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Ecriture

Sujet : Arrêt sur Images
ggiot
Niveau 10
01 décembre 2015 à 12:52:06

Voilà, texte pondu, c'est le cas de le dire !

---

Enfermée au fond de son magasin bio, Cocotte guettait avec envie le vol des colombes. Par dizaines, celles-ci traversaient les cieux et leurs nuages dans la liberté la plus totale. Souvent, Cocotte imaginait combien il devait être agréable de voler dans un monde aussi vaste. Ses amies poulettes, elles, ne prenaient pas la peine d’observer ce lointain univers. Elles ne cessaient de caqueter : « Ici, nous sommes à notre place ». Mais Cocotte ne les écoutait pas, et préférait rêver la vie auprès de ces chastes oiselles.

Un jour, un humain entra dans la boutique. Veste côtelée, écharpe mauve et lunettes rondes, il parla au vendeur, qui délaissa sa caisse pour s’approcher des poulaillers. Cocotte en trépigna d’avance.

A peine le vendeur eut-il le temps d’ouvrir sa cage qu’elle fonça sur ses congénères, leur marcha dessus, écrasa, et le commercial, et le client, avant de se précipiter vers la sortie en braillant comme une hystérique. La porte, grande ouverte, lui tendait les bras. Elle courut comme jamais et passa son seuil avec satisfaction, foulant pour la première fois les pavés de la rue.

Furieux, le vendeur la poursuivait. Cocotte ne demanda pas son reste et déguerpit aussi sec. Elle traversa des avenues en dehors des passages cloutés, sortit indemne de plusieurs marchés et évita des tas de clochards. Perdue au sein de la foule de piaf, elle chercha les colombes du regard, mais ne trouva que de vulgaires pigeons.

C’est alors que, sans comprendre, elle reçut un coup de pied au derrière par un homme vêtu de kaki et armé d’un fusil. Pour la première fois de sa vie, Cocotte vola. En vrai, et dans les airs ! Cela lui plut, mais elle dut avouer avoir mal à l’arrière train.

La chute s’amorça et Cocotte enfonça la fenêtre d’un appartement. Elle rebondit plusieurs fois sur le parquet avant de se retrouver dans les bras d’un homme négligemment installé au fond d’un canapé rouge. Il prononçait des mots bizarres, des mots que personne ne connait devant une caméra. Cocotte ne comprit rien à son charabia, mais tomba d’accord avec lui. Finalement, l’homme discourut sur son bec, apparemment trop crochu, et lui donna lui aussi un coup de pied au derrière. Elle passa de nouveau par la fenêtre et voltigea par delà les rues.

C’est alors que, pour son plus grand bonheur, elle se retrouva au milieu des colombes. Oui, elle volait bien parmi ces symboles de paix, au milieu de leur plumage d’albâtre ! Le monde entier arrêta sa course durant ce court instant, la paix régnant partout où Cocotte regardait.

Seulement, Cocotte ne volait pas, elle planait.

Sa nouvelle chute l’arracha à son idéal et l’attira irrémédiablement vers le plancher des vaches. Cette fois, elle tomba de si haut qu’elle transperça la toiture d’un édifice imposant, atterrissant au milieu d’une foule de bonshommes. Depuis leurs fauteuils rouges, tous criaient des choses incompréhensibles. Accaparés par leur devoir, ils ne firent pas même attention à elle.

— Et ton zizi, il est atone ? beugla l’un.
— Heureusement qu’il n’est pas comme la courbe du taux de croissance ! répondit l’autre.

Devant tant de sagesse, Cocotte oublia le discours du monsieur à la caméra et retint la pensée de ces hommes là. Fière du pays que son mâle représentait, elle se dressa fort haut et caqueta l’un de ces champs marseillais que tout le monde connait, mais que personne ne lit. L’assemblée la remarquât alors, et s’affola comme une pucelle face à un ecclésiastique. Bientôt, l’armée débarqua dans l’amphithéâtre et maîtrisa Cocotte, qui, disons le, perdit quelques plumes de belles factures. On l’obligea à sortir du bâtiment et à monter dans une camionnette, qui démarra sur les chapeaux de roue. Après seulement quelques minutes à être manipulée par les hommes qui l’embarquaient, ils l’éjectèrent du véhicule par un coup de pied aux fesses. Elle comprit alors qu’on l’avait excentrée de la cité, envoyé dans une périphérie, comme les lois du monde le prescrivent.

