C'est celle qui t'as fait le dessin non?
Exact
Elle connaissait pas Halo, et elle adore dessiner ce nouveau type d'alien
Maintenant, quand j'ai discuté avec elle je lui ai conseillé Halo et de jouer aux jeux (ordre de sortie)
Comme mes personnages étaient son premier dessin sur les Élites, elle s'est interéssé aux descriptions et caractères que j'ai donné.
Elle m'a avouée que quand elle a joué à CE, elle bien aimé !
Elle tiens à voir mon résumé + bios de mes persos.
Voilà.
UNe suite arrive !
Elle est de ta famille?
Non.
Et pour répondre aux futurs questions: Elle a 24 ans + mariée
Oui vous avez sûrement penser quelque chose
Non, je ne pensais pas à ça...
En tout cas tu lui transmettras mes compliments
Tu peux lui dire toi même ici: http://Leemo626.deviantart.com/art/i-missed-you-194018564
En anglais, j'écris?
Bah Ui
C'est génial, je me suis attaché à tes personnages et ça m'a fait de la peine quand Vasla a faillit mourrir
J'ai posté sur deviant
Elle a d'la résistance
Lu !
Et j'ai fini Ghosts of Onyx
Que ce livre est !
Mais aussi
Merci
Et un pour le soir
Suite ce soir...
Cool
C'est la quatrième partie qui commence
Je vous poste la suite une fois rentré de mon cours de basse
Quatrième partie
Chapitre XX, Sous-espace, En direction de la Terre.
17 Novembre 2552
Elle me tenait la main, sans cesser de sourire... Je la pris et la serrai fort, fort amoureusement.
-Je serai toujours avec toi, dit-elle.
J'étais si heureux de la revoir enfin à mes côtés. Tout semblait si parfait.
Puis, ma vue commença légèrement à se troubler, comme si de l'eau commençait à couler devant mes yeux. Des larmes ? Je touchai mes yeux... Non, il n'y avait rien.
-Étrange... pensai-je.
Ma vue continua de devenir plus floue et je n'arrivais pas à faire cesser ceci.
-Au revoir Drak. Je t'aime.
Je sentis que je m'éloignais d'elle, comme tiré au dehors. J'essayai de rester en tenant sa main, mais cette dernière se relâcha. J'insistai jusqu'à même essayer de hurler mon désaccord, mais aucun son ne se fit entendre. Je ne voulais pas partir.
Le visage de Vasla disparut petit à petit dans un nuage de brume floue et se fit remplacer par un visage plus agité dont un casque blanc le recouvrait. Il lui manquait deux mandibules à gauche.
Puis, des lumières violettes apparurent et vinrent teindre ce voile qui occupait ma vue, et une voix beaucoup moins douce et attentionnée que celle de Vasla résonna dans ma tête.
-Drak, réveille-toi, dit Rtas, d'une voix calme.
J'émis un long soupir. Tout cela n'était qu'un rêve... Je m'orientai et réalisai que j'étais toujours dans la salle médicale. Je jetai un coup d'œil vers le lit de Vasla. Elle était toujours là. Il semblait même qu'elle n'avait pas bougé depuis que je m'étais endormi. J'eus un grand vide cérébral. Je ne pensais plus à rien, mis à part admirer Vasla.
Tout en ignorant que Rtas débranchait au fur et à mesure diverses commandes de la machine permettant le coma artificiel, je revins au monde réel au moment où je sentis les seringues se retirer de mes veines.
Mon regard se dirigea alors vers Rtas.
-Bonjour Rtas... ou plutôt bonsoir...
-Nous sommes le matin, me répondit-il en croisant les bras et en ricanant. Veux-tu savoir ce qu'il s'est passé durant ton coma ?
Ce dernier mot me fit directement penser à Vasla.
-Bien sûr, la totale, lui répondis-je.
-Eh bien... Tu es resté dans ce sommeil pendant exactement deux semaines. Pendant ce temps, nous avons refait le plein d'énergie sur un porte-vaisseaux ainsi qu'une révision totale des moteurs qui nous a été offerte. De plus, une division de nouveaux jeunes Spec Ops s'est portée volontaire pour nous accompagner.
-Très bien.
J'essayai de me relever, mais de multiples douleurs m'en empêchèrent, alors je décidai de rester au moins assis.
-Mauvaise idée, déclara Rtas. Tu as de nombreuses côtes cassées qui ne se sont pas encore reconstituées, ainsi que de multiples blessures sans importance qui guériront dans la journée.
-Cela n'a tout simplement pas d'importance, répondis-je en étirant mes muscles courbaturés.
L'Huragok qui s'était occupé de Vasla et de moi avant mon sommeil entra dans la pièce médicale. Il émit un petit gémissement de joie en me voyant, puis un autre d'agacement en me voyant assis au lieu d'être allongé.
Je repris la discussion.
-Mais en parlant d'aujourd'hui, où sommes-nous ?
-Nous sommes sur le point de sortir de notre saut en sous-espace. Notre destination est la Terre.
-La Terre ?
-Oui, affirma-t-il, Pour deux raisons... la première étant que Vérité s'est échappé et qu'il cherche quelque chose sur Terre. Nous ne savons pas encore quoi exactement, mais nous savons déjà que la majorité des Lekgolos, Unggoys, Huragoks et autres races de l'Alliance prêtes à nous aider ont été soumises de force. S'ils n'obéissent pas, leur monde natal sera vitrifié.
-Sauf nous, annonçai-je sinistrement.
