The Elder Scrolls V : Skyrim

Comment décrire ce que je venais de ressentir, c’était comme si un loup venait de me mordre a pleine dent… Quoi que… non, c’était pire. Je ne savais pas la puissance d’une mâchoire Po’Tun mais maintenant je la connaissais très bien même si j’aurais voulue éviter cette expérience qui était pour le moins désagréable. J’étais en train de hurler de douleur tout en trouvant un moyen de me débarrasser d’Ili de mon dos avant qu’elle ne m’arrache un morceau de chair. Je me releva avec difficulté et me laissa tomber au sol. Le résultat se fit sentir mais pas dans le bon sens car pour encaisser la douleur qu’elle venait de subir, la Po’Tun serra les crocs encore plus a mon plus grand malheur. Je me mis à lui envoyer des coups de coude mais la délivrance fut enfin la lorsque je pu attraper le fourreau de mon Katana pour lui placer un coup dans le ventre.

Ili recula en arrière tout en maintenant une main sur son ventre pour retrouver son souffle, le coup la maintiendrai en place le temps que je puisse me relever mais la douleur affreuse qui se dégageait de mon cou était tout bonnement affreuse et ne m’aidais pas, surtout avec ma blessure au ventre. Je fus figée sur place par le regard noir d’Ili qui c’était déjà remise du coup de fourreau dans son ventre mais dans ce regard de haine je pouvais lire un doute croissant. J’avais finis par prendre réellement l’avantage sur elle et ses prochaines attaques ne seront plus aussi précises que les autres. Finalement, se fut à mon tour de charger, les Aizu m’avait apprise un moyen de ne pas ressentir la douleur pendant un court instant ce qui me serrai très utile pour finir le combat contre la Po’Tun mais il y avait un risque. Il fallait que je me fixe sur une personne ou un groupe que je haïssais de tout mon cœur mais cela pouvait alors m'entraîner à ne plus très contrôler mes actes et vu que je ne voulais pas tuer Ili. Mais maintenant je n’avais plus le choix.

La Po’Tun eu pendant un instant une peur bleu de mon regard emplis de haine et hésita mais cela m’étais plus que bénéfique et en une fraction de seconde, j’étais déjà sur elle. Elle reçut mon poing sans même avoir eu le temps de s’y préparé et encaissa de plein fouet la douleur qui suivit alors qu’elle était projeté au sol de la pire des manières. Elle tenta de se relever mais pour l’en empêcher je lui plaça un coup de talon dans son menton qui la fit décoller du sol et alors qu’elle était en l’air, je lui mis un autre coup de pied circulaire dans les cottes qui la ramena au sol sans plus de cérémonie. Je fus impressionné par l’incroyable résistance physique d’Ili qui était encore consciente malgré les coups qu’elle avait pris mais être une Po’Tun offrait cet avantage. Je me concentra pour dissiper la colère que j’avais créé en moi et ainsi pouvoir revenir à un état plus stable. Ili respirait avec difficulté et bruyamment, comme si chaque bouffé d’air était une torture, du sang coulait de sa bouche et elle se tenait les cottes à l’endroit où j’avais frappé. Il est vrai que j’aurais pu être plus délicate mais maintenant, il était possible pour moi de questionner la Po’Tun et connaître le pourquoi de temps d’agressivité, Je m’agenouilla alors au prêt d’elle.

-« ili ? Tu te souviens de moi ? »

Pour seul réponse, la concerné me cracha au visage et cela fit bondir Fevila.

-Nan mais elle se prend pour qui la Khajiit !?

La Dunmer s’avança d’un pas décidé vers Ili, l’arme à la main mais j’arrêta son avancé d’un signe de main. J’essuya alors le cracha que j’avais reçus pour reprendre ma "discussion".

-« Qu’est-ce que tu fais la ? »

Ili ne me répondit rien malgré qu’il fût possible de lire dans ses yeux qu’elle voulait ma mort.

-« Comment est tu venus ici et pourquoi tu veux me tuer ? »

-« Pour venger mes parents, monstres !! »

Cette fois, je fus pris au dépourvus par une Fevila furieuse et d’un coup sec la Dunmer assena un coup de pommeau dans le crane de la Po’Tun qui tomba directement inconsciente.

-Pourquoi t’a fait ça !? Ordonnais-je à Fevila.

- On gueul pas sur celle qui me sont promise !

-Mais je suis pas promise à qui que ce soit merde !!

Yashakenn s’approcha du corps inconscient d’Ili et prit son pouls, elle fut apparemment rassuré de voir que la Po’Tun vivait encore. Mais maintenant que faire ? Je ne pouvais pas laisser Ili ici à la nature mais si je la prenais avec moi, il y avait des chances qu’elle tente de me tuer encore une fois. Je pouvais malgré tout, comprendre pourquoi elle voulait ma mort et lui montrer qu’elle avait sûrement tort.

-Bon bah tu sais quoi Fevila, vu que tu sais pas te contrôler, tu l’as portera. Ordonnais-je à la Dunmer.

-Pardon ? S’exclama la concernée. Elle a peut-être un beau corps mais je touche pas à ce qui est poilus !!

Mais d’un coup, elle devint plutôt coquine à mon, égard.

-Mais vu que tu te mets a réellement a me tutoyer et que tu m’as appelée ma par mon prénom, d’accord.

Je commençais vraiment à penser que je ne pourrais jamais faire changer la Dunmer d’attitude à mon égard mais au moins ont évité une négociation qui s’éternisera. Fevila porta Ili sur son épaule et nous reprîmes enfin la route pour un arrêt non programmé : la ville de Skingrad.

Nom de poisson rouge dopé mais qu'est ce qui lui a prit a cette gamine
Les jeunes d'aujourd'hui...

Bon chap

Yop Reich.

Petit up pour dire que je me dépêche de re-modder Skyrim mais ça va prendre un peu de temps(Certain des mod que j'utilisais sont d'ailleurs maintenant introuvable, ce qui va grandement compliquer les recherches(se sont des mod de poses)).

Mais je suis plein de ressource quand il s'agit de vouloir quelque chose donc vous pouvez être sur que d'ici la semaine prochaine, mon jeux soit de nouveau prêt pour les screens. Les prochains seront surement sur Ili mais si vous avez d'autre suggestion, demandez.

Chapitre ce soir bien sur.

Chapitre 7 : Les conséquences d’un choix

Après quelques heures de marche supplémentaire, Skingrad fut enfin en vus. La ville avais gardé sa majesté d’autre fois et après Anvil et la Cité Impérial, il s’agissait de ma ville favorite et surtout pour le vin Surilie malgré que je n’étais pas une grande buveuse. Nous restâmes quelques instants immobiles, à contempler la magnifique cité. Fevila fut la première à briser ce moment de nostalgie mais avec la Po’Tun sur l’épaule, il était normal qu’elle voulait se poser au plus vite. Yashakenn eu du mal à décrocher les yeux du château de Skingrad mais après l’avoir appelée, elle reprit le chemin à mes côtés.

-Toutes vos villes sont faites en pierre ? Me demanda la Yurei alors que nous poursuivions la marche.

-En Cyrodiil oui. Lui répondis-je. Si tu regard bien sur une carte de Tamriel, tu verras que nous sommes au centre du continent et donc, chacune de nos frontières sont vulnérable a une attaque et donc nos villes sont fortifié au cas des groupe de la Légion doivent s’y replié.

-Donc au final, ton continent et aussi bien ravagé par la guerre à ce que je constate.

Je poussa un soupir avant de répondre.

-Et bien ce sont les guerres à grande échelles qui sont rare… du moins pour l’instant.

