Le 22 mars 2015 à 14:18:27 batflo3012 a écrit :
Tous les films empêchent de rêver ou d'imaginer ?? C'est bien ce que tu dis ?? Dis moi que tu plaisantes ou que j'ai pas compris ce que tu veux me dire...
Qu'est-ce que tu entends, toi, par "rêver" et "imaginer"?
Le 22 mars 2015 à 14:22:44 Snakier a écrit :
Le 22 mars 2015 à 13:44:03 Downtower a écrit :
Il est évident qu'il parlait de défaut au sens "choix cinématographique".Bah non, ça l'était pas, sinon je n'aurais pas posé la question.
Pourtant dans le débat il n'a été question que de choix cinématographiques du genre "film explicatif ou contemplatif" ; "scène accompagné de musique ou non" ; "plan séquence ou non" etc, à quelle moment il a été question d'erreurs techniques ou de faux raccords ou quoi que ce soit d'autres qui n'a pourtant rien à voir avec le sujet du débat?
Que je réponde à quoi ? Que j'ai utilisé le terme "faux raccord"? Tout simplement car ça rentre dans le même cadre qu'un équipe technique qui apparait sur un plan. Ce sont des défauts qui n'ont rien à voir avec le sujet du débat.
Concernant ta deuxième phrase concernant les choix artistiques et les erreurs techniques, ce n'était clairment pas le sujet du débat puisqu'il était très clair que cela ne concernait que les choix artistiques et non les erreurs techniques. Et qu'il n'y a qu'un pas entre les deux ou non ça reste deux choses différentes. Quand quelqu'un dit que Interstellar n'a rien d'émouvant car c'est trop superficiel à cause de la musique qui accompagne la scène et que c'est un défaut, c'est subjectif. C'était là le coeur du débat.
Le 22 mars 2015 à 14:19:41 Jiti-way a écrit :
Le 22 mars 2015 à 14:18:27 batflo3012 a écrit :
Tous les films empêchent de rêver ou d'imaginer ?? C'est bien ce que tu dis ?? Dis moi que tu plaisantes ou que j'ai pas compris ce que tu veux me dire...Qu'est-ce que tu entends, toi, par "rêver" et "imaginer"?
Bah rêver et imaginer grâce à un film c'est quand l'histoire du film vient agir sur ta façon de voir la vie. Quand le film te transporte, il te transporte même après le générique. 'Fin chai pas, tu prends ET ou Mon Voisin Totoro et tu rêves quoi. Tu t'attaches à ces deux créatures, ça alimente ton imagination et tes rêves, ça devient tes potes. Et le mystère de leurs origines, de leur nature, ça contribue à l'imagination, à tes rêves. Maintenant, tu prends Interstellar où tout est expliqué, certes y'a un voyage assez dépaysant mais sans cesse y'a des interruptions, des dialogues et des explications. Le film te prend par la main pour tout. Il ne te laisse aucune interprétation, aucune possibilité de rêver, d'imaginer... Et c'est parce qu'il ne cesse de tout t'expliquer, de tout te montrer... Il n'y a pas d'invisible, ou trop peu.
Le 22 mars 2015 à 14:46:55 Snakier a écrit :
Quand je dis que je souhaite voir jusqu'ou il croit a son argument, qu'est ce que tu ne comprends pas en fait ?Merci Shaffer, j'ai lu ça et je te rejoins sur pas mal de points (même si j'ai pas du voir 1% des films que tu cites )
Il n'y a qu'à relire ces précédents messages pour voir jusqu'où il croit en son argument j'ai même cité des exemples repris dans ces commentaires mais tu préfère faire celui qui ne comprends pas ...
Le 22 mars 2015 à 14:50:02 CharlotteGrace_ a écrit :
je cherche à lire des critiques et des avis du film et au final je tombe sur un debat putain
Ce topic est le "topic des débats"
Le 22 mars 2015 à 14:51:00 batflo3012 a écrit :
Le 22 mars 2015 à 14:19:41 Jiti-way a écrit :
Le 22 mars 2015 à 14:18:27 batflo3012 a écrit :
Tous les films empêchent de rêver ou d'imaginer ?? C'est bien ce que tu dis ?? Dis moi que tu plaisantes ou que j'ai pas compris ce que tu veux me dire...Qu'est-ce que tu entends, toi, par "rêver" et "imaginer"?
