Fire Emblem : Awakening

Et moi j'ai Laurent X Kjelle

Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, Noire, NOIRE !!!!

C'était le post inutile du jour ...

Ma noire est trop cheat.

Bon on stop c'est pas le topic pour en parler.

On peut toujours faire un fan-club de Noire ...

C'est bon, là, on stop.

Laurent/Linfan(F)

LF:Linfan(F)
L: Laurent

Soutien C

LF: Ha ha ha ! Excuse-moi, Laurent.
L: J’en suis encore ébahi !
Qu’est-ce qui t’a fait croire que construire une tour avec mes livres serait comique ?
Tu as failli écrabouiller ton père lorsque la tour s’est effondrée !
LF: Hé, j’ai déjà dit que j’étais désolée !
Et c’était vraiment rigolo de les empiler.
Tu devrais essayer, un jour !
L: Sans façon.
LF: Oh, alleeez. Il faut faire des expériences, dans la vie !
L: Non.
Franchement, faut-il toujours que tu te comportes ainsi ?
Est-ce que tu trouve cela convenable de voleter par-ci par-là toute la journée…
à jouer à tes jeux et à causer des ennuis aux autres?
Nous luttons pour l’avenir du monde, Linfan. Tu ferais bien de t’en souvenir.
LF: Oui, je me rappelle. Et je suis TOUT A FAIT sérieuse ! Regarde-moi dans les yeux…
Tu vois, ça ? Tu les vois ? Ce sont les yeux d’une femme foncièrement déterminée.
L: …
LF: Voilà les yeux de quelqu'un qui va se battre pour sauver le monde de la dévastation !
Voilà des yeux SÉRIEUX !
Rrrrrrr ! Ne… pas… cligner…
L: La seule chose qui est sérieuse, chez toi, c’est ta bêtise !
Tu devrais prendre exemple sur ton père.
LF: Si je le faisais, est-ce que tu jouerais à empiler des tomes magiques avec moi ?
L: J’ai assez de choses stupides à gérer dans la vie ! Adieu !
LF: Hééé, attends ! Laurent ! Allez, ne fais pas la tête !

Soutien B

L: Linfan me rendra fou… Ou me mènera à une mort précoce…Ça ne fait aucun doute.
Nous luttons pour la survie de l’humanité, et elle, elle veut jouer !
Cette créature ne comprend donc pas l’extrême gravité de la situation ?
LF: Cinq… cent… vingt-TROIS !
L: Hein ? Que fait-elle, cette fois-ci ?
LF: Cinq… cent… vingt-QUATRE !
L: Linfan ?
LF: Ouf ! Oh ! Salut, Laurent !
Qu’est-ce qui t'emmène par ici ?
L: Je passais juste par ici… Mais qu’est-ce que tu fais ?
LF: De la musculation, bêta ! Ça se voit, non ?
Même si je suis un futur stratège de légende, je dois pouvoir combattre seule !
L: Et tu fais toujours cinq cents répétitions ?
LF: Six cents, en fait. Mais n’entrons pas dans les détails.
Un corps bien tonifié est une source de confiance en pleine bataille !
Avec des muscles pareils, ma victoire sera certaine !
Nul besoin de souvenirs quand on a un ventre dur comme l’acier !
J’en ai d’autres comme ça… Bref, je ne joue qu’après avoir fini mes exercices quotidiens.
L: Il semblerait que je ne t’aie pas rendu tout à fais justice.
LF: Justice pour quoi ?
L: Ton zèle. Tu fais preuve d’une motivation remarquable pour décrocher la victoire.
Je me sens complètement ridicule de t’avoir dit de prendre exemple sur ton père.
En fait, je pourrais suivre ton exemple moi-même !
LF: Oh, ne t’en fais pas ! C’est du passé !
Cela dit…
Si tu voulais vraiment te faire pardonner, tu jouerais à empiler des livres avec moi !
L: Je vois que mes éloges étaient quelque peu prématurés.
Il n’en est pas question.
LF: Une autre fois, alors… ?
L: PAS QUESTION !

