Salut tout le monde.
Suite à quelques demandes et aux inconvénients que comportait l´ancien topic, je vais réécrire toute l´histoire de tous les hitmans.
Certains détails comme la chronologie du récit ainsi que certains passages sont plus ou moins inventés ( si peu), bien qu´il y ait eu plusieurs débats sur le sujet et que les solutions les plus plébiscitées aient été choisies.
Pour rendre à César ce qui appartient à César, j´affirme que bons nombres de passages sont très largement inspirés ( et même parfois copiés), de ce qu´a écrit Bro3886 ; que je remercie au passage. On pourrait aussi citer des personnes comme Tyydus, Party_Boy357 et d´autres, qui ont, directement ou indirectement, beaucoup aidés à la réalisation de ce topic.
Voila! J’espère que ce récit, un peu long, répondra aux exigences de chacun, et si vous avez des suggestions, n´hésitez pas.
PS: N´écrivez surtout pas après ce message, il faut que je mette le récit, question de mise en page.
Ce qui va suivre est tiré du journal du Docteur Ort-Meyer, journal qu’il a tenu au cours de nombreuses années d´expérience sur le clonage, dans un asile, en Roumanie….
5 Septembre 1964: Série 4. Le clone 47 a été extrait de sa chambre d´incubation sans problème.
L´examen médical préliminaire a révélé que le clone est absolument parfait.
On lui a attribué le numéro 640509-040147,
qui lui a été tatoué derrière le crâne comme le veut la procédure.
21 Août 1970: 47 répond très bien à la formation initiale et semble apprendre à une vitesse impressionnante.
Il est très calme en société et communique peu,
bien qu´il observe tout ce qui l´entoure avec attention.
Il a récupéré un lapin de laboratoire qui s´était enfui récemment.
L´équipe l´a autorisé à le garder et 47 n´éprouve de l´affection que pour cet animal.
13 Décembre 1971: 47 a mordu l´un des médecins qui l´examinait lors d´un examen de routine.
Il s´entend bien avec le personnel,
mais il craint celui du corps médical.
J´ai ordonné qu´un garde l´accompagne pendant la prochaine visite médicale.
10 Avril 1972: différents vaccins ont été inoculés aujourd´hui à tous les clones de la série 4.
Nombre de ces clones, dont 47, ont paniqué en voyant l´aiguille et résisté au médecin.
Deux des membres les plus costauds de l´équipe ont dû maîtriser 47
pendant qu´on lui faisait l´injection.
J´espère que ce genre d´incidents ne se reproduira pas.
12 Janvier 1975: un code-barres a été ajouté au tatouage que portent les clones derrière le crâne
pour pouvoir les identifier automatiquement.
Des scanners ont été installés dans des endroits stratégiques du laboratoire.
Nous pouvons ainsi savoir facilement où se trouvent nos garçons.
8 Février 1978: durant la dernière période d´observation,
quelques clones se sont démarqué et ont prouvé qu´ils avaient des capacités exceptionnelles.
L´un d´eux, 47, est toujours attentif en cours et semble être le plus vif.
Il ne cesse d´impressionner les instructeurs pendant les entraînements physiques et,
malgré son jeune âge, c´est un tireur d´élite hors pair. On m´a rapporté que le personnel lui a confisqué des frondes
et autres engins à plusieurs reprises.
15 Mai 1984: l´un des médecins a été gravement blessé au cours d´un examen sanguin de routine sur 47.
Le garde qui l´escortait n´a pas été attentif
pendant un moment et on a retrouvé le médecin inconscient,
plusieurs aiguilles plantées dans son bras. 47 était singulièrement calme après l´incident.
Il a été escorté jusqu´à ses quartiers sans opposer de résistance.
Au cours de l´interrogatoire,
le garde a expliqué que tout s´était passé très vite et qu´il n´avait pas réussi à arrêter 47 tout seul.
Deux gardes accompagneront désormais 47 lors des visites médicales.
16 nov. 1987 : Aujourd´hui, l´un des légionnaires chargés de surveiller l´exercice de tir
m´a rapporté un incident concernant les capacités au tir de 47.
