Le 13 décembre 2021 à 19:38:42 Ramster a écrit :
Avec le paiement sans contact plus besoin de connaitre le code de carte bleue
WTF bro ?!
Le sans-contact ne permet de payer des trucs qu'en-dessous d'une certaine somme et ne permet en aucun cas de faire des retraits.
Le 13 décembre 2021 à 19:32:44 izenous3 a écrit :
Le 13 décembre 2021 à 19:14:16 :
Le 13 décembre 2021 à 16:50:59 :
Théo il connaissait de la femmelle en tout cas et il nous a quitté puceau. Paix a ton âme mon amiRien ne prouve qu'il était puceau. Ce sont des interprétations de célestins du fofo qui croient se reconnaître en Théo
"timide, pas à l'aise avec les femmes" selon les parents ! donc si il y a une très grosse proba qu'il était puceau . Et désespéré pour essayer de coucher avec cette 2/10 et qui a 18 ans
This
+ Suffit de demander à son ex devenu lesbienne si elle a déjà goûté au chibre de Théo
Le 07 décembre 2021 à 20:15:13 :
Le 07 décembre 2021 à 20:14:45 ImWoeful a écrit :
ça risque pas de m'arriver vu que je suis un 0 tous et que je parle a 0 meufAu moins on est protégé en tant que 0 tout
C'est dans ses moments la que je suis content d'être un big célestin, pas de mort à cause d'une CB et pas de MST
Le 13 décembre 2021 à 17:23:11 :
Le 12 décembre 2021 à 19:53:01 :
Alerte au simp :
Le screen que j'ai mis sur le dernier message est un bout de celui-ci :
Et accessoirement celui que je menace de dégainer est le premier commentaire du même screen que je devrais découper s'il continue.Alors là, il commence même à inventer. Les femmes ont eu raison de lui, c'est pire qu'un WK le bordel.
Mais bordel de...
J'en peux plus de ce WK, j'ai pas revu ça depuis Sprague_Ofc le type qui passait sa journée entière à défendre Julia Gameuse sur les réseaux + 2 vidéos full pavés, photos d'elles, texte en rose.
Le 13 décembre 2021 à 20:23:13 :
Le 07 décembre 2021 à 20:15:13 :
Le 07 décembre 2021 à 20:14:45 ImWoeful a écrit :
ça risque pas de m'arriver vu que je suis un 0 tous et que je parle a 0 meufAu moins on est protégé en tant que 0 tout
C'est dans ses moments la que je suis content d'être un big célestin, pas de mort à cause d'une CB et pas de MST
C'est sûr qu'on ne risque rien en ne sortant pas de sa chambre, à part passer à côté de sa vie...
Le 13 décembre 2021 à 20:29:06 :
Le 13 décembre 2021 à 17:23:11 :
Le 12 décembre 2021 à 19:53:01 :
Alerte au simp :
Le screen que j'ai mis sur le dernier message est un bout de celui-ci :
Et accessoirement celui que je menace de dégainer est le premier commentaire du même screen que je devrais découper s'il continue.Alors là, il commence même à inventer. Les femmes ont eu raison de lui, c'est pire qu'un WK le bordel.
Mais bordel de...
J'en peux plus de ce WK, j'ai pas revu ça depuis Sprague_Ofc le type qui passait sa journée entière à défendre Julia Gameuse sur les réseaux + 2 vidéos full pavés, photos d'elles, texte en rose.
Bordel t'es aussi malaisant et caricatural que le mec à qui tu réponds
Le 13 décembre 2021 à 20:12:17 :
Le 13 décembre 2021 à 19:38:42 Ramster a écrit :
Avec le paiement sans contact plus besoin de connaitre le code de carte bleueWTF bro ?!
Le sans-contact ne permet de payer des trucs qu'en-dessous d'une certaine somme et ne permet en aucun cas de faire des retraits.
Ni prendre de l'essence
Le 13 décembre 2021 à 20:47:13 :
Le 13 décembre 2021 à 20:29:06 :
Le 13 décembre 2021 à 17:23:11 :
Le 12 décembre 2021 à 19:53:01 :
Alerte au simp :
Le screen que j'ai mis sur le dernier message est un bout de celui-ci :
Et accessoirement celui que je menace de dégainer est le premier commentaire du même screen que je devrais découper s'il continue.Alors là, il commence même à inventer. Les femmes ont eu raison de lui, c'est pire qu'un WK le bordel.
Mais bordel de...
J'en peux plus de ce WK, j'ai pas revu ça depuis Sprague_Ofc le type qui passait sa journée entière à défendre Julia Gameuse sur les réseaux + 2 vidéos full pavés, photos d'elles, texte en rose.