Nous arrivâmes enfin devant les portes de la ville, gardées par deux gardes en armure lourde et au couleur de Skingrad. Les vignobles qui entouraient la ville grouillaient déjà d’activité, d’un côté de la route se trouvait ceux de Tamika et de l’autre, les employé des "frère Surilie" malgré que ces derniers sont mort depuis longtemps, ils restent tout de même sous le contrôle de leur descendance. La guerre entre les deux camps était de toute manière finis il y a longtemps mais il était toujours possible de voir des traces de cette rivalité qui était l’un des patrimoines de Skingrad.

A notre vus, les gardes demandèrent l’ouverture des portes sans aucune vérification d’aucune sorte comme à la Cité Impérial. Cela me soulagea de voir que, malgré la nomination du nouvelle Empereur plutôt extrémiste, les gardes de la ville soient beaucoup plus tolérants mais cela ne m’empêchait aucunement d’être malgré tout prudente pour ne pas me faire remarquer. En pleine journée, la ville était plutôt vide vu que la plupart des habitants travaille et mange en extérieur, les auberges étaient bondées seulement vers six heures de l’après-midi.

-On va ou ? Demanda Fevila alors que nous rentions dans la partie des habitations.

-On va faire une pause à l’hôtel des deux sœurs le temps qu’Ili se réveille avant de repartir.

Fevila haussa des épaules et se dirigea d’un pas rapide vers l’auberge pour enfin se débarrasser du poids qu’elle avait sur l’épaule. Moi et Yashakenn suivions de prêt et ensemble nous entrâmes. J’avais entendus dire que l’Hôtel des deux sœurs avait été dirigé par deux femmes orques il y a longtemps mais maintenant, il n’y avait plus qu’une patronne, une brétonne très petite même pour sa taille. Elle était même plus petite que moi et franchement, c’était un exploit en soi. Fevila était assise a une table et avait posée Ili, encore dans le coma, sur un banc non loin. Yashakenn s'assit a côté d’Ili pour s’assurer de son état et quant à moi, je m’approcha du comptoir et appela.

-J’arrive !! Répondit une petite voix aiguë.

Quelque secondes plus tard, une petite vielle dame bien habillé d’une robe en velours bleu, et au cheveu blanc coiffé en chignon arriva et se mis debout sur un petit marche pied en bois pour être a bonne auteur derrière le comptoir mais même comme ça, je la dépassais toujours d’une tête alors que je ne suis pourtant pas bien grande.

-Que désirez-vous ? Une chambre, un repas, a boire ou tout ça à la fois ? Me demanda la petite aubergiste.

-Et bien, nous ne resterons que deux heures grand maximum mais nous prendrons tout de même une chambre pour une soigner quelqu’un. Répondis-je en désignant Ili.

-J’espère que c’est pas une droguée au Skooma !

-Nous madame. M’empressais je de répondre. Elle c’est juste prise un gros coup sur la tête.

La petite dame souffla par le nez et descendit de son marche pied pour devenir alors complètement caché par le comptoir. Je commençais à croire qu’elle devait faire partie d’une race inconnue de petite personne car ça devenait vraiment grotesque mais non, c’était bien sa taille : à peine un mètre quarante. Mais malgré ce désavantage se cachait un caractère d’acier qui renverrait un orque pleurer dans les jupes de sa mère donc mieux valait ne jamais l’énerver. Elle finit par réapparaître et cela m’arracha de mes pensé par un sursaut désagréable. Ma réaction lui fit lever les yeux au ciel et elle posa prêt de moi une clé.

-C’est la troisième à gauche au deuxième étage. Évitez les taches de sang et vous serrez une bien gentilles filles d’accord. Annonça sèchement l’aubergiste. Vous prenez quelque chose a boire aussi ?

-Et bien… Nous prendrons trois verres de vin Surilie.

La petite aubergiste hocha la tête et partie en direction de la cave à vin tout en grognant dans sa barbe.

-Pff, ces aventurières…

Cette remarque était pour le moins prévisible venant de l’aubergiste qui était connus dans tout Skingrad et même plus, heureusement que j’avais utilisée une potion de soin pour refermer mes blessure de mon combat car sinon, j’aurais été sur de me faire enguirlander pendant des heures. Je retourna m’assoir auprès de mes camarades et je lança la clé à Yashakenn qu’elle attrapa et monta vers les chambres tout en portant Ili dans ses bras.

Je resta pensif, en essayant d’ignorer les regard dragueur de Fevila, pour profiter de cette pause forcée à revoir l’itinéraire vers Skingrad. Il est vrai qu’il n’y avait qu’à suivre la route et vue sa position difficile d’accès, un arrêt a Kvatch sera inutile et pourrait même beaucoup nous retarder mais il ne faudra pas dormir avant d’avoir au moins atteint le Comté d’Anvil car les bandits qui rode entre Skingrad et Kvatch verraient en nous des cibles de choix. La petite aubergiste finit par revenir et posa trois verre de vin sur notre table mais au lieu de repartir elle resta sur place en me foudroyant de son regard inquisiteur, difficile de rester concentrée dans ces conditions.

-Heu… Commençais de manière troublée. Vous voulez quelque chose madame ?

-VOUS PAYEZ QUAND PEUT ÊTRE !!? Me répondit de manière agressive la vielle femme en m’arrachant un sursaut qui faillit me faire tomber de ma chaise. Lorsque le mont écarlate sera éteint !?

Je sortie précipitamment ma bourse pour lui payer ce que je lui devais avec la chambre et les verres de vin sans essayer de la doubler car elle était du genre à poursuivre quelqu’un jusque dans les terres mortes de Dagon avec un couperet si on ne lui avait pas payée. Elle grogna et repartit derrière son comptoir pour essuyer des verres.

-Donc on reste ici combien de temps ? Me demanda Fevila qui avait déjà finis son verre alors que j’avais à peine entamé le mien.

-Pas longtemps j’espère, juste le temps que Yashakenn réveil Ili en s’assurant qu’elle ne sera pas dangereux et de discuter avec elle.

-Tu la connais ?

-Pas vraiment, je l’avais rencontré lorsque j’étais en Akavir car sa mère voulait me demander quelque chose. Jamais je n’aurais cru voir une Po’Tun ici.

Fevila écarquilla les yeux à la simple mention du nom des célèbres hommes tigres d’Akavir pour revenir juste après à une attitude encore plus coquine envers moi. Apparemment elle ne perdait jamais le nord. Yashakenn finit par redescendre pour me dire qu’Ili était réveillé et hors d’état de nuire, je bus donc mon vin cul sec pour me diriger vers l’étage des chambres. En entrant dans la chambre, la Po’Tun, qui arborais une expression de colère et de honte, était blottis sur le lit dans un coin du mur et à ma vue, elle détourna complètement le regard.

-« Fout le camp, meurtrière !! Je veux pas te parler ! » M’ordonna Ili.

Mais pour seul réponse, je m’assis sur le bord du lit proche d’elle.

-« Pourquoi tu veux me tuer Ili. » Lui demandais-je sur un ton doux.

La concerné me foudroya du regard comme si j’avais été une Tsaesci et s’approcha lentement de moi.

-« Pardon ? » Commença-t-elle d’une voix glacée. « Tu me demande pourquoi je veux te tuer ? Tu es tellement monstrueuse que tu en oublierais le pourquoi ? »

Dans une rapidité foudroyante qui m’avait surprise, elle me mit un violent coup de pied dans le visage qui m’envoya à terre. Puis, elle dégaina un Tanto que je gardais tout le temps dans ma jambière droite et se mit sur moi, tout en gardant la dague Akaviroise sur ma gorge.