Soutien A

L: *soupir* Impossible de dire quelle est vraie personnalité.
LF: Tout va bien, Laurent ? Je t’ai observé regarder dans le vide et marmonner.
L: Euh, salut.
LF: Quelque chose te préoccupe ? Si tu as des soucis, j’y prêterai volontiers une oreille.
On pourrait en discuter tout en jouant à empiler tes livres !
L: Tu es la cause de tous mes soucis.
LF: Quoi ?! Qu’est-ce que tu veux dire ?
L: Je n’arrive pas à te cerner.
Il y a une Linfan toujours prête à faire des farces et à inventer des jeux ineptes…
Et l’autre Linfan, une guerrière assidue, qui s’entraîne avec rigueur et enthousiasme !
Ou se trouve la vérité ? Laquelle des deux est la vraie Linfan ?!
LF: C’est CA qui te préoccupe, gros bêta ?
L: Tu oserais m’accuser de manquer d’intelligence ? Toi ?!
LF: Ha ha ha, pardon Ce n’est pas ce que je voulais dire ! Enfin, tu dramatises.
Les DEUX sont la vraie moi !
L: Les deux ?
LF: Ecoute, c’est vrai que j’aime bien m’amuser et faire le pitre.
Mais je veux aussi être un grand stratège tout comme mon père… et je travaillerai dur pour y arriver !
Il n’y a pas de règle qui interdit de combiner les deux ! Euh… N’Est-ce pas… ?
L: Non, je suppose que non…
J’aimerais juste savoir pour de bon si tu es sérieuse ou tire-au-flanc.
LF: Hum… Sérieuse, probablement… Euh, plus ou moins… ?
L: Si tu n’es même pas capable de me fournir une réponse sérieuse, cela jette un doute.
LF: Allez, ne fait pas l’ours grincheux ! J’ai bien le droit de taquiner un peu mes amis, non ?
L: Je n’avais pas encore considéré notre relation sous cet angle.
Nous sommes plutôt frère et sœur d’armes, nos liens forgés dans le feu de l’action !
LF: Géniaaal ! Ça fait beaucoup plus chic que de dire qu’on est potes.
Que dirais-tu de développer nos liens en jouant à empiler quelques livres ?!
L: Non.
LF: Oh, alleeeeez !

Soutien S

LF: Laurent, puis-je te parler un instant ?
L: Tu n’as pas jugé nécessaire de demander ma permission, les autres fois.
LF: Certes, mais c’est la première fois que j’ai à te dire que je suis amoureuse de toi, alors…
L: QUOI ?!
LF: Eh oui ! J’aimerais que nous soyons ensemble pour l’éternité !
L: Est-ce un autre de tes jeux bizarres ? Une nouvelle farce démente ?
Je refuse d’être impliqué là-dedans.
LF: Quoi ? Mais non ! Je suis sérieuse !
L: Tu… Vraiment ?
LF: Laurent ! J’aime rire, mais je ne ferais JAMAIS de farces à ce sujet !
Tu te rappelles quand tu nous as appelés frère et sœur d’armes ?
J’y ai repensé, et au final cela m’a complètement chagrinée…
Je ne veux pas être ta SŒUR !
L: Linfan…
LF: Bref, je… Je devais t le dire, c’est tout. Mais je sais que c’est idiot.
Je veux dire, tu ne t’intéresserais jamais à une fille comme moi, n’est-ce pas ?
L: … En fait, j’en serais très heureux.
LF: Quoi, vraiment ?!
L: Mais j’ai peur de ne pas être prêt. J’ai fait preuve de tant de suffisance en te blâmant.
Avant de m’adonner au romantisme, je dois encore mûrir en tant qu’homme.
LF: Tu raisonnes à l’envers ! L’amour fait mûrir les gens ! Il nous rend plus forts !
Réfléchis, Laurent ! Pourquoi crois-tu que je me suis forcée à un si strict entraînement ?
Rah, je n’arrive pas à croire que je te dise ça !
L: Quand tu faisais de la musculation, c’était par égard pour moi ?
LF: Oui… Je pensais que si j’étais plus rigoureuse, tu me prendrais au plus sérieux !
Avant ça, je ne faisais que traîner et manger des gâteaux toute la journée.
L: Je vois… Il est incontestable que tu as récemment fais des efforts impressionnants.
Si l’amour t’insuffle ce dessein, peut-être est-il inutile que je bride mes sentiments.
LF: Alors, qu’est-ce que ça veut dire ?
L: Je suis également épris de toi.
LF: Oh, Laurent ! Tu es sérieux ?
L: Absolument.
LF: Génial ! CA va être fantastique !
On va s’inciter mutuellement à s’améliorer afin de sauver le monde, le futur, et tout !
L: Si ta présence me fournit ne serait-ce que la moitié de l’énergie et de l’assurance…
… donc tu fais preuve, je serais très heureux.
Mais je m’oppose à toute proposition d’<< empiler les livres >> et autres sottises.
LF: Quoooiii ?!
L: Quand j’ai ramassé la pile effondrée, j’y ai trouvé des manuscrits de ma mère et moi.
Cela m’ennuie de penser que ce précieux savoir aurait peut-être pu se perdre !
LF: D… Désolée ! Je promets que la prochaine fois, j’empilerai t’es potions !

