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Philosophie

Sujet : Jésus contre le christianisme
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Enndof
Niveau 23
24 novembre 2023 à 14:04:44

Je répondais à ton message d'une ligne par une meilleur interpretation de ta citation :

"Il faut rendre à César ce qui est à César, et rendre à Dieu ce qui est à Dieu." Très anarchiste en effet.

Ce que je t'ai repondu c'est que cette phrase est clairement plus enigmatique qu'elle en a l'air voir même que c'est possiblement une simple pirouette pour se sortir d'une situation ou l'on ne souhaite pas reveler ses vrais intentions. C'est pourtant la seule et unique phrase qui soutient la thèse selon laquelle Jésus soutiendrait l'empire romain ou tout du moins qu'il souhaiterait une séparation de la foi et de la politique.

Et je ne suis pas communiste, ni anarchiste, je ne partage pas les idées de la vidéo je les trouve juste suffisamment interressante pour qu'on en discute.

Et si tu regarde bien j'ai écris : "Une vision de gauche, communiste, presque anarchiste du parcours de cet homme." Je parle des biais assumé de l'auteur de la vidéo je ne fais aucun anachronisme. Tout le monde observe les evenements du passé après ses propres oeillères il se trouve que ce sont là les siennes.

Pour finir j'ai d'enormes doutes sur le fait que le genie de Jésus se trouvait là. Ou tout du moins pas seulement.

preptal22
Niveau 8
01 décembre 2023 à 01:51:49

La conclusion on la connait :

- Vous n'avez jamais été de vrais chrétiens

- Votre histoire et votre culture ne sont pas votre histoire et votre culture

- Tout le monde est aussi, si ce n'est + légitime que vous à s'installer sur la terre de vos ancêtres, à se l'approprier et à vous chier dessus.

ça se termine toujours plus ou moins comme ça.

On sait depuis Pascal que la vie sociale est structurée par des mythes qui en entourent chaque dimension, vouloir détruire ces mythes ne nous amène pas vers une société plus rationnelle ou meilleure, elle nous amène juste vers le chaos et le repli identitaire généralisé.

Enndof
Niveau 23
01 décembre 2023 à 08:39:32

Non, ce n'est pas le propos de la vidéo.

Içi on est face à un anarchiste qui souhaite demontrer, après un portrait élogieux, que Jesus n'aurait pas voulu qu'il y ait d'Eglise. Que l'eglise est une simple continuation de la hierarchie hérité de l'empire romain. Il ne croit probablement pas au gr*nd re*placement comme tu le dis mais ce n'est pas ce dont il souhaite parler içi.

Je te laisse au moins lire le resumé si tu as la flemme de regarder l'heure complète: https://textup.fr/747582KI

EcstraMDR
Niveau 56
03 décembre 2023 à 11:19:45

J'ai pas vu la vidéo mais le mystique est anarchiste.

La création de l'église en sorte de sanctuaire verticale est tout sauf mystique.

Le mystique n'a que Dieu en maître et comme croyance, comme foi même. Les pays n'ont aucun sens pour le mystique, le véritable religieux.

Le mystique est cosmos politas, citoyen du monde

Le mystique n'est d'aucune religion. Aucun dogme.

Le mystique n'a pas d'église. Le mystique est de la grande église, ou éventuellement de toutes les églises.

Le Christ en tant que mystique n'est d'aucune religion. Et n'est dont pas chrétien.

J'ai pas vu la vidéo mais peut-être qu'il dit ça. C'est ma croyance, ma foi, ma vision du monde.

Le mystique EST anarchiste. Et peut-être qu'on peut faire dans l autre sens l anarchiste est mystique. Mais bon y a des anarchistes pas bien construit, qui n'ont pas été assez loin dans la mystique, la métaphysique, la spiritualité, l'existence, l'être, le monde, la vie. Genre y en a qui se disent matérialiste, wtf...

Jesus est anarchiste en tout cas c'est sur. Et c'est un des plus grands mystiques de l'histoire. Cqfd.