-« J’AI TOUT PERDU A CAUSE DE TOI !!! » Hurla la Po’Tun au bord des larmes. « A cause de toi, père a été exécuté publiquement avec mère !! Ma maison a été brulé et moi, on ma arracher un œil pour que la honte de ma famille sois visible de tous avant de m’exclure de l’empire sous les coups de ceux qui était avant : mes confrères !! »

-« Je ne comprends toujours pas pourquoi tu m’en veux. » Lui répondis-je en mesurant bien mes mots pour ne pas avoir la gorge tranchée.

-« Tu l’as épargné !! Voilà ce que tu as fait !!! Si mon père aurait été mort, il aurait été un martyr mais au lieu de ça, il a été considéré comme le responsable de l’emprisonnement de Tosh Raka et insulté de traître ! PAR TA FAUTE !!! »

-« Et bien… C’est ta mère qui me l’avait demandé. »

Je regretta la réponse à l’instant, Ili avait hurler de rage avant de lever sa dague. J’avais fermé les yeux, attendant le coup fatidique, mais il ne vint pas et à la place, j’entendis des sanglots retenus. En ouvrant les yeux, je vis Ili, le bras levé et toute tremblante de chagrin, les yeux plein de larmes. Elle s’effondra sur le côté avant de verser tous les larmes de son corps, des larmes qui avait été retenus il y a des jours par la haine.

-« Désolé père !! » Dit la Po’Tun en larme. « J’ai pas eu votre courage !!! »

Quant à moi, je contemplais cette scène avec un sentiment de pitié et légèrement coupable. Étrangement, j’avais l’impression de me voir un an plus tôt lorsque j’avais fui la colonie en flamme pour être recueillis par les Tsaescis Shimazu. Cela ne pouvait être une coïncidence et malgré qu’il me fût impossible de le faire totalement, j’avais une chance de réparer le mal que j’avais fait involontairement.

Nom d'une biscotte accrocher au dos d'un chat

C'est triste quand même, pauvre chaton...
Bon maintenant la suite dans deux petit malheureux jours

Chapitre 8 : Des bandits de trop

Nous profitions de notre arrêt à Skingrad pour aussi nous restaurer avant de repartir. Ili, après sa crise de larmes, restait avec nous tout en gardant la tête baissée et refusant de boire ou manger quoi que ce soit. J’avais beaucoup de mal à savoir ce qu’elle pensait, peut-être avait-elle honte ou en colère ? Yashakenn essaya d’être amical, la recoiffa mais la Po’Tun restait murée dans son silence. Dire qu’il a fallu que j’accomplisse une demande et j’avais ruinée sa famille de la pire de manière. A mon avis, elle refusait d’admettre que ça soit sa propre mère qui m’ait demandé de neutraliser sans le tuer Feng Tsao, ou alors elle le savait très bien mais ne voulais pas lui en vouloir. J’aurais bien voulu lui donner de nouveau vêtement et la laver ainsi que la soigner avant notre départ mais le temps ne le permettait pas, il fallait atteindre le comté d’Anvil avant la tombée de la nuit ou les bandits sont le plus souvent de sortie.

Pendant le trajet, elle restait en arrière, toujours la tête baissé mais nous suivez malgré tout de prêt. Fevila restait très méfiante envers elle mais moi, je ne m’en faisais plus vraiment, son envie de me tuer n’était plus sur son visage… du moins je l’espérais. Yashakenn, quant à elle, attendait juste que nous nous arrêtions pour s’occuper de ses blessures et surtout de son œil arraché. J’avais entendus parler des séries de violence des Po’Tun pour chercher des coupables dans leur peuple de la défaite qu’ils avaient subie mais le voir sous mes yeux me faisait réaliser, une nouvelle fois, à quel point les hommes tigres étaient fanatisé a l’extrême envers leur maitre et que les Po’Tun restait des Po’Tun a leur yeux uniquement si ils étaient loyal.

-Pourquoi faut qu’elle nous suive ? Se plaignis Fevila à mon oreille. J’aime pas les poilus et encore moins ceux qui veulent tuer ma meuf.

-Car elle est exactement dans le même bateau que moi il y a un an : seul dans une terre inconnus. Et je suis involontairement la cause du massacre de ses parents, je ne peux donc pas la laisser comme ça… Et puis je ne suis pas ta meuf !!

-Ça c’est qu’une question de temps ma porteuse de lunes. Me répondit la Dunmer d’un ton sensuel.

-C’est quoi ce nouveau surnom !!? M’écriais-je alors.

-Bah, ta vue tes seins ? On croirait que tu te trimbale Masser et Secunda… d’autant plus qu’ils sont tout bonnement parfait.

A cette réplique, je n’avais qu’une envie : lui démolir la mâchoire pour qu’elle ne puisse plus jamais rien dire de sa vie. Malheureusement, Yashakenn me stoppa avant que j’ai pu me faire se plaisir. Pas parce qu’elle avait remarqué que j’allais péter un plomb mais parce qu’elle avait vu quelque chose.

-J’ai vue quelque chose bouger dans les fougères. M’avertit la Yurei en gardant sa main sur la garde de son épée.

Évidemment, être en forêt n’aidait pas vraiment le repérage d’ennemie mais la technique du pas de velours ne connaissait pas cette contrainte. Avertie d’une menace potentielle, je n’eus pas vraiment besoin de me concentrer pour ressentir les vibrations, tellement forte, qu’elles me chatouillaient légèrement les pieds. Apparemment, ils étaient nombreux, une quinzaine et pas spécialement discret car en se concentrant le plus possible, on pouvait entendre un léger bruit d’armure ou d’arme. Il ne fallait pas d’investigation poussé pour savoir qu’il s’agissait de bandits mais le problème c’était qu’ils nous avaient entourées. Plus rien ne servait vraiment de poursuivre notre route et de ce fait, je m’avança d’un mètre avant de m’immobiliser, droite et fière, pour les forcer à se montrer.

-Ne bougez plus ou en vous tranchera la gorge !! Cria une voix.

J’aurai beaucoup aimé rire de cette menace qui n’en était plus une vue que l’effet de surprise des bandits avait complètement raté. Les bandits sortirent des fougères, l’arme au poing, et nous encerclèrent. Fevila et Yashakenn étaient nerveuse tandis que Ili restait tout bonnement inexpressif a l’arrivée d’une présence hostile. Mais pourtant, Fevila n’était pas juste nerveuse, je pouvais sentir de la colère ainsi que de la vengeance monter en elle. Elle avait déjà vue ces bandits, je pouvais le jurer. Celui qui était sûrement le chef s’avança. Il était équipé d’une armure de cuire Cyrodiilienne et d’une épée longue encore dans son fourreau.

-Regardez ce que nous avons là. Commença-t-il, plus pour ses hommes que nous. Des elfes !! Ceux qui se croivent supérieur à nous mais qui ne sont en fait que des larves misérables, rampant dans leur propre arrogance.

Je ne pouvais m’empêcher de penser qu’il avait appris se discoure pour le sortir à chaque embuscade fait, une sacré grande gueule donc mais les chances qu’il vale le niveau d’un garde de ville était très minces. L’envie de le trancher en deux était grande mais maintenant qu’on était là, mieux valait lui faire croire jusqu’au bout qu’on était à sa merci… Pour mieux lui ramener les pieds sur terre.

-Et en plus vous êtes venus avec une de vos esclaves ! Fit remarquer le chef en désignant la Po’Tun qui la prenait pour une Khajiit. C’est bien, on en manquait, de tout façon vous en aurez plus besoin une fois qu’on vous aura tué.

-Ta finis ton discours que je te tue maintenant ? Lui demandais-je.

Le chef des bandits parut déboussolé par ma remarque et tous les autres n’en croyaient pas leurs oreilles. Le chef s’avança vers moi, les yeux écarquillés, et me regarda de la tête au pied.