L´exercice n´étant apparemment pas assez difficile à son goût,
47 s´est mis à dessiner des figures en tirant sur les cibles, des " smileys"
selon la description de l´instructeur.
Sa précision était parfaite, mais son esprit ailleurs. Il y a encore du boulot !
5 sept. 1989 : Aujourd´hui, nous fêtions le 25e anniversaire de 47.
Bien sûr, il n´en avait pas conscience, mais plus intéressant encore,
il a mis de côté ses manières puériles pour finalement se comporter en homme.
Cela augure du mieux pour mes plans : il semble évoluer en parfaite adéquation avec les intentions de son créateur.
8 juill. 1993 : 47 a brillamment suivi les cours d´entraînement que nous avions à lui proposer.
Selon moi, il est prêt à de plus importantes tâches. Les grandes lignes de mon plan se dessinent,
et tout est prêt désormais pour la phase finale...
Ainsi s’achève le journal du Dr Ort-Meyer….
Histoire « pré-hitman » :
-Lee HONG
-Pablo Belisario OCHOA
-Frantz FUCHS
-Arkadij JEGORDV ( alias Boris)
-Otto ORT-MEYER
Ces cinq hommes furent engagés dans la légion étrangère française, vers les années 50.
Performants, ils furent chacun affectés à un programme de recherche sur le clonage, c´est là qu´ils se rencontrèrent.
Le centre de recherche fut découvert par les ennemis, et entièrement détruit, mais les cinq hommes parvinrent à s´enfuir, et tous se firent un nom dans la pègre de leur pays respectif.
Tous, sauf Ort-Meyer, qui se réfugia en Roumanie et qui continua ses propres recherches sur le clonage, également financées par ses anciens collaborateurs, en prenant pour couverture un asile d´aliénés.
Au fil des années et des nombreux clonages, il arriva enfin à la perfection avec le 47 ème clone. Ce clone était parfait: excellent tireur, immunisé contre toutes les maladies au monde, et un tueur surpuissant. Le seul défaut était qu’il était peut être trop humain, pas assez docile. Mais cela n’enlevait rien à sa qualité de tueur-né, littéralement.
Ce clone était créé à partir des cellules souches de chacun des collaborateurs.
Ainsi, selon Ort-Meyer, « 47 possède les qualités de chacun, sans les défauts ».
Ort-Meyer projetait de se créer une armée invincible de clones 47 pour pouvoir dominer la mafia du monde entier ( et peut être même le monde tout cours).
Malheureusement, ses anciens collaborateurs ( Hong, Ochoa, Fuchs et Jegordv) exercèrent des pressions sur le Doc Ort-Meyer. Cela ennuyait pas mal le professeur qui était bien trop égoïstes et voulait profiter seul de ses clones. La seule solution était d’éliminer ces collaborateurs trop encombrants. Mais ils étaient chacun mieux protéger les uns que les autres. Seul un tueur exeptionel pourrait les éliminer.
Ort-Meyer eut alors une idée géniale….
Hitman : codename 47 ( 1993)
47 à alors 29 ans ou plus, il est né le 5 septembre 1964.
Ort-Meyer rendit 47 amnésique, et il le fit évadé de l´asile. Ensuite il le fit découvrir par l´Agence internationale de tueurs à gages, un an plus tard, à Hong-Kong.
Anonymement, en statut de client de l´Agence, Le Doc fit exécuter les meurtres de ses collaborateurs par 47, car il savait que 47 n´échouerait pas. Tout a parfaitement marché, les collaborateurs étaient maintenant tous morts, grâces aux contrats plus ou moins difficiles réalisés par 47.
A présent Ort-Meyer avait le champ libre pour dominer le monde.
Quoique, il restait encore un obstacle, et de taille: 47 lui même. Ort-Meyer ne pouvait se permettre de le laisser en liberté, se serait trop dangereux.
