C'est que sa la laisserait couler comme sa, hein! Pas l'impression qu'elle est tant aimé en fait!
the critic, j'te laisse cte fic stu veut
elle a coulé, 3 écrits en meme temps... c'est dur
Chapitre 14: Les gardes noirs
He bien, cool. En un instant, j’apprends que je suis un Chasseur, ou du moins que j’ai 25% de sang étrange et bizarre. Vraiment cool ma life. Bon, après avoir vu des zombies, des monstres, buté un ex-camarade de classe, je pense que ça ne s’arrêtera pas là. Quand un ennui arrive, il en vient mille, c’est bien connu de mon auteur en tout cas… et de ses lecteurs.
Moi et mon oncle sortirent donc de l’armurerie, mon sac à dos remplis avec désormais, en plus du fusil, un M16A4 et assez de munitions pour chacune de mes armes. J’aurais pu affronter l’armée coté munitions. Vive les munitions ! LES MUNITIONS VAINCRONT LES TERRORISTES ! LONGUE VIE A ELLES ! Enfin, bon bref, voilà quoi… Je sortis de l’armurerie avec ma nouvelle arme. Et quelques mines anti-personnel, des grenades… et des mines anti-char, aussi.
Je pensais avoir tout vu pour le restant de mes jours. Un ennui en plus, sa use, sa use… Un ennui en plus, sa use le p’tit David…
Moi, Jim, Mina, mon oncle et Davy tombèrent sur des hommes, entièrement vêtu de noirs. Un tas de poussière de zombie s’était accumulée à leurs pieds, mais le fait étant qu’ils nous avaient pris pour cible, C’ETAIENT PAS DES Z’ENTILS !
Nous les aperçurent dans une grande salle rectangulaire, qui, selon les meubles, devait être une immense salle à manger pour des centaines et des centaines de personnes. Mais nous, nous étions dans le couloir menant à cette salle, la porte bien ouverte et le parquet qui couine… Bref, discrétion zéro. Nous réussîmes à esquiver simultanément les tirs ennemis en se planquant à l’angle du mur. Du lourd qu’ils utilisaient les petits. J’eus le temps d’apercevoir une sulfateuse, quatre fusils à pompes, une vingtaine de fusils d’assauts surtout, et deux trois snipers. C’était TRES mauvais pour nous… Je pris mon nouveau M16, le chargea et annonça le spectacle. Il y avait un croisement à coté.
-DISPERSIOOOON !!!
Davy me suivait, Jim partit de son coté avec Mina. Tonton était seul, mais je ne me faisais pas de soucis pour lui. Etrangement, je me sentais bien. L’adrénaline. L’entente des soldats qui me poursuivait. J’ai ça dans le sang. Je m‘inquiétais plus pour Jim et Mina que pour moi.
C’’taient pas des bons, après tout, ces soldats. Mais ils étaient beaucoup mieux équipés que nous. N’empêche que mes modestes capacités sportives me suffisaient pour les distancer. Une fois une bonne minute de course-poursuite acharnée, j’aperçus un angle mort. C’est ce qu’il me fallait. Je me plaquai contre le mur, serra mon M-16 et me prépara au pire. J’entendais leurs pas se rapprocher. Quitte ou double.
Le premier me dépassa sans me voir, le brouillard n’éclairait pas des masses ce couloir interminable. Puis le second, le troisième, le quatrième, le cinquième et le septième, en passant par le sixième. Aucun ne me vis, ces abrutis croyaient que j’étais loin devant, et faisaient tellement de bruit qu’ils ne remarquèrent pas que mes bruits de pas s’étaient arrêtés. Avant de les perdre de vue, je mis mon arme en mode automatique et tira comme un taré dans leurs dos. Le sang giclait, mais pas assez à mon gout. Ces bâtards avaient des gilets par balle, des casques… La totale. Mais leur vitesse de réaction, zéro. Quand ils décidèrent d’ouvrir le feu, j’en avais tué trois et blessé les quatre autres, dont un au bras, vachement utile pour tirer. Mais j’avais des progrès à faire. Je passais donc de l’autre coté de l’angle, ce n’est pas que je n’aime pas les balles, mais si en fait. Donc j’évite de m’en prendre. Une seconde plus tard, un flot de balles s’échouèrent contre le mur. Au moins cent impacts. Dur…
Je croyais voir ma fin arrivés, qu’il allait déambulés comme des tarés et me tiré comme un lapin, mais non, ces peureux m’attendaient ! Bah, plus le choix. Je sortis une grenade à fragmentation, j’en ai près d’une dizaine… Un jour je vous expliquerais comment ranger un sac à dos.