-Elle a un problème la sauvage ? Me répondit-il. Tu veux peut être que je te pende par les pieds au-dessus d’un bassin de rat pour t’y laisser tomber et te regarder te faire dévorer ?

-Tu parle beaucoup mais c’est quand que tu agis ?

Il encaissa ma réplique comme si il avait reçus un coup de poing en plein ventre, il était claire que ça ne devait pas du tout se passer comme ça pour eu. Il finit malgré tout se remettre droit pour me regarder de haut, ce qui n’était pas vraiment dur avec mon un mètre soixante-cinq de taille.

-Je vois que madame sait répliquer mais ce serait vraiment dommage de ne pas profiter de toi avant de planter ta tête sur un pique.

Il commença à me caresser la joue de sa main rude pour descendre vers mon cou. Je repoussa sa main au quart de tour ce qui ne lui fit apparemment pas plaisir.

-Retouche moi encore une fois et ta plus de main. Lui ordonnais-je

Le chef me foudroya du regard et commis alors sa dernière erreur en attrapant à pleine main mon sein droit. Je dégaina mon Katana et lui trancha le bras comme promis au niveau du coude et avant qu’il n’est eu le temps de hurler de douleur, sa tête tomba au sol avec un rictus de surprise. Encore sous le choc, un des bandits reçus un carreau d’arbalète dans le crane sans plus de cérémonie de la part de Fevila avant, avant qu’elle ne fonce sur un autre, l’arbalète comme arme contendante. Yashakenn elle aussi prit part au combat, malgré qu’elle préférait éviter, et deux ennemis furent mis au sol avec des coups d’épée rapide et précis.

Je me releva lentement de la position final de mon coup qui décapita le chef pour accueillir un bandit, armé d’une hache a deux main. D’un mouvement sec, je lui mis un coup de poing dans la mâchoire, avant de le transpercer en plein cœur. Un autre arriva alors que je n’avais toujours pas dégagé ma lame mais j’interrompis sa charge d’un coup de pied dans le ventre avant qu’il ne reçoive un coup de pommeau dans le crane, suivit d’un coup de katana qui lui élargis le sourire sur le côté droit de la joue. Mais il n’aura jamais le temps de sourire car il reçut un puissant coup de genou qui lui enfonça le nez dans le cerveau, il s’écroula donc en arrière directement.

-CRÈVE BOSMER !!!

Malheureusement, le bandit ne put mettre sa menace a exécutions et son corps de retrouva séparé de ses jambes sans plus de cérémonie. Un autre tenta de m’attaquer par derrière mais il fut accueilli par le talon de mon pied droit en plein dans la gorge pour, par la suite, être éventré d’un coup de katana et achevé d’un coup qui lui transperça le crane en passant par la mâchoire. En me retournant, je pus voir que Yashakenn et Fevila avait bien remplis leur office, bien que la Dunmer s’acharnait a coup d’arbalète sur le cadavre d’un des bandits.

-Attention !! Me cria Yashakenn en pointant derrière moi.

Cet avertissement fut inutile, j’avais déjà ressentie la présence du bandit qui se ruait sur moi l’arme levée. Je rengaina mon Katana et fit le vide dans mon esprit. J’écarta les jambes et gardait la main sur la poignée de mon arme et au dernier moment, je dégaina et trancha la tête du bandit qui vola dans les fougères.

-La vache !! T’as pas lambiné en Akavir. S’exclama Yashakenn.

Je ne pus m’empêcher d’avoir un sourire de fierté face à la remarque de la Yurei car j’avais mérité ce talent et cette maîtrise. Je pu apercevoir Ili, toujours dans la même position que tout a l’heure. Elle ne c’était en aucunement défendus, il allait falloir que je lui parle une fois que nous serions dans un endroit sûr. Je fus attiré par les coups d’arbalète que donné Fevila, avec une expression de haine sur le visage, sur le même cadavre qui ressemblait plus à un charnier maintenant. Drôle de spectacle que de voir une Dunmer jovial par habitude qui manifestait tout d’un coup un désir de vengeance énorme. Je m’approcha d’elle et lorsque je mis ma main sur son épaule pour qu’elle s’arrête et me fit volte-face brutalement.

-Ça va ? Lui demandais-je.

-Oui ! Maintenant ça va !!

-T’es sur ?

Fevila ne répondit pas et plaça un dernier coup dans le visage déchiqueté du cadavre, j’aurais pu croire que sa colère était dû au fait que le chef des bandits m’avait touché de manière autrement déplacé mais non, cette colère était beaucoup plus profonde, c’était donc autre chose. Yashakenn avait déjà repris la marche avec Ili à côté d’elle mais nous attendais a quelques mètres.

-On y va ? Me pressa Fevila.

-Qu’est ce qui va pas ?

Fevila paru hésiter mais finalement, elle répondit.

-Je te le dirai sur le chemin.

Cette réponse me convenait et au moins, elle ne débordait pas de perversité comme Fevila avait l’habitude de faire à chaque fois qu’elle me parlait. Nous reprîmes la marche avec pour but de rejoindre le Comté d’Anvil rapidement.

Super chapitre
Dite donc mais Févila est de plus en plus perverse
Le Maréchal adore ça

Chapitre 9 : De Skingrad à Kvatch

Après quelques heures de marches, nous sortîmes enfin des bois pour nous retrouver dans une magnifique plaine si particulière à cette région entre Skingrad et Kvatch et tout cela, sous la lumière doré du soleil de seize heures. Fevila avait passé le trajet légèrement devant moi sans me draguer une seul fois, non pas que cela me déplaisais mais je voulais savoir le pourquoi de son air soudainement morose car je n’aimais pas quand les gens faisait la tronche autour de moi. Yashakenn quand a elle continuait à diriger le groupe tout en apprenant à Ili, qui c’était remise timidement a parler, le Tamrielien.

-Donc ? Qui étaient les bandits de tout à l’heure ? Demandais-je à Fevila.

-Oh… heu… juste des malfrats qui m’avaient piqué un contrat y a pas longtemps. Me répondit maladroitement la Dunmer.

-Vous êtes sur ? Insistais-je.

Fevila ne répondit pas et se contenta d’avancer silencieusement, puis elle marcha vers le bord de la route pour s’y asseoir et regarder l’horizon. J’appela Yashakenn pour lui dire d’attendre un peu et je m’approcha de la Dunmer.

-Tu connais Morrowind ? Me demanda-t-elle.

-Pas vraiment. Lui répondis-je en m’asseyant à côté d’elle.

-Je suis originaire de Morrowind, dans une ferme proche de la frontière de Cyrodiil. J’avais six frères et sœur et on aidait nos parents aux champs. J’étais heureuse.

Elle marqua une pause, puis elle reprit.

-Et un jour, sans prévenir, on s’est fait attaquer par des bandits. Des bandits du groupe de tout à l’heure qui ont pour objectif de s’attaquer à tout ce qui est elfe. J’avais dix ans quand ça c’était passé. Moi et mes frères et sœur on c’était caché dans la cave mais ils ont finis par nous trouver et j’ai pu fuir uniquement grâce à ma famille qui les a retenue.

Je ne pouvais pas croire ce que j’entendais. Une Dunmer mercenaire qui passait son temps à me draguer se confessais à moi sur son passé douloureux. J’aurais décidément tout vu. Je ne pus m’empêcher d’avoir pitié d’elle malgré tout car moi j’avais eu une très bonne enfance et elle, gâché par une attaque de bandits sans scrupule.