A peine commença-t-elle à déambuler dans les rues que des hommes la rattrapèrent, et voulurent la ramener chez eux. Cocotte, après toutes ses aventures, se méfia de leurs intentions, de peur qu’ils ne la fassent rôtir en sauce. Mais très courtoisement, les hommes lui expliquèrent que cela leur était simplement impossible, car Celui-qui-est-vraiment-le-plus-haut-dans-le-ciel-plus-haut-que-tous-les-autres le leur interdisait. Cocotte voulut en savoir plus sur Celui-qui-est-vraiment-le-plus-haut-dans-le-ciel-plus-haut-que-tous-les-autres, qui semblait être un personnage des plus civilisés. Les hommes l’emmenèrent alors dans leur appartement, l’assirent sur une chaise au rouge dégoulinant, et lui apprirent tout ce qu’ils pouvaient sur cet être incroyable.

Après trois jours de rabâchage intensif, Cocotte connut tout de Celui-qui-est-vraiment-le-plus-haut-dans-le-ciel-plus-haut-que-tous-les-autres et, en félicitation de son apprentissage, se fit remettre autour des ailes une jolie ceinture pleine de boitiers aux couleurs scintillantes. Cependant, un dernier examen l’attendait pour accéder à l’étape finale, à savoir rencontrer Celui-qui-est-vraiment-le-plus-haut-dans-le-ciel-plus-haut-que-tous-les-autres.

On l’embarqua alors une nouvelle fois dans une camionnette, et lui fit faire la route inverse afin de la ramener au centre de la cité. Pour passer son épreuve, on la plaça dans un lieu public, et lui expliqua que la ceinture divine qu’elle portait la mènerait jusqu’à Celui-qui-est-vraiment-le-plus-haut-dans-le-ciel-plus-haut-que-tous-les-autres lorsqu’elle appuierait sur un certain bouton. Elle appuya donc à l’endroit indiqué et tous les boitiers de sa ceinture provoquèrent une déflagration angélique, la propulsant dans les cieux.

Elle monta, monta, monta vers le firmament, la queue en flamme et l’arrière train dézingué. Tout là-haut, elle eut très froid et beaucoup de mal à respirer, mais ne trouva aucunement Celui-qui-est-vraiment-le-plus-haut-dans-le-ciel-plus-haut-que-tous-les-autres. Et ce n’était pas faute d’avoir introduit sa demeure par effraction.

Plus que déçue, Cocotte se sentit trompée, et amorça alors sa descente vers des cercles inférieurs. Cela lui prit un moment avant d’apercevoir de nouveau le sol et ses habitants, qui lui semblèrent vue d’ici bien minuscule. Après plusieurs minutes, elle tomba dans un tas de foin, au milieu d’une basse cour. Des tas de poulettes vinrent la voir, et d’entre ces pondeuses se dévoila un coq fier, qui lui proposa l’hospitalité dans son domaine.

Cocotte, qui l’écoutait attentivement, vit passer au dessus de sa tête une volée de colombes. Loin d’être sotte, elle accepta la proposition de son hôte et rejoint sa communauté. Elle savait dorénavant que les colombes ne pouvaient être rejointes, malgré tous les discours de ceux assis dans les sièges rouges, et qui, au final, faisaient plus mal au cul qu’autre chose.

---

Merci à vous !

LePerenolonch
Niveau 10
01 décembre 2015 à 13:33:48

:bravo: :bravo:

Un texte sympa, une poule djihadiste , j'attends d'autres textes avant de donner les points :hap:

Mandoulis
Niveau 27
01 décembre 2015 à 13:58:35

Tu attends surtout que l'organisateur t'autorise à voter :hap:

-Say-
Niveau 10
01 décembre 2015 à 14:13:29

:cd:

Il y avait une poule à la ferme de Mr. Jactarace qui voulait devenir pirate, et régner sur le monde. Un objectif périlleux, avant-gardiste diront certains, mais auquel elle croyait dur comme brique. Première étape pour y arriver : il lui fallait un équipage en or. Elle n'aurait aucun mal à en trouver un dans sa petite ferme, généreuse cité animale de la campagne environnante.