Bah rêver et imaginer grâce à un film c'est quand l'histoire du film vient agir sur ta façon de voir la vie. Quand le film te transporte, il te transporte même après le générique. 'Fin chai pas, tu prends ET ou Mon Voisin Totoro et tu rêves quoi. Tu t'attaches à ces deux créatures, ça alimente ton imagination et tes rêves, ça devient tes potes. Et le mystère de leurs origines, de leur nature, ça contribue à l'imagination, à tes rêves. Maintenant, tu prends Interstellar où tout est expliqué, certes y'a un voyage assez dépaysant mais sans cesse y'a des interruptions, des dialogues et des explications. Le film te prend par la main pour tout. Il ne te laisse aucune interprétation, aucune possibilité de rêver, d'imaginer... Et c'est parce qu'il ne cesse de tout t'expliquer, de tout te montrer... Il n'y a pas d'invisible, ou trop peu.
C'est ce que j'ai ressenti acec Interstellar, je suis sorti de la salle abasourdi et rêveur. Et je trouve comme je l'ai dit que la fin correspond bien à ta notion d'imagination. Premièrement ça fait réfléchir sur notre manière de voir l'univers et le temps et ça ouvre à une certaine reflexion. Et si les humains était à l'origine de leur propre création et existence? Surtout que certains indices y laissent penser
Le 22 mars 2015 à 14:52:17 Lt-Schaffer a écrit :
Que je réponde à quoi ? Que j'ai utilisé le terme "faux raccord"? Tout simplement car ça rentre dans le même cadre qu'un équipe technique qui apparait sur un plan. Ce sont des défauts qui n'ont rien à voir avec le sujet du débat.
Un faux raccord c'est un problème de montage (qui trouve ou non ses causes dans le tournage), ça n'est pas la même chose qu'un technicien qui est dans le champ. Tu as utilisé le terme pour répondre à Snakier donc je soulève cette mauvaise utilisation, puisqu'en plus tu prends un ton donneur de leçons. Tu pourrais au moins avoir la décence de le reconnaître. T'es juste tombé dans le panneau de la vulgarisation du mot à cause de l'émission d'Allociné j'imagine ?
Concernant ta deuxième phrase concernant les choix artistiques et les erreurs techniques, ce n'était clairment pas le sujet du débat puisqu'il était très clair que cela ne concernait que les choix artistiques et non les erreurs techniques. Et qu'il n'y a qu'un pas entre les deux ou non ça reste deux choses différentes.
Je reprends donc mon exemple : dans le cas d'une direction photographique à l'image sous-exposée ou mal exposée, jusqu'à quel point vas-tu considérer l'erreur technique en opposition avec le choix artistique ?
Je ne connais pas cette émission et je ne savais même pas qu'il y avait des émissions sur allociné
La difference est simple entre erreur technique et choix artistique, une erreur technique est involontaire et ne correspond pas à ce qui était souhaité. Un choix artistique qu'il plaise ou non est volontaire et correspond à ce qui était souhaité.
Le 22 mars 2015 à 14:54:36 Snakier a écrit :
Et sinon ça te dérange pas trop de t'exprimer a la place de quelqu'un d'autre en tentant de nous faire croire qu'il partage le même avis que toi ?
Quand c'est tellement évident non ça ne me dérange pas
Non
down des réflexions devant Interstellar ? c'est impossible ça Il ouvre aucune problématique, aucune critique, aucune interrogation. Il te dit déjà tout le film.
Je n'en ignore pas le sens, je t'assure que je sais pertinemment ce que signifie "faux raccord". Je le met exactement dans le même lot qu'un membre de l'équipe de tournage apparaissant dans un plan, c'est à dire les erreurs techniques, mais j'admet que ce n'était pas le terme approprié, j'ai repondu rapidement et j'aurai dut employé "erreur technique" à la place. Maks le sens de ma phrase était là
À partir du moment où une image est sous-exposé mais que c'est volontaire on ne peut pas appelé ça une erreur technique. C'est juste un choix discutable qui peut déplaire à beaucoup, mais ce n'est pas une erreur.
Le 22 mars 2015 à 15:08:02 batflo3012 a écrit :
down des réflexions devant Interstellar ? c'est impossible ça Il ouvre aucune problématique, aucune critique, aucune interrogation. Il te dit déjà tout le film.
N'exagère rien, bien sûr le but n'est pas d'aller dans une reflexion aussi pronfonde que dans 2001. Le but premier étant d'abords de divertir et faire vivre une experience, un voyage, de provoquer des élotions. Mais ce n'est pas vide de reflexion, loin de là. J'en ai déjà parlé à plusieurs reprises.