Bordel t'es aussi malaisant et caricatural que le mec à qui tu réponds
Pas vraiment, et puis je m'adapte aussi au gars qui semble-t-il n'est pas vraiment jeune
Le 13 décembre 2021 à 20:47:57 expat1910 a écrit :
Le 13 décembre 2021 à 20:12:17 :
Le 13 décembre 2021 à 19:38:42 Ramster a écrit :
Avec le paiement sans contact plus besoin de connaitre le code de carte bleueWTF bro ?!
Le sans-contact ne permet de payer des trucs qu'en-dessous d'une certaine somme et ne permet en aucun cas de faire des retraits.
Ni prendre de l'essence
A mon avis c'est un pyj qui n'a même pas encore de CB
En tant que QLF semi célestin grand plutôt athlétique, j'aurais pu absolument, malgré tout, me retrouver dans la situation de ce pauvre jeune homme. Il faut en parler, c'est très grave. On devrait même inventer un terme: homimicide? Garçonnicide? A l'instar de féminicide.
Le pauvre gars il pensait juste avec une touche avec une jeune fille. Quelle horreur, quelle tristesse pour lui, son avenir, sa famille, ses amis. Certains êtres ne devraient plus jamais être intégrés en société. C'est tellement triste et répugnant...
Bref parlez-en fort les kheys! Ca aurait parfaitement pu être un khey du fofo!
Bordel je viens de voir la tête de la meuf, je m'attendais à une bombasse c'est une putain de Magalie
Le 13 décembre 2021 à 16:47:11 :
Le 12 décembre 2021 à 23:17:47 OrangeFibred a écrit :
ARTICLE DU FIGARO COMPLET :
RÉCIT - Fin novembre, un jeune homme de 23 ans est venu passer la soirée chez elle, en Haute-Saône, mais n'en est jamais reparti. Son cadavre, emballé dans des sacs plastique, a été retrouvé dans un placard par les enquêteurs.«Je l'ai rencontrée au lycée agricole à Vesoul en 2017. Elle voulait devenir agricultrice et adorait les animaux : les vaches, les chevaux, les chiens.... Je n'arrive pas encore à y croire», raconte Alexia*, une amie de Camille. Cette jeune femme de 18 ans a reconnu avoir étranglé Théo, 23 ans, venu passer la soirée chez elle fin novembre. Le cadavre du jeune homme a été retrouvé une semaine plus tard au domicile de Camille, à Oiselay-et-Grachaux (Haute-Saône), une petite commune de 400 âmes entre Vesoul et Besançon. La jeune femme a été mise en examen mercredi 8 décembre pour homicide volontaire et placée en détention provisoire.
À LIRE AUSSI«Ses explications étaient incohérentes» : qui est Samire, principal suspect dans la mort d'Aurélie Vaquier ?
Domicilié à Besançon, décrit par ses proches comme «introverti et peu à l'aise avec les femmes», Théo se rend chez Camille lundi 29 novembre pour y passer la soirée. Les deux jeunes adultes se connaissent depuis peu. Problème, Théo ne donne plus aucun signe de vie après cette soirée. Un silence inhabituel conduisant sa mère à signaler sa disparition mercredi 1er décembre. Interrogée au début de l'enquête - ouverte dans un premier temps pour «disparition inquiétante» - Camille explique que son invité est reparti et qu'elle n'a plus de nouvelles depuis. Vendredi 3 décembre, la jeune femme partage même sur son compte Facebook un article de «L'Est Républicain» relayant la disparition de Théo.
