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Blabla 18-25 ans

Sujet : Disparition de Théo, 23 ans : son corps découvert dans l'appartement d'une jeune fille de 18 ans
izenous3
Niveau 9
12 décembre 2021 à 22:15:34

"Il sont fumé il y avait des avant coureur depuis des années ma fille a l'âge de 5ans était à l'école avec ça sœur elle était toujours entrain de la menacé en lui disant je vais te planter et tetrangler bizarre non ? C'était sur que ça allait finir comme ça pfffff faut voir l'éducation
" Une des personnes a mis ça sur la publi facebook. elle était vraiment taré

Anucedeclodo1
Niveau 3
12 décembre 2021 à 22:21:59

je parie que c est un khey

MarIouff
Niveau 10
12 décembre 2021 à 22:24:04

Mais what l'histoire de taré :rire:
Elle est où la ?
Elle ira en HP car joker femme c'est sur

of_course_dude
Niveau 26
12 décembre 2021 à 22:25:19

Bordel dire que j'habite à une heure de ce patelin et que je connaissais des gens qui allaient au teasing :hap:

mercutio2
Niveau 10
12 décembre 2021 à 23:14:44

Les 3 mecs qui ont trempé leur biscuits après le meurtre doivent se sentir tellement sales

OrangeFibred
Niveau 10
12 décembre 2021 à 23:17:47

ARTICLE DU FIGARO COMPLET :

RÉCIT - Fin novembre, un jeune homme de 23 ans est venu passer la soirée chez elle, en Haute-Saône, mais n'en est jamais reparti. Son cadavre, emballé dans des sacs plastique, a été retrouvé dans un placard par les enquêteurs.

«Je l'ai rencontrée au lycée agricole à Vesoul en 2017. Elle voulait devenir agricultrice et adorait les animaux : les vaches, les chevaux, les chiens.... Je n'arrive pas encore à y croire», raconte Alexia*, une amie de Camille. Cette jeune femme de 18 ans a reconnu avoir étranglé Théo, 23 ans, venu passer la soirée chez elle fin novembre. Le cadavre du jeune homme a été retrouvé une semaine plus tard au domicile de Camille, à Oiselay-et-Grachaux (Haute-Saône), une petite commune de 400 âmes entre Vesoul et Besançon. La jeune femme a été mise en examen mercredi 8 décembre pour homicide volontaire et placée en détention provisoire.

À LIRE AUSSI«Ses explications étaient incohérentes» : qui est Samire, principal suspect dans la mort d'Aurélie Vaquier ?

Domicilié à Besançon, décrit par ses proches comme «introverti et peu à l'aise avec les femmes», Théo se rend chez Camille lundi 29 novembre pour y passer la soirée. Les deux jeunes adultes se connaissent depuis peu. Problème, Théo ne donne plus aucun signe de vie après cette soirée. Un silence inhabituel conduisant sa mère à signaler sa disparition mercredi 1er décembre. Interrogée au début de l'enquête - ouverte dans un premier temps pour «disparition inquiétante» - Camille explique que son invité est reparti et qu'elle n'a plus de nouvelles depuis. Vendredi 3 décembre, la jeune femme partage même sur son compte Facebook un article de «L'Est Républicain» relayant la disparition de Théo.

https://www.noelshack.com/2021-49-7-1639347495-8b3cc7a6a14d8d98dd9b9550c9800c69cc077cb1a068ff4832f120630f111037.jpg

Camille avait partagé sur Facebook un article relatant la disparition de Théo. Capture d'écran Facebook
Les enquêteurs de la police judiciaire de Besançon découvrent finalement le corps de Théo lundi 6 décembre au cours d'une perquisition au domicile de la jeune fille. Le cadavre est dissimulé dans un placard et emballé dans de grands sacs plastiques scotchés. Détail sordide, la victime a les mains nouées dans le dos. Durant sa garde à vue, Camille reconnaît immédiatement avoir donné la mort au disparu dans la nuit du 29 au 30 novembre «parce qu'il insistait pour avoir une relation sexuelle», a détaillé le procureur de la République de Besançon, Étienne Manteaux, lors d'une conférence de presse jeudi 9 décembre. Le magistrat a donné de nombreux détails sur le déroulé des faits.

