Dragon Ball Raging Blast

Oh p*tain ! T'aimes pas les critiques mauvaises ? Pourquoi ne fais-tu que cela aux autres alors ?

( je crois que mickey m'en veut pour quelque chose ??! )

Bah, tu sais bien que ce qu'on n'aime pas qu'on nous fasse et ce qu'on fait n'est pas forcément différent Regarde un gars qui se fout de la gueule d'un mioche, il n'aimerait pas la situation inverse

Nan, sérieux, je ne fais pas que de mauvaises critiques. Je dis ce que je penses. Peut-être que toi c'était des mauvaises, faudrait te poser des questions ( et VLAN !! ) ( je rigole )

Et vlam ! Go écriture et certains iront lire à leurs heures perdues !
Ici c'est D-B-Z, pas une histoire FBI ou je sais quoi !

MV lol

Mais sérieusement, tu devrais aller sur le Forum Ecriture au moins pour tester ! Tu sauras jamais sinon ^^

Et pour info je ne t'en veux pas pour quelque raison que ce soit mdr

Salut à tous

J'ai une question importante à vous poser. Quel nombre maximal pensez-vous qu'une fiction puisse contenir de saisons ?

"2- Je n'aime pas les critiques où on ne dit que le mauvais.
3- Je préfèrerais que ça soit des gars que je connais qui commente."

T'avanceras jamais.

Ah et au fait Mike, une fiction Dbz à écrire c'est le meilleur moyen pour entrainer son style. Pourquoi? Tout simplement car si tu arrives à décrire des combats Dbz fluides, intéressants et clairs, les autres styles de combats te paraitront beaucoup plus faciles.

heu...Sub Pourquoi tu me dis ça a moi ? Je crois que ton message serait plutot destiné à MV ^^

Par contre, pourrais-tu répondre à ma question plus haut ?

Oui, je m'adressais à MV, désolé.

Mike > tout dépend du nombre de chapitres par saison. Personnellement je pense que 3 saisons de 25 chapitres est un grand maximum, après l'histoire devient moins palpitante et le lecteur se lasse.

Okay merci

Une fiction de sept saisons serait inadaptée donc ?

Combien de chapitres par saison? Ben tu risques de ne jamais la finir. ^^

10 pour a première enfin, la zéro. Ensuite, ce serait quinze, voire vingt chapîtres par saisons.

Bon moi je dosi y aller ^^ Byebye

C'est pas 7 en fait mais 8

Ca dépend captain. J'hésite encore à innover ce truc

Sub, captain, vous venez me lire ? Ce n'est qu'un prologue, c'est survivable, ne vous en faites pas ! ^^

Okay je lis ça demain soir, faut que j'y pense.

Il me manque aussi un chap' d'escl' et de mike. ^^

Oh purée ! Tu t'en es souvenu Je pensais que t'aurais oublié

C'est normal que je n'ai plus envie d'écrire ?

J'ai plus envie parce que je sais que même si je l'écris de mon côté, je sais que vous ne lirez pas, même si vous prétendrez le contraire.

Et puis, même si je finis par la poster et que vous liriez, les com's ne seront pas différent. Ce sera toujours une étude de la syntaxe et du style, alors que moi j'en ai rien à battre dans le fond.

J'aime avoir un style, savoir écrire, mais basta. Je ne susi plus aussi certain de poursuivre l'écriture de ma fiction.

Donne toi une motivation. Écris pour écrire mieux, ou écris pour décrire des scènes que tu as imaginé, ou écris une description des événements de ta vie que tu as bien aimé. Ou alors, tu peux aussi prendre un passage que tu aimes dans un livre et l'écrire à ta sauce, ou même le faire avec les fictions des autres, si jamais l'une d'elle t'a plu.
Écrire développe l'imagination, contrairement à ce qu'on pourrait croire. À prime abord, l'on croirait que écrire déverse de l'imagination, comme s'il s'agissait d'une quantité qui s'amoindrissait, mais à l'inverse, écrire donne simplement forme à tes pensées, les laissant se développer d'une autre manière, plus rapide sûrement. Quand tu penses à quelque chose, tu créer et développe ton idée, bien que le tout reste vague. En écrivant, tu t'imposes toi-même des façons de voir ton idée, parmi ses multiples facettes, et ceci se développe en chacun, et doit être travaillé.

