Ou alors c'est le fils caché que fenrir a eu avec une khajiit pendant son séjour en Elsweyr.
Un jykaris aurait deja finis la course
Non Mokel car l'utilisation de la magie pour ce deplacer est interdite . Sinon bonne suite et prends tout le temps qu'il te faut pour nous faire le prochain chap . Car un bon chap , c'est un chap ou l'auteur a pris du plaisir a l'écrire .
J’espère que la suite va vite arriver.
Le déchu: d'un autre côté les jykaris n'utilisent pas vraiment la magie mais la physique^^
Pour être précis, c'est une sorte de magie propre aux Jikharys, à ranger aux côtés des écoles de Destruction, d'Altération, de l'Illusion, etc, mais qui se concentre sur une maîtrise particulière de la matière et de l'énergie
Et elle ne peut être développée que dans le sanctuaire des Jikarhys grâce à la magie qui flotte dans l'air à l'intérieur et qui conditionne l'esprit du disciple
Voila, c'était le petit post d'explication
Superbe Fic, après la Flèche Blanche, voici une nouvelle FIC avec une histoire toujours aussi prenante, originale et bien écrite, un grand bravo à l'auteur, continue comme cela !
Chapitre 12 :
Dès que la reprise de l’épreuve fut annoncée par l’organisateur, tous les participants s’élancèrent vers le rocher de la délivrance, dans un même mouvement, tel une énorme vague humaine. Ils soulevèrent un gigantesque nuage de neige et de poussière derrière eux.
La plupart se jetèrent sur le chemin balisé qui faisait le tour du rocher. Ils s’y s’encordèrent et entreprirent de le gravir en enfonçant leurs pieds dans les encoches sécurisées, placées là à leur attention.
Mais certains, au moins trois cent, préférèrent se risquer à l’escalade libre, dans un souci de rapidité.
Ce fut le cas d’Edwin Kingsming qui dépassa Sandre, lui jeta un bref coup d’œil appréciateur, comme s’il était heureux que le jeune homme soit toujours vivant à ce stade de la course, puis bondit en avant.
Le mage aurait sans doute pu se téléporter au sommet du rocher d’un claquement de doigt ou s’envoler sans problème mais les sortilèges de ce genre étaient interdits dans la Grande Marche. Et plusieurs aéronefs survolaient le lieu de l’épreuve, tous leurs Miroirs de Divination braqués sur lui.
Pourtant, il bondit sans aucune hésitation. Sandre le vit avec surprise s’accrocher à une prise minuscule et commencer à escalader le rocher avec agilité.
Sans se poser plus de questions, Sandre l’imita. A ses côtés, Zimo fit de même.
En entrant en contact avec le rocher, Sandre se rendit compte que la paroi non-balisée était couverte de givre et était bien plus raide. Le gel allait rendre l’escalade compliquée, sans parler du vent qui soufflait au sommet.
Heureusement que Sandre faisait partis des premiers participants à s’être élancé. Les derniers risquaient à tout moment de chuter, précipités vers le bas à cause de chutes de pierre provoquées par les concurrents au-dessus d’eux.
Les doigts de Sandre encochèrent une prise et ses pieds quittèrent le sol pour s’enfoncer dans un minuscule renfoncement. Le jeune homme se hissa jusqu’à la prise suivante d’une traction et crocheta une excroissance dans la pierre pour continuer sa route.
Escalader était comme une seconde nature pour lui, l’endroit où il avait passé son enfance étant assez montagneux. Et son père était un alpiniste hors-pair. Il se souvenait encore de ses conseils.
Garder toujours au moins trois points de contact avec la roche. Ne jamais se hisser à la seule force de ses bras mais privilégier l’utilisation de tout le corps en même temps, ou mieux, l’alternance entre sa jambe et son bras droit, et sa jambe et son bras gauche, afin de laisser les membres libres se reposer entre chaque mouvements. Et surtout, ne pas regarder en bas. Rester focalisé sur l’ascension et le sommet.
Du coin de l’œil, Sandre vit Zimo escalader à quelques mètres de lui. Il écarquilla les yeux.