Camille avait partagé sur Facebook un article relatant la disparition de Théo. Capture d'écran Facebook
Les enquêteurs de la police judiciaire de Besançon découvrent finalement le corps de Théo lundi 6 décembre au cours d'une perquisition au domicile de la jeune fille. Le cadavre est dissimulé dans un placard et emballé dans de grands sacs plastiques scotchés. Détail sordide, la victime a les mains nouées dans le dos. Durant sa garde à vue, Camille reconnaît immédiatement avoir donné la mort au disparu dans la nuit du 29 au 30 novembre «parce qu'il insistait pour avoir une relation sexuelle», a détaillé le procureur de la République de Besançon, Étienne Manteaux, lors d'une conférence de presse jeudi 9 décembre. Le magistrat a donné de nombreux détails sur le déroulé des faits.À VOIR AUSSI - Disparition de Delphine Jubillar: le mari de nouveau auditionné par les juges
Play Video
Endormie aux côtés du jeune homme, Camille raconte avoir été réveillée par des attouchements vers 4h du matin. Elle aurait alors frappé Théo au visage pour le repousser et se serait réfugiée dans la cuisine. Le jeune homme l'aurait suivie et lui aurait imposé de nouveaux attouchements. Paniquée, Camille se serait saisie d'un couteau de cuisine avant de lui asséner un coup non mortel au niveau du ventre. Au sol, le jeune homme l'aurait menacée, ce qui aurait conduit Camille à détacher une cordelette de l'une de ses robes puis à l'étrangler. Craignant qu'il ne se réveille, elle lui aurait ensuite attaché les mains dans le dos. «Je déteste la violence mais si tu me touches, je ferai en sorte que plus jamais tu recommences», écrivait Camille dans une publication Facebook d'avril 2020 qui revêt désormais un sens tout particulier. Des attouchements imposés à la jeune femme ont-ils conduit à un déchaînement de violence ? Charge à l'enquête de le déterminer.Après le meurtre, Camille ne perd pas de temps. À 7h06, la jeune femme envoie un texto sur le téléphone portable de la victime pour brouiller les pistes : «Travaille bien, merci pour hier c'était vraiment bon». Une heure plus tard, elle se rend dans une station essence avec la voiture de la victime et utilise sa carte bleue. Puis elle achète des bijoux dans un centre commercial, toujours avec la carte bancaire de Théo, en début d'après-midi. Le lendemain du meurtre, Camille retire 600 euros et prend la direction de Bordeaux où elle a réservé une chambre sur Airbnb. La jeune femme - qui n'a pas le permis -, se rend sur place en voiture pour rejoindre un homme de 27 ans récemment rencontré : elle passe deux nuits avec lui, utilisant de nouveau la carte de la victime, avant de rentrer en Haute-Saône le 3 décembre. Le soir même, elle se rend à Dijon chez un ex-petit ami avec qui elle passe la nuit. Elle lui demande une faveur : trouver de fausses plaques d'immatriculations pour les mettre sur le véhicule de la victime. Ce qu'il accepte de faire. Le lendemain, le 4 décembre, Camille achète des sacs-poubelles et du ruban adhésif puis participe à une soirée. Une amie l'ayant croisée à la fête la décrit comme «normale». La jeune femme sera finalement interpellée deux jours plus tard.
Aux enquêteurs, Camille explique que la victime «était son 'pigeon', qu'elle souhaitait en obtenir de l'argent, mais elle a aussi maintenu sa version des faits» concernant une agression sexuelle, a détaillé le procureur de la République. Le commandant de la police judiciaire de Besançon, David Tognelli, a de son côté indiqué avoir été surpris par «l'extrême détachement qu'a montré cette jeune femme de tout juste 18 ans par rapport aux faits qu'elle dit avoir commis et notamment sa capacité à continuer à vivre normalement».
J'ai du mal à y croire, c'est dur d'imaginer ça venant d'elle
Alexia, une amie de Lycée de Camille
Surpris, les proches de la jeune fille le sont également. «On faisait beaucoup de soirées ensemble chez des amis. Tout le monde la connaissait. On est tous choqués et sur le cul», confie Pierre*, un ami qui partageait également des balades à cheval avec elle, une des passions de Camille. «J'ai eu de la chance de ne pas me retrouver mêlé à cette histoire. Elle m'avait appelé dimanche à 7h du matin pour que j'aille la chercher. Elle s'était endormie au volant et s'était mise sur un talus au fin fond de la Haute-Marne», poursuit-il.«Je n'arrive pas à y croire, c'est dur d'imaginer ça venant d'elle», confie quant à elle Alexia, qui était dans la même classe que Camille au lycée agricole de Vesoul en 2017. «Je traînais beaucoup avec elle au lycée. Elle était populaire et très appréciée. Elle était plutôt calme mais elle avait du caractère et ne se laissait pas faire. Il ne fallait pas l'embêter», se remémore Alexia. Pour preuve, la jeune fille se souvient d'une «embrouille» entre Camille et une autre élève. «Camille avait envoyé des menaces à cette fille. Quand elle s'embrouillait avec les gens, elle les traitait souvent de pigeons et de pigeonnes», explique-t-elle. Un terme qui fait écho à celui utilisé en garde à vue pour qualifier Théo.
Sur le plan scolaire, Alexia décrit Camille comme «une très bonne élève, passionnée par l'agriculture et les animaux». Une passion visible sur le compte Facebook de la jeune fille, qui se prend régulièrement en photo avec des chevaux, des vaches ou des chiots, et n'hésite pas à clamer son amour pour l'agriculture. «Un rêve de gosse», écrit-elle dans une publication d'août 2019 où on la voit en photo sur un tracteur. «Tu vas faire le concours ?», l'interroge un jeune homme sous la publication. «Oui, celui de Fontenois (Fontenois-la-Ville, en Haute-Saône, NDLR)», lui répond Camille. En septembre 2019, on la voit encore se mettre en scène en train d'embrasser un petit veau. «L'amour que je porte à ma passion est inexplicable. Car c'est grâce à elle que chaque jour je souris», écrit-elle. Mais son rêve s'évapore. «L'agriculture touche à sa fin pour moi», annonce-t-elle en novembre 2019 sans en dire davantage. Elle précise qu'elle part «dans une autre formation pour être dans tout ce qui est communication et comptabilité». Au moment du meurtre, et depuis plusieurs mois déjà, la jeune fille était vendeuse dans une boulangerie.