Ort-Meyer, toujours par l´intermédiaire de l´agence, décida donc d´envoyer 47 en mission suicide. Apparemment c´était une mission bateau: assassiner un certain Dr Odon Kovacs, médecin à l´asile d´où 47 s´est échappé voila maintenant un an, en Roumanie. 47 tombe dans le panneau, à peine rentré dans l’asile, anonymement ; le réceptionniste appelle les forces spéciales commando, en prétextant que 47 est un fou qui perd les pédales ( ben oui, c’est un asile, astucieux ! ). Mais 47, après avoir tué sa cible Odon Kovacs ; parvient à s´en sortir en zigouillant tout le monde, notamment une armée de 48, une variante de 47 mais en plus docile.
A la fin, 47 se trouve dans une petite salle, devant Ort-Meyer. Ce dernier croit voir un 48 qui revient victorieux. 47 lui tire une balle dans le ventre. Ort-Meyer agonise en disant ces derniers mots ( en référence au fait qu’il ait prit 47 pour un 48) : « Je ne reconnaît même pas mon propre fils. Tu me brise le cœur mon fils » puis 47 lui explose les cervicales à la main….
Fin de Hitman 1. ( 2000), et début de Hitman : contracts.
Hitman : contracts ( 2000)
L’action débute juste après l’assassinat d’Ort-Meyer.
47 doit quitter l’asile, tandis que les commandos sont partout.
Bon, il y arrive tant bien que mal en se barrant avec la bagnole du Doc.
A ce moment, 47 est complètement bouleversé. Il vient en effet d’apprendre au cours de la mission à l’asile qu’il n’est qu’un simple clone, né d’une manipulation génétique.
Il ne se sent pas humain et décide donc de continuer son boulot de tueur à gages à l’agence, étant plus froid, plus cruel, cynique et inhumain que jamais.
Dorénavant, il ne tuera plus pour vivre, mais vivra pour tuer.
Il accomplira donc divers contrats, tels que l’assassinat d’un maffieux de la boucherie, l’assassinat de Fabian Fuchs ( le frère de Frantz Fuchs, un des créateurs de 47) ainsi qu’un commandant véreux dont 47 détruit le local de création de bombes salles, l’assassinat d’un lord anglais et de son fils ( Les Beldingford), et le meurtre d’un chef de gang de motards.
Puis un jour, 47 doit effectuer dans une même soirée le meurtre de trois personnes, à Paris : un ténor, un ambassadeur, et le chef de la police Albert Fournier.
Mais la soirée tourne au vinaigre : 47 réussit à buter ces deux premières cibles, le ténor et l’ambassadeur ; mais la dernière cible, Fournier, était au courant de la tentative d’assassinat envers sa personne.
47, entre dans un hôtel miteux, croyant pouvoir tuer sa dernière cible, mais tombe dans un guet-apens et il se prend une méchante bastos dans le bide.
Tant bien que mal, 47 réussit à se réfugier dans une chambre vide de l’hôtel.
Mourrant et fiévreux, il délire à moitié et se souvient de ses contrats précédents, aussi bien du premier hitman ; que de contrats ultérieurs à l’épisode l’asile, dans un ordre pas du tout chronologique.
Heureusement, un médecin de l’Agence sauve 47 en lui enlevant la balle et en lui faisant un piquouse de morphine.
Mais pendant ce temps, Fournier a encerclé l’hôtel, et le GIGN et la police fouillent toutes les chambres.
Encore une fois, 47 réussit à s’en sortir ( balèze!) et réussit même à buter Fournier ( toujours très pro ce 47) puis à atteindre l’aéroport Roissy Charles de Gaulle.
Dans l’avion, 47 est déboussolé, cette balle lui a fait acquérir une très grande prise de conscience.
En effet, il vient de flirter avec la mort et à découvert l’importance de la vie.
Il découvre qu’il a des sentiments humains maintenant, car c’est vrai qu’il n’est qu’un clone, mais un clone si parfait, et identique en tous points à un homme, il est donc en fait un véritable homme, à la différence près qu’il n’est pas venu au monde par une mère mais par une chambre d’incubation.