Elle est quand même adorable, Linfan (un peu dans la lignée de Lissa, à faire les pires bêtises)...

Yarne/Laurent

Soutien C

Y: Ouille… Je n’ai vraiment pas envie de me battre aujourd’hui !
L: Que fait-tu ici, Yarne ?
Y: Argh! L… Laurent ?
L: Les préparatifs de la prochaine bataille ont commencé. Les autres attendent.
Y: Ah, ouiii… Ecoute, j’aimerais bien y aller, mais… J’ai vraiment très mal au ventre !
L: En ce cas, pourquoi te tiens-tu la tête ?
Y: Mal à la tête, je voulais dire !
L: Si tu veux jouer au malade imaginaire avec moi, il va falloir être plus persuasif que ça.
Y: C’est le changement de saison ! Nous, les Tagüels, ça nous donne des maux de tête !
L: *soupir* Je suis très déçu par ton comportement, Yarne.
Je sais que tu exècres te battre, mais je te pensais plus mature et responsable que ça.
Y: Mais je ne simule pas, je te dis ! Je suis VRAIMENT malade, aujourd’hui, d’accord ?
Et je te rappelle que je suis un très bon combattant ! Je peux battre qui je veux !
L: A en juger par tes vociférations, ton mal de tête semble être en rémission.
On va rejoindre les autres ?
Y: Quoi ? Pas possible ! Je crois que je me suis fait mal à la rate avec cette crise ! Ah !
J’ai le foie qui faiblit ! La lapindicite ! Le coryza ! La maladie du sommeil ! …
Très bien, ça va… J’arrive.

Soutien B

L: Yarne ? Je dois te parler.
Y: C’est mauvais signe, en général…
L: Lors de la dernière bataille, tu as pris le parti d’enfreindre les ordres et de t’enfuir.
Y: Euh… D'accord, c’est peut-être de quoi ça avait l’air, mais je t’assure que j’avais…
L: T’es excuses ne m’intéressent pas.
Tu te rends compte que tes actions ont des répercutions pour le reste d’entre nous ?
Y: Certes, mais, euh… Je me suis tordu le septum ! Alors, je n’aurais fait que gêner.
L: Tu t’es foulé le nez… Vraiment ?
Y: Euh… Oui ?
L: Chrom t’a donné des ordres en escomptant que tu les exécutes. Il t’a fait confiance.
Cela te satisfait de trahir avec insouciance cette confiance que t’on t’accorde ?
Y: …
L: J’ai passé le stade de la déception pour atteindre la stupéfaction et le dépit !
Y: Hé ! Mais pour qui tu te prend ?! Tu crois pouvoir me juger ?
Tu n’es pas Chrom, alors ne viens pas t’exprimer en son nom !
Tu parles comme si tu savais tout mieux que tout le monde, mais tu ne sais rien du tout !
L: …
Y: Et tu ne sais certainement pas ce que c’est de vivre ce que je vis !
D'accord, je suis pas le plus courageux des lapins, mais tu t’es demandé pourquoi ?
Si je fonce au front et que je fais une bourde, c’est une race entière qui s’éteint !
Alors, si je reste en deuxième ligne, c’est par devoir, tu comprends ?!
Alors arrête un peu tes suppositions et fiche-moi la paix !
L: Et voilà ! C’est parfait.
Y: Qu’est-ce qui est parfait ?!
L: J’ai supposé qu’il y avait une certaine fougue en toi, donc je t’ai provoqué.
Tu m’as donné raison. Si tu nourris cette colère, tu devrais être plus courageux !
Y: Quoi ?!
L: Ton ennemi n’est pas vraiment la couardise, mais plutôt la léthargie.
Ton légitime instinct de survie est devenu une habitude, et un obstacle.
Y: Alors, toutes ces choses que ta as dites… Tu le faisais exprès de m’énerver ?
L: Une regrettable nécessité. Mais j’estime que le résultat parle de lui-même.
Enfin, tu n’as pas tort de penser au combat avec appréhension. Les risques sont réels.
Mais avec ta fougue et ton talent inné de Tagüel, tu sauras y arriver.
Y: A t’entendre, on croirait que c’est facile. Mais la guerre, ce n’est pas une simple…
L: Va, je crois qu’il est temps de rejoindre les autres ! Le devoir nous appelle !
Bats-toi vaillamment, Yarne ! Tu as ma confiance la plus entière !
Y: Euh, moi, je vais y aller… Hé ! Pourquoi tu me prends par…
Argh ! Tire pas comme ça ! Mon espèce a besoin de ce bras !

