alors mon pauvre si tu veux aller chez ces fous il faura gagner tout le reste de tes grands prix et te tapper toute les poles (il faut etre 54 je crois.. )
Williams alors
c'est déja fait (si tu peux aller chez red bull au lvl 22 williams alors... )
moi je suis actuellement chez Williams et ils sont pas très fort pour prendre la pole mais la victoire c'est plus simple..
Saison 2, Episode 13 : Où est la logique?
Monaco, le Grand Prix du bling-bling…enfin plutôt de la Jet Set car avec l’émergence des pays avec plein de sousous, l’argent n’est plus la première chose que l’on remarque à Monte-Carlo. Ici, sur le rocher, vous pouvez composer un casting de fou pour un film. Keanu Reeves, Sylvester Stallone, Monica Bellucci, Bruce Willis et j’en passe. Ils sont comme chaque année nombreux a être au rendez-vous. C’est le seul Grand Prix où les pilotes demandent des autographes aux VIP.
Je suis arrivé dès le lundi dans la principauté. Opération de promotion sur opération de promotion. C’est ça aussi la vie de pilote. Je me mets en pilote automatique pour ce genre d’obligations. Je fais le beau, je me montre propre sur moi, poli, souriant mais au fond, ces mascarades m’intéressent peu. Moi j’ai déjà la course en tête. Je veux laver l’affront de mon abandon de la saison passée après une course horrible.
Vendredi, les essais libres commencent sous un magnifique soleil printanier. Rien de tel pour réaliser de bons chronos. Mon premier temps significatif est de 1.20.838 avant de très vite passer à 1.20.555. C’est le moment que je choisis pour casser mon premier aileron de la séance. À Sainte-Devotte, j’ai du mal à trouver mes repères de freinage et cette fois, je tire vraiment trop loin et tape le rail. Une fois cet aileron réparé et les pneus Option chaussé, je passe la barre de la minute vingt pour trois millièmes !
Je commence peu à peu à trouver mes trajectoires, cette séance d’essais se fait bien plus calmement que la saison passée. Néanmoins, une nouvelle erreur me renvoie aux stands une seconde fois. Lorsque la voiture est de nouveau en état, je décide de m’appliquer au maximum pour faire un temps. Chose faite avec une performance en 1.19.035 qui m’octroie le 9ème temps provisoire. Je serai plus rapide largement lors de la fin de séance, mais une erreur à la Rascasse va foutre en l’air mon temps et ensuite, les commissaires estimeront que j’ai coupé la chicane à la Piscine alors que j’améliorais d’une seconde mon temps. Tant pis, le chrono, c’est demain qu’il sera important.
Pour la qualification, il faut d’abord faire un temps. Mon tour est moyen mais au moins, je suis crédité d’un temps avant d’attaquer. On ne sait jamais si je venais à faire une erreur, il serait dommage de ne pas avoir de temps et partir dernier !
En appliquant les trajectoires du vendredi plus la détermination que je peux avoir en qualification, je pulvérise tous mes chronos et fait 1.17.730. Voila un temps qui me ravit et qui m’ouvre les portes du TOP 10 à coups sûr !
Il reste encore une bonne moitié de séance lorsque, lancé en tour rapide, je tombe sur Button. Il m’empêche de le doubler et je ne peux éviter l’accrochage. Ma voiture n’a presque rien, mais les commissaires me sanctionnent de cinq places sur la grille. Je rentre aux stands en furie et quitte ma voiture. Elle pourrait être réparée à temps mais je ne veux pas remonter dedans ! Je quitte le paddock alors que la séance n’est pas encore terminée. L’image fera le tour des TV mondiales. La décision en fera jaser plus d’un d’ailleurs. Je signe le 6ème temps à 0.619 de Vettel. Je serai donc 11ème sur la grille.
