Chapitre 6 : Wind Guerrier.
-Bon, vas-y, crache le morceau, c’est quoi le plan ?
-La Société n’a pas qu’un simple bateau. On s’attaque à un gang incroyablement puissant. Il possède un hôtel qu’on ferait mieux de détruire, si tu veut mon avis. On frapperaient un grand coup, il s’en serve comme réserve d’armes. L’inconvénient, c’est que j’ignore ou il se trouve. On peut faire parler quelqu'un mais…
-Mais quoi ?
-On se ferait repéré et il nous enverraient des Guerriers. Nous devons éviter le combat, quand c’est possible.
-Oui, mais ne connaissant pas la position de cet hôtel, nous ne pouvons attaquer au hasard. Nous n’avons pas le choix.
-Mouais… On n’a qu’à tuer le type après, mais les risques restent grand.
-Il faut savoir courir le risque, parfois.
-Bon… Il y a un bar, pas loin d’ici, souvent fréquenté par les sbires de la Société. En espérant qu’ils sachent. Sa va cependant attiré plus l’attention que lors du bateau. Il est en pleine rue, et n’est pas fréquenté que par des sbires. La prudence est plus que conseillé. Repose-toi. Nous irons après-demain.
C’est sur ces dernières paroles que Raphael alla s’allongea sur un canapé miteux. John dut trouver une chambre seule, et quand il en trouva enfin une, il remarqua le lit sans couette ni draps. Cependant, la fatigue de rester Guerrier si longtemps le gagna et il s’allongea dessus, le regard en l’air, puis s’endormit du sommeil de la vengeance accomplit en partie. Le plus gros l’attendait dans deux jours. En attendant il s’entrainerait. Le lendemain, ses blessure n’existaient plus. Raphael avait mis deux heures pour se guérir. En chargeant l’énergie dans leurs corps au niveau des blessures, ils pouvaient presque guérir instantanément. Ils s’entrainèrent donc chacun dans leurs coins, John mettant une nouvelle Technique Guerrière, et Raphael au combat au corps à corps. Le surlendemain ils allèrent à ce bar, espérant trouver leur sbire. Au moment ou ils entrèrent, le silence fut d’or, alors que deux minutes plus tôt, les clients discutaient de tout et de rien. Un habitué apparemment eu l’audace de leur demander ce qu’ils faisaient ici.
-He vous deux, qu’est ce que vous foutez là, hein ? Pas de place pour des p’tits nouveaux ici.
-Et ta sœur connard ?
-Tu m’a traité de quoi, la ?
-En plus il est sourd… Enfin bon, et si je te paye une bière, y aura de la place pour nous ?
-Heu…Ouais sa peut se faire. Ouais, ouais, venez par là.
A l’approche, on pouvait sentir l’odeur de l’alcool émaner de cet homme. Il allait pas tarder à devenir soul, sa se sentait. Ils lui payèrent donc cette bière, sourire aux lèvres, puis une autre, et encore une autre. Il ne tarda pas à devenir complètement bourré, ce qui les arrangeaient plus qui ne le croyait. Ils allaient être discrets et n’auraient pas à torturer des tas de personnes. Puis Raphael commença l’interrogatoire en premier :
-Dis-moi mon gars, tu connais quelqu'un qui bosse pour la Société ici ?
-Ha je peut rien dire. J’ai pas le droit, ordre de la Société, vous comprenez ?
Un véritable jeu d’enfant, pensa John.
-Et le Palace Hôtel, sa te parle ?
-Bien évidemment, tu me prends pour un bleu ?
Il sortit une carte de sa poche après de laborieuses fouilles dans sa poche, puis faillit leurs indiquer la position de l’hôtel, mais un de ses camarades remarqua leurs petits manèges et alla à leurs encontre.
-Messieurs, sortez doucement de ce bar avant que je ne m’énerve.
Il pointait un flingue sur eux, et du gros calibre. Ils se mirent à sourire et le regarda comme on regarde un suicidaire. John agit en premier. Il se leva précipitamment, pris le bras de l’homme et le désarma d’une frappe sur la main. Ensuite, il se mit à le faire tourner, toujours en lui tenant le bras, et l’explosa sur une table, sans jamais le lâcher. Il lui fit traverser la vitrine et se rassit, sourire aux lèvres, tout les regards braqués sur lui. Il n’y avait plus un son.
-Maintenant, la position de l’hôtel, monsieur. A moins que vous aimiez vous aussi le vol plané ?
Il donna la carte avec l’emplacement, les mains tremblantes.
-Merci bien, nous allons vous laissez maintenant. Au revoir peut-être ?
Ils sortirent de la pièce et retournèrent dans la petite maison, carte dans la poche. Une fois rentrés, ils examinèrent ladite carte, pour finalement décider de n’y aller que dans une semaine et demi, le temps que l’incident se fasse oublier. Ils s’entrainèrent tout le longs de cette semaine. Puis vint le moment d’y aller. Ils y allèrent en voiture, une magnifique Subaru volée. C’est qu’une fois arrivé qu’ils le sentir. L’énergie de ce qui semblait être un Guerrier d’exception. Il se tenait debout devant la porte, en souriant.
-Bonjour messieurs, et si vous sortiez de cette voiture ?
-De quelle sorte de Guerrier est-tu ?
-Je suis Wind Guerrier, John, Raphael. Je m’appelle Spear David. Mais assez perdu de temps. Commençons tout de suite, j’ai pas toute la journée.
Il se mit en posture de combat à mains nues, prêt à se battre. Il portait un pantalon marron, un T-shirt vert et un gilet marron par-dessus. Ces cheveux brun se battaient les uns les autres sur son crâne. Directement après ses dernières paroles, John et Raphael se ruèrent sur lui, Œil rouge et orange.
Je me fais ch*** seul sur ce forum. Je vais bientot... non... faut que je résiste... zzzzzzzzz... 
ça va ?