-Mais malgré ma fuite, ils ont finis par me retrouver. Reprit Fevila. Et pendant quatre ans, ils m’ont enfermé dans leur planque et se sont servis de moi comme… un jouet. Mais j’ai finis par être sauvé grâce à l’intervention d’un paladin Impérial et surtout, un chevalier des neuf de Stendarr. Il m’a emmené à la Cité Impérial, je suis tombé amoureuse de lui, et lorsqu’il est mort d’une blessure je suis partie vivre ma vie.

-Je suis désolé. Répondis-je bêtement.

-Ah oui ? Me répondit Fevila. T’as déjà perdu un proche peut être ?

-Oui. Lui répondis-je. Mon père et mon amant.

-Oh… désolé… je savais pas.

Nous restâmes silencieuse quelques secondes puis, Fevila se remit debout d’un trait, le sourire aux lèvres ce qui me surpris beaucoup.

-Enfin bref. S’ecria-t-elle. J’ai pris ma vengeance sur ces connards et j’ai un nouvel amour. Pas vrai trésor ? Me demanda Fevila.

Décidément, la Dunmer ne perdait jamais le nord. Je me releva pour enfin continuer la route et cette fois, Yashakenn et Ili se mirent derrière. Je commençai à regretter d’avoir voulue parler avec Fevila car elle c’était remise à me mater sous tous les angles et à mon avis, elle avait une envie folle d’ouvrir en grand mon veston de peau, et dire qu’il allait falloir que je la présente à ma mère. Je fus malgré tout interloqué par le fait que celui qui avais sauvé la Dunmer de ses ravisseur sois un des légendaires chevaliers des neuf. Ces glorieux soldats c’étaient courageusement battue pendant la grande guerre contre les armées du Thalmor mais la différence avec les autre armées spécialisé de l’Empire était que eux savait faire la différence entre les elfes et les partisans du Thalmor. Après le traité de l’Or blanc, le Thalmor ne pouvait rien faire officiellement contre eu car il n’était en aucunement rattaché à l’Empire et continuant des série d’attentat contre les forces du Domaine. J’avais toujours rêvé d’en voir un mais leurs célèbre prieuré au sud-est de Skingrad a été déserté après la capitulation de l’Empire.

Quand leur chef, le divin croisé, il disparut peu après la crise d’Oblivion, on dit qu’il aurait traversé la porte de la folie dans la Baie de Niben et qu’on ne l’aurait plus jamais revus mais le problème était qu’il était partie avec toutes les reliques de Pélinal Blancserpent sur lui, un sacré coup dur pour l’ordre qui tenta longtemps d’aller dans les Shivering Isle pour sauver le Divins croisé.

-Ça pourrait être un bon sujet de recherche. Pensais-je à voix haut.

-Bah moi j’ai déjà trouvé le mien. Commenta Fevila dont le regard ne lâchait plus mes seins.permettez, vous allez nous suivre au camp!!

Sur cet instant, j’ai promis de lui en coller une au moment où elle s’en attendra le moins. La ville de Kvatch finit enfin par être en vue. La cité avait eu beaucoup de mal de se relever de la crise d’Oblivion et les réparations prirent un temps monstrueux et au final, la ville ne fut qu’entièrement réparé juste pour le début de la grande guerre. Heureusement pour elle, le fait que la ville soit postée sur une élévation lui offrit un énorme avantage contre les elfes qui ne réussirent jamais à la prendre et furent forcé de briser le siège lorsque le traité de l’or blanc fut signé.

Depuis, la ville abrite un centre d’entrainement de troupe spécialisé appelé "les hommes d’aciers", des soldats spécialisé dans les batailles de positions comme les sièges, qu’il soit attaquant ou défenseur. Lors plus gros avantage est leur manière de se battre qui est complètement différente de ce que tout le monde est pu voir. J’avais une fois assisté à un entrainement de cette troupe d’élite dans la réserve impérial contre des bandits. Ces derniers n’ont même pas pu atteindre leur position fortifiée et on tout simplement finit sous une grêle de flèche. J’étais persuadé que si la grande guerre reprenait, le Thalmor déchantera bien vite face à eux.

-On fait un arrêt à Kvatch ? Demanda Yashakenn.

-Non, s’il le faut vraiment on campera un peu plus loin mais rejoindre la ville nous fera perdre du temps. Lui répondis-je.

La remarque de la Yurei était compréhensible car il était maintenant six heures du soir et il nous restait encore un peu de marche pour être hors de cette zone de danger. Nous continuâmes de marcher mais par mesure de sécurité, je fis presser le pas car je n’avais pas vraiment envie de tomber sur un autre groupe de bandits. Mais de nouvelle vibration se firent sentir mais cette fois, il ne s’agissait pas de bandit. Ses nouveaux arrivant étaient peut être en armure lourde mais ils savaient se faire discret. Puis, il y eu un cri de guerre suivit rapidement par des bruit de combat qui venait du nord de la route. En regardant dans cette direction, il était possible de voir une troupe de la légion en train de massacrer un groupe de maraudeur qui aurait surement bien voulu éviter des adversaires aussi bien entraîné.

-Oh merde ! S’exclama Fevila. Faut qu’on se casse avant qu’ils s’intéressent à nous.

-Et pourquoi donc ? C’est des soldats de la Légion, ils sont dans notre camp.

-Sauf qu’on est des elfes !! Faut qu’on se bouge.

La Dunmer ne me laissa même pas le temps de lui répondre qu’elle reprit déjà la route à mi-chemin entre la marche et la course. Je me remis néanmoins à reprendre à mon tour le chemin en suivant Fevila, les bruits de combats s’estompèrent et tout redevint rapidement calme. Mais les vibrations ne se calmèrent pas pour autant et indiquaient clairement que les soldats se dirigeaient droit vers nous. La Dunmer avait raison, les soldats de la légion ne nous considéraient pas le moins du monde comme des voyageur ou des aventurières.

-J’ai comme l’impression qu’ils nous suivent !! Alertais-je.

-Ils sont sympa les militaires de ton pays je trouve !! S’exclama Yashakenn avec un ton a moitié sarcastique et paniquée.

-Tu veux qu’on discute des tiens peut être!? Lui rétorquais-je en faisais allusion au Yurei en armure qui on bien faillis me tuer a plusieurs reprise dans les tunnels d’Akavir.

Nous n’avions pas vraiment le temps de faire un débat sur les soldats ayant le moins de tact, j’avais ressentie des vibration tellement forte qu’elle me provoquait de terrible démangeaison a la plante de mes pieds et pour éviter que cela devienne vraiment très gênant, je diminua la sensibilité de mes nerfs dans cette partie de mon corps. Et puis a ce point la, ce n’était plus vraiment utile de savoir ce qui se passait autour de nous, car les sons le résumaient assez bien.

Les grandes vibration, étaient celles de cavaliers cela ne faisait plus aucun doute, je pouvait même entendre celui qui était sûrement le chef de cette troupe, beugler ses ordres a droite et a gauches. Un chose est sur, il ne nous aimait pas. Par curiosité, je tourna ma tête pour voir ou étaient nos ennemis et je ne fut pas déçus de se coup d’oeil en matière d’information car ils étaient juste derrière nous. Plusieurs paires de cavalier nous suivaient et tenaient tous un filet entre eux pour nous attraper. Je dus assister impuissante a la capture de Yashakenn par un duo de cavalier impériaux qui l’avais pris en tenaille. Mais je fut interloqué par l’absence de Ili. Ou était elle?

Malheureusement, cette réflexion me fut fatal et par manque d’attention, je trébucha au sol sur fevila et en a peine deux secondes, nous fument tout les deux prisent dans un filet... le même a mon grand désarrois.

-J’adore quand le destin nous rassemble. Se réjouit Fevila qui était collée a moi.