Le Khajiit se mouvait aussi bien à l’horizontal qu’à la verticale. Il semblait comme un poisson dans l’eau.
Ses pattes griffues crochetaient la moindre prise, même la plus insignifiante, et il se propulsait vers le haut à la manière d’un chat gravissant un arbre. Ses gestes étaient fluides et assurées. Il bondissait plus qu’il n’escaladait, en vérité. Parfois, il ne tenait plus au rocher que grâce à un seul doigt.
Sandre reporta son attention sur Edwin Kingsming.
Le mage était bien plus haut que lui. Il escaladait vite, lui aussi. Presque autant que Zimo.
-Faites gaffe, bordel ! cria quelqu’un, en contrebas, quand le pied d’une participante dérapa et qu’un bloc de glace tomba sur les autres, en-dessous d’elle.
-Désolé, répondit la fautive avec un sourire.
C’était une Nordique rousse aux joues rosies par le froid et aux grands yeux bleus. Elle portait un épais manteau en fourrure, une capuche, et un sac de voyage. Les semelles de ses bottes étaient parsemées de crampons métalliques dont elle s’aidait pour adhérer à la paroi.
Elle était munie de deux crochets en acier qu’elle fichait dans la roche glacée, avant de se hisser en haut. Ceux-ci, en se plantant dans la roche, la fissurait et en faisait fréquemment tomber des morceaux.
Elle se rendit compte que Sandre la fixait. Alors elle sourit.
-Eh, tu me reluques ?
-Hein ? Euh… Non.
-Arrête de rêvasser et continue, lui lança Zimo en le dépassant.
Ils étaient maintenant à vingt mètres au-dessus du sol.
En contrebas, il y avait encore des centaines de participants qui attendaient au pied du rocher que leurs concurrents se soient assez élevés pour leur laisser la place d’entamer leur propre ascension.
Soudain, un rire retentit.
Tous tournèrent la tête vers un Orque massif aux yeux porcins qui escaladait d’une manière sauvage, à l’aide de sa hache et de ses ongles. Il venait d’empoigner un candidat par la nuque. Celui-ci, luttant pour rester accroché, porta rapidement sa main au poignard à sa ceinture, mais l’Orque ricana et le tira violemment en arrière.
L’homme sentit ses doigts quitter la paroi du rocher, puis ses pieds.
Alors, il chuta. Les quelques participants en-dessous de lui s’écartèrent vivement ou se collèrent contre la roche pour ne pas être emportés avec lui. L’homme ouvrit de grands yeux et tomba sans un cri.
Sandre le vit s’écraser en contrebas, totalement désarticulé. Des cris retentirent et deux aéronefs survolèrent la scène, offrant un spectacle macabre aux spectateurs de tout Tamriel.
L’Orque continua à escalader, sans cesser de rire.
-Ne t’occupes pas de lui, intima Zimo, juste au-dessus de lui. Faire tomber intentionnellement ses rivaux n’est pas interdit. Cet Orque a beau être une enflure, il n’a enfreint aucune règle. Reste concentré.
-Oui… Je sais.
En effet, aucun autre participant n’avait l’air spécialement ému par le sort du pauvre homme. La Grande Marche était un jeu dur, et ceux qui y couraient étaient encore plus durs.
Cependant, l’Orque finit par arriver au niveau de la Nordique rousse que Sandre avait remarqué. Malgré sa masse, il se mouvait avec une aisance remarquable. Il barra le passage à la Nordique de son bras épais et sourit de toutes ses dents.
-Salut petite. Qu’est-ce qu’une jeune fille frêle comme toi fait ici ? Tu ne sais donc pas que la Grande Marche est un sport d’homme ? Aucune femme ne l’a jamais gagné, il me semble.
La Nordique s’arrêta dans son ascension et lui lança un regard dédaigneux.
-Alors je serais la première.
-Tu es bien présomptueuse.
Autour d’eux, personne ne prêta attention à la scène, les autres participants préférant continuer leur escalade plutôt que d’attirer l’attention de l’imposant Orque, ou jugeant que c’était le problème de la Nordique.
Celle-ci renifla sèchement et cracha au visage de son interlocuteur.