Soutien A

Y: Ouille, j’ai mal partout… J’en ai peut-être fait un peu trop…
L: Yarne !
Y: Dou… Doucement, Laurent ! J’ai essayé de…
L: Tu as été formidable !
Y: Quoi ? Qu’est-ce qu’il se passe ? Pas de leçon de morale ?
L: Mais je n’ai rien à te reprocher ! Tu as été exemplaire !
Tu as été élu héros de la bataille, à l’unanimité !
Y:Mais… Je n’ai fait que servir de leurre…
C’est les autres qui ont fait le reste.
L: Tu es trop modeste ! Tu avais la tâche décisive, la plus dangereuse.
Et tu t’en es sorti brillamment ! C’est un haut fait sensationnel, vraiment.
Y: Eh bien, si tu le dis ! Cela fait du bien de t’entendre dire ça.
L: Je savais que tu lèverais tous les défis une fois débarrassé de tes mauvaises habitudes.
Y: Et je te l’ai dit que j’étais un grand guerrier quand je voulais !
L: Cela me fait plaisir que ce jour soit venu.
Il ne te reste plus qu’à continuer sur ta lancée pour les prochaines batailles !
Y: Prochaines batailles… ?
L: Tout à fait. Tu as prouvé ta grande valeur en obéissant ainsi aux ordre.
Je suis sûr que Chrom aura envie de mettre t’es talents à contribution, dorénavant.
Y: Mais, euh… Quid des jours où j’ai mal au ventre ?
L: Ne t’inquiète pas. J’ai déjà passé le mot à tous ceux qui sont de corvée de cuisine.
Une bouillie spécifique sera préparée pour toi, afin de faciliter ta digestion.
Y: Beurk ! Et… Mon insomnie ? Mes maux de têtes saisonniers ?
L: Je serais là chaque nuit pour te mettre au lit.
En utilisant la magie, ou bien un gourdin… Et puis, les maux de têtes saisonniers, cela n’existe pas !
Y: Mon foie !
L: Cela peut s’extraire.
Y: Argh !
L: Allons, prends courage, Yarne ! Et puis avance, en même temps !
Nous sommes en retard pour la bataille.
Y: Je crois qu’éviter la léthargie ne sera pas difficile en ta compagnie, Laurent…

Voilà comme promis j'ai poster les soutiens que j'avais

Knight-DOOM J'avais réservé Laurent X Yarne (page 18 - dernier message), mais c'est pas grave , ça m’arrange même car je ne sais pas si j'aurais le temps de tout poster...

Oh désolé j'avais pas vus ^^

Pas grave, ça me fait un de moins !