À VOIR AUSSI - Disparition de Delphine Jubillar: le mari de nouveau auditionné par les juges

Play Video
Endormie aux côtés du jeune homme, Camille raconte avoir été réveillée par des attouchements vers 4h du matin. Elle aurait alors frappé Théo au visage pour le repousser et se serait réfugiée dans la cuisine. Le jeune homme l'aurait suivie et lui aurait imposé de nouveaux attouchements. Paniquée, Camille se serait saisie d'un couteau de cuisine avant de lui asséner un coup non mortel au niveau du ventre. Au sol, le jeune homme l'aurait menacée, ce qui aurait conduit Camille à détacher une cordelette de l'une de ses robes puis à l'étrangler. Craignant qu'il ne se réveille, elle lui aurait ensuite attaché les mains dans le dos. «Je déteste la violence mais si tu me touches, je ferai en sorte que plus jamais tu recommences», écrivait Camille dans une publication Facebook d'avril 2020 qui revêt désormais un sens tout particulier. Des attouchements imposés à la jeune femme ont-ils conduit à un déchaînement de violence ? Charge à l'enquête de le déterminer.

Après le meurtre, Camille ne perd pas de temps. À 7h06, la jeune femme envoie un texto sur le téléphone portable de la victime pour brouiller les pistes : «Travaille bien, merci pour hier c'était vraiment bon». Une heure plus tard, elle se rend dans une station essence avec la voiture de la victime et utilise sa carte bleue. Puis elle achète des bijoux dans un centre commercial, toujours avec la carte bancaire de Théo, en début d'après-midi. Le lendemain du meurtre, Camille retire 600 euros et prend la direction de Bordeaux où elle a réservé une chambre sur Airbnb. La jeune femme - qui n'a pas le permis -, se rend sur place en voiture pour rejoindre un homme de 27 ans récemment rencontré : elle passe deux nuits avec lui, utilisant de nouveau la carte de la victime, avant de rentrer en Haute-Saône le 3 décembre. Le soir même, elle se rend à Dijon chez un ex-petit ami avec qui elle passe la nuit. Elle lui demande une faveur : trouver de fausses plaques d'immatriculations pour les mettre sur le véhicule de la victime. Ce qu'il accepte de faire. Le lendemain, le 4 décembre, Camille achète des sacs-poubelles et du ruban adhésif puis participe à une soirée. Une amie l'ayant croisée à la fête la décrit comme «normale». La jeune femme sera finalement interpellée deux jours plus tard.

Aux enquêteurs, Camille explique que la victime «était son 'pigeon', qu'elle souhaitait en obtenir de l'argent, mais elle a aussi maintenu sa version des faits» concernant une agression sexuelle, a détaillé le procureur de la République. Le commandant de la police judiciaire de Besançon, David Tognelli, a de son côté indiqué avoir été surpris par «l'extrême détachement qu'a montré cette jeune femme de tout juste 18 ans par rapport aux faits qu'elle dit avoir commis et notamment sa capacité à continuer à vivre normalement».

J'ai du mal à y croire, c'est dur d'imaginer ça venant d'elle

Alexia, une amie de Lycée de Camille
Surpris, les proches de la jeune fille le sont également. «On faisait beaucoup de soirées ensemble chez des amis. Tout le monde la connaissait. On est tous choqués et sur le cul», confie Pierre*, un ami qui partageait également des balades à cheval avec elle, une des passions de Camille. «J'ai eu de la chance de ne pas me retrouver mêlé à cette histoire. Elle m'avait appelé dimanche à 7h du matin pour que j'aille la chercher. Elle s'était endormie au volant et s'était mise sur un talus au fin fond de la Haute-Marne», poursuit-il.

«Je n'arrive pas à y croire, c'est dur d'imaginer ça venant d'elle», confie quant à elle Alexia, qui était dans la même classe que Camille au lycée agricole de Vesoul en 2017. «Je traînais beaucoup avec elle au lycée. Elle était populaire et très appréciée. Elle était plutôt calme mais elle avait du caractère et ne se laissait pas faire. Il ne fallait pas l'embêter», se remémore Alexia. Pour preuve, la jeune fille se souvient d'une «embrouille» entre Camille et une autre élève. «Camille avait envoyé des menaces à cette fille. Quand elle s'embrouillait avec les gens, elle les traitait souvent de pigeons et de pigeonnes», explique-t-elle. Un terme qui fait écho à celui utilisé en garde à vue pour qualifier Théo.