Enndof
Niveau 23
03 décembre 2023 à 11:32:54

Vous avez vraiment des problèmes.

Lisez le resumé que je me suis pris la tête à créer lol :

Dans cette section de la vidéo, le conférencier aborde la relation entre la France et le christianisme, ainsi que la vie et l'héritage de Jésus-Christ. Selon lui, la France n'a jamais été véritablement chrétienne, mais la pratique du christianisme en France a été utilisée à des fins de domination. Le conférencier soutient que l'histoire de Jésus-Christ a été détournée et corrompue pour servir cet objectif. Il souligne également qu'il existe de nombreuses interprétations différentes de la vie et des enseignements de Jésus-Christ, et que son exégèse personnelle de l'histoire de la France et du christianisme sera subjective et susceptible de contenir des erreurs. Malgré cela, le conférencier promet de fournir un compte rendu fascinant et approfondi de l'histoire de la France et du christianisme, ainsi que de l'influence de Jésus-Christ sur les deux.

Dans cette partie de la vidéo YouTube, le conférencier aborde le contexte historique dans lequel Jésus a vécu. Il mentionne que Jésus a été arrêté et crucifié, et que ses premiers adversaires étaient romains ou juifs. Le conférencier soutient que les Romains auraient exploité Jésus à des fins personnelles, tandis que les Juifs auraient moqué le culte de Jésus par la communauté chrétienne. Malgré cela, le conférencier suggère que Jésus était probablement une figure historique et que son existence a eu un impact significatif sur l'histoire. Il évoque le fait que l'authenticité de nombreux récits historiques sur Jésus, y compris ses enseignements, sa mort et sa résurrection, et sa relation avec les autorités romaines et juives, fait toujours l'objet de débats aujourd'hui.

Dans cette section, la vidéo aborde le temple de Jérusalem à l'époque de Jésus-Christ et les rôles des différents groupes à l'intérieur. Le grand prêtre de l'époque, Joseph Caïphe, était un homme corrompu et riche qui avait été nommé en raison de l'influence de sa famille plutôt que de ses mérites. Le temple n'était pas unifié, avec différents groupes tels que les Sadducéens, les Pharisiens, les Esséniens et les Zélotes ayant des croyances divergentes et étant parfois en désaccord les uns avec les autres. Les Esséniens, par exemple, étaient une communauté spirituelle récemment formée vivant en dehors de Jérusalem et du temple. Ils rejetaient le monde et menaient une vie de pureté et de rituel. Jésus-Christ est également né pendant cette période en Palestine, et ses enseignements et son message étaient en contradiction avec le pouvoir romain dominant. La vidéo aborde également les différentes interprétations des récits bibliques de la vie de Jésus et les diverses croyances concernant ses antécédents familiaux et son lieu de naissance.

Dans cette partie de la vidéo YouTube, le conférencier discute de la vie précoce de Jésus-Christ. La vidéo s'intitule "JÉSUS CONTRE LE CHRISTIANISME" et est disponible sur la chaîne "La 7eme Jour". Le conférencier aborde divers sujets liés aux antécédents, à l'éducation et aux croyances de Jésus-Christ. Il est probable que Jésus-Christ parlait couramment l'araméen, une langue couramment parlée en Syrie et dans les environs. La langue hébraïque était également utilisée dans des contextes et des textes religieux. Le conférencier mentionne que Jésus était probablement familiarisé avec la langue hébraïque et aurait pu l'utiliser ainsi que l'araméen. Lorsque Jésus est né, il a été circoncis et a participé à une présentation au Temple, un événement traditionnel conforme à la coutume juive. Lorsque Jésus a été entouré de dirigeants religieux le questionnant, ils ont été impressionnés par son intelligence et ses réponses. Le conférencier rapporte que Jésus n'était ni célibataire ni sans enfants à l'âge de 30 ans, ce qui est inhabituel pour quelqu'un de sa culture. Cependant, le conférencier mentionne que Jésus était non conventionnel et vivait et parlait comme faisant partie du monde, plutôt que de s'en retirer. Jésus-Christ rencontra également Jean le Baptiste sur les rives du Jourdain, où Jean menait des baptêmes. Jean était un prophète qui encourageait les gens à suivre un chemin de droiture et de justice, se référant souvent au baptême comme un symbole d'engagement envers ce chemin. Jésus accepta d'être baptisé par Jean, démontrant son adhésion au message de Jean. Le conférencier aborde certaines des prophéties de Jean le Baptiste, dont une faisant référence à la venue d'une figure messianique nommée Élie. On croyait qu'Élie était le précurseur du Messie, le sauveur tant attendu du peuple juif. Jean le Baptiste était familier avec ces prophéties et pouvait se considérer comme répondant à certaines de leurs exigences. Jean le Baptiste fut arrêté et finalement exécuté pour sa rébellion contre le gouvernement, qui le considérait comme une menace pour son pouvoir. Jésus poursuivrait le message de Jean le Baptiste et son propre message d'amour et de pardon. Le conférencier conclut cette section en notant que Jésus-Christ était une figure unique en son temps, avec ses croyances différentes et son mode de vie. Il vivait et parlait comme faisant partie du monde et cherchait à en faire partie, plutôt que de s'isoler.