Il y avait les deux cochons, Mass Tique et Mouss Taque. Un rose avec une tâche noire, un noir avec une tâche rose. Ying et yang du domaine fermier, ils apportaient à leur entourage calme et sérénité. Les cochons étaient des gens bons, et la Poule en aurait bien besoin, ses futures aventures seraient sans aucun doute éprouvantes.
Malheureusement, Mass refusait d'être séparé de Mouss, et Mouss d'être séparé de Mass. La poule n'en voulait qu'un des deux, le rose de préférence, pour l'aspect symbolique. Avoir deux porcs dans son équipage, c'était cochlard.
« Odeurs de bourdon ! » leur hurla elle devant leur refus. « Je ne veux plus de vos fumets dans mon bateau pirate ! ». Elle fit deux pas vers la sortie et, constatant que la provocation semblait ne pas avoir été très efficace, en rajouta une couche en direction de Mass, le plus irritable des deux.
« Aère, oh, porc ! »

C'était la goutte d'eau, même Mouss ne pourrait pas le calmer cette fois ci. Mass souffla du groin toute la fumée de son corps et se mit à la poursuite de la Poule provocatrice. Celle ci s'enfuit à toute jambes, voletant comme elle pouvait vers un lieu ou elle savait qu'elle pourrait être en sécurité. Il y avait deux trois colombes qui traînaient toujours devant l'entrée de la ferme. Elle déboula comme une furie au milieu des oiseaux blancs crème qui semblaient ne pas comprendre grand-chose à la situation, et riaient comme d'habitude, de l'embonpoint et du look ringard de la poule nerveuse.
Poussez vous, bandes de chaussures ! beugla elle.
Le cochon, toujours à sa poursuite, piétena quelques unes des colombes moqueuses qu'il renvoya directement au temps de l'antiquité égyptienne, mal détaillée et en deux dimensions. La prochaine victime serait la Poule.

Dans une explosion de terre glaise et de poussière, le cochon fut stoppé au dernier instant par celui que la Poule attendait et qu'elle comptait bien recruter dans sa bande : Christophe Colombe, seigneur de ces dames : l'air mystérieux, gorgé de force tranquille et d'esprit, on raconte que lui seul avait percé le secret de l'âme d'Eric, le fermier insondable.
Sans attendre, la Poule l'invita à la rejoindre dans sa grande aventure. Christophe la regarda longuement. Il avait l'air particulièrement tourmenté, probablement par son passé revenu le hanter.
Les pirates ont tués mes parents et ma jeune sœur. Je les hais plus que tout au monde. Mais allez bon d'accord, tu m'as l'air de quelqu'un de bien.
Parfait. Ni une ni deux, ils se mirent en route à la recherche de nouveaux compagnons.

Ils croisèrent Mandoline, la marmotte du village. La Poule avait pensé depuis le début à le recruter comme scribe pour lui faire écrire les délicieuses aventures de son voyage, mais malheureusement, Mandoline lui annonça qu'il avait arrêté d'écrire des récits de voyage. Il avait tout lâché pour sa nouvelle vocation, celle de reporter, et était en ce moment sur un fait divers en béton armé : une poule écrasée sur le bitume d'une ferme voisine, pleine de vers de l'est. La Poule en profita pour lui demander si elle ne pouvait pas récupérer le crâne de la défunte pour la mettre en figure de proue. Ce serait terriblement intimidant pour ses futurs opposants. Mandoline lui appris que ça ne se faisait pas, ou très peu. La Poule reprit sa route.

Visiblement, elle ne pourrait compter pour le moment qu'un seul membre dans son équipage.
C'est à ce moment là que sa première aventure vint à elle, comme poussée par le destin.
Une jeune canne, Cochon (pourquoi faire simple ?), vint en larmes trouver la Poule et Christophe. Les poissons de sa mare, mené par Arcour le poisson pirate, avaient pris le pouvoir, ne leur laissant qu'une toute petite portion aqueuse.
Cochon la canne voulait absolument soutenir les canards âgés de sa mare, qui n'avaient même plus la force de déménager et se faisaient violenter depuis déjà plusieurs mois.
La Poule, Chistophe et Cochon partirent en trombe vers le point d'eau. Ce serait leur premier affrontement contre un autre groupe de pirates. Ils arrivèrent bien vite sur les lieux.

« Lequel d'entre vous est Arcour ? C'est toi ? »

La Poule imposait son style Un poisson se retourna et souffla une bulle en forme de O ce qui voulait sans doute dire oui
Si tu es bien coupable des méfaits dont Cochon nous a parlés nos deux équipages vont devoir s'affronter en duel Arcour Tu peux encore te rendre pour que l'on règle ça a l'amiable si tu préfères je te laisse une chance
Arcour ne répondit pas mais la Poule se rendit rapidement compte qu'il était en train de lui voler toute la ponctuation probablement pour la provoquer Lorsqu'elle s'en aperçut virgule elle trouva une ruse virgule et décida que la guerre était déclarée point

Un combat titanesque allait s'engager, qui allait faire trembler la ferme toute entière. Mais le groupe d'Arcour fut rapidement balayés, quand ses opposants comprirent que les poissons étaient complètement moisis en combat a mais nues.

