Chapitre 7 : Dans la jungle...
Le soleil s'est levé et il fait une chaleur épouvantable, mais je suis obligé de porter ma combinaison de combat.
Je marche depuis des heures sans la moindre trace d'un quelconque avant poste. Leur champ magnétique à du déregler notre équipement électronique. Je repense au VTC : y a-t-il des survivants ? Le capitaine Cephyrria est-il informé ?
Je dois laissé de cotés ces questions et me concentrés sur mon objectif.
J'arrive près d'un tronc d'arbre coupé, je m'accrouppi à couvert derriere ce-dernier et fais le bilan :
Je suis perdu, mon équipement éléctronique ne marche plus, ma radio est brouillée, j'ai chaud, je suis seul, je ne trouve pas mes cibles.
Ca fait beaucoup non ?
Moi je trouve.
Je me repose quelques minutes pour vider mon esprit et trouver une solution... Ma radio est brouillée, si je trouve un endroit élevée, je pourrai peut etre contacter le capitaine Cephyrria qui garde la navette hors-atmosphère. C'est peut etre inutile mais je dois essayer.
Je regarde ma carte en papier, c'est le seul repère qui n'est pas déréglé, mais je ne sais pas ou je suis. Les zones bleu- les marais- encerclent toute une zone, selon les dernieres indications de mes lunettes GPS, je doit me trouver dans ce coin là, ce n'est qu'une hypothèse, pour vérifier, il faut absolument que je trouve les marécages, de là, je pourrai me reperer et me diriger sans craintes à un point élevés en altitude pour prévenir Cephyrria. Je me dirige aussitot à l'endroit ou -selon mes souvenirs- ma montre GPS m'indiquait un marécage.
Ca fait une demi-heure que je crapahute la dedans, il y a plein de buissons, d'arbres géants, de broussailles couleur jaunatres, on se croirait dans la savane, le soleil tape fort à travers les arbres, de temps en temps, je vois des rochers et des bestioles ressemblants à des chevaux qui, s'en vot en galopant dès que je m'approche.
Mais je pense me rapprocher des marais, il y a d'énormes moustiques, certains font un mètre de longuer, je déconne pas, ils ont un énorme dards, j'ai ranger mon g3-b pour prendre mon fusil à pompe, si ces bestioles m'attaquent, mon fusil à pompes sera sans doute plus utile.
Je sais que Cobra nous a déconseillé de nous approché des marais, mais c'est peut etre mon seul espoir de pas crever tout seul dans cette foret.
Je longe maintenant une sorte de muraille de pierres assaillis par le temps, soudain, j'entends un bruit, quelqu'un marche, une dizaine de metres plus loin. Je m'accrouppi près de ce murs, le bruit s'arrete,j'entends le bruit d'une culasse de fusil SLP qui se charge.
Je brandit mon fusil à pompe M590 tactical. Des détonations claquèrent à l'endroit ou j'avais entendu les pas.
Elles ne me touchaient pas, je m'approche discrètement de l'endroit, je distingue derriere les fougères un homme agenouillé fusil en avant tiré au hasard dans les fourrés.
Je charge doucement la pompe de mon fusil à pompe, l'homme a cessé de tirer, je continu à avancer, je suis derriere lui, fusil à pompe armé près à tirer, je ne suis plus qu'a deux metres, je termine rapidement les derniers metres qui nous sépare et je colle le canon de mon fusil à l'arriere de son crane.
A SUIVRE...