Gregor/Tharja :

Soutien C :

Gregor : Ha ha ! Je t'ai trouvé, Tharja ! J'veux t'poser une question, t'es d'accord ?
Tharja : Non. Je suis occupée. Désolée.
Gregor : Alors, tu veux pas faire ami-ami avec un vieux loup comme moi...
Tharja : Ton âge n'a rien à voir là-dedans. Me lier d'amitié avec toi ne présente simplement aucun intérêt.
Gregor : Rah ! T'as une vraie langue de vipère, on dirait bien ! T'aurais pu dire, j'sais pas, que mon odeur t'inconfortait, j'serais moins insulté...
Tharja : Tu pourrais sentir la rose, tu ne m'intéresserais toujours pas.
Gregor : Ah ! Alors, une aut' question ! Pourquoi tu m'détestes, hein, hein ?
Tharja : J'ai dit que ne ne voulais pas te parler. Serais-tu sourd ?!
Gregor : Bah, un vétéran comme moi, ça entend que c'que ça veut entendre. Ça m'permet de vivre plus vieux, aussi.
Tharja : Oh ? Vraiment ?!
Gregor : Ha ha, tout d'un coup, t'es bien curieuse, je trouve !
Tharja : Si cela est vrai, cela explique pourquoi mes malédictions ne marchent pas sur toi !
Gregor : Mais moi, j'ai encore une autre question ! Pourquoi t'essayais d'me jeter un sort, hein ?!
Tharja : En quoi cela importe ? Il n'a pas marché de toute façon...
Gregor : Ha ha ! C'est ptêt' pour ça alors, que tu m'aimes pas ! Ta malédiction marche pas ! Ha ! Tu fais moins la fière, là... Parce qu'en fait, tu passes pour une débutante... !
Tharja : Moque-toi si tu veux, malheureux... J'aurais le dernier mot, tu verras...
Gregor : Euh, alors, j'ai encore une question ! Oh ! Elle a disparu...

Soutien B :

Gregor : Attends voir, Tharja ! Viens donc par là et écoute-moi un peu...
Tharja : Tu es tenace. Je vais te lancer un sort pour fermer définitivement ton clapet !
Gregor : Bah, tes malédictions, elles marchent pas sur ma personne, c'est toi qui l'as dit !
Tharja : Mais quelle plaie...
Gregor : Ha ! J'suis bien embêté qu'tu me détestes pour ça, mais on peut rien y faire...
Tharja : Tu veux qu'on soit amis ? Alors prouve-moi ta loyauté... Donne moi tes ongles et une mèche de tes cheveux. Je trouverai bien quelque chose !
Gregor : D'accord, mais 'faut d'abord qu'tu répondes à mes questions. D'habitude, j't'aurais ptêt' demandé si t'avais déjà des plans pour la soirée... Mais aujourd'hui, j'sais m'tenir !
Tharja : Je t'écoute. Mais je ne répondrai qu'à une seule question !
Gregor : Oh, non... J'en avais deux, en fait. Mais bon, allez, j'vais droit au but ! Tu connaîtrais pas un petit sort pour, j'sais pas, ressusciter les morts ?
Tharja : Toujours les mêmes questions ! Sais-tu combien de fois on m'a demandé ça ? C'est aussi énervant que le classique : « Peux-tu me rendre immortel ? »...
Gregor : Alors, tu peux pas l'faire, ça veut dire ?
Tharja : Non, personne ne peut faire ça. Toutefois... … si tu veux parler aux morts, je peux arranger ça.
Gregor : Vraiment ?! Ah oui, oui, parfait, ça m'suffit ! Tu dois m'aider à parler à un mort !
Tharja : Ce n'est pas si facile. Il faut beaucoup de préparation...
Gregor : S'il te plaît. Fais ça pour moi ! J'te donne même mon âge en échange !
Tharja : Ton âme ? Vraiment ?
Gregor : Croix d'bois, croix d'fer ! C'est pas des blagues, là !
Tharja : Eh bien, dans ce cas, je peux certainement faire quelque chose pour toi.
Gregor : Oh ! J'serai vraiment bien reconnaissant !