C’est Isabella qui arrivera à me calmer après une bonne heure de discussion. Je n’ai pas souhaité entendre ce que Button avait à me dire. Il pourrait même s’excuser, son attitude sur la piste fut franchement limite. Lorsqu’Isa est partie, c’est curieusement Sophie qui a pris le relais. Devant l’écran, elle doit rester impartiale, mais en coulisse elle trouve aussi que la décision est totalement injuste. D’ailleurs nous avons bien discuté tous les deux, et de sujets beaucoup plus profond que d’habitude. Elle m’a parlé du fait qu’elle n’ait jamais connu sa mère qui est morte quand elle avait 3 ans, de ses problèmes de boulot, de ses anciennes aventures, etc. Elle m’a beaucoup touché. Un sentiment bizarre s’est dégagé de ce début de week-end. Je n’ai jamais trouvé Sophie aussi proche et en même temps aussi distante avec moi. Je ne saurai expliqué en quoi, mais c’est l’impression que j’ai. Lorsque nous avons quitté mon mobil-home pour aller manger un bout ensemble. Elle m’a regardé avec un regard que je ne lui connaissais pas, un regard triste et même compatissant envers moi. Je ne comprenais pas pourquoi. Et puis, très naturellement elle m’a serré contre elle en me murmurant un « Merci ». Ce n’est qu’après cet échange sincère et amical que j’ai remarqué la présence au loin de photographes peu scrupuleux…Si ça peut leur faire un peu de beurre, moi je m’en fous, j’ai ma conscience pour moi.
J'ai l'impression que les photographes vont trouver un moyen de tout faire pêter
et bin Button est pourtant respectable, là il sé planté en boté...
Ouai j'étais triplement dégouté! De 1, un gentleman comme lui me fait une scandaleuse queue de poisson De 2,il me nique mon tour rapide. De 3, c'est moi qui ramasse la pénalité! Nan mais oh!
Je vous passe les détails du "C'est bon p*tain, va te faire f*utre avec tes qualifs de m*rde et ton circuit de m*rde. J'en ai rien à br*nler, j'me casse. T'as pas intêret à te trouver devant moi en course"
Oui, je suis très nerveux quand je joue ^^
On est 2 alors, parce que moi, il ne suffit que d'une touchette provoquée par un autre sur moi et là, je pètes les plombs ; nous, on ferait ça, ce serait une pénalité . Forcement avec les accumulations, le comportement de la voiture qui n'est pas comme on voudrait, le stress et la nervosité dus à la course, le taux d'adrénaline fait qu'on s'emporte vite dès que quelque chose ne va pas.
C'est ce qui s'appelle vivre son sport à fond
Saison 2, Episode 14 : Confirmation et Revelation
Le soleil brille en ce dimanche à Monaco. Les rayons passent à travers les arbres, ce qui donne un effet magnifique sur la grille de départ. Je n’en mène pas large du haut de ma onzième place. Je fixe la McLaren de Button qui est justement placé sur MA 6ème position ! Je suis assez laconique dans mes interviews, je suis concentré, j’ai 78 tours à boucler entre des rails.
Mon départ n’est pas mauvais, ce n’est qu’au freinage où je peux m’infiltrer mais très prudemment. Alguersuari est bloqué à l’intérieur et je sors côte à côte avec Rosberg et lui subtilise la 9ème place. Rien de sert de se ruer, il va falloir être patient. A l’épingle du Grand Hotel, je prends l’intérieur et je passe Buemi et freine un peu tard sur Schumi qui fait un tête à queue et bloque tout le peloton. Je passe et suis 7ème. L’écart avec le 6ème est important tandis que Buemi est à distance respectable. Il ne se passe pas grand-chose en 25 tours, je me contente de gérer les écarts avec le suisse sans pouvoir recoller devant.
J’accélère néanmoins un poil la cadence et fini par faire une petite glissade dans le virage de mirabeau en bas. L’endroit précis où Schumacher avait planté sa Ferrari en 96 dans le premier tour. Un Grand Prix un peu fou qu’Olivier Panis avait fini par remporter avec seulement 4 voitures qui avaient franchis la ligne.
Cette pirouette donne l’occasion à Buemi de pointer son aileron dans mes rétroviseurs.
Les leaders se sont déjà presque tous arrêtés. Alonso fait son stop au 34ème tour, il est sur la même stratégie que moi. Il ressort juste devant moi mais je le double à Massenet car il glisse un peu avec ces nouveaux pneus. Je rentre à la fin du tour alors en seconde position.