-Et celui-là, il est présomptueux ?
L’Orque fronça les sourcils.
-Si vulgaire… soupira-t-il avec une pointe d’ironie.
Il saisit alors la Nordique par l’épaule. Sandre, qui surveillait la scène du coin de l’œil, crut qu’il allait la tirer en arrière et qu’elle allait connaître le même sort que l’homme, précédemment, mais elle décrocha uns de ses crochets et le ficha violemment dans la tempe de l’Orque.
Celui-ci écarquilla les yeux. La Nordique ôta son crochet de la tête de son adversaire et, sans aucune pitié, l’y planta une seconde fois.
L’Orque ouvrit la bouche mais aucun son n’en sortit.
Sa prise se desserra et il lâcha lentement la paroi du rocher. La Nordique retira son crochet de son corps au dernier moment. Tous le virent chuter et alla s’écraser aux côtés de celui qu’il avait fait tomber.
La Nordique reprit son ascension.
-Connard, l’entendit lâcher Sandre.
Le Bréton sourit. Il savait que les femmes Nordiques avaient la réputation d’être plutôt farouches, mais à ce point…
-Eh bien, on dirait que les participants ne reculent devant rien pour éliminer leurs concurrents, lança Eddard. Nous avons déjà enregistrés quatorze chutes depuis que l’épreuve a redémarrée, dont neuf ayant été causées par d’autres candidats.
-Mais c’est pour ça que la Grande Marche est si passionnante, ajouta Herbert en hochant la tête. Combien sont arrivés au sommet ?
-Vingt-cinq pour l’instant. Mais la plupart en sont encore à la moitié.
-Et c’est là que ça va se compliquer.
Les deux présentateurs se tournèrent vers Saykam. Le Rougegarde fit un geste de la tête vers la baie vitrée, dans l’aéronef, qui donnait sur le rocher.
-Pour l’instant, l’escalade était facile, continua l’ancien champion, mais à partir de là, tout va se corser. D’abord, le froid est bien plus intense en hauteur. La glace va être de plus en plus glissante et les prises de plus en plus périlleuses. De plus, le vent est un facteur important à prendre en compte. Il est particulièrement violent, dans cette région, et les moins prudents vont en faire les frais.
Sandre se colla à la paroi glacée et serra les dents lorsque la bourrasque le cueillit. Les flocons lui fouettaient le visage avec une force incroyable et le vent s’engouffrait dans ses vêtements. Même Zimo avait momentanément stoppé son escalade pour s’agripper au rocher.
Le Bréton tourna prudemment la tête et vit un participant, quelques mètres plus loin, tenter de se hisser sur une prise au-dessus de lui, malgré le vent qui s’était mis à souffler.
C’était un Altmer aux cheveux noués en chignon. Ses doigts allaient se refermer sur la prise quand un coup de vent violent le fit vaciller. Il cligna trois fois des yeux et tenta de se raccrocher à quelque chose, en vain.
Une seconde bourrasque le fit lâcher le rocher et l’Altmer disparut dans le blizzard en hurlant, emportant avec lui un morceau de glace auquel il s’agrippait de son autre main.
D’autres connurent le même sort.
Le blizzard –car c’en était maintenant un- était tel que Sandre ne pouvait pas voir à plus de deux mètres au-dessus de lui.
Zimo n’était plus qu’une silhouette indistincte, secouée comme une poupée de chiffon par la tempête. Edwin Kingsming, lui, l’avait distancé depuis longtemps et avait sans doute atteint le sommet.
La Nordique rousse, un peu plus loin en bas, luttait pour rester accrochée. Un de ses crochets était tombé et elle devait maintenant escalader avec sa main et son dernier piolet. Un autre participant chuta et Sandre le vit passer à toute vitesse à côté de lui.
« Merde, pensa-t-il, je vais lâcher… Le vent est trop puissant… Et le froid… J’ai le bout des doigts engourdis… »
Mais il tint bon. La rafale de vent se calma et les participants purent continuer leur ascension, profitant de la brève accalmie.
A intervalles réguliers, la tempête reprenait, et tous devaient s’arrêter.
