Mais si sa peau est en porcelaine... Bah le médecin va trouver ça bizarre non ?
J'imagine bien la tête du médecin :
Sweet !
Vous verrez bien
Suite
Super chapitre !
Moumou non, ça tête ça sera comme ça :
Chapitre Neuf : La rencontre
-Allons-y, dit Aurore.
Les deux filles prirent leur courage à deux mains et se dirigèrent vers la grande maison, la bicyclette fermement tenue par Aurore, qu'elle faisait rouler à côté d'elle. Alors, elles arrivèrent devant la maison et la fillette s'apprêta à entrer quand Amande l'en empêcha en s'exclamant :
-Non ! Ne fait pas ça ! Il va me demander pourquoi je n'ai pas d'affaires !
-Ah, mais oui … ! Tu n'auras qu'à dire que tu n'es pas là pour longtemps, mais …
-Normalement, j'aurais bien des vêtements … ! Ou une trousse de toilette, car regarde, j'ai été maquillée par mon créateur !
-Ah oui, mince …
-De toutes manières, le mieux serait que je n'aille pas chez toi. Je me trouverais bien un hôtel, et j'irais chez le médecin moi-même …
-Et avec quel argent ?
Amande soupira. Comment dormir dans un hôtel et aller chez le médecin sans argent ? Elle eut une idée :
-Mais bien sûr ! C'est évident ! Je n'ai qu'à vendre ce collier et ces boucles d'oreilles !
En effet, la transformation d'Amande avait semblé changer ses bijoux fantaisies en or, étrangement. Aurore répondit :
-Évidement ! C'est une super idée ! On se retrouve … Euh … Dans le jardin, d'accord ?
-D'accord, regarde régulièrement devant la fenêtre.
-Alors, la ville, c'est par là-bas. Normalement, il y aura un plan où tu pourras te repérer.
Elle hocha la tête et partit par la direction qu'Aurore lui avait indiqué en lui faisant un signe de la main. Elle courut. Le bruit de ses talons raisonna sur le chemin bétonné entouré d'arbres. Des immeubles se dressèrent devant elle et des gens se réunissaient autour de quelque chose. Amande s'approcha et vit un plan qu'utilisait les gens étant perdus. Elle regarda vaguement mais ne trouvant pas ce qu'elle cherchait, elle demanda à un homme qui rougit en la voyant ; Effectivement, elle était très belle … ! Elle lui dit d'une voix angélique :
-Monsieur, s'il vous plait, savez-vous où se trouve une boutique pour changer les l'or en argent ?
-L'or en argent … ? Mais, l'or est plus important que l'argent … Je ne comprends pas … Attendez … Aaaah ! L'argent, ce qui nous sert à acheter les choses ! Excusez-moi, j'ai cru l'argent, la matière, hahaha …
-Oui, donc vous savez ?
-Oh, bien sûr, balbutia-t-il. Je … Je m'y rendais justement … ! dit-il en mentant. Suivez-moi !
Il la guida vers un magasin avec écrit « Gold of Cash ».
-C'est ici … !
-Merci bien, monsieur …
-Luc ! Je m'appelle Luc !
-Oh, bien, Luc, moi je m'appelle Amande, ravie de faire votre connaissance … !
Elle se dirigea alors vers la caisse ; il n'y avait pas encore de queue. Elle tenait ses boucles d'oreilles et son collier dans la main et les tendit à la vieille femme. Elle lui sourit et lui donna de l'argent en échange. Elle le prit et dit au revoir à la femme. Elle savait à peu près lire car Aurore lui lisait, petite, des contes … Et il y avait bel et bien un hôtel dans un de ceux-là. Alors elle sût lire « Hôtel ***** » dessus. En revanche, pour les nombres … Comment savoir combien d'argent avait-elle … ? Un seul billet se tendait devant elle. Était-ce une grosse ou petite somme ? Elle décida de retourner dans le jardin d'Aurore pour lui demander. Mais cette ville était immense, et elle était à nouveau perdue … Elle vit Luc, l'homme de tout à l'heure, qui se dirigea vers elle. Elle lui sourit et il le lui rendit avant de lui dire gentiment :
-Vous m'avez l'air de nouveau perdue !
-Eh bien oui, vous êtes divin !
-Divin … ? Vous voulez dire devin !
-Ah, oui, je m'embrouille, excusez-moi je voulais dire devin.
Il rigola et dit :
-Vous ne m'avez pas l'air d'être d'ici, vous !
-C'est bien vrai, je viens de … Euh …
Elle était très embêtée, car elle ne connaissait pas de ville ou de pays … Quoique … ! Aurore lui disait souvent « J'aimerais tant aller en Australie ... ». Alors elle compléta sa phrase par :
-En Australie ! J'habite en Australie, haha ! Je ne suis que de passage ici, je suis ce que l'on peut appeler, une … Touriste !
Le jeune homme la regarda avec de grands yeux avant de dire, étonné :
-En Australie … ?
Fin du Chapitre.
JERRY
Elle est pourtant pâle à ce qu'ils disent
M'ouais
Suite !
Sweeeeeeeeeeeteuh !
Qu'une chose à dire :
+ une autre chose :
Sweeeeeeeeeeeet !!
Là il va faire : "Moi aussi je viens d'Italie ! Quelle coincidence !!!"
