Message de la prévention des jeunes personnes et de l'intégrité des auteurs (PJPIA):Cette fic peut se révéler choquante,âme sensible cardiaque et personne à la santé fragile s'abstenir
L'auteur précise que cette fiction ne reflète en rien la réalité et qu'il rejette toute notion raciste,xénophobe,sexiste ou autre qui pourrait être représenté dans la fiction.L'avis donné dans cette fiction est indépendant de l'auteur et ne reflète pas ses pensées.Toute accusation ou réclamation est donc inutile et illégale.
Les noms des personnages quoiques réels sont utilisés ici à titre fictif,l'auteur se garde donc le droit de faire effectuer n'importe quelle action,parole ou pensée au personnage éponyme dans la limite de la décense et de la moralité.
Les pensées exprimées par les personnages sont fictives et ne représentent pas les pensées des dits forumeurs éponyme.
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Chapitre 15
"Une guerre n’est perdue qu’une fois le dernier soldat tombé"
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L’aube allait bientôt se lever, ce jour allait être le plus important de leur existence. Cette journée déciderait du sort du monde. Tous en étaient conscients.
Les tentes se dressaient sur la plaine d’Hyrule, les feux s’allumaient embrasant le ciel encore obscure, les lames s’entrechoquaient lors d’un dernier entrainement. La guerre allait être terrible.
La veille, le bataillon du seigneur Edav s’était joint à la bataille triplant l’effectif des Mags. Leur propre armée était assez disparate, certains, paysans n’avaient jamais manié une arme alors que d’autres, solides et expérimentés se débrouillaient aussi bien à la lame qu’au blaster.
La bataille se déroulerait au corps à corps en bataille rangée ainsi les Mags avaient préfère favoriser la dévastatrice puissance des épées à la redoutable précision des blasters.
Les hommes lacèrent leur armures, ajustèrent leur casque, nouèrent leurs chausses et prirent leurs armes parmi un des râteliers. L’arrivée des troupes de Gourou n’était plus qu’une question de minutes. Il leur laisserait "l’heure brawlienn" pour se préparer avant de passer à l’attaque.
Cette loi instaurée par BadEscargot I er, ancien roi de Brawl, consistait à laisser à son ennemi une heure symbolique avant de l’attaquer. Peu souvent appliquée, elle n’en restait pas moins universellement connue.
Le camp des Mags était situé à proximité de la rive du lac de New Hylia, justement, des vaisseaux alliés filaient en ce moment même sur les tranquilles eaux du lac. Au total, trois navires d’une capacité d’une centaine de personne chacun, arrivaient pour leur prêter mains fortes. Ces soldats n’appartenaient pas au royaume de Brawl, ils avaient été mandaté par des contrées étrangères pour combattre aux cotés des Mags. Le premier navire arrivait d’Hyrule sur ordre de Zelda, le deuxième de Corneria et le troisième de Sinnoh, quatrième contrée du royaume Pokémon. Ces trois nations avaient répondus favorablement à l’appel à l’aide des Mags. Nombre d’entre eux étaient d’ailleurs concernés par le développement du royaume de Brawl. Si Brawl sombrait, c’était leur propre royaume qui se voyait menacé.
Les soldats d’Hyrule armés de lance et d’hache débarquèrent les premiers, suivi des mercenaires de Corneria armés de blaster, débarqua ensuite une horde de gamin étrangement habillé et désarmé.
Le haut cercle des Mags regardèrent les trois chefs de groupe s’avançaient. Ce haut cercle se composait de Lavi, commandant des opérations, Rey second, puis d’Assarty, Chaos, Edav, Pikyo et d’Erogar. Le premier arrivant, originaire d’Hyrule était assez petit par rapport à ses congénères. Vêtu tout de vert, seul sa tête dépassait de son costume folklorique.
-Bonjour je m’appelle Filsmick, fit-il d’un ton enjoué.
-Enchanté, répondit Lavi, et vous êtes ?