Autre facette de sa personnalité, la jeune femme multipliait les conquêtes, réelles ou virtuelles. «Elle changeait souvent de copain et en avait parfois plusieurs. Elle rencontrait des garçons en vrai ou sur Snapchat. Ses relations ne duraient jamais très longtemps, elle enchaînait pas mal», explique Alexia. Benjamin*, un jeune agriculteur, fait partie de ces relations virtuelles. Il a connu Camille sur le réseau social Snapchat en 2019. «On a beaucoup discuté, pendant environ un an, mais on ne s'est jamais vu en vrai. On parlait de nos métiers, de notre avenir, de nous et j'en passe», explique-t-il. «Elle m'avait invité chez elle mais je n'ai jamais eu le temps d'y aller. Je ne la pensais pas capable de ça», souffle-t-il.
Actuellement incarcérée à la maison d'arrêt de Lutterbach (Haut-Rhin), Camille risque en théorie trente ans de réclusion criminelle. Sur sa dernière photo postée sur Facebook, le 19 novembre, on peut lire : «Je suis mariée avec la vie, jusqu'à ce que la mort nous sépare».
C'est juste flippant
J'ai du mal à voir comment les enquêteurs procèdent pour remonter précisément aux faits. Comment déterminer avec certitude ce qui s'est passé, la chronologie des faits? A part en ayant mis au préalable des caméras partout (et encore on peut truquer avec des montages), j'ai du mal à voir.
Les messages ne suffisent pas toujours à déduire ce qui s'est réellement passé...
Le 14 décembre 2021 à 03:15:30 :
Le 13 décembre 2021 à 16:47:11 :
Le 12 décembre 2021 à 23:17:47 OrangeFibred a écrit :
ARTICLE DU FIGARO COMPLET :
RÉCIT - Fin novembre, un jeune homme de 23 ans est venu passer la soirée chez elle, en Haute-Saône, mais n'en est jamais reparti. Son cadavre, emballé dans des sacs plastique, a été retrouvé dans un placard par les enquêteurs.«Je l'ai rencontrée au lycée agricole à Vesoul en 2017. Elle voulait devenir agricultrice et adorait les animaux : les vaches, les chevaux, les chiens.... Je n'arrive pas encore à y croire», raconte Alexia*, une amie de Camille. Cette jeune femme de 18 ans a reconnu avoir étranglé Théo, 23 ans, venu passer la soirée chez elle fin novembre. Le cadavre du jeune homme a été retrouvé une semaine plus tard au domicile de Camille, à Oiselay-et-Grachaux (Haute-Saône), une petite commune de 400 âmes entre Vesoul et Besançon. La jeune femme a été mise en examen mercredi 8 décembre pour homicide volontaire et placée en détention provisoire.
À LIRE AUSSI«Ses explications étaient incohérentes» : qui est Samire, principal suspect dans la mort d'Aurélie Vaquier ?
Domicilié à Besançon, décrit par ses proches comme «introverti et peu à l'aise avec les femmes», Théo se rend chez Camille lundi 29 novembre pour y passer la soirée. Les deux jeunes adultes se connaissent depuis peu. Problème, Théo ne donne plus aucun signe de vie après cette soirée. Un silence inhabituel conduisant sa mère à signaler sa disparition mercredi 1er décembre. Interrogée au début de l'enquête - ouverte dans un premier temps pour «disparition inquiétante» - Camille explique que son invité est reparti et qu'elle n'a plus de nouvelles depuis. Vendredi 3 décembre, la jeune femme partage même sur son compte Facebook un article de «L'Est Républicain» relayant la disparition de Théo.