Sur le plan scolaire, Alexia décrit Camille comme «une très bonne élève, passionnée par l'agriculture et les animaux». Une passion visible sur le compte Facebook de la jeune fille, qui se prend régulièrement en photo avec des chevaux, des vaches ou des chiots, et n'hésite pas à clamer son amour pour l'agriculture. «Un rêve de gosse», écrit-elle dans une publication d'août 2019 où on la voit en photo sur un tracteur. «Tu vas faire le concours ?», l'interroge un jeune homme sous la publication. «Oui, celui de Fontenois (Fontenois-la-Ville, en Haute-Saône, NDLR)», lui répond Camille. En septembre 2019, on la voit encore se mettre en scène en train d'embrasser un petit veau. «L'amour que je porte à ma passion est inexplicable. Car c'est grâce à elle que chaque jour je souris», écrit-elle. Mais son rêve s'évapore. «L'agriculture touche à sa fin pour moi», annonce-t-elle en novembre 2019 sans en dire davantage. Elle précise qu'elle part «dans une autre formation pour être dans tout ce qui est communication et comptabilité». Au moment du meurtre, et depuis plusieurs mois déjà, la jeune fille était vendeuse dans une boulangerie.

Autre facette de sa personnalité, la jeune femme multipliait les conquêtes, réelles ou virtuelles. «Elle changeait souvent de copain et en avait parfois plusieurs. Elle rencontrait des garçons en vrai ou sur Snapchat. Ses relations ne duraient jamais très longtemps, elle enchaînait pas mal», explique Alexia. Benjamin*, un jeune agriculteur, fait partie de ces relations virtuelles. Il a connu Camille sur le réseau social Snapchat en 2019. «On a beaucoup discuté, pendant environ un an, mais on ne s'est jamais vu en vrai. On parlait de nos métiers, de notre avenir, de nous et j'en passe», explique-t-il. «Elle m'avait invité chez elle mais je n'ai jamais eu le temps d'y aller. Je ne la pensais pas capable de ça», souffle-t-il.

Actuellement incarcérée à la maison d'arrêt de Lutterbach (Haut-Rhin), Camille risque en théorie trente ans de réclusion criminelle. Sur sa dernière photo postée sur Facebook, le 19 novembre, on peut lire : «Je suis mariée avec la vie, jusqu'à ce que la mort nous sépare».

expat1910
Niveau 10
12 décembre 2021 à 23:26:16

Merci khey pour l'article :ok:

SilverElite-57-
Niveau 25
12 décembre 2021 à 23:32:27

Cimer pour l'article complet https://image.noelshack.com/fichiers/2018/02/6/1515878370-pascalmcmo15.png

Marximmus
Niveau 47
12 décembre 2021 à 23:41:01

J'adore l'article : Autre facette de sa personnalité, la jeune femme multipliait les conquêtes, réelles ou virtuelles. «Elle changeait souvent de copain et en avait parfois plusieurs.

Les fameuses : "Conquêtes" quand tu est une femme. :hap:

DarkPudge
Niveau 69
13 décembre 2021 à 09:09:46

chaud

SilverElite-57-
Niveau 25
13 décembre 2021 à 14:18:47

Le 12 décembre 2021 à 23:41:01 :
J'adore l'article : Autre facette de sa personnalité, la jeune femme multipliait les conquêtes, réelles ou virtuelles. «Elle changeait souvent de copain et en avait parfois plusieurs.

Les fameuses : "Conquêtes" quand tu est une femme. :hap:

Et le tout à seulement 18 ans alors que le gentil Théo 23 ans était encore puceau https://image.noelshack.com/fichiers/2019/25/5/1561141484-doomer.png

Luniverseternel
Niveau 58
13 décembre 2021 à 16:40:17

«On a beaucoup discuté, pendant environ un an, mais on ne s'est jamais vu en vrai. On parlait de nos métiers, de notre avenir, de nous et j'en passe», explique-t-il. «Elle m'avait invité chez elle mais je n'ai jamais eu le temps d'y aller. Je ne la pensais pas capable de ça», souffle-t-il.

Personne pour expliquer aux rédacteurs du Figaro qu'on s'est jamais vus prend un s, vu que c'est deux personnes qui se sont jamais vues ?!