Il désignait une jolie renarde qui semblait être le commandant des troupes de Corneria. Sa fourrure bleue luisait dans l’aube naissante, tandis que son soutien-gorge doré étincelait sous la lumière du pâle soleil. Un petit pagne blanc recouvrait son intimité, tandis que de fins bracelets ornaient ses longilignes bras. Lavi eut le souffle coupé par une telle beauté.
-Et moi, c’est Krystal, continua la charmante créature.
-Enchanté, bredouilla Lavi troublé.
Voyant qu’il restait le regard fixé sur Krystal, le troisième personnage entreprit de se présenter lui-même.
-Pour ma part, mon nom est Piix.
Il était vêtu sobrement, un jean clair, une veste rouge sans manches qui laissaient apparaître un tee-shirt sombre et une casquette rouge arborant un motif blanc. Pour finir, une ceinture noire ceignait sa taille. Sur celle-ci était accroché six étranges boules rouges et blanches.
-Qu’est ce ? S’enquit Rey à qui cela semblait familier.
-Nous appelons ça des Poke Ball. Et à l’intérieur, il y a des Pokémons, tu en es toi-même un, je me trompe ?
-Oui…Mais dans ce royaume je suis un être humain normal, ce que je n’ai jamais pu être chez vous.
-La loi est dure, mais c’est la loi…
Lavi sortit de sa torpeur et invita ses troupes à venir discuter de la stratégie. Déjà au loin, les sombres guerriers de Gourou s’avançaient….
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Rilena se réveilla, toute courbaturée. Elle comprit aussitôt que quelque chose n’allait pas. Elle était attachée dans le vide, ses bras croisés au dessus d’elle reliés au plafond par une corde solide. On l’avait vêtu d’une tenue de servante des plus ridicules. Ses joues étaient rouges de maquillages dégoulinant du plus mauvais gout. Elle regarda autour d’elle et constata qu’elle se trouvait dans une sorte de cave humide. De drôles d’instruments pendaient au mur tandis que des sortes de tables d’opération se trouvaient de part et d’autre elle.
-Mais, qu’est ce que je fais ici…
-Ah, tu es réveillé, ce n’est pas trop
-C’est vous, répondit t’elle en reconnaissant la voix brouillé du scientifique.
-Tu as encore cassé une de mes créations…
-Vous voulez dire que Naru était bien…
-Oh, non ce n’était pas un robot, c’était bien ton Naru mais que j’avais au préalable ressuscité d’entre les morts grâce à une des mes nouvelles potions. Le roi en fera surement bonne usage, ricana t’elle. Et tu ne sais pas le meilleur, c’est qu’il fait ressortir chez le mort toute la noirceur de son âme.
Rilena se tut, elle aurait du s’en douter, mais elle naïve, y avait cru comme d’habitude…. Le scientifique l’avait une nouvelle fois roulée.
-Je vous déteste ragea t’elle.
-Mais moi aussi je t’aime.
Et comme pour illustrer ses propos, il attrapa le menton de Rilena et l’embrassa à pleine bouche pendant un court instant avant de la lâcher. Rilena cracha sur le sol dégouté.
-Vous êtes un monstre.
- Peut-être, ricana-t-il sournoisement
-Qu’allez vous me faire ?
-Oh, rien de bien méchant.
Il esquissa un sourire machiavélique derrière son casque.
-J’ai toujours rêvé d’avoir une servante à la jeunesse encore épanouie et fraîche.
Il attrapa un fouet et le fit claquer sur le sol. Il s’approcha d’elle, faisant glisser la lanière lentement sur les jambes dénudées de Rilena. Il tourna autour d’elle la caressant de sa main rugueuse avant de s’arrêter derrière elle. Il la frappa une fois. Elle hurla de douleur. Il recommença avec le même sadisme à chaque coup, frappant de plus en plus fort, jusqu’à ce que la tunique de Rilena ne ressemble plus qu’à des lambeaux de tissus et son dos à des lambeaux de chairs. Rilena était en pleurs, jamais elle n’avait eu aussi mal de sa vie. En plus de ça, les liens lui sciaient les mains, se tenir dans le vide comme ça était extrêmement douloureux.
