Chapitre 19 : Lorsque les princes ci mêle
Après plusieurs heures d'entraînement intensif avec Tashi, nous allâmes rejoindre le dîner qu’avait préparé fasuuji. J'eus beaucoup de mal a tenir ili a sa place car, en tant que Po’Tun, elle avait l'impression d'être entouré d'ennemis avec les Demi-Tsaesci et Tashi n'arrangeait pas les chose avec les regards qu’elle lançait a Ili. Cette réunions de famille des Shimazu était la première en plus de deux cents ans, elle avait été organisé par Fasuuji pour commémoré la mémoire de Nagamitsu dont le corps avait été enterré dans la forteresse, juste a coté de celle de sont épouse. Étrangement, cette réflexion m'amena a la pensé morbide que, malgré le fait que les frères et sœurs Shimazu soit éternel, il ne restaient pas moins mortel et un jour, tous seront mort.
A la fin du dîner, je me dirigea vers la bibliothèque de la forteresse pour me changer les idées et parce que je n’avais pas envie de dormir maintenant. Sur le chemin, je trouvais plutôt étrange que Fevila ne me matait plus mais était beaucoup plus... douce envers moi. Ça ne changeait aucunement le fait qu’elle me draguait toujours mai au moins c’était largement plus supportable que les fois ou elle ne lâchait pas son regard de mes seins et elle avait aussi arrêté ses surnoms débile.
-Bonsoir Miria.
Je me retourna et vis Vongvild qui sortait d’une pièce et s'apprêtait a rejoindre la grande salle avant de me voir. Je m’inclina et reprit ma route alors que le nordique faisait de même. Il n’était pas très bavard de toute façons.
La bibliothèque était proprement magique, elle était composé d'immense étagère remplis de livre de toute sorte. Je ne pus m'empêcher de faire le rapprochement avec cet endroit et Apocrypha car la bibliothèque était tout bonnement vide de personne et les rayons de lumière provenant de la lune qui éclairait l’endroit donnais l’impression qu’elle était parcourus d’esprit en quête de savoir éternel. L’endroit était aussi plein de poussière ce qui indiquait que personne n’était venus ici depuis longtemps. Je ne perdit pas trop de temps a chercher un livre en particulier car sinon, j’en aurait eu pour des heures et une fois le livre “choisis”, je m’assis a un banc proche d’un grand vitrail pour être éclairée.
En lisant, je repensa a l'entraînement avec Tashi. En Akavir, la demi-Tsaesci m’avait apprise des pouvoir de Shinobi, une technique peux utilisé jusqu'à quelques mois. Ces pouvoirs se rapprochent de l’école de l'illusion et de l’altération mais ne peuvent être classé précisément dans une école de magie car il sont inconnue en Cyrodiil. Ils reposent surtout sur la téléportation, l'illusion ou encore la maîtrise du temps. Mais, a cause des techniques de Shinobi comme le pas de velours ou le sixième sens, le potentiel magique d’un Shinobi était quasi nulle et donc, pour utiliser ses pouvoirs, ils devait se reposer sur leur organisme de Tsaesci. Mais moi, je n’avais pas cet organisme et a cause de ça, l’utilisation d’un seul de ses pouvoir était extrêmement fatiguant et si je les utilisé a outrance, je pouvais en mourir.
Pendant l'entraînement de la journée, Je réappris quelque un de ses pouvoirs et quelques technique pour ne pas subir les effets secondaires trop tôt Mais cela restait malgré tout dangereux et le meilleur moyen de ne pas en souffrir était de les utiliser le moins de fois possible.
-Miria...
La voix qui m’avait appelée me fit sursauter comme jamais. Je resta immobile un moment tout en scrutant chaque rayon de la bibliothèque pour savoir d'où venait cette voix. Je plaqua par la suite mes pieds sur le sol pour capter quelque chose grâce au pas de velours mais je ne reçus aucun résultat. J’avais vraiment du mal a savoir qui pouvait me faire une blague pareille ici... fevila peut être? Je secoua la tête en décidant d'arrêter de faire une fiction sur la Dunmer car il pouvait s’agir d’un des frères du Dovahkiin. Mais cette hypothèse ne tenait pas car si ça avait été le cas, il m’aurait déjà attaqué pendant que j’étais concentré sur ma lecture.
Je fus sortie de ma réflexion en apercevant une ombre se déplacer entre deux rayons. Cette histoire me plaisait de moins en moins mais je n’avais pas vraiment le choix maintenant, il fallait que je découvre qui se jouait de moi. Je dégaina mon Katana avant de m’aventurer entre les étagères tout en restant a l'affût du moindre mouvement. J’étais malgré tout inquiète de ne pas avoir pu repérer l'intrus grâce au pas de velours car cela voulais dire qu’il s'agissait d’une créature volante ou d’un fantôme. Dans les deux cas, j’avais peur de ce que j’allais découvrir.
-Heu... Fyrre? J’ai besoin d’aide la.
-Avance. Me répondit simplement le concerné.
Je ne fut pas vraiment rassuré par l’indication de l’Ayléide mais mieux valais qu’il me réponde et me rassure de sa présence que l’inverse. Une autre ombre attira mon attention et je courra dans sa direction l'arme a la main. je m'arrêta malgré tout dans un rayon sans rien qui pouvait laisser penser a un intrus. En fait, j’étais tout simplement seul dans la bibliothèque et je ne le remarquais que maintenant. je fut sortie de ma réflection par des murmures venant d’une étagère a ma droite et plus précisément d’un gros livre a la couverture noir. Je l’attrapa pour le regarder plus en détail. Il s’agissait d’un livre au contenu conséquent cela ne faisait aucun doute mais la couverture ne portait aucune marque distinctive, elle était juste noir.
Curieuse, je l’emporta avec moi pour me rasseoir sur le banc ou j’étais. j’avais envie de lire se livre mais je ne pouvais expliquer le pourquoi. C’était une réaction plutôt particulière après ce moment de stresse mais...
Je ne perdit pas plus de temps a me perdre dans des réflections stupide et j’ouvris le livre. Sur la première page était marqué en grosse lettre “Destin” et sur la page suivante, un grand nombre de divagation entremêlant folie et génie sur ce simple mot. Je continua a lire, tout bonnement captivé par les écrits de cet ouvrage qui aurait fait perdre la raison de nombreux philosophe... mais pas moi, comme si j’étais faite pour lire se livre. Mais alors que je lisait, les mots commençait a se torde, a changer de place et finir par tourner en une spirale infini de mot. Je commença a grandement paniquer au fur et a mesure que ma respiration s'accélérait et devenait plus bruyante. Des goûtes de sueur perlait sur ma peau et je voulue fermer le livre mais mes bras n'obéirent pas. Je mis toutes mes forces dans cette tache qui paraissait impossible mais alors que mes bras commençaient a se mouvoir lentement, des tentacules sortirent du livres et saisirent mon bras droit pour le plonger dans la spirale de mot. Cette fois, je céda volontiers a la panique et je poussa un hurlement de terreur sans aucune retenue.