C'était la première victoire du premier arc de leur grande aventure, mais malheureusement, la Poule avait déjà quasiment oublié tout le début de l'histoire, et commença à regretter amèrement l'absence de Mandoline pour la prendre en note. Les vieux canards voulaient les remercier, mais l'équipage s'en fichait un peu (Cochon elle même n'en avait pas grand chose à faire) et repartit vers la ferme.

C'est alors que l'imprévisible se produisit. Eric Jactarace le fermier, dans toute son immensité statutaire, se révéla, émergeant sans doute d'un bosquet, ou de derrière un arbre. Ses paroles résonnaient comme dans une grotte, ce qui était absurde.
« POULE !! J'AI APPRIS QUE TU VOULAIS QUITTER LA FERME, DEVENIR PIRATE, ET EMBRIGADER D'AUTRES DE MES ANIMAUX AVEC TOI ? » Il fit tournoyer sa fourche au dessus de sa tête. « POUR CA TU SERAS SÉVÈREMENT PUNIE »
Christophe Colombe rappela à la Poule qu'ils avaient un avantage, car il pouvait lire l'âme d'Eric. Cependant, ce ne fut pas d'une aide grandiose, car à cet instant, l'âme d'Eric était intégralité agressive et meurtière, et ce n'était pas un secret pour grand monde.
La poule tomba à genoux. Son aventure allait se terminer prématurément. C'est alors qu'elle entendit un cri retentissant venu du haut du toit de la ferme.

« POUUUUUUUULE ! »
Elle leva la tête. Un individu masqué la hélait du haut du toit.
« Qu'est ce que tu fais la ? Tu ne vas pas abandonner  ?! Ce n'est pas encore l'enfer ici ! Il faut te battre, Pouuule ! »
L'individu enleva son masque. C'était Coq, le frère de la Poule. Ils ne s'étaient plus parlés depuis des années, suite à une dispute au sujet d'un bateau en papier. Mais il était revenu pour l'encourager, dans ce moment critique, mettant fin à cette dispute idiote. La Poule se releva, la larme à l'oeil et la rage aux dents. Elle plongea son regard dans celui du fermier, et avec toute la force de sa Dé termination, lui récita ce poème contemporain qui lui vint intuitivement, sans qu'elle ne puisse avoir le temps d'y réfléchir.

C'est ce que l'on m'avait ordonné
Et sans plus attendre je le fis ;
Les eaux roses
dans leur lit,
Prirent une ampleur effrayante,
dévorante,
tsunami macabre,
'Du sopalin, s'égosilla l'enfant,
Du sopalin pour éponger la colère !'
Ses camarades en sang gisaient dans la fange.
L'enfant a chaud, peur, la langue sèche.
Les robinets ne coulaient plus,
Pas une goutte,
Toute l'eau s'était donné rendez vous,
Pour la dévastation.
Puis,
vint l'homme franc, qui d'un geste de sa main,
Décala l'opprobre,
ou consola l'enfant.

Le fermier s'effondra à genoux, à deux doigts de tomber inconscient. Le poème était trop puissant, et pourtant personne n'avait rien compris à ce qu'il voulait dire.
Toute la ferme était silencieuse. Christope Colombe était bouche bée.
« La poésie des rois...souffla il. On raconte que seule une personne sur plusieurs millards possède ce don... »

Le Coq descendit de son monticule et se joignit à la fine équipe. Ainsi, les quatre amis partirent de la ferme triomphants, à la recherche de nouvelles aventures.
Plus tard, une oie et un rat vinrent s'ajouter à la bande, et Mandoline finit même par s'y intégrer après tout un arc consacré à son sauvetage d'un complot russe. Mais à partir de ce moment la, l'histoire devient globalement commerciale, donc je vous conseille de vous arrêter ici.

:cd:

Hmm..quand même, accordons à cette histoire un générique de fin digne de ce nom !
http://pouleadventures.corgiorgy.com/

-Say-
Niveau 10
01 décembre 2015 à 14:17:08

Evidemment, le lien a la fin ne compte pas dans le texte, c'est un bonus !

+ Celui qui décèle le secret du poème, sans déconner, je lui paye une galette des rois direct ! :noel:
Dédi à Chocobo !

LePerenolonch
Niveau 10
01 décembre 2015 à 15:58:18

Le 01 décembre 2015 à 14:13:29 -Say- a écrit :

http://pouleadventures.corgiorgy.com/

trop bien :bave:

LePerenolonch
Niveau 10
01 décembre 2015 à 16:53:08

Les cochons étaient des gens bons

:rire:

ggiot
Niveau 10
01 décembre 2015 à 20:47:15

Très sympa ce que tu as fait Say, et puis le coup du générique c'est génial :rire: !