Rtas émit un grognement d'inquiétude. Notre monde... Cela faisait si longtemps que nous ne l'avions plus vu. J'avais tant envie de revoir ma famille, les vastes étendues de paysages tropicaux et désertiques, les océans et mers vertes, le magnifique crépuscule des trois Soleils...
Je me serais opposé à toute tentative de vitrification de notre Mère.
-Il faut stopper Vérité. Il est déterminé à activer les Halos depuis l'Arche et quelque chose me dit que la réponse se trouve sur Terre.
J'acquiesçai, puis me relevai difficilement. L'Huragok émit d'autres grognements agaçants, insistant sur le fait qu'il voulait que je me repose.
-La deuxième raison est surtout de se rallier aux côtés des humains ainsi que de les aider à protéger leur monde natal, reprit Rtas. Le seul accroc dans tout cela est de réussir à les convaincre de nous accepter.
- Tout à fait, répondis-je. Mais on a un plan je présume...
- Exact. Tout le monde nous attend sur la passerelle...
Il détourna soudainement son regard du mien, pour se diriger vers celui de Vasla, puis il me regarda à nouveau, avec une expression embarrassée.
-Excuse-moi.
-Ce n'est pas grave. Vas-y. Je me prépare et j'arrive.
Il acquiesça en faisant le salut traditionnel, puis sortit.
Je rassemblai mes affaires puis, avant de passer la porte, je sentis quelque chose me retenir. Je me retournai et regardai Vasla. Une chose en moi me disait de rester. Ma prise tenant mon paquetage se relâcha alors et je vins me rapprocher d'elle.
L'Huragok encore présent semblait curieux et se rapprocha de nous. Ses vessies faisaient des bruits étranges, pas forcément désagréables, mais étranges.
Je regardai Vasla. Ses fines mandibules bougeaient légèrement, au rythme de sa respiration. Je sentais sa conscience éveillée, je la sentais en moi. Je sentais qu'elle pouvait m'entendre et sentir ma présence. Une grosse boule me serra la gorge.
-Je te promets, Vasla, je te promets de ne jamais t'abandonner. Je serai toujours là pour toi, à t'attendre, même pendant des années, des décennies... Je t'attendrai et je t'aimerai pour toujours.
Je caressai tendrement son long crâne doux avec ma main, puis je sentis quelque chose me piquer les yeux, avant d'en ressortir. Cette fine chaleur descendit de mon œil droit : une larme. Je n'en avais jamais versé une seule. Cette goutte chaude descendit de ma joue, lentement, et parcourut tout mon visage jusqu'à tomber sur le sol métallique du vaisseau, en émettant un petit bruit.
Je me relevai, m'essuyai le visage et essayai d'oublier cette énorme boule qui me serrait la gorge. Ensuite, je ramassai mon paquetage et je sortis de cette salle qui me retenait tant.
L'Huragok me suivit dans les couloirs sombres et violets du vaisseau. Cela me dérangeait.
-Arrête de me suivre, lui demandai-je brusquement sans arrêter de marcher.
Il ne cessa rien du tout. Il n'émit qu'un petit sifflement représentant un soupir.
Je m'arrêtai net et poussai un grognement de colère. Mes poings se serrèrent, mon sang bouillonna et ma gorge se contracta.
Je lui déversai toute la haine que j'avais sur le cœur, en lui hurlant des choses atroces.
L'Huragok sembla à la fois étonné et effrayé par ma soudaine colère.
Il recula et sembla convaincu de ne plus me suivre.
J'avais une pointe de regret d'avoir élevé la voix et de l'avoir effrayé. Je ne voulais pas lui faire de mal. Cette haine ne lui était pas destinée, mais dirigée contre d'autres : les Jiralhanaes, les Prophètes, mes frères tombés à Grande Bonté... Vasla.
-Excuse-moi, je ne voulais pas...
L'Huragok semblait toujours autant apeuré.
Je baissai la tête, puis continuai ma marche vers la passerelle. Je sentis qu'il me suivait toujours, mais il se cachait indiscrètement dans les angles des couloirs, derrière mon passage.
Je me retournai et le vis se cacher rapidement derrière un des couloirs que je venais de quitter.
Ce petit était déterminé.
-Allez montre-toi. Tu peux rester avec moi.
Aussitôt, il sortit de sa ridicule cachette et vint en se dandinant joyeusement à mes côtés. Il émit plusieurs petits bruits montrant qu'il était content de pouvoir rester avec moi et qu'il me pardonnait.
Un étrange lien s'était forgé entre nous deux. Il lisait à travers mon esprit et savait ce que je ressentais et pensais. Ces créatures étaient vraiment intéressantes.
Arrivés à la passerelle, les portes s'ouvrirent avec un calme coulissement. Je pus découvrir de nouveaux visages et en redécouvrir d'autres, plus anciens.
Il y avait Rtas, Usze, N'tho, l'Oracle, les deux humains et de nouveaux officiers qui occupaient les postes de navigation, communication... tous sauf le poste d'armement.
Les écrans qui montraient l'espace qui nous entourait étaient tous noirs: le sous-espace était visible.
Je me dirigeai vers eux, les saluai tous et mon salut fut également retourné. Puis Rtas, qui était assis sur le siège de Commandant, déclara quelque chose à haute voix :
-Sortie du sous-espace dans quatre... trois... deux... un...
Bah tu sais ce que j'en pense hein, comme toujours c'est super bien écrit
(PS : J'ai retrouvé de l'inspiration pour ma fic je devrai poster le chapitre 4 demain )