Les cavalier qui c’était arrêtés descendirent de cheval et nous menacèrent de leurs grandes hallebardes. Un autre soldats Impériaux s’approcha de nous en se frottant les main et une fois proche de nous, il dit.

-Mess salutations chers espionnes du Domaine, si vous

Super suite
Juste il manque un truc a la fin

Bah voila sa phrase au complet(Se faire troller par un copier coller... J'aurais tous vues!!!)

"-Mess salutations chers espionnes du Domaine, si vous permettez, vous allez nous suivre au camp!!"

Finalement les prochain screens arriveront surement se week end.

Chapitre 10 : Les erreurs de l’administration militaire

Le moins que l’ont pouvait dire sur la délicatesse de notre escorte, c’était que des Cendrais Dunmer seraient nettement plus agréable. Celui qu’ils appelaient “second”, se contentait de nous jeter des regard noir tout en nous faisant avancer dans une plaine, tout proche de la ville de Kvatch. Fevila avait été bâillonnée plutôt après notre capture, il faut dire que après tout elle avait été plutôt grossière avec les légionnaires et encore plus lorsqu’ils m’ont passée les menottes. Yashakenn se contentait juste de les observer et ce qu’elle pensait d’eux était un véritable mystère pour moi.

Pour ma part, j’avais été sortie du filet comme un pantin désarticulé et bien entendus, dans leur plus grande logique, il ont cru que je m’accrochais au maille du filet et m’ont donc roué de coups de pieds. Mais la vrai douleur fut lorsque le second, m’arracha mon Katana des mains, la déclaration d’amour de Yoshiko a mon égard traité comme un vulgaire bout de ferraille. Au moment ou le légionnaire la accroché a sa ceinture, je n’avais eu qu’une envie: le tuer. Mais cela ne nous sortirais aucunement de la situation ou nous étions et je du me retenir car pour l’instant, je devait obéir.

Nous continuâmes de marcher encore plusieurs minutes pour finalement, une fois que nous étions derrière Kvatch, voir un grand campement de guerre Impérial. Je n’étais pas vraiment surprise de voir un campement de cette envergure dans la régions, le Comté de Kvatch et Anvil avait été misent en sur protection militaire car le port d’Anvil représentait une arrivé possible d’une armée du Thalmor. La grande guerre était peut être terminé, les tensions restaient pourtant très présente, une habile guerre froide de manigances politiques en attendant que la guerre reprenne pour de bon.

-Eh, la Bosmer! Ralentie pas!!

Malgré que la remarque était nécessaire, le petit coup de hallebarde dans la hanche l’était beaucoup moins. Je fut déséquilibre sous la douleur mais pour ne pas passer un mauvais quart d’heure au sol, je fit un énorme effort pour rester debout et continuer d’avancer au rythme des légionnaire. Fevila avait maintenant une envie folle d'écarteler le légionnaire derrière moi et malgré qu’elle était bâillonnée, j’entendais clairement des insulte hurlée a plein poumon mais étouffées... un spectacle plutôt amusant a vrai dire.

Lorsque nous entrâmes dans le campement, seulement quelques soldats nous observèrent, les autres étaient déjà bien occupé par d’autre activité pour nous prêter la moindre attention. Ils aiguisaient leurs armes, polissaient leurs armures, les forgerons battaient le fer encore rouge de chaleur et les instructeurs entraînaient les nouvelles recrue.

-La dedans! Ordonna le second en écartant le tissus d’une grande tente qui devait être celle d’un capitaine.

Une fois rentré, mes déductions étaient justes, il s’agissait bien de la tentes d’un capitaine. Le sol était recouvert de moquette grise, un vrai soulagement pour mes pieds qui réclamaient un peux de confort après une marche aussi forcée. De nombreux meuble luxueux décoraient la pièce mais surtout, un homme d’une cinquantaine d’année, plutôt musclé malgré son âge, était derrière un grand bureau en train sûrement de rédiger un rapport. Le second s'approcha du capitaine et lui chuchota quelques choses a l'oreille, en appuyant sa main sur mon Katana. Ce simple détail me rapprochait de plus en plus de la crise de rage.

-Vous êtes sur? Demanda le capitaine a son second.

Ce dernier hocha la tête et le chef du camps nous observa puis se leva pour se diriger vers nous. Il était aussi plutôt grand, bien que ça ne soit pas dure de me dépassait en taille, mais il faisait quand même au moins un mètre quatre vingt dix et se tenait très droit. Il nous observa un moment puis se retourna vers son second.

-Je ne crois pas que...

-CAPITAINE!!! Cria un légionnaire qui venait juste de rentrer précipitamment dans la tente. Les maraudeurs d’Herns sont vulnérables.

-Restez ici!! Ordonna le capitaine a son second. J’en ai pour quelques minutes.

Et il sortie rapidement de la tente. Le second attendit un peux pour, apparemment s’assurer que le capitaine était bien et se mis a nous observer de haut en faisant les cent pas devant nous. Il était claire que j’aurais préféré être évalué par le capitaine qui semblait être plus raisonnable que son second qui devait ne pas beaucoup aimer les elfes. A mon grand soulagement, il finis par détacher mon Katana de sa ceinture pour le poser sur le bureau du capitaine, la où e trouvait maintenant les armes de Fevila et l’épée de Yashakenn.

-Le moins qu’on puisse dire c’est que ça ne s'annonce pas bien pour vous bande d’espionne. Commença le second. Je suis au regret de vous annoncer que quelqu'un vous a balancée et que nous savions donc qu’un groupe viendrait voler des information sur les défenses de la frontière.

-Désolé mais nous ne sommes que des voyageuse en direction d’Anvil.

Ni une ni deux, je reçus une gifle monumental en plein dans le visage par l'impérial qui avait encore les gants de son armure plate. J'eus un mal fout pour ne pas tomber au sol, Fevila était tout bonnement furieuse envers le légionnaire et cette fois si j’étais sur qu’elle avait hurlée “fils de putain” derrière son bâillon. Le second m’ignora et se mit face a une Yashakenn qui resta de marbre face au regard accusateur que lui lançait l’impérial.

-Anvil hein? ça alors, le seul endroit de débarquement qui offrirait une ligne droite vers la Cité Impérial. Je pense donc que votre excuse ne fait que confirmer ce que j’ai dit plus tôt.

Yashakenn ne répondit rien et l’expression de son visage ne trahissait aucune de ses émotions ce qui semblait agacer grandement l’impérial qui aurait voulue voir de l’hostilité sur le visage de ce qu’il pensait être une Altmer. Voyant qui n’obtiendrai aucune satisfaction de se coté la, il se tourna vers Fevila qui ne cachait aucunement sa furieuse envie de meurtre a l’égard de tout les soldat du camps.

-Je suis plutôt surpris de voir une Dunmer avec vous car officiellement, Morrowind ne fait pas partie du Domaine Adlmeri mais... un elfe reste un elfe après tout.

Si elle n’avait pas eu son bâillon, j’aurais pu jurer qu’elle aurait craché au visage du second. Malheureusement pour elle, elle se contenta juste de hurler des insultes sans queue ni tète a l’encontre du soldat qui ne lui prêta déjà plus aucune attention. Il se mit fasse a moi et, apparemment, il appréciait beaucoup le fait que j’ai a lever la tête pour le regarder. Dans d’autre circonstance, je lui aurait briser les genoux d’un jeu de jambe habile sans même lui laisser le temps de comprendre ce qui lui arrivait. Il observa mes tatouages visible avec un dégoût non dissimule, ce n’était pas vraiment une pratique très courante en Tamriel et encore moi politiquement correct en Cyrodiil et donc, a tout les coup il me prenait pour une sauvage alors que j’avais, sans aucun doute, plus de sang impérial que lui dans les veines.

