Simple question mes amis
Oui.
pas tout le temps
Pas vraiment, l'idée d'une fin de me rassure plutôt
Pas de la mort comme fin de la vie, mais plutôt de la mort de qui je suis. C'est a dire peur de trop changer, en somme.
Le 07 juin 2023 à 22:03:19 :
Pas de la mort comme fin de la vie, mais plutôt de la mort de qui je suis. C'est a dire peur de trop changer, en somme.
j'ai été mort deja trop de fois a ce compte. je suis l'equivalence d'un clone de tenta dans lequel on a implanté sa memoire, j'ai rien a avoir avec ma declinaison originale si ce n'est l'apparence et l'origine
mais encore moi ca va parce que j'ai ma memoire; mais peut-on considerer qu'un amnesique permanent est mort ?
Le 07 juin 2023 à 18:07:26 :
Simple question mes amis
de moins en moins, on va dire que c'est passé de 8/10 en échelle de la peur à 5
c'est pas bien d'usurper l'identité des autres
0 usurpation, on a une référence musicale en commun
dans ce cas ca va
Le 07 juin 2023 à 22:03:19 :
Pas de la mort comme fin de la vie, mais plutôt de la mort de qui je suis. C'est a dire peur de trop changer, en somme.
Tu peux conserver ton individualité tout en traversant le changement, car même si tu changes tu changeras dans la direction que tu auras choisie
Le 08 juin 2023 à 17:19:04 :
Le 07 juin 2023 à 22:03:19 :
Pas de la mort comme fin de la vie, mais plutôt de la mort de qui je suis. C'est a dire peur de trop changer, en somme.Tu peux conserver ton individualité tout en traversant le changement, car même si tu changes tu changeras dans la direction que tu auras choisie
Certes. Ce n'est pas de changer qui m'effraie, mais bien de "trop" changer.
Changer, on le fait à chaque seconde qui passe. C'est comme ça. J'essaie, comme tout le monde, de garder mon individualité au travers de toutes ces métamorphose. Ce qui me tiens, ce qui me lie, c'est mon éthique. Un ensemble de conviction qui me défini. J'ai peur de me rendre compte un jour que j'ai trahi cette éthique, et donc que je me suis trahi moi même.
Si cela arrive un jour, je suppose que la personne qui écrit à cet instant sera morte. Une autre, plus corrompue, aura pris sa place.
Oui parfois, mais elle apporte à la vie une tragédie que je trouve sublime.
Oui et non.
J'ai plein de choses à faire avant de mourir. Aussi mes proches seraient tristes et les parents encore plus.
Non, car je n'ai pas prise sur la mort.
mais en même temps une joie soulagement car on ne souffre plus.
cette parcelle de phrase n'a aucun sens
avec la mort c'est plus le cas vu que c'est la fin
tu es mort, tu ne peux pas "apprecier" une cessation de souffrance, d'où le non-sens.
on peut voir une forme de paix repos éternel dans la mort.
encore une fois, tu es mort, il n'y a rien, il n'y a pas de repos.
c'est comme dire "ca me ferait chier d'etre tué"
non. tu commets une faute par le langage. ce qui te fait chier, c'est le prospect de ne pas continuer à vivre, pas d'etre fait "tué" (mort), auquel cas tu ne peux simplement pas te plaindre, en tant que tué, en tant que mort.
quand Socrates a dit "faut donner un coq à esculape" pour signifier sa gratitude quant à sa mort imminente (il n'est pas encore mort, la minute d'apres si), il exprime un soulagement en etant en vie. si je te prend en embuscade et qu'avec mon revolver je t'en met une dans le crane, tu n'as ni le temps de declarer ton soulagement, ni la possibilité de le ressentir une fois mort.
la joie et le soulagement dont tu parles dont ton precedent post, sont des sentiments terrestres, des sentiments de vivant, ils ne sont trouvables dans aucun autre royaume que celui du vivant; inutile de les chercher dans celui des morts.
sur le pacte que le diable te propose, il n'y a pas de paragraphe en miniature au verso ou en bas de page, il y a simplement des pieges de langage à chaque lignes. des quiproquos, des paradoxes, des non-sens dont l'homme moyen a l'usage - tous exploitables pour te chatier et te prendre ton ame.
et on note que la source de ce soulagement est speculative, cad - que, c'est de t'imaginer hors des affres de la vie qui te soulage, pas vraiment, directement, de t'imaginer mort (tu penses que c'est le cas, mais tu te meprends). c'est ce qu'on appel du daydreaming
Le 07 juin 2023 à 22:03:19 :
Pas de la mort comme fin de la vie, mais plutôt de la mort de qui je suis. C'est a dire peur de trop changer, en somme.
Oui, moi aussi je crois. Mais faut pas trop se stresser avec ça, faut relativiser
Le 07 juin 2023 à 19:35:48 :
Pas vraiment, l'idée d'une fin de me rassure plutôt
Pareil
Mais j'ai peur de la souffrance qui mène à la mort