Dans cette section, le conférencier critique la logique des actions des Pharisiens dans la Bible. Selon lui, l'objectif principal des Pharisiens est de suivre les traditions humaines plutôt que les commandements de Dieu. Le conférencier soutient que suivre les traditions humaines mènera au salut, mais les commandements de Dieu sont d'une importance capitale. Il explique que Jésus respectait le commandement de Dieu et négligeait les lois humaines, soulignant que seul Dieu peut purifier et pardonner le péché chez une personne. Le conférencier mentionne ensuite comment Jésus transgresse les lois pour montrer la miséricorde et le pardon par l'exemple, comme guérir le jour du Sabbat et aider les lépreux. Il souligne également que Jésus pardonne aux personnes adultères et n'est pas déçu par les femmes, ce qui contraste avec les normes sociales de l'époque. Enfin, le conférencier parle de la façon dont le rejet de Jésus par la société et le système légal était malheureux, mais cela a permis à son message de se répandre à un public plus large. Malgré les turbulences causées par Jésus, son message d'amour et de pardon est universel et continue d'inspirer les gens aujourd'hui.

Dans cette section de l'extrait, il est discuté de la manière dont Jésus rejetait les hiérarchies telles que les prêtres et les autorités romaines, et promouvait plutôt l'égalité parmi ses disciples. Il affirmait qu'ils étaient tous frères et devraient se traiter mutuellement avec amour. Jésus reconnaissait et acceptait également certains titres comme "Christ", qui pourrait être traduit par "Messie" ou "Oint", mais il n'approuvait pas d'être appelé "Rabbi", ce qui signifie "maître" ou "enseignant". Malgré les accusations et les arrestations, Jésus restait ferme dans ses enseignements et refusait de les compromettre.

Dans cette section de la vidéo, le conférencier aborde l'émergence du christianisme à la suite de la crucifixion et de la résurrection de Jésus. Il examine les différences entre Jésus, le Messie ou le Christ attendu, et la manière dont il n'a pas chassé les Romains de la Judée. Le conférencier note que l'idée d'une nouvelle religion a émergé de la résurrection de Jésus et des Actes des Apôtres, un texte attribué à Luc écrit entre 80 et 90 après Jésus-Christ qui suit les Quatre Évangiles du Nouveau Testament. La vidéo se concentre sur l'histoire de la séparation entre la foi chrétienne et le judaïsme, en mettant particulièrement l'accent sur les figures de Pierre, Paul et les lettres de Paul. Le conférencier aborde également la relation entre Jésus et Paul ainsi que les différents points de vue sur la résurrection. La vidéo continue à explorer le paradoxe du christianisme, qui allie une aspiration à la liberté et une vision du message, mais avec un potentiel de violence et de cruauté similaire au communisme et à d'autres régimes oppressifs.