À tord, tu disais une fois que tu écrivais moins bien que certains, ou autres bêtises de la sorte. Si jamais tu pensais encore à cela, plutôt que d'essayer de te persuader que c'est faux, je vais te dire que tu n'as qu'à le travailler, pour tous nous dépasser. J'attend tes exploits, pour l'instant, ce n'est qu'une phase, comme les gens disent, où les lecteurs se plongent dans une flemme agréable, en laquelle ils se plaisent. On ne peut leur en vouloir, certains sont occupés, d'autres n'ont tout simplement pas envie. En effet, ce serait plus correct d'expliquer son soucis plutôt que de promettre ou ne pas se faire de manière correcte.

La preuve pour toi, mike : Tu te sens obligé, chaque fois que tu lis, de prouver que tu as lu. L'ennui avec ceci est visible de plusieurs façons. Tout d'abord, je connais ma fiction, donc, pas besoin de me rappeler les scènes. Ensuite, on sait très bien qu'une catégorie de lecteurs n'en ont rien à faire et lisent lâchement les commentaires précédents pour simuler une lecture attentive. Donc, si tu décris tout, ils se régaleront de tes propres observations. De plus, je sais que tu lis, pas besoin de me le prouver. Et pour finir, tu dis toi même que nos commentaires ne servent à rien, mais tu espaces exprès les tiens en les remplissant de résumés des textes pour caché la réelle absence de choses à dire. Si toi-même tu veux qu'on commente de manière plus évoluée que ce dont tu ne peux te satisfaire, fais en de même, histoire que l'on ne se sente pas seulement à ton service.

À ne prendre aucunement comme une critique ou autres remarques agressives du genre, seulement une observation répondant à ton post qui n'attendait aucune réponse dans le fond, et qui se limitait donc à essayer de marquer le coup, lancer une remarque dans le vent qui n'aura plus lieu d'être demain, ou même ce soir, sauf si tu lis ce que je viens de te dire, et que sociologiquement, tu te propulses dans une envie de croire en tes dires, te braquant derrière un mur de mensonge qui, entre nous, ne servira à rien. Ainsi, je te propose de simplement oublier ce que tu viens de dire et reprendre nos habitudes, en espérant simplement une relance du phénomène fiction.

Je suis entièrement d'accord avec le_maitre.

Il est certain que lorsqu'on écrit, on a ce désir de vouloir être lu, cette envie que les gens puissent s'immerger dans notre monde afin de nous donne leur sentiment quant à ce voyage au sein de notre écrit. Nul ne peut dire qu'il écrit pour lui-même, premièrement car il mentirait et deuxièmement car on n'écrit pas pour soi-même (ce serait un acte égoïste), on écrit pour les autres. Sans le lecteur, l'œuvre reste une forme indistincte dont aucun sens, aucune image, aucun but ne ressort. Il faut donc, malgré la démotivation, écrire encore et toujours comme si quelqu'un nous lisait sans que nous le sachions.

En ce qui concerne ton "niveau" (terme totalement hors de propos dans ce contexte, je parlerais plus de "niveau d'apprentissage"), sache qu'aucun écrivain n'est né aussi évolué et maître de son art qu'au moment de sa mort. La vie est une expérience, et bien sache que l'art également. Tout au long de ton apprentissage de l'écriture (qui ne finit jamais) tu évolues, ton style s'améliore, tes idées viennent plus vite, tu les retranscris mieux. Il n'y a pas de "point final" à l'apprentissage de l'art. Certes, certains sont "touchés" par l'art et ils parviennent plus facilement à en découdre les aspects et à en maitriser les concepts, cela n'empêche que l'homme, par nature, est doué de la faculté d'évoluer et d'apprendre: il n'y a donc jamais quelqu'un "d'universellement" meilleur que toi. Il y a des écrivains plus aboutis que toi, qui ont parcouru un chemin plus long ou plus compliqué, mais il n'est en aucun cas "meilleur" (même Hugo, Balzac, Pascal ne sont pas "meilleurs", ils ont juste plus développé leur art que nous pour le moment).

Bref, écris en ayant toujours l'impression d'être lu ( ne serait-ce que par toi), fait fi de la perte de motivation et surtotu des commentaires arrogants et orgueilleux de ceux qui se prétendent "meilleurs" que toi.