Soutien A :

Gregor : Hé, Tharja ! T'as fini les recherches ? Lu les bons tomes, rassemblé les ingrédients ? Dis que oui ! Allez ! J'veux vraiment lui parler à cette personne, moi !
Tharja : Je suis prête. Quelle âme veux-tu invoquer ?
Gregor : Bah, c'est mon frère. Il s'appelle Gregor.
Tharja : Vous avez le même nom ?
Gregor : Oui. Quand il est mort, j'ai pris son nom, disons, pour l'faire exister encore un peu...
Tharja : Oh ! Voilà qui explique pourquoi mes malédictions ne marchent pas sur toi. Le frère dont tu as pris le nom a laissé quelque chose d'inachevé, un regret. Il s'accroche encore à ce monde, et le nom lui appartient à lui, pas à toi.
Gregor : Et donc, c'est pour ça qu'tes sorts sont pas bien efficaces ?
Tharja : En effet. Une malédiction n'a pas d'effet si l'on ne connaît pas le vrai nom de la cible. Je comprends à présent comment tu as réussi à t'en protéger.
Gregor : Tu veux connaître mon vrai nom ? Pour m'jeter un sort ?
Tharja : Plus tard. Pour l'instant, je veux que tu te concentres sur ton frère... Concentre-toi. Représente-toi son visage, sa voix... Maintenant, essaie de lui parler.
Gregor : Gregor ? Gregor ? Hé ho, frérot ! Tu m'entends, là ?
Tharja : (Mon frère ? C'est toi...?)
Gregor : Oh, dis donc ! On dirait vraiment lui ! T'as invoqué l'âme de mon frère !
Tharja : (Mon frère...)
Gregor : Frérot ! J'veux m'excuser. J'ai fait des tas de mauvaises choses parce que t'es mort. Si tu m'en veux, faut m'le dire, tout d'suite. Si j'peux me racheter, dis-moi comment.
Tharja : (Non ! Je ne t'en veux pas. Tu as fait tout ce que tu as pu pour me sauver.) (Tu ne dois pas te sentir coupable. Tu es brave et je serai fier de toi, toujours.)
Gregor : Gregor, j'suis désolé ! J'voulais t'sauver mais les bandits... y'en avait bien trop !
Tharja : (Je ne t'ai jamais rien reproché, mon frère. Tu as mon pardon. Tu dois te pardonner...)
Gregor : Snif ! Gregor...
Tharja : Alors ? Est-ce que tu as dit ce que tu avais à dire ?
Gregor : Oui. Merci, Tharja. Mon frère a été capturé par des bandits et j'ai pas pu l'sauver... J'ressens encore la tristesse... Mais aujourd'hui, grâce à toi, j'ai pu m'excuser. J'ai plus de regrets. Tu peux prendre mon âme. Je suis satisfait.
Tharja : … Je suis un peu fatiguée... La prochaine fois, peut-être...
Gregor : Ah bon... Alors, j'ramène mon âme la prochaine fois et tu pourras la prendre !

Soutien S :

Gregor : Tharja. J'veux encore te remercier... C'était un beau cadeau qu'tu m'as fait. J'ai parlé à mon frère et puis j'me suis excusé et puis il m'a pardonné. Grâce à toi, j'suis un homme tout neuf !
Tharja : Ah ? Tu es bien le seul à y avoir gagné quelque chose.
Gregor : Bah, j'te remercie et tu m'lances un regard furieux ? Y a un problème ?
Tharja : Depuis que j'ai hébergé l'âme de ton frère, quelque chose me perturbe. Je n'arrête pas de penser à toi. C'est extrêmement irritant !
Gregor : Ha ha ! J'ai saisi... J'comprends vite, moi, tu sais. T'es tombée amoureuse de moi. C'est pas la première fois qu'ça m'arrive ! Mais ça va. J't'aime aussi, moi. J't'ai même apporté un cadeau, d'ailleurs.
Tharja : Un anneau ?
Gregor : Oui, regarde à l'intérieur, y'a même mon nom gravé dessus ! Si t'acceptes, on à qu'à graver ton nom aussi ! Y'aura Gregor et puis Tharja à côté !
Tharja : Gregor... Alors tu vas continuer de porter le nom de ton frère ?
Gregor : Bah oui. Grâce à toi, j'sais qu'il m'a pardonné, qu'il m'en veut pas ! Maintenant, j'peux porter son nom avec fierté. Et pis, je l'aime ce nom : Gregor !
Tharja : Oui, c'est autant le sien que le tien à présent. Hin hin. Cela veut dire que mes sorts seront efficaces sur toi maintenant.
Gregor : Ha ! Pour toi, j'ferais n'importe quoi ! Tu peux m'changer en gros crapaud, tiens !
Tharja : Hmm, non, ça ira. Et puis j'ai une bien meilleure idée... Hin hin...

