Il vous reste 24h pour voter ! N'importe qui peut le faire et là les textes sont courts... :p
Je vais tâcher de pas oublier ça demain en rentrant
Bonjour, j'aimerais savoir quand une nouvelle image sera posté pour participer
Demain
MErci bien
Ardui 7
Mandou 5
Taupinet 4
Between 1
une immense surprise
Bon, au moins on resserre l'écart avec le champion
Sérieux les gens, arrêtez de choisir la solution de facilité, vous pouvez pas voter pour moi à chaque fois.
De toute façon la semaine prochaine je ne participe pas, nah.
Allez, l'image de la semaine :
http://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/AVENTURE/corse_gr20/ambiance1.jpg
Comment veux tu que j'écrive autre chose que du carnet de voyage avec une image comme celle là ?
Bah je sais pas, tout le monde sauf toi y arrive.
Et puis le grimoire tu n'as pas participé, il me semble.
On doit prendre toute l'image en compte ou juste le sentier?
Ben non je séchais pour le grimoire nan mais sérieux ça désole de pas pouvoir écrire autre chose =( ça fait trop longtemps que je fais du carnet de route =(
Faudrait jamais se cantonner à un seul genre ou un seul style.
Avant je n'écrivais que des histoires d'elfes. Puis j'ai évolué et j'ai écrit de la fantasy avec des humains.
Mais écrire un texte contemporain et/ou réaliste... Je peux toujours pas.
Bon, je vais poste ce que j'ai écris, j'arrive pas à faire mieux pour le moment... Bonne lecture à vous, j'suis encore assez novice dans la matière
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Le voyage avait été long. Surtout depuis ma fuite, en haillons, des geôles du Baron Van Krahrd. J’étais désormais loin, en Aëlis précisément, un pays réputé pour sa sérénité et ses lieux calmes. J’avais marché depuis des jours sans m’arrêter et la faim me tiraillait, la fatigue se faisait aussi sentir dans mes pauvres guibolles, tremblantes à chaque pas. Je traversai à ce moment un magnifique bois, un léger vent faisait frémir les feuilles émeraude des arbres. Je n’avais jamais vu de feuilles d’une telle couleur, ou du moins d’un vert aussi magnifique que celui-ci.
Une d’elles se posa délicatement dans la paume de ma main droite tandis que la brise me caressait la nuque, toujours en faisant danser ces petits êtres végétaux voyageant libres au gré du vent. Je m’arrêtai un instant pour contempler ce doux endroit, où la lumière du soleil perçait ici et là, à quelques endroits entres les arbres, éclairant de ce fait le seul sentier qui serpentait la forêt. Fut alors venu le temps de reprendre ma route, je soufflai sur la feuille au creux de ma main, lui permettant ainsi de danser avec ses amies. Un sourire se dessina sur mes lèvres, chose qui n’était pas arrivé depuis une bonne décennie...
Finalement, un carrefour s’offrit à moi. Un panneau directionnel, fait en bois (sûrement de l’if vu la qualité du matériau utilisé ainsi que sa couleur particulière) m’indiquait plusieurs lieux. A vrai dire ne connaissant pas vraiment la géographie des lieux je soupirai en regardant sur ma droite. La Nature ou l’Homme avait disposé des rochers en les alignant (en grande partie du moins). Ces pierres étaient envahies par la mousse et les champignons, mais non pas une mousse brune et humide comme j’avais l’habitude de croisé, celle-ci était d’un vert magnifique. Chaque pierre en était recouverte et même l’écorce de quelques hêtres en était recouverte, comme un riche habit, cette mousse habillait les pierres et les arbres comme-ci elle semblait vouloir embellir l’endroit. Il faut avouer que cela réussissait plutôt bien. Je m’avançai vers une pierre, mes bottes s’enfonçant dans la terre et faisant craquer quelques brindilles. Un léger parfum mentholé (dû à la présence de plusieurs pieds de menthe présents dans la zone) enivra mon odorat.
Je m’assis donc sur cette pierre et me mit à soupirer en fermant les yeux. Je me laissai bercer par le bruit du vent, qui faisait toujours danser les feuilles d’un mouvement alanguie. La chaleur des rayons du soleil réchauffait mon être tandis que l’odeur du bois me fit voyager. Lorsque j’ouvris les yeux, un sourire arpentant mon visage, je vis la vallée qui m’attendait et la forêt d’Emeraude se dessinait à l’horizon.
J’étais libre.
C'est le week-end, il fait beau (oui oui, même ici ), et surtout, Ardui est en vacances sans Internet!!!!!