-J’avais entendus parler des histoires sur votre peuple, Bosmer. Mais apparemment, il faut vous voir sur votre véritable état pour comprendre la décadence de votre peuple.

Sur l’instant, j’avais une eu une envie folle de lui mettre un coup de genoux dans l’entre jambe mais si je le faisait, je perdrais définitivement mon statue d'innocente. Il s’approcha du bureau et ordonna a un légionnaire d'amener un tortionnaire. Maintenant je n’avais plus qu’une envie, que le capitaine revienne rapidement et qu’il mette fin a ce cirque mais d'après ce que je croyais comprendre, il était partie intercepter un groupe de maraudeur, c’était presque a croire que le destin s’amusait a me mettre dans les pires situation. Le second se rapprocha de nous avec plusieurs feuille dans les mains et, après nous nous avoir observée avec mépris, il pris la parole.

-D'après nos informations, vous avait toujours les ordres écrits de vos supérieur. Je vous ordonne donc de me les remettre tout de suite.

-Comme je vous l’ai déjà dit nous ne... Protestais-je.

-Vous ne voulez pas? M’interrompis Le second. Très bien!! On vas donc utiliser une autre méthode: Déshabillez vous maintenant!!

Il fit un signe de main a deux légionnaires qui, sur l'ordre, retirèrent nos menottes sauf a Fevila qui aurait sûrement fait passer un sale quart d’heure au second une fois les mains libres. J’avais vraiment du mal a croire que l’ont nous demander de retirer nos vêtements et surtout, de la par d’un légionnaire impérial. Si mon père avait entendus ça; il en aurait pleuré de honte envers un corps militaire qui avait fait de lui, l’homme qui l’était. Yashakenn se dévêtit sans un mot, je ne savait pas si c’était parce qu’elle croyait qu’il s'agissait d’une nouvelle coutume de Tamriel ou tout simplement car elle ne voulait pas s'attirer de problème. Toujours est il qu’elle se retrouva en quelques secondes en sous vêtement d’un blanc parfait. Le second, apparemment déçus que Yashakenn n’est opposé aucune réticence, se tourna vers moi.

-Il vous faut une invitation peut être? J’ai donné un ordre!
-C’est que... J’ai pas de sous vêtement. Annonçais je au second.

-Et bien comme ça vous n’aurait rien a cacher. Me répondit il du voix glacée.

Voyant que le légionnaire ne voulait pas lâcher l’affaire, je du me résigner a accepter son ordre en commençant par mes brassards. Mais, par la grâce des dieux, une personne entra dans la tente et par chance il s’agissait du capitaine qui était de retour de son interception. Il écarquilla les yeux en voyant Yashakenn en petite tenue et moi qui allait me retrouver entièrement nue. Puis il porta son regard vers le second.

-Qu’est ce que ça veux dire!!?? Ordonna-t-il au second.

-Je procède a une fouille monsieur. Bafouilla de peur le soldat qui venait d'être pris la main dans le sac par son supérieur.

-SORTEZ!!! Nous discuterons de ça plus tard.

Le second ne se fit pas prier plus longtemps et déguerpis de la tente sans se faire attendre. Le capitaine poussa un soupir et secoua la tête en se rasseyant a son bureau, Yashakenn en profita, d'ailleurs pour se rhabiller.

-Mes plus plaintes excuses pour ce qu’il c’est passé mesdemoiselles, J’aurais du régler votre affaire avant de partir.

-Ce n’est pas votre faute capitaine, vous aviez votre devoir a faire. Répondis je.

-Oui mais mon devoir et aussi de surveiller mes hommes quand je connais leur caractère. Mes soldats vous ont pris pour un groupe d’espion du Thalmor mais ils n’ont pas pris en compte qu’il s’agissait uniquement de Khajiits. Ils ont vu des elfes, ça leur a suffit. Vous pouvez partir, je me chargerais que cette affaire soit close.

Il détacha Fevila qui remercia en tirant la langue et après mettre inclinée et que nos armes nous soit rendus, nous repartîmes vers Anvil. Il était maintenant huit heures du soir et le soleil était en train de se coucher.

Pas mal le chaps

Mais pourquoi tes arriver le Capitaine ? on aller voire Miria a poil et vulnérable

Chapitre 11 : Une promesse de sang

Quitter le camps se fit d’un trait, je n’avais après tout plus aucune envie d’y rester malgré que le capitaine ne nous voulait aucun mal. Cet arrêt forcé nous fit perdre un temps monstrueux et rattraper le retard était devenus impossible, rien que pour rejoindre la route, il nous a fallut une demi heure et le soleil était déjà presque couché. Mais au moins, nous avions rejoins le comté d’Anvil rapidement, nous étions en sûreté. Mes jambes pouvaient a peine me porter et un mal de pieds grandissait a cause de la marche forcé que nous a obligé de faire les Légionnaires. C’était d'ailleurs l’un des défaut du pas de velours, a mon rythme je ne ressentait aucune douleur qui pouvait être du a la marche pieds nus mais au delà, les règles de la nature reprenait le dessus.

J’avais vraiment du mal a me sortir de la tête la réaction de mon père si il aurait assisté a ça. Furieux? Oh que oui mais grandement indigné et pas juste parce que j’étais sa fille. Servir dans la légion avait été pour lui un grand honneur et il la considérait comme une deuxième famille. Il m’avais dit de nombreuse fois que si il n’avais pas rencontré ma mère, jamais il n’aurait quitté la Légion. il me parlait d’honneur d’honneur et de fraternité, un lieu ou les supérieur ne considèrent pas leur soldat comme un simple chiffre mais comme des être humains et mon père pu se lier d'amitié avec quelques générales.

-Nan mais quelle bande de connards!! Continua de se plaindre Fevila se qui me sortie de mes pensé un peux brutalement. Genre les Dunmer font partie du Domaine c’est ça et pendant qu’ont y est j’uis hétéro!!

Par les neuf, j’aurais tout donné pour que ça sois le cas et qu’elle arrête enfin de mater mes seins.

-Ils ont bien fais de pas me détacher car sinon j’aurais fais un massacre!! Et l’autre con de capitaine qui nous laisse bien dans la merde je le retiens lui, depuis quand la Légion se comporte de la sorte!!?

-Je pense qu’il s’agit surtout d’un conflit de génération. Dit Yashakenn.

Intriguée, je tourna la tête vers elle pour l’inviter a continuer, ce qu’elle fit.

-Regardez, d’un coté nous avons les “anciens” de la Légion et de l’autre, ceux qui ont étés formés sous la domination de l’Empereur actuel et vus ses opinionw extrémistew, ça ne m’étonne pas que ce type d’enseignement soit mis en application lors de la formation des soldats.

-Mais c’est qu’elle a un putain de cerveau la petite Altmer! S’exclama gaîment Fevila en lui frottant le crane, avant de revenir a son occupation favorite: plonger son regard dans mon décolté.

Je fut finalement intrigué par une silhouette assise au bord de la route et a ma grande surprise, il s’agissait d’Ili. Fevila poussa une menace a l’encontre le la Po’Tun avant de s’avancer vers elle d’un pas décidé mais je la retins dans son avancer. Il valais mieux que ça soit moi qui y aille. Je m’approcha lentement de la Po’Tun, non pas qu’elle allait encore tenter de me tuer mais de la prudence ne faisait pas de mal, et je m’accroupis en face d’elle. La Po’Tun semblait toujours aussi perdu et triste que la dernière fois.

-Ili? Appelais je.