Il se méprenait sur sa propre personnalité en croyant qu’il n’était qu’une machine à tuer.
D’un coup sa vie vient de prendre un tournant et ses anciens meurtres le dégoûtent et l’obsèdent.
Il a besoin de foi, de religion pour faire un trait sur son passé.
Pendant que 47 se pose ces questions existentielles, dans l’avion, Diana Burnwood, son intermédiaire avec l’Agence, lui fait part de plusieurs rapports.
En effet, depuis quelques temps la trop grande popularité de 47 devient dangereuse pour l’Agence.
47 étant connu dans le monde entier de la pègre, tout le monde se l’arrache à prix d’or.
Mais 47 fait très peur. Tous les maffieux craignent qu’un jour un de leurs concurrent ne leur envoie 47 pour un ultime entretient.
Et, chose extraordinaire, désormais les trois quarts des demandes de contrats que reçoit l’Agence sont destinés à tuer 47 lui-même !
L’Agence étant devenue la firme de tueurs à gages la plus connue au monde, grâce bien sur à l’efficacité de 47 ; a tellement de pouvoir qu’elle refuse de tuer 47 ( si le tuer serait possible).
L’inconvénient est que dès lors, les principaux allier de l’Agence, tels que la CIA, le MI5 le MI6, la DGSE etc…décident de la lâcher.
Diana propose alors à 47 de faire une mission pour simuler sa propre mort, il pourrait ainsi continuer son métier à travers un autre nom puisque personne ne connaît son visage ( sauf Diana où ses précédentes victimes). Diana lui propose même une importante somme d’argent.
Mais 47 estime que se serait infaisable, on reconnaîtrait son style dans ses prochains meurtres. Il refuse.
Et de toutes façons, ayant découvert le goût de la vie, 47 fait part à Diana de son souhait de quitter définitivement l’Agence, et de disparaître aux yeux du monde.
Diana, beaucoup redevable envers 47 pour le prestige qu’il a fait prendre à l’Agence, accepte, et 47 lui fait froidement ses adieux…..
Fin de Hitman : contracts ( 2001).
Hitman 2 silent assassin ( 2002)
47 est devenu très croyant. Cela fait maintenant plus de un an qu’il est jardinier dans une charmante petite chapelle du domaine de Gontrano près de Palerme, en Sicile.
Il mène une vie heureuse sous le soleil sicilien, et sa foi le protège de ses démons et met un trait sur son passé de meurtrier.
D’ailleurs, tout son argent, acquis au cours des années de contrats à l’agence, est passé dans la restauration de l’église ; et 47 est devenu très ami ( son premier ami) avec le curé du sanctuaire : le père Vittorio.
Mais pendant ce temps, Sergueï Zavoratko ; le frère de feu Arkadij Jegordv, un des créateurs de 47 ; mène des recherches sur les anciennes activités de son frangin.
Il met ainsi à jour les opérations sur le clonage menées anciennement par Otto Ort-Meyer, opérations qu’entretenait financièrement Jegordv.
Les recherches de Zavoratko le menèrent tout droit au fameux asile en Roumanie.
Là, il assiste au macabre spectacle de tous les cadavres tués par 47 voilà maintenant deux ans.
Sur une cassette de vidéosurveillance, Zavoratko assiste au massacre de 47.
Il est subjugué par la puissance de tueur de 47. Il reconnaît le style d’un tueur dont tout le monde de la pègre parlait depuis des années.
Avant il pensait que ce tueur n’existait pas vraiment, que c’était une légende, mais en l’occurrence, le doute n‘était plus permis, il y avait une preuve.
Sergueï Zavoratko, comme tout bon criminel qui se respecte, avait pas mal d’ennemis et de collaborateurs encombrants. Et ces cibles étaient toutes très retorses. 47 était donc la solution toute trouvée.
Zavoratko fait par de son souhait d’utiliser les compétences de 47 à son homme de main.
Ce dernier, qui connaissait bien l’histoire de 47, lui dit que depuis un an, 47 n’avait donné signe de vie à aucun endroit du globe. Selon lui, 47 pouvait être mort.