Mandoulis
Niveau 27
02 décembre 2015 à 08:57:19

Il faut croire que les poules volantes, ça inspire également les foules... [[sticker:p/1kkl]]
Nous avons trois textes, vous avez jusqu'au mardi 8 décembre 29:59:59, pour voter! :-p
(Les votes se font sous la forme +3 / +1 et +1 pour rappel :ok: )

Mandoulis
Niveau 27
03 décembre 2015 à 00:03:58

Ggiot

Texte très sympa, bien enchainé, j’ai beaucoup aimé, mais n’ai pas compris toutes les références (genre le monsieur dans son canapé rouge :noel: ). J’ai l’impression qu’il manquait un genre de fil rouge pour relier les scènes entre elles et pas juste passer d’une à l’autre par un coup de pied au derrière. Mais j’ai beaucoup souri en lisant, merci =)

Say

Ils croisèrent Mandoline, la marmotte du village. :rire: J’ai explosé :rire:
Cochon la canne C’est n’importe quoi :rire:
WTF le passage avec la ponctuation :ouch: :rire:
OMFD le générique :rire: :rire: :rire: :rire: :rire: :rire:
Alors, pour un avis général, on sent parfois que c’est fait à la va-vite, il y a des fautes, des passages moins travaillés, mais le wtf du texte efface en grande partie cela. J’ai fait que me marrer, merci pour ce moment.

Sans hésitations,
+3 Say
+1 Ggiot

ggiot
Niveau 10
03 décembre 2015 à 00:11:39

Pour ma part, je met + 3 à Say et + 1 à Mandoulis !

Merci pour ton commentaire Mandoulis, il y a pas mal de références en effet, mais peut-être devrais-je la prochaine fois les accentuer pour les rendre plus faciles à percevoir ? J'attend d'avoir d'autres avis pour le savoir, et surtout pour te répondre à propos du bonhomme dans le fauteuil rouge :hap:.

pyro29
Niveau 10
03 décembre 2015 à 11:44:12

je met +3 à Mandoulis et +1 à Say

Je me suis bien marrer en lisant vos textes :rire: surtout celui de Mandou c'était complétement WTF

ggiot
Niveau 10
03 décembre 2015 à 15:13:33

Moi je peux aller me faire en***** :hap: !

C'est 3 points pour celui de ton choix et 1 pour les autres :noel:.

Mandoulis
Niveau 27
03 décembre 2015 à 15:21:05

Il est pas obligé de donner +1 aux autres. En fait, vous avez le droit de voter au maximum pour trois textes, mais si l'un d'entre eux ne vous a pas plu, vous n'êtes pas obligé de lui donner des points. De même, si aucun des textes ne mérite selon vous 3 points, vous pouvez toujours donner +1 et +1...

ggiot
Niveau 10
03 décembre 2015 à 16:13:31

Ah bonnnnnnnn ! D'accord alors [[sticker:p/1kki]]

Mandoulis
Niveau 27
03 décembre 2015 à 16:29:58

C'était pourtant très clair dans le premier post du topic :hap:

ggiot
Niveau 10
03 décembre 2015 à 17:12:47

Oui oui en effet, ayant toujours donné +3 +1 +1, j'en avais fait une habitude :noel:.

pyro29
Niveau 10
03 décembre 2015 à 17:46:25

aaaaaah pardon je pensais que c'était seulement un +3 et un +1 bah du coup je rajoute +1 a ggiot :o)) ton texte était bien, même si j'ai préféré mandou et say :noel:

ggiot
Niveau 10
03 décembre 2015 à 21:14:21

Ba quand même :( :noel: !

Arduilanar
Niveau 10
08 décembre 2015 à 22:03:43

+ 3 Mandoulis

Simple et efficace. :hap:
Je ne vois pas trop l'intérêt des noms en cyrillique, comme on ne sait pas les lire ça donne un peu plus de mal pour se remémorer qui est qui. Mais j'ai apprécié. :-)

+1 Ggiot
Comme d'autres l'ont déjà dit, c'est dommage que l'on passe à côté d'une partie de tes références, ça prive ton texte d'une bonne part de son intérêt...

+1 Say
Complètement barré. :hap: J'ai plutôt ri en lisant, mais je dois dire que je suis moins fan de l'absurde et des jeux de mots que du conventionnel.

Bravo à vous trois en tout cas, vos textes étaient très sympas à lire et ça s'est joué à trois fois rien dans mon choix de vote. :-)

Sujet : Arrêt sur Images
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