Si certains faisaient le pari risqué d’accélérer le plus possible entre chaque bourrasque pour arriver le plus vite en haut, d’autres, comme Sandre, préféraient avancer lentement mais sûrement, prévoyant le retour du blizzard et ralentissant en avance pour ne pas se faire surprendre.
Soudain, une voix retentit à côté de lui.
-J’en… peux plus…
Sandre jeta un coup d’œil sur le côté pour voir le Bréton aux yeux clairs et à la mâchoire carrée avec laquelle Zimo et lui avaient parlés avant que l’épreuve ne recommence. Il avait le nez et les joues rougies par le froid et tremblait de tous ses membres.
Il portait des bandages sur les doigts mais ceux-ci étaient en lambeaux. La plupart de ses ongles étaient en miettes et du sang coulait de ses plaies, avant de geler, presque instantanément, sur ses mains.
De plus, il se trouvait dans une position particulièrement précaire.
Il tourna la tête vers Sandre.
-Je vais… lâcher…
-Eh, tiens bon, lança Sandre d’un hésitant. Il y a une prise juste au-dessus. Essai de t’y agripper.
-‘Peux plus… Pas la force…
Le Bréton portait sur le dos un tas d’objets hétéroclites et de matériel de survie qui l’alourdissait et devant faire de cette ascension un véritable cauchemar. Généralement, les participants prenant la décision d’escalader à mains nues étaient légers. Ceux qui portaient des sacs de voyages et des affaires encombrantes s’aidaient d’outils pour grimper, tels que des piolets et des crochets, comme la Nordique rousse.
Mais lui n’avait visiblement pas prévu que l’épreuve serait si difficile, et le rocher si haut.
Au-dessus d’eux, Zimo baissa la tête.
-Ne t’occupe pas de lui, Sandre ! cria-t-il pour se faire entendre malgré le bruit du vent. C’est chacun pour sa peau !
-Je sais, mais…
-Ton ami a raison, intervint la Nordique rousse en arrivant au niveau de Sandre. On n’aide pas ses concurrents. C’est une règle primordiale dans la Grande Marche.
Elle le dépassa et continua son ascension. Voyant que Sandre, lui, avait considérablement ralentit, Zimo se stoppa, suspendu à une minuscule prise glacée, les griffes solidement fichées dans la roche.
-Sandre ! reprit-il. Tu m’entends !
-Je t’entends !
-Je vais lâcher, continua le Bréton à la mâchoire carrée. Je ne vais… pas… tenir…
Comme s’il ne réalisait sa situation que maintenant, il prit un air surpris, puis ses lèvres gercées s’étirèrent en un sourire désolé. Sandre secoua la tête.
-Non, tu…
Le Bréton lâcha. Sandre le vit lentement basculer dans le vide. Alors, sans réfléchir, le jeune homme bondit.
-Sandre ! hurla Zimo. Non !
Ses doigts quittèrent la paroi et il détendit ses jambes. En plein vol, il parvint à crocheter une prise et à enfoncer son pied droit dans un renfoncement à peine visible. Là, il se pencha vers le Bréton et le saisit par le poignet.
Tous les participants présents autour tournèrent la tête vers lui et un murmure de stupeur les parcourut.
A l’intérieur de l’aéronef, même Eddard Linkingston et Herbert Maskew étaient stupéfaits.
Ce n’était pas la rapidité exceptionnelle avec laquelle Sandre avait bondit vers son concurrent pour le rattraper qui était le plus surprenant, même si, à cette hauteur et dans de telles conditions, c’était déjà un exploit en soit.
Si tous les spectateurs immédiats de la scène étaient bouches-bée, c’était parce que Sandre était maintenant penché vers le vide, suspendu à une prise insignifiante dans la roche gelée, à la seule force de ses doigts, et tenait fermement son concurrent par le poignet, lui et les dizaines de kilos de matériel qu’il portait sur le dos, et ce, sans montrer la moindre trace d’effort, malgré le vent violent qui soufflait et qui menaçait à chaque instant de le faire tomber.
Même l’Orque musculeux aux épaules monstrueuses que la Nordique rousse avait tué un peu plus tôt n’aurait sans doute pas été capable d’un tel tour de force, ou alors il aurait été en très grande difficulté.