Camille avait partagé sur Facebook un article relatant la disparition de Théo. Capture d'écran Facebook
Les enquêteurs de la police judiciaire de Besançon découvrent finalement le corps de Théo lundi 6 décembre au cours d'une perquisition au domicile de la jeune fille. Le cadavre est dissimulé dans un placard et emballé dans de grands sacs plastiques scotchés. Détail sordide, la victime a les mains nouées dans le dos. Durant sa garde à vue, Camille reconnaît immédiatement avoir donné la mort au disparu dans la nuit du 29 au 30 novembre «parce qu'il insistait pour avoir une relation sexuelle», a détaillé le procureur de la République de Besançon, Étienne Manteaux, lors d'une conférence de presse jeudi 9 décembre. Le magistrat a donné de nombreux détails sur le déroulé des faits.À VOIR AUSSI - Disparition de Delphine Jubillar: le mari de nouveau auditionné par les juges
Play Video
Endormie aux côtés du jeune homme, Camille raconte avoir été réveillée par des attouchements vers 4h du matin. Elle aurait alors frappé Théo au visage pour le repousser et se serait réfugiée dans la cuisine. Le jeune homme l'aurait suivie et lui aurait imposé de nouveaux attouchements. Paniquée, Camille se serait saisie d'un couteau de cuisine avant de lui asséner un coup non mortel au niveau du ventre. Au sol, le jeune homme l'aurait menacée, ce qui aurait conduit Camille à détacher une cordelette de l'une de ses robes puis à l'étrangler. Craignant qu'il ne se réveille, elle lui aurait ensuite attaché les mains dans le dos. «Je déteste la violence mais si tu me touches, je ferai en sorte que plus jamais tu recommences», écrivait Camille dans une publication Facebook d'avril 2020 qui revêt désormais un sens tout particulier. Des attouchements imposés à la jeune femme ont-ils conduit à un déchaînement de violence ? Charge à l'enquête de le déterminer.Après le meurtre, Camille ne perd pas de temps. À 7h06, la jeune femme envoie un texto sur le téléphone portable de la victime pour brouiller les pistes : «Travaille bien, merci pour hier c'était vraiment bon». Une heure plus tard, elle se rend dans une station essence avec la voiture de la victime et utilise sa carte bleue. Puis elle achète des bijoux dans un centre commercial, toujours avec la carte bancaire de Théo, en début d'après-midi. Le lendemain du meurtre, Camille retire 600 euros et prend la direction de Bordeaux où elle a réservé une chambre sur Airbnb. La jeune femme - qui n'a pas le permis -, se rend sur place en voiture pour rejoindre un homme de 27 ans récemment rencontré : elle passe deux nuits avec lui, utilisant de nouveau la carte de la victime, avant de rentrer en Haute-Saône le 3 décembre. Le soir même, elle se rend à Dijon chez un ex-petit ami avec qui elle passe la nuit. Elle lui demande une faveur : trouver de fausses plaques d'immatriculations pour les mettre sur le véhicule de la victime. Ce qu'il accepte de faire. Le lendemain, le 4 décembre, Camille achète des sacs-poubelles et du ruban adhésif puis participe à une soirée. Une amie l'ayant croisée à la fête la décrit comme «normale». La jeune femme sera finalement interpellée deux jours plus tard.
Aux enquêteurs, Camille explique que la victime «était son 'pigeon', qu'elle souhaitait en obtenir de l'argent, mais elle a aussi maintenu sa version des faits» concernant une agression sexuelle, a détaillé le procureur de la République. Le commandant de la police judiciaire de Besançon, David Tognelli, a de son côté indiqué avoir été surpris par «l'extrême détachement qu'a montré cette jeune femme de tout juste 18 ans par rapport aux faits qu'elle dit avoir commis et notamment sa capacité à continuer à vivre normalement».
J'ai du mal à y croire, c'est dur d'imaginer ça venant d'elle
Alexia, une amie de Lycée de Camille
Surpris, les proches de la jeune fille le sont également. «On faisait beaucoup de soirées ensemble chez des amis. Tout le monde la connaissait. On est tous choqués et sur le cul», confie Pierre*, un ami qui partageait également des balades à cheval avec elle, une des passions de Camille. «J'ai eu de la chance de ne pas me retrouver mêlé à cette histoire. Elle m'avait appelé dimanche à 7h du matin pour que j'aille la chercher. Elle s'était endormie au volant et s'était mise sur un talus au fin fond de la Haute-Marne», poursuit-il.«Je n'arrive pas à y croire, c'est dur d'imaginer ça venant d'elle», confie quant à elle Alexia, qui était dans la même classe que Camille au lycée agricole de Vesoul en 2017. «Je traînais beaucoup avec elle au lycée. Elle était populaire et très appréciée. Elle était plutôt calme mais elle avait du caractère et ne se laissait pas faire. Il ne fallait pas l'embêter», se remémore Alexia. Pour preuve, la jeune fille se souvient d'une «embrouille» entre Camille et une autre élève. «Camille avait envoyé des menaces à cette fille. Quand elle s'embrouillait avec les gens, elle les traitait souvent de pigeons et de pigeonnes», explique-t-elle. Un terme qui fait écho à celui utilisé en garde à vue pour qualifier Théo.