Dans cette partie de la vidéo YouTube, le conférencier discute des opinions de Jésus sur le jugement des autres et l'adultère. Il souligne que Jésus ne jugeait jamais les gens en fonction de leur comportement sexuel ni ne péchait de quelque manière que ce soit, ce qui diffère des normes modernes. Le conférencier aborde également le fait que Jésus n'approuvait pas le mode de vie pécheur des scribes, des pharisiens et de la femme surprise en adultère, et souligne que Jésus avait une vision libérale de la sexualité contrairement à la pensée conservatrice de l'époque. Le conférencier compare les enseignements de Jésus sur l'adultère à l'accent mis sur la pureté sexuelle dans l'Église primitive, et affirme que Jésus croyait en une vie sans culpabilité ni honte.

Dans cette section, le conférencier aborde les différences entre Jésus et la religion chrétienne. Selon lui, Jésus n'est pas misogyne et encourage l'égalité entre les hommes et les femmes. Il enseignait également contre l'accumulation de richesses et mettait en garde contre l'influence des personnes puissantes. Le conférencier préfère les enseignements de Jésus par rapport à ceux de l'Église.

Dans cette section, le conférencier discute du concept de christianisme et de sa relation avec les enseignements de Jésus-Christ. Il soutient que les chrétiens interprètent souvent les enseignements de Jésus pour justifier leurs propres pratiques et croyances, plutôt que de comprendre le message véritable de Jésus. Le conférencier mentionne la phrase "on connaît l'arbre par son fruit", ce qui signifie que l'on ne peut pas juger un arbre par son fruit. Il suggère que les actions des chrétiens, et non leurs paroles, sont ce qui importe vraiment pour Jésus. Le conférencier estime que Jésus ne cherchait pas à créer un culte autour de sa personne, mais plutôt à prêcher ses enseignements et à encourager ceux qui écoutaient à les comprendre et à agir en conséquence. Le conférencier note également que le concept d'autorité et de hiérarchie n'est pas soutenu par les enseignements de Jésus dans la Bible. Au lieu de cela, Jésus rejetait ces idées et encourageait ses disciples à écouter son message et à le comprendre par eux-mêmes. Le conférencier utilise l'exemple de Jean-Jacques Rousseau, un philosophe qui a rejeté l'autorité des églises catholique et protestante au XVIIIe siècle. Rousseau est considéré comme l'un des plus proches de l'approche de Jésus en matière d'égalité et de fraternité. Le conférencier suggère que le véritable christianisme vient non pas des structures institutionnelles de l'Église, mais de la compréhension et de la pratique individuelles des enseignements de Jésus. Il encourage les chrétiens à se concentrer non pas sur leurs propres traditions et croyances, mais sur la véritable compréhension du message de Jésus et sur la mise en pratique significative de leur foi.

Dans cette section, le conférencier discute de l'idée de la non-violence et de son lien avec le christianisme. Il cite l'exemple de la vision anarchiste et pacifiste de Léon Tolstoï sur la non-résistance au mal, comparée à l'institution chrétienne. Les opinions de Tolstoï sont considérées comme une représentation plus authentique des enseignements de Jésus. Le conférencier soutient que l'Église s'est éloignée des principes de Jésus, et que l'idée de non-violence par l'amour et l'exemple de Tolstoï représente une forme plus authentique de la pensée chrétienne. Le conférencier discute également de l'histoire biblique d'Ananias et Sapphira, qui montre les conséquences négatives du mensonge et de la résistance aux enseignements de Jésus. Dans l'ensemble, le conférencier est critique envers l'Église et ses enseignements, affirmant que les véritables valeurs chrétiennes se trouvent dans l'insistance de Tolstoï sur la non-violence et l'amour.