Zavoratko, tenace, mène quand même des recherches sur 47.
Très rapidement, Zavoratko repère 47 en Sicile.
Il a alors un plan. Il veut enlever le père Vittorio, le seul ami de 47, pour que ce dernier soit obligé de reprendre du service pour retrouver Vittorio. Ensuite, Zavoratko ferait exécuter ses contrats, par l’intermédiaire de l’Agence, par 47, peinard. Excellent plan !
C’est donc ce qu’il fit.
Zavoratko oblige la maffia locale, la Cosa Nostra, dirigé par Don « Anguillio » Guilliano, a capturé le père Vittorio, en l’échange d’une rançon de 500 000 mille dollars.
47 ne possédant plus cet argent, fut obligé de reprendre du service à l’agence.
Par la suite, Zavoratko, par l’intermédiaire de l’agence, fait réaliser des contrats par 47.
De son coté, 47 essaye de retrouver Vittorio, mais en vain.
A présent, Zavoratko avait finit son ménage. Mais pour ne laisser aucun témoin de ses activités, il fallait maintenant éliminer 47 lui-même.
Zavoratko réussit à ranimer un 17, clone du même genre que 47, et il l’engageât pour faire appât puis éliminer 47.
De plus, Zavoratko demanda à l’Agence d’envoyer 47 à une mission bidonnée, à St PetersBourg, une mission-suicide. Et l’Agence accepte, trahissant ainsi 47.
47 n’y voit que du feu, mais il parvient à s’en sortir en tuant 17.
Zavoratko se réfugie alors avec le père Vittorio en otage, dans l’église de Vittorio justement.
47, exedé de s’être fait trahir et manipulé, déboule dans l’église et zigouille tout le monde, dont Sergueï Zavoratko.
Le prêtre le remercie pour l’avoir sauvé et offre à 47 un chapelet.
Ce dernier accepte le crucifix, mais il veut fuir l’église, et en sortant, il s’en sépare.
47 est complètement perdu. Il s’est fait manipulé et trahir par tout le monde, même par l’Agence qui est pourtant son allier de toujours.
Il n’est plus croyant, il n’a plus la foi.
Désabusé, il veut « faire sa propre justice, chercher sa propre vérité »……
Fin de Hitman 2 sillent assassin……..
La suite dans Hitman 4 Blood Money……
( Sources : les jeux Hitman : codename 47, hitman 2 sillent assassin, Hitman : contracts ; les sites web relatifs à ces jeux ; et le topic de Bro3886.)
super l´extrait du journal du savant fou , tu la trouver ou ?
Merci. L´extrait je l´ai eu sur le site de Hitman 2 je crois.
ah bon en tout cas c une trés bonne idée que d´inclure le journal intime dans ton topic
Merci.
D´autres réactions? Ques tant pense Bro ?
Je pense que Bro ne vient plus
En tout cas moi je trouve ce topic parfait
@++
Merci.
C vrai que Bro on le voie plus trop souvent.......
Si je comprends bien, Hitman Blood Money serait finalement Hitman 3?
Etant donné les évènements, ça serait crédible.
Vu que Contracts ne suivait pas Silent Assassin, ce serait normal que Blood Money devienne le VRAI Hitman 3.
Quoiqu´il en soit, excellente idée que ce topic
L´histoire d´hitman est compliqué :oui
L´extrait du journal ca serait pas ça ? http://www.eidos.fr/gss/legacy/hitman2/content/history.htm
Ouais, c´est bien ça. Mais on le trouve sur d´autres sites.
Sinon ?
Pas de suggestions ?
Je crois que la grande polemique de la chronologie des hitman est fini grace à l´annonce du nouveau scenario... à la fin de hitman contracts quelqu´un attaque l´agence ce qui est en fait le point central du nouveau scenario.
Et donc dans hitman 2, 47 se retire dans un monastere non pas parce qu´il a echapper à la mort dans hitman contracts mais car il a appris ces origines dans le 1.