Normalement ils font (un peu) moins de fautes..c'est la seule de l'article, mais elle est belle, juste à la fin :ok:

KheyRoyaliste20
Niveau 6
13 décembre 2021 à 16:47:11

Le 12 décembre 2021 à 23:17:47 OrangeFibred a écrit :
ARTICLE DU FIGARO COMPLET :

RÉCIT - Fin novembre, un jeune homme de 23 ans est venu passer la soirée chez elle, en Haute-Saône, mais n'en est jamais reparti. Son cadavre, emballé dans des sacs plastique, a été retrouvé dans un placard par les enquêteurs.

«Je l'ai rencontrée au lycée agricole à Vesoul en 2017. Elle voulait devenir agricultrice et adorait les animaux : les vaches, les chevaux, les chiens.... Je n'arrive pas encore à y croire», raconte Alexia*, une amie de Camille. Cette jeune femme de 18 ans a reconnu avoir étranglé Théo, 23 ans, venu passer la soirée chez elle fin novembre. Le cadavre du jeune homme a été retrouvé une semaine plus tard au domicile de Camille, à Oiselay-et-Grachaux (Haute-Saône), une petite commune de 400 âmes entre Vesoul et Besançon. La jeune femme a été mise en examen mercredi 8 décembre pour homicide volontaire et placée en détention provisoire.

À LIRE AUSSI«Ses explications étaient incohérentes» : qui est Samire, principal suspect dans la mort d'Aurélie Vaquier ?

Domicilié à Besançon, décrit par ses proches comme «introverti et peu à l'aise avec les femmes», Théo se rend chez Camille lundi 29 novembre pour y passer la soirée. Les deux jeunes adultes se connaissent depuis peu. Problème, Théo ne donne plus aucun signe de vie après cette soirée. Un silence inhabituel conduisant sa mère à signaler sa disparition mercredi 1er décembre. Interrogée au début de l'enquête - ouverte dans un premier temps pour «disparition inquiétante» - Camille explique que son invité est reparti et qu'elle n'a plus de nouvelles depuis. Vendredi 3 décembre, la jeune femme partage même sur son compte Facebook un article de «L'Est Républicain» relayant la disparition de Théo.

https://www.noelshack.com/2021-49-7-1639347495-8b3cc7a6a14d8d98dd9b9550c9800c69cc077cb1a068ff4832f120630f111037.jpg

Camille avait partagé sur Facebook un article relatant la disparition de Théo. Capture d'écran Facebook
Les enquêteurs de la police judiciaire de Besançon découvrent finalement le corps de Théo lundi 6 décembre au cours d'une perquisition au domicile de la jeune fille. Le cadavre est dissimulé dans un placard et emballé dans de grands sacs plastiques scotchés. Détail sordide, la victime a les mains nouées dans le dos. Durant sa garde à vue, Camille reconnaît immédiatement avoir donné la mort au disparu dans la nuit du 29 au 30 novembre «parce qu'il insistait pour avoir une relation sexuelle», a détaillé le procureur de la République de Besançon, Étienne Manteaux, lors d'une conférence de presse jeudi 9 décembre. Le magistrat a donné de nombreux détails sur le déroulé des faits.

À VOIR AUSSI - Disparition de Delphine Jubillar: le mari de nouveau auditionné par les juges

Play Video
Endormie aux côtés du jeune homme, Camille raconte avoir été réveillée par des attouchements vers 4h du matin. Elle aurait alors frappé Théo au visage pour le repousser et se serait réfugiée dans la cuisine. Le jeune homme l'aurait suivie et lui aurait imposé de nouveaux attouchements. Paniquée, Camille se serait saisie d'un couteau de cuisine avant de lui asséner un coup non mortel au niveau du ventre. Au sol, le jeune homme l'aurait menacée, ce qui aurait conduit Camille à détacher une cordelette de l'une de ses robes puis à l'étrangler. Craignant qu'il ne se réveille, elle lui aurait ensuite attaché les mains dans le dos. «Je déteste la violence mais si tu me touches, je ferai en sorte que plus jamais tu recommences», écrivait Camille dans une publication Facebook d'avril 2020 qui revêt désormais un sens tout particulier. Des attouchements imposés à la jeune femme ont-ils conduit à un déchaînement de violence ? Charge à l'enquête de le déterminer.