C’est à la sixième place que j’atterris à ma sortie des stands avec la Toro Rosso de Buemi à mes trousses, il tentera de me doubler sans succès avant de s’arrêter pour la seconde fois du GP quelques tours plus tard. Dommage, il était en forme. C’est Liuzzi qui prend la 7ème place. Au 50ème tour, Button fait un tête à queue au virage de Mirabeau en haut, l’endroit même où nous nous sommes accrochés la veille. Me voilà 5ème et seul au monde.
Au 55ème tour, Massa est devant moi à plus de 10 secondes tandis que Liuzzi est largué à 12 secondes. Me voilà vraiment tout seul, je dois gérer ma fin de course, à la régulière ma position ne changera plus. Mais tel mon idole Ayrton Senna en 88, alors qu’il avait course gagnée avec 50 secondes d’avance sur Prost à 11 tours de l’arrivée, qui a tapé au Portier, visiblement déconcentré. Moi aussi, je me déconcentre et c’est au Casino que ma course se termine à une vingtaine de tours de l’arrivé. Pourtant, ce virage ne présente pas de grosse difficulté, même s’il arrive que les F1 glissent à la sortie.
Bref, voici mon deuxième abandon à Monaco en deux années de F1, moi qui n’ai jamais commis une seule erreur ici dans les classes inférieures, je suis un peu honteux… L’équipe ne m’en veut pas trop, j’ai fait une belle course, dommage pour l’issue, mais nous avons prouvé que nous étions compétitifs. C’est d’ailleurs le point positif de ce week-end, je sais qu’à l’avenir, je pourrais gagner ici avec une bonne voiture et ainsi réaliser mon rêve d’inscrire mon nom au palmarès de cette course mythique où Ayrton était le roi.
Après avoir terminé ses interviews. Sophie est directement venue me voir. Visiblement elle est attristée de mon abandon, c’est la première fois qu’elle vient me voir spontanément après un Grand Prix. La discussion d’hier nous a rapprochés, c’est indéniable. Je la sens moins prédatrice, mais quelque chose me dit que je ne sais pas tout sur ce changement de comportement.
Nous nous retrouvons à la soirée de Gala traditionnelle de Monaco. Et si, nous avons vaqué à nos occupations en totale indépendance, nous nous sommes croisés très souvent à discuter ensemble avec une tierce personne. En fin de soirée, elle a commencé à avoir l’alcool triste. Alors que je discutais avec Sebastien Buemi, je l’ai vu quitter la réception en titubant. Le port à proximité et son état d’ébriété assez avancé, j’ai décidé d’aller voir si elle ne tombait pas dans l’eau. Je ne voudrais pas qu’elle se noie. Je la trouve affalée contre un mur, assise dans une position pas sexy du tout !
- Maaaax, j’suis complètement bourrée !
- Je vois ça. Les femmes ne tiennent pas l’alcool, je te l’ai déjà dit !
- Et toi qu’est ce que tu fous là ?
- Je m’inquiétais pour toi, je t’ai vu tituber, j’avais peur que tu tombes dans le port.
- Ohhhh t’es trop mignon…
Et puis elle a commencé à fondre en larmes.
- Tu ne mérites pas que je te fasse ce que je dois te faire.
- De quoi tu parles ?! Cette phrase m’interroge quelque peu
- On a un pacte sur toi
- Un pacte ? Comment ça ? Avec qui ?
- Le mec là
- Quel mec ?
- L’espagnol qui veut se faire ta copine, j’sais pu son nom, José j’crois
- Julian ?
- Ouai voilà, celui-là.
Je suis un peu consterné et en plus elle articule très mal, mais je dois en savoir plus !
- Qu’est ce que tu es censée faire ?
- Je dois te séduire pour que ta copine te quitte
- …
- Au début, j’pensais le faire, parce que j’ai flashé sur toi, t’es trop beau, t’es super sympa, t’es gentil, franchement t’es le mec parfait.
- Mh…
- Et j’ai dit oui à ce gars, mais j’y suis pas arrivé. Je me sens conne, Maaax, je te jure, je ferai rien, promis. T’es trop heureux avec ta copine, j’suis pas quelqu’un de bien mais ça j’peux pas le faire.