D'Italie ?
C'est Australie
Suite ?
Je la prépare
Sweet !
Raah ! Le suspense ! Je déteste
Il me semblait l'avoir postée !
La voici !
Chapitre Dix : Le médecin
« -En Australie … ? Vous voulez-dire en Autriche ?
-Autriche ? Ah, oui, évidemment ! Ne vous inquiétez pas je n'habite pas en Australie, haha ! Je me trompe souvent, ces temps-ci.
-D'accord … Donc, vous cherchez quelque chose ?
-Oui, je cherche comment sortir de la ville … Je cherche une maison, en fait.
-Quel est le numéro ? »
Amande fut très gênée. Elle ne connaissait pas le numéro de la maison … Elle hésita un instant puis soupira et baissa les yeux, avant de continuer :
« -Je ne le connais pas …
-Ah, eh bien … Je vais vous mener à toutes les sorties de la ville, ha ha !
-Oh, non, pas la peine, je sais à peu près par où c'est, s'exclama-t-elle en pointant l'est du bout de son doigt.
-Ah ? Il y bel et bien une sortie par là-bas. Je vous y emmène ?
-Oui, s'il vous plait ! »
Alors ils se dirigèrent vers la direction qu'avait indiqué la jeune blonde. En effet, le paysage urbain se transforma petit à petit en arbres et un chemin de terre arriva. Elle vit la maison d'Aurore. Elle s'écria, joyeuse :
« -C'est ici ! Merci mille fois, Luc !
-Oh, mais … Mais derien … ! Balbutia-t-il, un peu gêné. Vous … Voulez mon … Mon numéro … ?
-Pardon ?
-Au cas où vous vous perdiez de nouveau …
-Mais, je n'ai pas de téléphone !
-Oh, je suis désolé, vraiment … »
Elle rigola légèrement et continua :
« -Ne vous inquiétez pas, j'utiliserais une cabine téléphonique ! »
Il rougit et dit :
« -D'a … D'accord … ! «
Il griffonna sur un bout de papier son numéro. Il lui tendit et, en le prenant, elle lui lança d'un air tendre :
-Merci ! Aurevoir !
-Aurevoir ! A .. A bientôt ! s'exclama-t-il. »
Elle lui fit aurevoir de la main et se faufila parmi les arbres et arriva devant la grande maison. Elle vit qu'Aurore s'amusait dans le jardin. En plissant les yeux, elle pouvait voir que elle jouait à la corde à sauter.
« -Trente-trois, Trente-quatre, Trente-Cinq, Trente-Six, Trente-sept, Trente-huit, Trente-neuf, Quarante, Quarante et … »
C'est à ce moment même que la corde racla le sol et son mouvement de jambe était trop lente. Son pied se prit dans la corde qu'elle venait de bouger tandis que sa jambe était à l'arrêt. Sa cheville se prit dans sa corde et s'emmêla autour de celle-ci. Aurore tomba la tête la première. L'herbe amortit sa chute, mais elle avait mal. Quand elle se releva, elle vit Amande qui l'observait depuis assez longtemps. Elle courut vers elle et cria :
« -Amande ! Que c'était-il passé ? Tu en a mis du temps … ! »
Elle soupira et dit :
« -Je viens te demander combien d'argent est-ce que j'ai.
-Combien d'argent as-tu ? S'étonna-t-elle. Eh bien, montre-moi tes billets ... »
Elle lui tendit son seul et unique billet. Aurore l'attrapait dans les secondes qui suivait et l'observa. Elle répondit :
« -Deux cents euros ! C'est énorme !
-Ah ? Eh bien, j'aimerais savoir si cela suffira pour payer un médecin …
-Bien sûr ! Avec une telle somme … »
Mais la poupée hésita. Ce n'était peut-être pas une bonne idée. Cependant, son mal de ventre, de tête, de bras, de jambes … Eh bien il l'empêcha de changer d'avis. Elle reprit le billet et prit son courage à deux mains. Elle lâcha un léger « Aurevoir » à Aurore et partit en direction de la ville. Une fois arrivée, elle s'empara du numéro de Luc. Mais … Ne sachant pas lire, elle le remit dans sa poche. Elle marchait un peu et percuta une jeune femme. Toutes deux tombèrent sous le choc. Les deux jeunes femmes dirent en même temps :
« -Excusez-moi !
-Oh, dit Amande. Ce n'est pas grave … Enfin … Je cherche un docteur … Je vis en Autriche, et … »
Elle la regarda sans comprendre avant de répondre :
« -Eh bien il y en a un juste derrière vous, en fait ... »
Elle se retourna. Effectivement, un magasin orné de vert et de blanc se tenait juste derrière elle. Elle rigola et répondit :
« -Zut, je n'avais pas vu ! Merci !
-De rien, je n'ai pas fait grand chose ! »
Elle salua la jeune femme puis, le cœur serré, pénétra dans la pièce. Une jeune femme en blouse blanche, derrière un comptoir, était au téléphone. Elle cacha le combiné de sa main et lui dit :
« -Bonjour, pouvez-vous vous assoir deux minutes ? Je n'en ai pas pour longtemps. »
Elle s'essaya et attendit, le mal grandissant.
Fin du Chapitre.
Sweeet