo, Jadot, Montebourg, Mélenchon, Roussel, Poutou, Arthaud ... il y en a pour tous les goûts.Et pourtant aucun d'eux ne décolle.
Le problème de fond est clairement idéologique. Le libéralisme a gagné et les gens ne regardent plus les candidats qui font comme si la gauche du 20ème siècle existait encore.
Et 2022 va achever ce que 2017 a commencé. Il restera un petit bout de LFI, et un parti vert adolescent, pas plus.Mauvaise grille de lecture.
Les gens sont clairement contre les inégalités sociales, on l'a bien vu avec les gilets jaunes et l'épisode ISF. C'est juste que les corps intermédiaires ont peu à peu perdu de leur superbe au fil du temps (et Macron les néglige puissamment, au point de ne plus en tenir compte). Les classes populaires d'aujourd'hui ne sont pas passées par un militantisme comme à l'époque du PCF. C'est donc les intellectuels qui théorisent et façonnent les idées de gauche (revenu universel, Piketty etc enfin bref tu as l'idée). Mais ça veut pas dire que le constat des intellectuels n'est pas partagé par les classes populaires qui votent LR/RN ou s'abstiennent. C'est juste qu'il y a un hiatus profond entre les idées de gauche et leur représentation et leur coeur de cible, hiatus clairement perceptible sur la question de l'immigration.
Mais penser que les classes populaires acceptent le libéralisme est faux, y'a qu'à voir le succès d'un Ruffin, c'est juste que les gens en ont marre de la gauche institutionnelle actuelle qui a fait sécession d'eux
Ruffin n'a pas un succès délirant...
Les gens qui parlent de « gauche » et de « droite » comme s’il y avait des idéologies précises.
C’est comme un match de foot couple à un pari PMU pour la majorité des gens
Ça prouve bien que Macron est de gauche.
C'est fini depuis le début, Macron va repasser.
Maintenant Zemmour se fait tuer par le rabbin.
Ya pas de surprise.
Le 28 octobre 2021 à 11:28:48 :
Le 28 octobre 2021 à 11:19:00 :
Le 28 octobre 2021 à 11:14:34 :
Le 28 octobre 2021 à 11:10:49 :
Tenter de maintenir une opposition fictive gauche sociale / droite libérale, c'est une illusion et un échec assuré.Les groupes sociaux qui votaient à gauche ont compris qu'on n'ira pas plus loin dans la taxation, les aides sociales et la réglementation des activités : on est déjà allé plus loin que n'importe quel pays, et les résultats n'ont pas été positifs.
Les classes populaires et moyennes inférieures ont abandonné ces demandes et souhaitent maintenant qu'on agisse sur l'immigration qu'elles voient comme une source de concurrence.Le PS et l'UMP ont alterné pendant 40 ans sans que personne ne voit de différence fondamentale entre leurs politiques, malgré les discours. Cette fausse alternance a beaucoup abîmé la démocratie et plus personne n'en veut sauf quelques militants désespérés par la disparition de leur camp.
Oui, le PS et l'UMP avaient un programme similaire, mais c'est le jeu du scrutin uninominal à deux tours dans l'absolu. Seulement, il reste une demande pour une politique de gauche dans le pays, seulement il n'y a pas d'offre et la gauche est divisée.
Que les électeurs de gauche soient prêts à faire barrage dès le premier tour montre que le problème, ce n'est pas l'électorat mais les candidats.
Et la gauche ne doit pas forcément avoir comme électorat les classes populaires, ça aussi c'est une erreur. Ce serait plutôt les fonctionnaires pour moi le cœur de cible de la gauche avec à côté les salariés CSP+.
Ça ce sont tes souhaits, OK.
Mais la réalité est différente. Les électeurs ont le choix, l'offre politique à gauche est pléthorique : Hidalgo, Jadot, Montebourg, Mélenchon, Roussel, Poutou, Arthaud ... il y en a pour tous les goûts.Et pourtant aucun d'eux ne décolle.
Le problème de fond est clairement idéologique. Le libéralisme a gagné et les gens ne regardent plus les candidats qui font comme si la gauche du 20ème siècle existait encore.
Et 2022 va achever ce que 2017 a commencé. Il restera un petit bout de LFI, et un parti vert adolescent, pas plus.Mauvaise grille de lecture.
Les gens sont clairement contre les inégalités sociales, on l'a bien vu avec les gilets jaunes et l'épisode ISF. C'est juste que les corps intermédiaires ont peu à peu perdu de leur superbe au fil du temps (et Macron les néglige puissamment, au point de ne plus en tenir compte). Les classes populaires d'aujourd'hui ne sont pas passées par un militantisme comme à l'époque du PCF. C'est donc les intellectuels qui théorisent et façonnent les idées de gauche (revenu universel, Piketty etc enfin bref tu as l'idée). Mais ça veut pas dire que le constat des intellectuels n'est pas partagé par les classes populaires qui votent LR/RN ou s'abstiennent. C'est juste qu'il y a un hiatus profond entre les idées de gauche et leur représentation et leur coeur de cible, hiatus clairement perceptible sur la question de l'immigration.
Mais penser que les classes populaires acceptent le libéralisme est faux, y'a qu'à voir le succès d'un Ruffin, c'est juste que les gens en ont marre de la gauche institutionnelle actuelle qui a fait sécession d'eux
Oui, c'est ça. Le problème c'est pas les idées de gauche, ce sont leurs représentants et oui, Ruffin ça aurait été un candidat qui aurait facilement pu faire 20%, d'ailleurs je ne comprends pas pourquoi il n'est pas le candidat de LFI, peut-être qu'il ne veut pas être président et a laissé Mélenchon rester le candidat naturel.