Je la dégoupilla, la lança sur le mur et compta sur le ricochet…j’eus raison…
Elle fit un bang sonore, puis plein de petits sifflements, les shrapnels meurtriers libérés. J’entendis des borborygmes et des onomatopées aussi, genre : « AAAAaaaargl… » et « SPLORCH ». Victoire, KOM JE SUI UN KILER !... Mais non. J’entendis un bruit bizarre, comme si quelqu’un bougeait. Quelqu’un qui bouge est quelqu’un de vivant. Mon oncle m’a dit ça un jour, hier. Je pris mon couteau de chasse, pensant achever quelqu’un à terre, mais j’eus tort. Un cadavre roula par terre, trois shrapnels dans la gorge et le bras réduit en bouilli lors de mes tirs. Un de ses camarades, en position de tiré, s’en était servi comme bouclier, sachant que sa ferait mal. Il était juste égratiné par une balle.
Je fonça sur lui, couteau en main à l’arrière, bras gauche devant replié pour pas laisser d’ouverture. Avant qu’il puisse réagir, je fis tomber son arme par terre et me jeta sur lui, nous faisant rouler à terre. S’engagea alors une lutte féroce, moi pour l’égorger, à cheval sur lui, et lui me bloquant le bras pour m’empêcher d’atteindre mon objectif. Après quatre secondes ou l’on forçait comme des tarés pour l’emporter, il se dégagea de ma prise d’un coup de pied dans le ventre. Surpris, je lâcha mon arme et atterrit trois mètres plus loin, pliés sur le ventre douloureux. Lui se releva péniblement, mon couteau en main. Mon sac à dos étant tombé lors de la « roulade », j’étais complètement désarmé face à un psychopathe en puissance.
Coup de pot, je sentis un truc dur sous ma tête. Le fusil d’assaut du gars qui marchait couteau prêt à l’usage.
-C’est fini, gamin !
-Rêve et crève, connard !
Je m’emparai de son arme et tira une rafale de balles aléatoirement, qui percèrent de part en part mon ennemi. Le combat était fini, mais je ne savais pas si les autres s’en étaient aussi bien sortis que moi. Davy, qui a été complètement inutile durant la bataille mais s’était bien caché, arriva et me lécha la main. Pourvu que les autres s’étaient bien caché ou battu aussi.
PS: pavay, mes amis
je vais m'expliquer une derniere fois, avant de dormir.
savez-vous a quel point c'est FRUSTRANT de ne pas avoir de commentaires? qu'ils soient bons, tant mieux. pas bon, si sa me permet de m'ameliorer, tant mieux, du moment ou sa vient pas d'un analphabete. mais PAS de commentaire, sa me VEXE beaucoup
tu m'aurais 10 minutes le temps de lire t'aurais pas eu besoin ça
je voulais donc dire....ah oui !
trés bien !
maintenant tu fait la sweet ! et si t'a besoin de conseils pour les armes je suis là / <--------
mon unique et fidèle lecteur (pour c'te fic)
content que tu sois là... tu la sauve
de rien !
tu va me faire la sweet alors !
la sweet est prête, je la posterais après les vacances, l'avant tout dernier chapitre
le dernier va être en plusieurs partie et est déjà entamé
Aprés les vacances ?
ah ben ça va c'est demain.
ben non les miennes se termine lundi... prochain
elles ont commencé tard, mais se finissent tard
Ça veut dire que je vais devoir attendre 1 semaines ? *se gratte la tempe avec son révolver chargé le doigt sur la gachette*
non
te tue pas
Je vais pas me tuer.
Faut que je reste avec ma Cocow !
ta raison sa vaut pas le coup de mourrir pour un chapitre laissant prévoir de l'action, des morts, :spoil:
la mort de Davy, sachant que Jim et Mina vont suivre, amen, paix a leurs ames
Ah ben merci du spoil.
j'i prévenu, c'est pas ma faute si t'est déçu ou quoique se soit d'autres
M'en fou j'attend quand même ! ~ ~