J'ai dit suite sans poster la suite
La voici la voilà !
Chapitre Douze : Explication
N'importe qui se serait écroulé de rire. Mais le médecin prit juste un air choqué. Énormément choqué. Elle regretta tout de suite ses paroles et s'écria :
« Vous n'allez pas faire des expériences sur moi, hein ?!
-Non, non, loin de là … Vous êtes bien là pour une consultation ? Je vais vous la donner. »
Il prit une feuille et, en même temps qu'il parlait, écrivait, la main tremblante, toujours choqué par ce qu'il venait d'apprendre :
« Pas de muscles, pas d'os. Peau de porcelaine. Pas d'organes. Durée de vie : Une semaine au maximum. Je ne sais pas comment vous faites pour vivre, marcher, courir, bouger, vivre … ?! Avez-vous déjà mangé ?
-Oui, une fois …
-Eh bien sachez que vous n'allez pas pouvoir vivre plus longtemps qu'une semaine et que … Vous n'allez pas pouvoir … Aller aux toilettes. Mais … D'un point de vu scientifique … Tout ceci est un rêve ! Impossible pour une femme de vivre sans muscles, sans os, sans … Sans … Sans tout !
-Pourtant, c'est la vérité …
-Eh bien vous avez votre diagnostic. Filez. Je ne peux pas croire ce que j'ai entendu. C'est tout bonnement impossible.
-Je vais quand même vous payer …
-Vous avez payer en enrichissant mes connaissances. Tout est possible, apparemment …
Elle le remercia et sortit, mais dans la seconde même où elle fermait la porte, le pauvre médecin s'évanouit, choqué par ce qu'il venait de voir. Elle sortit en trainant des pieds. Une semaine … Mais après cette minuscule semaine, que se passerait-il ? Elle redeviendrait poupée ? Elle mourrait ? Si c'était le cas, elle n'aurait pas le droit à un enterrement digne de ce nom … Mais qu'allait-il se passer ? Mille et une question lui traversa l'esprit, car mille et une chose était possible. Se souvenant du chemin qu'elle avait fait précédemment, elle retourna vers la maison. Il faisait presque nuit. Elle traversa le chemin rocailleux et passa avec difficulté entre les broussailles, s'écorchant bras et pieds. Elle ne pouvait écarter que d'un côté les branches ; sa main était cassée. Elle perdit le gant qui cachait son handicap. Mais elle s'en fichait. Tout ce qu'elle voulait, c'était de revoir Aurore. Elle arriva près d'une maison qui n'était pas celle d'Aurore ; elle était bien plus petite, à peine de quoi abriter une ou deux personnes. Étonnée, elle s'en approcha. Elle vit une petite fille à la fenêtre qui se retourna et cria quelque chose. Voyant cela, elle essaya de repêcher son gant parmi les branches … C'est au moment où elle le retrouva qu'elle entendit crier :
« Qui êtes vous ? »
Elle l'empoigna et se retourna, cachant le fait qu'elle n'ai pas de main, et pas de moignon derrière son dos. L'homme reprit la parole :
« Amande ?
-Luc !
-Que fais-tu ici ?
-Oh, je rendais visite à mon amie, je suis repartie chercher quelque chose chez moi, et quand je suis revenue, je me suis perdue ! »
Il la regarda d'un air amusé et une petite fille sortit de la maison et s'accrocha à Luc. Il lui ébouriffa les cheveux et dit :
« Rentre, ma puce.
-D'accord ! »
Elle rentra aussi vite qu'elle était arrivée et Amande engagea la conversation :
« C'est ta fille ?
-Oui … Mais je t'en pris, entre ! »
Elle obéit et s'approcha de la maison à nouveau. Il y avait une jolie décoration moderne ; on voyait que ils n'avaient pas de problème d'argent. Sur un petit meuble blanc et noir comme le reste de la maison -quoiqu'il y avait un peu de bleu- était posé des photos d'un bébé chauve, qui dormait, couché dans un petit drap rose et blanc, d'autres de Luc, quelques années plus tôt, portant une femme sur son dos, qui souriait à pleine dents. On voyait également Luc tenant un bébé âgé d'un an à peine, celui-ci essayant de marcher. Des photos où réapparaissait toujours trois mêmes personnes : Luc, le bébé, et cette femme qu'Amande n'avait jamais vue. Elle se sentit mal à l'aise ; une homme marié en présence d'une autre femme que la sienne ferait sans aucun doute jalouser la mariée. Elle s'exclama ;
« C'est ta femme ?
-Non, c'est ma soeur. Elle m'a aidé à élever ma fille, Marine.
-Et où est ta femme, alors … ?
-Elle est morte. »
Fin du Chapitre.
Juste 1 semaine ?
Suite
C'est exquis !
Ça m'a paru bizarre que le médecin la croie un peu...
je ne comprends pas le sens de ta phrase...
Moi non plus !
Suite
Lynou, normal qui la croit, une meuf qui a que de la peau (et encore, en porcelaine) et même pas d'organes, qu'est-ce que sa peut être ?
Un gnome !
Non elle est belle !
Ah heu...un robot !
Mais-non-elle-parle-pas-comme-ça !
Et depuis quand je t'écoute ?