La concerné leva la tête vers moi et se redressa d’un bond sans dire un mot. Puis, elle pointa du doigt un fort en ruine pour suggérer de camper la bas. C’était plutôt une bonne idée, a condition de ne pas entrer dans le fort car je n’avais pas envie de me réveiller en tête a tête avec un liche ou je ne sais quelle autre monstruosité... même si les Yurei restait en tête de liste en tant que pire réveil matin. Voyant que ni Yashakenn et ni Fevila, qui se dédiait pleinement a son activité a mon grand bonheur, contredisait l’idée, je décida donc d’ouvrir la marche vers le fort pour enfin me reposer après une tel marche.

La ruine était en arc de cercle ou l’ouverture était orienté vers la route ce qui était favorable en cas de fuite si les habitant du fort viendrait nous tenir compagnie. L’étage était effondré mais un escalier a moiter détruit suggérais qu’il y était possible d’y accéder avant et les quelque colonne tombé au sol formaient un bon périmètre défensif en cas d’attaque de l'extérieur. La porte vers les accès inférieur du fort était, et heureusement, celée par des chaînes et par un cadenas qui arborait le seau d’Uriel Septim VII. J’étais, tout d’un coup, pour le moins curieuse de savoir ce que recelait les sous sols de la ruine mais j’aurais tout le temps de faire une visite lorsque j’aurais revus ma mère et je n’était pas vraiment en forme pour une exploration.

Je m’étala au sol prêt d’une petite marre fait par sûrement quelque averse et lorsque je remarqua se détail, j’y plongea tout de suite mes pieds pour, d'abords les nettoyer et ensuite pour calmer la douleur, je poussa d'ailleurs un fort soupir de soulagement.

-Tu veux que je prenne soin de toi? Demanda Fevila sur un ton qui voulait tout dire.

-Non merci. M'empressais je de répondre.

-Ok, comme tu veux ma porteuse de Lune. Bon!! Je vais voir si il y a quelque piécettes a récupérer pas loin, je reviens tout de suite.

Je ne pouvais qu’approuver sa décision car enfin elle s'intéressait a autre chose que mon corps et il s’agissait d’un progrès énorme dans sa mentalité qui fit demandé si ça serait permanent. Yashakenn était assis a coté d’Ili pour enfin s’occuper d’elle, elle avais déjà fais une bref vérification de ses bras mais attendrais plus tard pour le reste du corps. Par contre, si il y avait quelque chose qui ne pouvait plus attendre, c’était l’oeil arraché de la Po’Tun. Elle retira le bandage rouge foncé pour constater les dégâts et même de la ou j'étais, je pouvais voir que celui qui l’avait mutilé n’y était pas allé de mains morte car, justement, il y était allé a la main. Ili se laissa faire, le regard perdu dans le vide et après quelque minutes je décida de m'asseoir prêt d’elle.

Yashakenn avais essuyé le sang et s’assurait que la blessure ne s’infectera pas avec quelque sort de soin mais vu le regard qu’elle me lançait, elle ne pouvait faire revenir l’oeil d’Ili. Sans le vouloir j’avais été la cause de tout ce qu’elle avait subie dans son pays natal. Yashakenn fut interrompus lorsqu’elle voulus remettre le bandeau a sa place d’origine par Ili qui lui demanda de la laisser avec moi. La Yurei me regarda mais après un hochement de tête de ma part, elle partie. Ili resta silencieuse de longue seconde qui paraissait pour moi comme une éternité mais elle finis par briser se silence.

-« Je le savait... au sujet de ma mère je veux dire. » Commença elle. « Mon père me fit malgré tout promettre de tuer la responsable de notre disgrâce mais je ne pouvais me résoudre de tuer ma propre mère. »

-« Donc la seul responsable qui convenait le mieux était celle qui avait battue ton père, donc moi? » Répondit je.

La Po’Tun hocha la tête et me regarda enfin directement.

-« Oui mais t’atteindre en Akavir était impossible mais j’avais eu vent de ton départ et... je me suis glissé dans la cale du bateau. »

J’avais vraiment du mal a croire que la Po’Tun avait réussi a s'infiltrer dans le bateau qui m’avais ramené en Cyrodiil. Elle n’avait qu’un ans de moins que moi, a savoir seize ans, et pourtant elle était déjà plus efficaces que moi alors que j’avais encore beaucoup a apprendre auprès de Tashi. a croire que son entraînement avais commencé depuis le berceau... c’était même peut être bien le cas. Elle s'apprêta a reprendre mais posa d'abord la main sur son œil manquant, caché par son bandeau.

-« Dans le navire, je n’est pas arrêté de pensé a la manière de te tuer. Je voulais d'abord que tu souffre de la pire des manières, comme tu m’avais fais subir. Mais si je m’étais prise a ta famille, j’aurais eu l’impression de te ressembler et je fit donc une croix sur cette idée. Je voulait juste ta mort, juste d’arracher ton dernier soupir sur ton corps sans vie... »

Elle s'arrêta dans son récit qui n’avais rien pour me rassurer mais qui me semblait étrange. Si elle voulait tant ma mort, pourquoi ne l’avait elle pas fait pendant le trajet avec nous? Certes l’effet de surprise n’aurait pas été aussi efficace qu’avant mais elle avait quand même ses chances.

-« Mais quand j’étais sur toi, dans le bâtiment de la ville. Quand je tenais ta vie entre mes mains, j’ai pensé a ma mère, ce qu’elle penserait de moi et sa réaction et... J’ai perdu mon courage... J’ai fais honte a mon père alors que je lui avait promis la mort du responsable. »

-« Et maintenant? » Demandais je enfin. « Que va tu faire? »

-« Un pacte avec toi. »

J’observa Ili très intriguée par ce qu’elle voulait dire par la, mais elle finis par reprendre.

-« Tu dois me promettre de ne jamais mourir, de ne jamais te faire tuer d’une quelconque. manière. Si tu ne peux tenir cette promesse, je m’assurai que tu la tienne car je ferrai tout ce qui est en mon pouvoir pour que tu vives. »

-« Ou est le piège? » Demandais je.

-«Tu dois aussi me promettre, que lorsque tu en aura assez de vivre, lorsque tes jambe ne pourront plus te porter ou tu le souhaite et que tes ne pourrons plus manier ton arme, tu devra me demander de te tuer. Et je le ferais. »

En autre terme, elle voulait toujours tenir la promesse de son père en voulant être celle qui me ferra quitter se monde quand je n’aurait plus rien a y faire. Je n’avais pas vraiment le choix et je hocha la tête pour accepter ce qu’elle voulait et au final, ce n’était pas trop mal car je pouvais continuer a vivre sans craindre qu’elle ne me plante une dague dans le dos. ili s’inclina et je cru apercevoir un sourire de bonheur sur son visage. C’était la première fois que je la voyais sourire et je ne pu m'empêcher de faire le rapprochement avec moi avant mon départ pour Akavir.

Je fus sortie de mes pensés par un lourd bruit de chaîne et je n'eus pas besoin de réfléchir bien longtemps pour savoir d'où ça venait. Je fut a peine surprise de voir Fevila a coté de la porte qui donnait accès au souterrain du fort avec une fausse expression d’innocence sur le visage et le cadenas des chaînes dans la main. Yashakenn était a coté et jetais de curieux regard vers la porte qui ne demandais maintenant qu’a être ouverte. En que je n’était pas très ravis que les chaînes aient été retiré, Fevila s'exclama.

-C’est pas moi!! Avec un horripilant sourire sur le visage.

-Mais bien sur. Lui rétorquais je.

La Dunmer haussa les épaule et tourna la tête vers Yashakenn qui ouvra la lourde porte en bois dans un grincement strident, puis Fevila se retourna vers moi et Ili qui était juste dans mon dos.

-Bah maintenant que c’est ouvert, autant y faire un tour, nan?