Après le meurtre, Camille ne perd pas de temps. À 7h06, la jeune femme envoie un texto sur le téléphone portable de la victime pour brouiller les pistes : «Travaille bien, merci pour hier c'était vraiment bon». Une heure plus tard, elle se rend dans une station essence avec la voiture de la victime et utilise sa carte bleue. Puis elle achète des bijoux dans un centre commercial, toujours avec la carte bancaire de Théo, en début d'après-midi. Le lendemain du meurtre, Camille retire 600 euros et prend la direction de Bordeaux où elle a réservé une chambre sur Airbnb. La jeune femme - qui n'a pas le permis -, se rend sur place en voiture pour rejoindre un homme de 27 ans récemment rencontré : elle passe deux nuits avec lui, utilisant de nouveau la carte de la victime, avant de rentrer en Haute-Saône le 3 décembre. Le soir même, elle se rend à Dijon chez un ex-petit ami avec qui elle passe la nuit. Elle lui demande une faveur : trouver de fausses plaques d'immatriculations pour les mettre sur le véhicule de la victime. Ce qu'il accepte de faire. Le lendemain, le 4 décembre, Camille achète des sacs-poubelles et du ruban adhésif puis participe à une soirée. Une amie l'ayant croisée à la fête la décrit comme «normale». La jeune femme sera finalement interpellée deux jours plus tard.

Aux enquêteurs, Camille explique que la victime «était son 'pigeon', qu'elle souhaitait en obtenir de l'argent, mais elle a aussi maintenu sa version des faits» concernant une agression sexuelle, a détaillé le procureur de la République. Le commandant de la police judiciaire de Besançon, David Tognelli, a de son côté indiqué avoir été surpris par «l'extrême détachement qu'a montré cette jeune femme de tout juste 18 ans par rapport aux faits qu'elle dit avoir commis et notamment sa capacité à continuer à vivre normalement».

J'ai du mal à y croire, c'est dur d'imaginer ça venant d'elle

Alexia, une amie de Lycée de Camille
Surpris, les proches de la jeune fille le sont également. «On faisait beaucoup de soirées ensemble chez des amis. Tout le monde la connaissait. On est tous choqués et sur le cul», confie Pierre*, un ami qui partageait également des balades à cheval avec elle, une des passions de Camille. «J'ai eu de la chance de ne pas me retrouver mêlé à cette histoire. Elle m'avait appelé dimanche à 7h du matin pour que j'aille la chercher. Elle s'était endormie au volant et s'était mise sur un talus au fin fond de la Haute-Marne», poursuit-il.

«Je n'arrive pas à y croire, c'est dur d'imaginer ça venant d'elle», confie quant à elle Alexia, qui était dans la même classe que Camille au lycée agricole de Vesoul en 2017. «Je traînais beaucoup avec elle au lycée. Elle était populaire et très appréciée. Elle était plutôt calme mais elle avait du caractère et ne se laissait pas faire. Il ne fallait pas l'embêter», se remémore Alexia. Pour preuve, la jeune fille se souvient d'une «embrouille» entre Camille et une autre élève. «Camille avait envoyé des menaces à cette fille. Quand elle s'embrouillait avec les gens, elle les traitait souvent de pigeons et de pigeonnes», explique-t-elle. Un terme qui fait écho à celui utilisé en garde à vue pour qualifier Théo.

Sur le plan scolaire, Alexia décrit Camille comme «une très bonne élève, passionnée par l'agriculture et les animaux». Une passion visible sur le compte Facebook de la jeune fille, qui se prend régulièrement en photo avec des chevaux, des vaches ou des chiots, et n'hésite pas à clamer son amour pour l'agriculture. «Un rêve de gosse», écrit-elle dans une publication d'août 2019 où on la voit en photo sur un tracteur. «Tu vas faire le concours ?», l'interroge un jeune homme sous la publication. «Oui, celui de Fontenois (Fontenois-la-Ville, en Haute-Saône, NDLR)», lui répond Camille. En septembre 2019, on la voit encore se mettre en scène en train d'embrasser un petit veau. «L'amour que je porte à ma passion est inexplicable. Car c'est grâce à elle que chaque jour je souris», écrit-elle. Mais son rêve s'évapore. «L'agriculture touche à sa fin pour moi», annonce-t-elle en novembre 2019 sans en dire davantage. Elle précise qu'elle part «dans une autre formation pour être dans tout ce qui est communication et comptabilité». Au moment du meurtre, et depuis plusieurs mois déjà, la jeune fille était vendeuse dans une boulangerie.