Alors pour un jeune homme à la carrure aussi frêle que Sandre, soutenir un tel poids, avec un seul bras, dans une position aussi précaire, c’était tout bonnement incroyable.
Dans l’aéronef, Herbert se tourna précipitamment vers Eddard.
-Quel est le nom de ce participant ?
Le commentateur fouilla fébrilement dans son tas de fiche avant de trouver le dossier d’inscription de Sandre.
-Je l’ai : Coureur 1859, Sandre Hearthsley, Bréton, vingt-et-un ans ! Un anonyme complet, apparemment.
-C’est spectaculaire, Eddard, s’exclama Herbert. Je ne connais pas cet homme mais à n’en pas douter, après ça, la mise sur sa tête va augmenter, et les paris vont exploser !
-Voilà pourquoi nous aimons tant la Grande Marche, mesdames et messieurs ! lança Eddard en pivotant vers le Miroir de Divination avec un grand sourire. Voilà pourquoi vous nous regardez, jour après jour ! Pour vivre des moments tels que celui-ci !
En contrebas, loin de se douter de l’attention dont il faisait l’objet, Sandre fit une légère grimace et tira son concurrent à lui d’une traction. D’un coup sec, il le ramena violemment contre la paroi.
Le Bréton à la mâchoire carrée, qui avait repris ses esprits et qui tremblait maintenant de tous ses membres, saisit vivement une prise et se colla contre la roche.
-Eh ! cria Sandre. Ca va aller ?
-O… Oui. Merci !
-‘Pas de quoi.
Et sans s’attarder plus longtemps, Sandre le lâcha et reprit son ascension, sous le regard médusé des participants autour de lui, dont Zimo faisait partis.
-Merde alors, murmura l’un d’eux à son compagnon, ce petit gars a plus de force dans les bras qu’un troll des montagnes.
-Comment il a fait pour ne pas se casser la gueule ? lança un autre.
-Je savais bien que je n’aurais pas dû m’inscrire, bredouilla un participant. S’il n’y a que des types comme lui, c’est peine perdue…
N’entendant pas les remarques qui fusaient à cause du bruit du vent, Sandre continua à escalader. Il arriva à côté de Zimo.
-Tu vas bien ?
-Euh… oui, répondit le Khajiit en s’ébrouant. Mais comment tu…
Ne lui laissant pas le temps de parler, Sandre le dépassa. Zimo fut bien obligé de se lancer à sa poursuite.
A mesure qu’ils progressaient, les bourrasques devenaient de plus en plus traîtresses et le froid de plus en plus intense, à tel point que certains participants, congelés, voyaient l’extrémité de leurs doigts geler et s’accrocher à la paroi.
Soudain, Sandre vit une forme, au-dessus de lui. Ou plutôt, une absence de forme. Le rocher s’arrêtait subitement et disparaissait.
Avec un regain d’énergie, Sandre accéléra son ascension, imité par Zimo.
Quelques secondes plus tard, la main du Bréton, en voulant attraper une prise, ne happa que le vide. Alors, Sandre se rendit compte qu’il venait d’atteindre le sommet.
quelle cruauté d'arrêter le chapitre ici!
Sandre possède la pu pu pu puissance
Je veut la suite
Et Sandre est quoi au juste, yeux gris, super force....
C'est suspect
Sandre c tro un dieu kwaaa
Le fils caché du Rodeur?
En fait, Sandre est le Predalien : il a la force du Predator et l'agilité de l'Alien
Cette épreuve me fait vaguement pensé aux Douze Travaux d'Astérix, quand ils escaladent une montagne pour retrouver un vieillard
Et je parierais que Sandre est un lycanthrope
Sandre serait plutôt un vampire je pense,et puissant car il peut changer la couleur de ses yeux.
Il changeais la couleur des ses yeux en y appliquant des gouttes.
AstonVilla Je me suis dit la même chose, mais avec le Scorpion, car sa ferait plus de sens que le Rôdeur
putain sandre est juste un surhomme je veut savoir d'ou lui vient cette force