Il y a une réflexion sur l'humanité évidente. Sur ce qui lie les humains entre eux pour former un tout : l'humanité. Sur ce qui permet à l'humanité de survivre et d'avancer. Sur sa capacité d'adaptation. Il y a une reflexion sur la conquête spacial qui consitue forcément l'avenir de l'humanité. Il y a une reflexion optimiste de l'humanité, de l'évolution en tant qu'être et en terme de connaissances et de technologies. Il y a une reflexion sur les origines de la vie, de notre existence etc. Cela nous permet d'avoir une vision differente sur l'univers, qu'on est loin d'en connaître tous ces secrets et qu'il ne faut pas rester bloqué sur notre vision des choses. Il y a une reflexion sur la relativité des points de vues et des personnalités.
Et tous ces thèmes sont intimement liés les uns aux autres.
Non mais ce que tout ce que tu me dis ce n'est pas assez creusé pour parler de réflexions. Le film en parle mais il n'invite pas à la réflexion et l'interrogation
Si je sais très bien de quoi je parle. Ça devient lourd c'est manie de me rabaisser en prétendant que je ne sors que des bêtises et que je ne sais jamais de quoi je parle. À sortir toujours la même choses ça en devient ridicule et tu perd en crédibilité.
Surtout que tu détourne volontairement le sujet pour essayer de te donner raison. Si un problème technique survient à cause d'un manque de de moyens c'est indépendant de la volonté du réalisateur, ce n'est donc pas un choix artistique volontaire, c'est une erreur technique. Donc tes exemples ne sont pas percutant désolé.
Le 22 mars 2015 à 15:26:45 Lt-Schaffer a écrit :
Non mais évidemment il y a des thèmes particuliers qu'Interstellar aborde, personnellement je ne le nie pas, mais ça n'empêche pas que ce soit bas-de-plafond. Pour le coup il y a une différence entre le fait que ce soit dans le film, et comment le traitement s'en charge... Parce que du coup, le résultat, c'est quand même un enfonçage permanent de portes ouvertes peu subtil et même prétentieux. Après c'est juste que ton appréciation du traitement de ces thèmes dans Interstellar est conditionnée par ce que tu connais ou ne connais pas en science-fiction, ou en cinéma. Logique, aussi.
C'est pareil pour tous les films mais bon...
Le 22 mars 2015 à 15:23:47 batflo3012 a écrit :
Non mais ce que tout ce que tu me dis ce n'est pas assez creusé pour parler de réflexions. Le film en parle mais il n'invite pas à la réflexion et l'interrogation
En quoi ne sont-ils pas assez creusé? Parce que tu n'as pas pris le temps de réfléchir dessus?
C'est le film qui ne prends pas le temps de te laisser réfléchir dessus, parce que dès qu'une notion comme celles cités plus haut sont introduites, elles sont suivies dans la minute de séquences de vagues géantes ou de docking jesépakoi.
Donc tes exemples ne sont pas percutant désolé.
L'exemple d'A bout de souffle est très bon (et met complètement à mal ton argumentaire sur base de binaire involontaire/volontaire) et pourtant tu n'y fais pas référence une seule fois. Pourquoi ?
Le 22 mars 2015 à 15:30:37 Downtower a écrit :
Le 22 mars 2015 à 15:26:45 Lt-Schaffer a écrit :
Non mais évidemment il y a des thèmes particuliers qu'Interstellar aborde, personnellement je ne le nie pas, mais ça n'empêche pas que ce soit bas-de-plafond. Pour le coup il y a une différence entre le fait que ce soit dans le film, et comment le traitement s'en charge... Parce que du coup, le résultat, c'est quand même un enfonçage permanent de portes ouvertes peu subtil et même prétentieux. Après c'est juste que ton appréciation du traitement de ces thèmes dans Interstellar est conditionnée par ce que tu connais ou ne connais pas en science-fiction, ou en cinéma. Logique, aussi.C'est pareil pour tous les films mais bon...
Je ne saisis pas l'intérêt de la remarque. C'est pas vrai ce que tu dis
Le 22 mars 2015 à 15:31:38 Downtower a écrit :
Le 22 mars 2015 à 15:23:47 batflo3012 a écrit :
Non mais ce que tout ce que tu me dis ce n'est pas assez creusé pour parler de réflexions. Le film en parle mais il n'invite pas à la réflexion et l'interrogationEn quoi ne sont-ils pas assez creusé? Parce que tu n'as pas pris le temps de réfléchir dessus?
Le 22 mars 2015 à 15:33:16 Harron a écrit :
C'est le film qui ne prends pas le temps de te laisser réfléchir dessus, parce que dès qu'une notion comme celles cités plus haut sont introduites, elles sont suivies dans la minute de séquences de vagues géantes ou de docking jesépakoi.
Il a résumé.