Dans cette section, le conférencier aborde l'idée selon laquelle le christianisme est une hiérarchie qui cherche à contrôler et opprimer les autres spirituellement. Il argue que les enseignements de Jésus sont diamétralement opposés à cette hiérarchie et que les églises chrétiennes ont négligé la sagesse de ces enseignements. Le conférencier passe ensuite à discuter de l'histoire de Mohamed Ali El Saman, un fermier égyptien qui a découvert un trésor enfoui contenant des textes d'une bibliothèque gnostique qui jettent une nouvelle lumière sur les enseignements de Jésus. Le conférencier affirme que ces textes révèlent des aspects importants des enseignements de Jésus qui ont été oubliés ou ignorés par l'Église chrétienne, y compris son statut de troubadour et sa relation avec son amante et disciple, Marie-Madeleine. Le conférencier conclut en soutenant que le christianisme doit être réexaminé et rejeté pour comprendre véritablement les enseignements de Jésus.

FIN

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Niveau 9
03 décembre 2023 à 14:00:18

Il est évidemment plus facile, à partir de la façon dont Il est présenté dans les Évangiles, de faire du Christ un gros gauchiste qui remet en question les valeurs et les hiérarchies traditionnelles que d'en faire un défenseur de l'ordre, des valeurs familiales et traditionnelles, de la pureté ethnique et de la bonne conscience conservatrice.
Mais il est en même temps très compréhensible que des institutions historiques, quelque révolutionnaire que puisse être leur première impulsion, finissent, ne serait-ce que pour continuer d'exister au cours des siècles, par développer un certain nombre d'aspects conservateurs.
Un chrétien de droite c'est à peu près aussi contradictoire qu'un nietzschéen de gauche mais ça l'est peut-être moins que l'idée même d'une institution révolutionnaire.

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Niveau 9
03 décembre 2023 à 14:15:11

J'ai écouté le propos de l'ami Pacôme à sa sortie il y a quelques semaines, je ne le referai pas tout de suite mais j'en retiens tout de même une interprétation possible d'un passage qui me semble, sinon juste, du moins défendable et à laquelle je n'avais pas pensé, de Matthieu 5:28.

Eh bien, moi je vous dis : tout homme qui regarde une femme pour la désirer a déjà commis l'adultère avec elle dans son cœur

Ce passage est souvent l'occasion d'une interprétation du christianisme comme un rigorisme moral extrêmement dur qui place la condamnation non pas dans l'acte réel mais dans la pure intention voire dans la pure imagination. Mais en effet, si l'on remet en perspective ce texte avec Jean 8:7 dans lequel Jésus invite les hypocrites désireux de lapider une femme adultère à ce que celui qui soit sans péché jette la première pierre, alors nous pouvons l'interpréter non comme une déclaration d'un rigorisme fou qui devrait traquer le péché jusque dans les moindres pensées vagabondes mais comme l'affirmation que nous sommes tous suffisamment proches du chaos érotique de la condition humaine pour être d'une grande clémence à l'égard des égarements de nos frères.

Enndof
Niveau 23
03 décembre 2023 à 14:58:26

Oui ce passage m'a aussi semblé très interessant.

Après les contre arguments que j'aurais à lui proposer ce serait que Jésus ne semble pas être presenté comme êtant "contre" la tradition dans les évangiles.

Et que même s'il s'abstient de juger il n'est pas pour autant pour une sorte de relativisme moral. J'ai plutôt l'impression qu'il nous fait confiance pour savoir ce qui est bon au fond de nos coeur.

Il n'est pas pour l'adultère, il doute du fait que flageller une femme adultère soit le meilleur moyen qu'elle se rendent compte d'elle même de ce qui est bon pour elle et pour les autres.

Donc je ne le mettrait pas dans le même sac que les lao tseu et autres mystique purement amorale.

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Niveau 9
03 décembre 2023 à 15:09:28

En effet, et c'est bien pour cela que je dis que cette interprétation invite à la clémence face aux égarements de nos frères et non à la relativisation morale. Le Christ ne dit pas que tout se vaut mais que personne n'est suffisamment étranger à la coexistence de désirs contradictoires en lui-même pour se faire le juge des autres. Interprétation largement corroborée par la parabole du Pharisien et du Publicain qui prient au temple.

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Sujet : Jésus contre le christianisme
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