C'est le moment ou jamais d'écrire un texte!
Je te vois, Mandoudou, sale fripouille.
Bon, je n'écrirai jamais rien sur mobile, donc vous pouvez être tranquilles quand même. Mais je vous ai à l'œil.
Euh, bonjour. J'aimerais bien essayer ce petit jeu mais la dernière image datant du 14 Juillet, je pense que j'vais attendre la prochaine ce mardi. Juste une petite question, les points sont additionnés avec celui des précédentes images ou pas ? Et le plus important, on peut noter ses propres textes ?
Le 29 juillet 2015 à 12:31:34 Arduilanar a écrit :
Sérieux les gens, arrêtez de choisir la solution de facilité, vous pouvez pas voter pour moi à chaque fois.
De toute façon la semaine prochaine je ne participe pas, nah.Allez, l'image de la semaine :
http://www.je-mattarde.com/public/RENAUD/AVENTURE/corse_gr20/ambiance1.jpg
La dernière image date du 29 Collateral, c'est celle là
Putain faut que je m'y mette Mais ce sera pas ce soir
Ah merci Between, j'vais essayer d'écrire un p'tit texte tout de suite
Voilà mon petit texte ^^ C'est un peu bizarre mais c'est mon style haha
Johnny, la salamandre
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Tapis dans l’herbe, les yeux fixés sur sa proie, Johnny attends le bon moment pour bondir. La mouche, qui est en train de laver ses pattes, ne se doute de rien. Parfait, il est temps d’y aller, pense le lézard. Johnny fonds sur l’insecte, la gueule ouverte et les pattes en avant. La pauvre victime n’a même pas le temps de se mouvoir qu’elle est déjà dans le gosier du lézard, en train d’être déchiqueté par ses petites dents. Repus, le reptile se repose quelques minutes au soleil, profitant de la chaleur ambiante. Après cela, Johnny prends la route de son domicile. Situé en-dessous d’une grosse pierre, celui-ci est habité par une vingtaine d’autres lézards, dont la famille de Johnny. Les reptiles ont investi les lieux il y a moins d’un mois, leur ancien abri ayant été détruit par les humains. Cet endroit s’était très vite imposé comme un véritable paradis inespéré. Les humains sont peu nombreux, la nourriture est abondante et le paysage est superbe. Johnny observe le soleil. Midi. Il doit se dépêcher s’il ne veut pas se faire engueuler par ses comparses. Il finit par arriver au bercail au bout d’une demi-heure de marche supplémentaire.
-Hello, déclare-t-il. J’ai chassé deux mouches aujourd’hui…
Il s’interrompt lorsqu’il voit la mine de ses compagnons. L’heure n’est pas aux vantardises. Mary, sa femme s’approche de lui, le visage grave.
-Johnn…
-Que se passe-t-il, demande-t-il, soudain inquiet.
Il remarque soudain qu’il manque un lézard. Il s’agit de Jim, son meilleur ami depuis toujours.
-Jim est mort, dit sa femme, essayant d’être la plus calme possible. Il a été écrasé par un humain.
-Non…Pas les humains…On était si tranquille…Pourquoi reviennent-ils toujours…
-Je sais, je sais…Mais Johnny, l’humain est encore là.
Le regard des deux animales se croise. Celui de Johnny est plein de rage tandis que celui de Mary est empli de compréhension. Johnny a une idée.
-Il est où ?
L’humain dort paisiblement sur l’herbe. Son ventre se gonfle au rythme de sa respiration pendant que son nez produit des sons graves. Johnny et sa troupe sont embusqués dans les fourrés, à quelques mètres à peine de là. L’opération peut commencer. Les lézards avancent en file-indienne, menés par un Johnny rempli de haine. Lorsqu’il arrive à une poignée de centimètres du visage de l’humain, il se retourne. Si un lézard veut se désister, c’est le moment. Mais aucun d’eux ne bouge. Tous veulent venger leur ami défunt. Satisfait, Johnny grimpe sur le visage de l’humain et entre dans la bouche de celui-ci, très vite suivit par les autres reptiles. A l’intérieur de l’humain, les lézards croquent tous ce qu’ils peuvent. L’humain se réveille en sursaut et se met à tousser. La panique le gagne lorsqu’il se rend compte qu’il vient d’expulser un lézard et du sang. Il se lève et essaye de se faire vomir mais c’est déjà trop tard. Les lézards ont déjà dévoré la langue de l’humain. Demain, on retrouvera sans doute son cadavre. En attendant, les lézards espèrent vivre en paix pendant quelques temps avant la venue du prochain humain.