-Que me voulez vous ? Articula-t-elle difficilement.
-Mais rien ma chérie, juste m’amuser un peu, ricana t’il.
Il passa sa main sur le dos de la jeune fille lui arrachant un gémissement.
-Mais tu es blessée, il faut que je te soigne, fit t’il malicieusement.
Il lui retira donc sa robe malgré ces véhémentes protestations avant de s’appliquer un baume sur ses mains. Il massa langoureusement le dos de Rilena lui faisant plus de mal que de bien. Celle-ci était plongée dans un abîme de douleur et de honte, elle se trouvait nue dans un endroit inconnu devant ce sordide scientifique de malheur.
-Bon, j’ai l’impression que tu n’es pas solide, je vais donc arrêter de te faire souffrir, tout du moins physiquement….
-Qu’allez vous me faire ? S’enquit-elle désespérée.
-J’ai besoin de quelqu’un pour tester mes potions.
Il s’approcha d’un petit établi où trônaient des tubes à essai remplis de mélanges colorés. Il en saisit un au fluide verdâtre et l’admira appréciateur.
-Vois-tu, ce liquide est censé dissoudre la matière ainsi que les tissus humains.
Il se tut et tourna son regard vers Rilena
- Je vais devoir ternir ta beauté, tu m’en vois désolé.
Il s’approcha d’elle le tube dans ses mains. Mais soudain, il trébucha sur un câble, lançant par inadvertance le produit.
-Oh, non, cria t’il.
Le tube s’écrasa sur le mur derrière Rilena faisant voler sur son passage quelques gouttelettes du précieux liquide qui vinrent s’échouer sur la corde. Et là, elles firent ce pour quoi elles avaient été conçus, elles désintégrèrent la corde, l’effritant peu à peu jusqu’à ce qu’elle cède sous les vapeurs d’acides. Malgré son dos douloureux, Rilena se réceptionna lestement et ne laissa pas le temps au scientifique de se relever. Elle se jeta sur lui, l’écrasant de ses pieds. Il essaya de se débattre mais Rilena fut la plus forte surmotivée par sa soif de vengeance. Elle se mit à califourchon sur le scientifique entravant ainsi tout ses mouvements.
-Affronte la mort la tête découverte sale lâche, fit-elle en lui enlevant violemment son casque.
Elle jeta le casque au loin et regarda le visage du scientifique.
-Quoi ! S’écria-t-elle.
Devant t’elle se tenait une femme d’une trentaine d’année le visage brulé. Ses cheveux légèrement grisonnants malgré son jeune âge.
-Vous … Vous…. Etes…
-Oui, une femme, je sais, je m’appelle Crazy, mais on ne va pas s’éterniser la dessus, rétorqua la scientifique dont la voix féminine contrastait étrangement avec la voix brouillé qui se dégageait du casque. Tue-moi, après tout, je l’ai bien mérité. Je suis folle, je ne peux rien y faire et toi non plus…
Rilena se releva. Alors que quelques secondes plus tôt, elle était prête à tout pour le tuer, devant cette femme, tellement fragile et dépouillé, sa conviction avait flanché. Sa soif de vengeance s’était apaisé laissant place à de la pitié.
-Allez, achève-moi !
-Je ne veux pas vous tuer, ce serait m’abaisser à votre niveau.
-Qu’est ce que tu vas faire alors ?
-Vous allez rester ici, peut être un jour quand la guerre seras fini, je daignerais peut venir vous libérer.
-Non, ne fais pas ça, s’écria Crazy.
Mais Rilena resta inflexible, elle se rhabilla normalement et sortit de la pièce en la fermant à double tour. Libre, elle était libre….
que raconte-tu ??