Avant que je n’ai pu lui poser d’autres questions, elle a tourné sa tête et rendu tout l’alcool et la nourriture qu’elle avait ingurgité depuis ce matin. Une marrée jaunâtre, un peu rosée s’est propagée sur le tarmac en plus du gâteau de grumeaux qu’elle a joliment déposé sur sa robe. Je ne vous raconte pas le bruit que ça a fait, amplifié par la résonnance de l’endroit. Une chose est certaine, sa soirée est terminée.
Je suis choqué par ce que je viens d’apprendre, mais elle m’a tout avoué, comment puis-je lui en vouloir, je ne peux pas la laisser ainsi. Je la ramène donc au Mobil-Home et l’envoie directement et toute habillée sous la douche ! L’eau froide l’a bien réveillée.
- Tu m’en veux pas trop, maaaax ?
- Tu as eu le courage de tout m’avouer presque tout de suite, je ne t’en veux pas.
- Je suis désolée, tu sais…
- Chuuut, tiens essuies-toi, je vais te donner mon peignoir, tu vas dormir ici avec un seau au cas où il t’en resterait sur l’estomac…quoique vu ce que tu as vomi, à mon avis il n’y a plus rien !
Je l’ai bordée comme une enfant qui a fait une bêtise mais à qui on ne peut pas en vouloir.
- Tiens voilà un seau Virgin, ne le salis pas trop. Dors bien
Elle a souri puis s’est endormie instantanément, me laissant avec mes interrogations et mes angoisses nocturnes. Ce Julian est vraiment maléfique, je compte bien avertir Anna dès demain de ces plans douteux avant qu’il n’arrive une catastrophe…
Oh làlàlàlà... Est-ce qu'il ya que moi qui peut faire une course sans anicroches à Monaco ?
Sinon jerry du maléfique Julian, comment peut-on vouloir être maléfique avec un nom comme ça
ben Julian ca fait mafioso italien non??
maxoffspring moi je te conseil de lui casser quelques dents sur le trottoir il ya des beau trottoires a monaco tu sais..?
moi jdis tu lemmène dans un endroit trankil tu lacroche à un poto et tu le laissse pourrir pendant 2-3 ans...euh 2-3 jours et cé bon ^^
Ouai mais non, mon personnage n'est pas comme ça. Et puis si je lui casse la gueule Anna m'en voudra.
au pire ta Sophie xD
et puis si sa se trouve c'est elle ki va lui casser la gueule xD elle se transforme en Sado maso
même si j'en avais envie, je ne suis pas sûr que la modération accepte que je passe à une story porno
Saison 2, Episode 15 : Réveil
Première chose à faire, ouvrir la fenêtre, je vous jure qu’il est inconcevable qu’une fille aussi sexy que Sophie pue autant ! Visiblement, son estomac n’avait pas tout rendu hier soir et mon seau est bien rempli. Après une seconde douche, elle a quitté mon mobil-home en ma compagnie et lorsque nous nous sommes quittés, elle m’a de nouveau serré contre elle.
Alors que je m’apprêtais à quitter Monaco, Anna me sonne.
- Dis moi que ce n’est pas vrai !
- De quoi tu parles ?
- Toi et Sophie, dans le journal, il y a des photos de toi et elle est dans tes bras.
Là, je me dis, putain de photographe ! Je sentais bien qu’il allait me faire des emmerdes !
- Ne me dis pas que tu crois ce qu’il est écrit dans les journaux.
- Qu’est-ce qu’elle faisait dans tes bras.
- Nous avons beaucoup discuté, elle m’a parlé de sa maman qu’elle n’a jamais connu et ensuite, elle m’a juste remercié en me prenant dans ses bras, ce n’était qu’un geste amical.
- Elle me fait peur Max…
- Tu n’as pas à avoir peur, c’est toi que j’aime Anna, aucune fille ne me fera changer d’avis !
- J’espère. Je dois te laisser, mes cours reprennent, je t’aime.
Et elle a raccroché avant que je ne puisse dire un mot. Je n’ai même pas eu le temps de la mettre en garde contre Julian.
J’ai voyagé toute la journée et quand je suis rentré, je me suis affalé sur mon lit à la maison. Le lendemain, je suis réveillé par la sonnerie de mon portable.
- Allo ?
- T’es vraiment qu’un connard, tu me dégoutes, t’es comme les autres, je ne veux plus jamais te voir !