Sur le plan scolaire, Alexia décrit Camille comme «une très bonne élève, passionnée par l'agriculture et les animaux». Une passion visible sur le compte Facebook de la jeune fille, qui se prend régulièrement en photo avec des chevaux, des vaches ou des chiots, et n'hésite pas à clamer son amour pour l'agriculture. «Un rêve de gosse», écrit-elle dans une publication d'août 2019 où on la voit en photo sur un tracteur. «Tu vas faire le concours ?», l'interroge un jeune homme sous la publication. «Oui, celui de Fontenois (Fontenois-la-Ville, en Haute-Saône, NDLR)», lui répond Camille. En septembre 2019, on la voit encore se mettre en scène en train d'embrasser un petit veau. «L'amour que je porte à ma passion est inexplicable. Car c'est grâce à elle que chaque jour je souris», écrit-elle. Mais son rêve s'évapore. «L'agriculture touche à sa fin pour moi», annonce-t-elle en novembre 2019 sans en dire davantage. Elle précise qu'elle part «dans une autre formation pour être dans tout ce qui est communication et comptabilité». Au moment du meurtre, et depuis plusieurs mois déjà, la jeune fille était vendeuse dans une boulangerie.
Autre facette de sa personnalité, la jeune femme multipliait les conquêtes, réelles ou virtuelles. «Elle changeait souvent de copain et en avait parfois plusieurs. Elle rencontrait des garçons en vrai ou sur Snapchat. Ses relations ne duraient jamais très longtemps, elle enchaînait pas mal», explique Alexia. Benjamin*, un jeune agriculteur, fait partie de ces relations virtuelles. Il a connu Camille sur le réseau social Snapchat en 2019. «On a beaucoup discuté, pendant environ un an, mais on ne s'est jamais vu en vrai. On parlait de nos métiers, de notre avenir, de nous et j'en passe», explique-t-il. «Elle m'avait invité chez elle mais je n'ai jamais eu le temps d'y aller. Je ne la pensais pas capable de ça», souffle-t-il.
Actuellement incarcérée à la maison d'arrêt de Lutterbach (Haut-Rhin), Camille risque en théorie trente ans de réclusion criminelle. Sur sa dernière photo postée sur Facebook, le 19 novembre, on peut lire : «Je suis mariée avec la vie, jusqu'à ce que la mort nous sépare».
C'est juste flippant
J'ai du mal à voir comment les enquêteurs procèdent pour remonter précisément aux faits. Comment déterminer avec certitude ce qui s'est passé, la chronologie des faits? A part en ayant mis au préalable des caméras partout (et encore on peut truquer avec des montages), j'ai du mal à voir.
Les messages ne suffisent pas toujours à déduire ce qui s'est réellement passé...
Il restera beaucoup de zones d'ombres sur ce qu'il s'est réellement passé, on ne saura jamais vraiment ce qu'il s'est passé cette nuit-là.
Le 14 décembre 2021 à 03:06:30 :
Bordel je viens de voir la tête de la meuf, je m'attendais à une bombasse c'est une putain de Magalie
Mais plein de mecs la sautaient... comment peut-on s'abaisser à ça ? Faut-être pire qu'un chien
Le 14 décembre 2021 à 07:08:03 :
Le 14 décembre 2021 à 03:06:30 :
Bordel je viens de voir la tête de la meuf, je m'attendais à une bombasse c'est une putain de MagalieMais plein de mecs la sautaient... comment peut-on s'abaisser à ça ? Faut-être pire qu'un chien
en fait les Magalie à gros seins baisent facilement, rien que pour bouffer des gros seins il y a plein de mecs affamés
moi ce qui me surprend c'est que le gars a même pas filé d'adresse... même quand je vois une 10nana en confiance pour la première fois j'envoie l'adresse à mes meilleurs amis au cas où
Le 14 décembre 2021 à 03:15:30 ChienCon-123 a écrit :
Le 13 décembre 2021 à 16:47:11 :
Le 12 décembre 2021 à 23:17:47 OrangeFibred a écrit :
ARTICLE DU FIGARO COMPLET :
RÉCIT - Fin novembre, un jeune homme de 23 ans est venu passer la soirée chez elle, en Haute-Saône, mais n'en est jamais reparti. Son cadavre, emballé dans des sacs plastique, a été retrouvé dans un placard par les enquêteurs.«Je l'ai rencontrée au lycée agricole à Vesoul en 2017. Elle voulait devenir agricultrice et adorait les animaux : les vaches, les chevaux, les chiens.... Je n'arrive pas encore à y croire», raconte Alexia*, une amie de Camille. Cette jeune femme de 18 ans a reconnu avoir étranglé Théo, 23 ans, venu passer la soirée chez elle fin novembre. Le cadavre du jeune homme a été retrouvé une semaine plus tard au domicile de Camille, à Oiselay-et-Grachaux (Haute-Saône), une petite commune de 400 âmes entre Vesoul et Besançon. La jeune femme a été mise en examen mercredi 8 décembre pour homicide volontaire et placée en détention provisoire.