Autre facette de sa personnalité, la jeune femme multipliait les conquêtes, réelles ou virtuelles. «Elle changeait souvent de copain et en avait parfois plusieurs. Elle rencontrait des garçons en vrai ou sur Snapchat. Ses relations ne duraient jamais très longtemps, elle enchaînait pas mal», explique Alexia. Benjamin*, un jeune agriculteur, fait partie de ces relations virtuelles. Il a connu Camille sur le réseau social Snapchat en 2019. «On a beaucoup discuté, pendant environ un an, mais on ne s'est jamais vu en vrai. On parlait de nos métiers, de notre avenir, de nous et j'en passe», explique-t-il. «Elle m'avait invité chez elle mais je n'ai jamais eu le temps d'y aller. Je ne la pensais pas capable de ça», souffle-t-il.

Actuellement incarcérée à la maison d'arrêt de Lutterbach (Haut-Rhin), Camille risque en théorie trente ans de réclusion criminelle. Sur sa dernière photo postée sur Facebook, le 19 novembre, on peut lire : «Je suis mariée avec la vie, jusqu'à ce que la mort nous sépare».

C'est juste flippant

LuneMystic
Niveau 10
13 décembre 2021 à 16:50:59

Théo il connaissait de la femmelle en tout cas et il nous a quitté puceau. Paix a ton âme mon ami https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png

Hepsheeba
Niveau 30
13 décembre 2021 à 17:13:23

j'espère qu'elle prendra minimum 10 ans ferme.
Mais bon entre ce qui est annoncé et la réalité...

baiserunkj2
Niveau 9
13 décembre 2021 à 17:22:22

c'est une géniale femme maltraitée par les salauds hommes https://image.noelshack.com/fichiers/2017/15/1492033470-shia.png
3 mois de prison avec sursis https://image.noelshack.com/fichiers/2017/15/1492033470-shia.png

RavTouitou
Niveau 25
13 décembre 2021 à 17:23:11

Le 12 décembre 2021 à 19:53:01 :
Alerte au simp : https://www.noelshack.com/2021-49-7-1639335054-screenshot-18.png https://www.noelshack.com/2021-49-7-1639335054-screenshot-17.png https://www.noelshack.com/2021-49-7-1639335053-screenshot-16.png https://www.noelshack.com/2021-49-7-1639335055-screenshot-15.png
Le screen que j'ai mis sur le dernier message est un bout de celui-ci : https://www.noelshack.com/2021-49-4-1639068898-screenshot-20211209-165410-com-android-chrome.jpg
Et accessoirement celui que je menace de dégainer est le premier commentaire du même screen que je devrais découper s'il continue.

Alors là, il commence même à inventer. Les femmes ont eu raison de lui, c'est pire qu'un WK le bordel.
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/50/1/1639412524-screenshot-5.png

expat1910
Niveau 10
13 décembre 2021 à 19:14:16

Le 13 décembre 2021 à 16:50:59 :
Théo il connaissait de la femmelle en tout cas et il nous a quitté puceau. Paix a ton âme mon ami https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png

Rien ne prouve qu'il était puceau. Ce sont des interprétations de célestins du fofo qui croient se reconnaître en Théo :(

izenous3
Niveau 9
13 décembre 2021 à 19:32:44

Le 13 décembre 2021 à 19:14:16 :

Le 13 décembre 2021 à 16:50:59 :
Théo il connaissait de la femmelle en tout cas et il nous a quitté puceau. Paix a ton âme mon ami https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png

Rien ne prouve qu'il était puceau. Ce sont des interprétations de célestins du fofo qui croient se reconnaître en Théo :(

"timide, pas à l'aise avec les femmes" selon les parents ! donc si il y a une très grosse proba qu'il était puceau . Et désespéré pour essayer de coucher avec cette 2/10 et qui a 18 ans

Ramster
Niveau 9
13 décembre 2021 à 19:38:42

Avec le paiement sans contact plus besoin de connaitre le code de carte bleue

Sujet : Disparition de Théo, 23 ans : son corps découvert dans l'appartement d'une jeune fille de 18 ans
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