Que voilà un réveil bien désagréable ! Je pensais avoir rassuré Anna hier, qu’est ce qui a bien pu se passer pour qu’elle me déteste aujourd’hui ! Pas moyen de la joindre. Je décide donc d’aller voir la une des titres espagnols. Ma surprise fut grande lorsque j’ai vu la première page de Marca. Des photos de moi et Sophie le samedi mais aussi le dimanche soir lorsque je l’ai ramenée chez moi et du lendemain matin lorsqu’elle m’a de nouveau serré contre elle après avoir passé la nuit dans mon Mobil-home. Le titre disait « Le prodige infidèle ! » Les quotidiens catalans sont encore plus durs avec moi. Ils n’hésitent pas à me traiter de traitre.
Les jours qui ont suivi furent très durs. J’ai été copieusement insulté et souillé dans la presse catalane principalement. Anna n’a pas répondu à mes appels, dans sa famille personne ne décroche, même mes messages vocaux restent sans réponses. J’ai pourtant tout expliqué à Anna, ce qui c’était passé avec Sophie et que je n’avais rien à me reprocher. Je ne comprends pas pourquoi, elle ne veut plus me parler…
Je dors très peu, c’est tel un zombie que j’arrive dans le paddock en Turquie. Je me confine dans mon Mobil-Home, je ne veux voir personne. Mes yeux sont rouges d’avoir pleuré autant. Je n’ai toujours aucune nouvelle d’Anna. J’ai juste voulu voir Mike, mon ingénieur pour lui expliquer la situation et qu’il m’excuse auprès de l’équipe si je venais à être désagréable avec eux ce week-end.
Isabella a tenté de me raisonner, mais je l’ai envoyé balader très fermement en lui disant que je ne voulais pas voir Sophie du week-end. Je suis persuadé qu’elle a prêché le faux en face de moi pour me poignarder plus facilement dans le dos. Dire que j’ai eu beaucoup d’affection pour elle à Monaco elle me dégoute. Je pense que j’en veux aussi à Isa d’être sa meilleure amie, je la tiens responsable en quelque sorte même si je sais qu’elle n’en peut rien.
Mike est un mec en or, toute l’équipe s’est déployée afin que la presse me foute la paix ce week-end. Vendredi est une journée de travail. Je dois travailler sur des nouvelles pièces. Pour oublier tous mes tracas, rien de tel que me fondre dans mon travail. Si je suis très fleur bleue mais je suis capable d’oublier tout lorsque je m’occupe à mon boulot.
Dès mon premier tour, je fais 1.31.354 qui est mieux que le temps de référence fixé par l’écurie. Il me faut ensuite plusieurs tours avant de ré-approcher ce temps. J’avais tellement besoin d’évacuer que j’ai tout donné dans ce premier tour. Je réalise néanmoins 1.30.477 en sortant trop large dans le dernier virage.
Un petit tour aux stands, pneus Option chaussés, je repars directement en 1.30.158. me voilà 7ème. J’ai quelque chose à prouver à tout le monde, aux journalistes, à Anna, à mon écurie. Je suis survolté et je réalise un chrono de 1.28.234. qui me donne le meilleur temps de la séance avec un dixième d’avance sur Webber. Je décide de rentrer aux stands, il reste une demi-heure. Je ne quitterai plus le garage car la pluie s’invitera sur le dernier quart d’heure. Alonso s’étant approché à 0.048 de moi entre temps.
Je rentre directement au Mobil-home sans vraiment fêter ce meilleur temps. Je me couche sur mon lit à rabattre mes idées noires. Il y a tellement d’interrogations, de haine, de tristesse en moi. Un dernier essai en vain sur le portable d’Anna avant de m’endormir…
Et ben
Et ben comment dire, choqué. Mais tu trouveras, toujours bien comment rétablir la situation. Ce n'est qu'une mauvaise passe mais ça va s'arranger, j'en suis sûr. Passons au temps réalisé, waaa 1.28.234 c'est d'une autre planète, enfin pour moi qui n'ai jamais réalisé qu'un 1.31.517 en Lotus à fond en Q1 en pneus tendre et sans carburant.
Et ben merd*
Tu ma de nouvo déprimé