À LIRE AUSSI«Ses explications étaient incohérentes» : qui est Samire, principal suspect dans la mort d'Aurélie Vaquier ?
Domicilié à Besançon, décrit par ses proches comme «introverti et peu à l'aise avec les femmes», Théo se rend chez Camille lundi 29 novembre pour y passer la soirée. Les deux jeunes adultes se connaissent depuis peu. Problème, Théo ne donne plus aucun signe de vie après cette soirée. Un silence inhabituel conduisant sa mère à signaler sa disparition mercredi 1er décembre. Interrogée au début de l'enquête - ouverte dans un premier temps pour «disparition inquiétante» - Camille explique que son invité est reparti et qu'elle n'a plus de nouvelles depuis. Vendredi 3 décembre, la jeune femme partage même sur son compte Facebook un article de «L'Est Républicain» relayant la disparition de Théo.
Camille avait partagé sur Facebook un article relatant la disparition de Théo. Capture d'écran Facebook
Les enquêteurs de la police judiciaire de Besançon découvrent finalement le corps de Théo lundi 6 décembre au cours d'une perquisition au domicile de la jeune fille. Le cadavre est dissimulé dans un placard et emballé dans de grands sacs plastiques scotchés. Détail sordide, la victime a les mains nouées dans le dos. Durant sa garde à vue, Camille reconnaît immédiatement avoir donné la mort au disparu dans la nuit du 29 au 30 novembre «parce qu'il insistait pour avoir une relation sexuelle», a détaillé le procureur de la République de Besançon, Étienne Manteaux, lors d'une conférence de presse jeudi 9 décembre. Le magistrat a donné de nombreux détails sur le déroulé des faits.À VOIR AUSSI - Disparition de Delphine Jubillar: le mari de nouveau auditionné par les juges
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Endormie aux côtés du jeune homme, Camille raconte avoir été réveillée par des attouchements vers 4h du matin. Elle aurait alors frappé Théo au visage pour le repousser et se serait réfugiée dans la cuisine. Le jeune homme l'aurait suivie et lui aurait imposé de nouveaux attouchements. Paniquée, Camille se serait saisie d'un couteau de cuisine avant de lui asséner un coup non mortel au niveau du ventre. Au sol, le jeune homme l'aurait menacée, ce qui aurait conduit Camille à détacher une cordelette de l'une de ses robes puis à l'étrangler. Craignant qu'il ne se réveille, elle lui aurait ensuite attaché les mains dans le dos. «Je déteste la sacre bleuence mais si tu me touches, je ferai en sorte que plus jamais tu recommences», écrivait Camille dans une publication Facebook d'avril 2020 qui revêt désormais un sens tout particulier. Des attouchements imposés à la jeune femme ont-ils conduit à un déchaînement de sacre bleuence ? Charge à l'enquête de le déterminer.Après le meurtre, Camille ne perd pas de temps. À 7h06, la jeune femme envoie un texto sur le téléphone portable de la victime pour brouiller les pistes : «Travaille bien, merci pour hier c'était vraiment bon». Une heure plus tard, elle se rend dans une station essence avec la voiture de la victime et utilise sa carte bleue. Puis elle achète des bijoux dans un centre commercial, toujours avec la carte bancaire de Théo, en début d'après-midi. Le lendemain du meurtre, Camille retire 600 euros et prend la direction de Bordeaux où elle a réservé une chambre sur Airbnb. La jeune femme - qui n'a pas le permis -, se rend sur place en voiture pour rejoindre un homme de 27 ans récemment rencontré : elle passe deux nuits avec lui, utilisant de nouveau la carte de la victime, avant de rentrer en Haute-Saône le 3 décembre. Le soir même, elle se rend à Dijon chez un ex-petit ami avec qui elle passe la nuit. Elle lui demande une faveur : trouver de fausses plaques d'immatriculations pour les mettre sur le véhicule de la victime. Ce qu'il accepte de faire. Le lendemain, le 4 décembre, Camille achète des sacs-poubelles et du ruban adhésif puis participe à une soirée. Une amie l'ayant croisée à la fête la décrit comme «normale». La jeune femme sera finalement interpellée deux jours plus tard.
Aux enquêteurs, Camille explique que la victime «était son 'pigeon', qu'elle souhaitait en obtenir de l'argent, mais elle a aussi maintenu sa version des faits» concernant une agression sexuelle, a détaillé le procureur de la République. Le commandant de la police judiciaire de Besançon, David Tognelli, a de son côté indiqué avoir été surpris par «l'extrême détachement qu'a montré cette jeune femme de tout juste 18 ans par rapport aux faits qu'elle dit avoir commis et notamment sa capacité à continuer à vivre normalement».