C'est une poupée transformer en humain et puis crotte alors hein !
UNE BARBIE
Liz' =) Pourquoi dis-tu ça?
Porcelaine Liz, porcelaine
Elle a du mal comprendre
Mais non je suis pas idiote
C'était une blagueuuuh
Daryla la Rebelle ?
~~Stop HS~~
Bon Suite !
Moi?
Wi
Quoi moi?
Et après, c'est pas elle qui comprend rien ...
Voici la suite
Chapitre Treize : Souvenirs
-...Morte ? répéta-t-elle.
-Oui, morte.
-Je … Je suis désolée … Je ne savais pas … tenta-t-elle de s'expliquer.
-Ce n'est pas grave. Vous pouvez en parler, j'ai fait mon deuil depuis bien longtemps. J'ai appris à vivre avec … Tout mon entourage m'a aidé à faire face à ce passage dur dans ma vie. Ils m'ont soutenu.
-Vous êtes veuf … ? Vous n'avez jamais pensé à trouver une autre femme ?
-Non, non … Je trouve que ce serait une insulte pour elle, une preuve d'infidélité.
-Elle est morte il y a combien de temps ?
-Huit ans.
-Et votre fille a … ?
-Sept ans.
-Ça a du être dur pour elle … Mais … Dîtes m'en plus sur votre femme, votre rencontre, etc …
-Et sa mort, malheureusement ...
Des milliers de souvenirs lui revinrent à l'esprit. Tous bon. Sauf le dernier …
-Pardon, pardon !
Une jeune femme poussait les personnes agglutinées dans une rue. Celles-ci poussaient des cris exaspérés. Cette même jeune femme tenait un sac à la main, un chignon extrêmement tiré, laqué, sur ces cheveux. Elle vit le grand bâtiment. Le bâtiment de danse où elle se produisait.
Ces nombreuses personnes n'étaient pas venues pour elle, loin de là. Un concert se déroulait juste en face du bâtiment. Dans se même bâtiment où se déroulait sa compétition. Elle entra, essoufflée. Son chignon n'était pas défait, car elle avait usé de nombreuses barrettes et produit pour le faire tenir. Après tout, elle faisait les championnats français de danse classique, dans le gymnase où elle s'entrainait tous les jours. Bombée de fierté, elle entra dans les vestiaires. Une femme plus grande l'attendait. Elle s'exclama :
-Alison, tu es encore en retard !
-Je sais, je sais …
-Cette compétition est importante pour notre club, il faut que tu remportes la coupe ! Ça fait 12 ans que tu fais de la danse classique, en plus tu es la plus vieille candidate de notre club, donc 'faut que tu assures !
Amusée, elle rétorqua :
-Je suis donc le dernier espoir du club ?
Son interlocutrice ne répondit rien et se contenta de rouler des yeux avant de partir.
Alison se changea. Elle mit son « tutu » de danse, ses collants, ses ballerines. Elle entendit une voix au micro :
-Concours individuelles de France. Bienvenue à toutes et à tous. Merci aux candidates de s'approcher de la scène.
Elle s'exécuta. Elle regarda son ordre de passage et vit avec horreur qu'elle passait …
Cinquième.
Luc cherchait en vain le concert du soir. Il était un grand fan du groupe qui jouait et espérait obtenir un autographe. Ils jouaient du pop. Il entendit du bruit car il était proche ! Enchanté, il courut de plus belle et vit enfin une scène avec une énorme foule. Entendant un autre bruit de musique -venant du gymnase- il décida d'aller enguirlander les coupables et entra dans le gymnase. C'est là qu'il la vit. Alison. Dans sa belle tenue de danse, se donnant au maximum pour remporter le premier prix. Elle dansait à ne plus s'arrêter. Il s'approcha de la scène, oubliant son concert. Elle le vit, l'observer. Elle ne se déconcentra pas. Et continua sa danse. La musique prit fin, ses mouvements se stoppèrent. Elle salua son jury et se dirigea vers son entraîneuse qui la félicita. Luc ne savait que dire. Il ne savait pas comment l'aborder … Puis il remarqua sur la scène, son chausson de danse. Il le ramassa et se dirigea vers elle en lui soufflant :
« Mademoiselle … Vot … Votre chausson de danse …
-… ? Oh, merci, mais j'aurais pu le récupérer moi-même, vous savez.
-Je suis désolé, je …
-Ah, non, mais c'est très gentil de votre part, ne vous inquiétez pas !
-Je … Je vous ai vu danser … Vous êtes très douée …
-C'est une nouvelle technique de drague ?
-Pardon … ? »
Elle lâcha un petit rire. Elle lui tendit un bout de papier.
« Tenez, c'est mon numéro de téléphone, si vous voulez avoir les horaires de spectacle de danse. »
Il la regardait, plus qu'heureux.
Luc soupira :
« C'est à partir de ce jour que j'ai regardé tous les spectacles de danse qui se produisait. Enfin, tous CES spectacles de danse …
Fin du Chapitre.
SES
J'ai pas compris
La fille a 7 ans, mais sa mère est morte il y a 8 ans? La mère est morte avant que la fill ne naisse?
+1
T'avais même pas capté
J'ai inversé les deux