J'ai du mal à y croire, c'est dur d'imaginer ça venant d'elle
Alexia, une amie de Lycée de Camille
Surpris, les proches de la jeune fille le sont également. «On faisait beaucoup de soirées ensemble chez des amis. Tout le monde la connaissait. On est tous choqués et sur le cul», confie Pierre*, un ami qui partageait également des balades à cheval avec elle, une des passions de Camille. «J'ai eu de la chance de ne pas me retrouver mêlé à cette histoire. Elle m'avait appelé dimanche à 7h du matin pour que j'aille la chercher. Elle s'était endormie au volant et s'était mise sur un talus au fin fond de la Haute-Marne», poursuit-il.«Je n'arrive pas à y croire, c'est dur d'imaginer ça venant d'elle», confie quant à elle Alexia, qui était dans la même classe que Camille au lycée agricole de Vesoul en 2017. «Je traînais beaucoup avec elle au lycée. Elle était populaire et très appréciée. Elle était plutôt calme mais elle avait du caractère et ne se laissait pas faire. Il ne fallait pas l'embêter», se remémore Alexia. Pour preuve, la jeune fille se souvient d'une «embrouille» entre Camille et une autre élève. «Camille avait envoyé des menaces à cette fille. Quand elle s'embrouillait avec les gens, elle les traitait souvent de pigeons et de pigeonnes», explique-t-elle. Un terme qui fait écho à celui utilisé en garde à vue pour qualifier Théo.
Sur le plan scolaire, Alexia décrit Camille comme «une très bonne élève, passionnée par l'agriculture et les animaux». Une passion visible sur le compte Facebook de la jeune fille, qui se prend régulièrement en photo avec des chevaux, des vaches ou des chiots, et n'hésite pas à clamer son amour pour l'agriculture. «Un rêve de gosse», écrit-elle dans une publication d'août 2019 où on la voit en photo sur un tracteur. «Tu vas faire le concours ?», l'interroge un jeune homme sous la publication. «Oui, celui de Fontenois (Fontenois-la-Ville, en Haute-Saône, NDLR)», lui répond Camille. En septembre 2019, on la voit encore se mettre en scène en train d'embrasser un petit veau. «L'amour que je porte à ma passion est inexplicable. Car c'est grâce à elle que chaque jour je souris», écrit-elle. Mais son rêve s'évapore. «L'agriculture touche à sa fin pour moi», annonce-t-elle en novembre 2019 sans en dire davantage. Elle précise qu'elle part «dans une autre formation pour être dans tout ce qui est communication et comptabilité». Au moment du meurtre, et depuis plusieurs mois déjà, la jeune fille était vendeuse dans une boulangerie.
Autre facette de sa personnalité, la jeune femme multipliait les conquêtes, réelles ou virtuelles. «Elle changeait souvent de copain et en avait parfois plusieurs. Elle rencontrait des garçons en vrai ou sur Snapchat. Ses relations ne duraient jamais très longtemps, elle enchaînait pas mal», explique Alexia. Benjamin*, un jeune agriculteur, fait partie de ces relations virtuelles. Il a connu Camille sur le réseau social Snapchat en 2019. «On a beaucoup discuté, pendant environ un an, mais on ne s'est jamais vu en vrai. On parlait de nos métiers, de notre avenir, de nous et j'en passe», explique-t-il. «Elle m'avait invité chez elle mais je n'ai jamais eu le temps d'y aller. Je ne la pensais pas capable de ça», souffle-t-il.
Actuellement incarcérée à la maison d'arrêt de Lutterbach (Haut-Rhin), Camille risque en théorie trente ans de réclusion criminelle. Sur sa dernière photo postée sur Facebook, le 19 novembre, on peut lire : «Je suis mariée avec la vie, jusqu'à ce que la mort nous sépare».
C'est juste flippant
J'ai du mal à voir comment les enquêteurs procèdent pour remonter précisément aux faits. Comment déterminer avec certitude ce qui s'est passé, la chronologie des faits? A part en ayant mis au préalable des caméras partout (et encore on peut truquer avec des montages), j'ai du mal à voir.
Les messages ne suffisent pas toujours à déduire ce qui s'est réellement passé...
Ils utilisent des old jedi mind tricks
https://m.faitsdivers.org/36554-Disparition-de-3-adolescentes-de-15-ans-leurs-blousons-decouverts-pres-du-magasin-Carrefour.html
Le 14 décembre 2021 à 15:19:43 Thomas77700 a écrit :
https://m.faitsdivers.org/36554-Disparition-de-3-adolescentes-de-15-ans-leurs-blousons-decouverts-pres-du-magasin-Carrefour.html
Les élites se préparent leurs cadeaux de Noël