Juste un petit truc : Si vous avez la flemme d'écrire le nom du personnage à chaque fois et que vous souhaitez pas mettre une lettre dans un soucis de clarté, faites comme moi.

Vous recopiez environ 4 fois les personnages avec les : à côté et vous faites un C/C sur tout le long. Après, faut se mettre un peu de marge et vous supprimez le reste. C'est très pratique et ça rend les soutiens plus lisibles

quelqu'un pourrait mettre le soutien Daraen(home)/Aversa svp

J'ai que le soutien C/B/A

Je met MU(M) x Aversa et MU(F) X Aversa en entier dans la journée :D

Faudrait aussi Priam X MU ( F )

Mais personne là.

Comme il faudrait aussi Yen'fay X MU (F)...
... que je n'ai pas .

Libra/Maribelle :

Soutien C :

Maribelle : Bonjour, Monsieur. Êtes-vous ici pour dire vos prières ?
Libra : Tout à fait. Et toi ?
Maribelle : De même. C'est un rituel auquel je procède chaque matin.
Libra : Un effort des plus louables. Puis-je me joindre à toi ?
Maribelle : Mais oui, je vous en prie.
Libra : Tu me fais penser que je n'ai pas encore eu l'occasion de dûment te remercier.
Maribelle : Oh ? Qu'ai-je donc fait pour mériter votre reconnaissance ?
Libra : Tu as oublié, je vois. C'était pour moi un incident bien familier, hélas... J'avais été abordé par un groupe d'ivrognes qui m'avaient pris pour une femme... Je pense qu'ils se rappellent encore du savon que tu leur as passé. Sans vouloir compromettre davantage ma virilité, je dirais que tu m'as défendu... … comme un chevalier l'aurait fait pour une demoiselle en détresse.
Maribelle : Ah oui, je me rappelle à présent. J'ai eu droit à ma propre semonce, de retour au camp. Certains des autres pensaient que j'avais été trop téméraire.
Libra : Pour ma part, je suis heureux d'avoir bénéficié de ta légitime bravoure. Merci beaucoup.
Maribelle : J'ai agi principalement pour exprimer mon indignation face à ces malotrus, voyez-vous. Mais si cela a pu vous rendre quelque service, tant mieux ! Vos paroles renforcent mes convictions.
Libra : Il n'y a pas de quoi !

Soutien B :

Maribelle : Hmm... Voilà un douloureux dilemme, pour sûr.
Libra : Quelque chose te trouble, Maribelle ? Tu réfléchis si intensément que je peux presque entendu ton cerveau fonctionner...
Maribelle : Je lis une chronique des affaires judiciaires, dans le cadre de mes études. Et le verdict d'un procès particulier me laisse assez partagée.
Libra : De quel type d'affaire s'agit-il, pour que tu sois pareillement contrariée ?
Maribelle : Une enfant chassée par ses parents a, mue par la faim, volé un aristocrate.
Libra : Orpheline ou pas, il me semble que l'affaire est élémentaire. Quelle qu'en soit la raison, un crime contre un noble doit être sévèrement puni.
Maribelle : Et pourtant, si c'est le noble qui vole à un manant, sa peine ne sera que légère. J'ai peine à croire que cela puisse être considéré comme une justice !
Libra : Tu voudrais que les lois s'appliquent à tous équitablement, sans distinction de rang ?
Maribelle : Ce n'est pas comme si j'exigeais qu'on invite la plèbe aux réceptions mondaines ! Tous doivent être égaux devant la loi, sans quoi elle ne saurai être vue comme juste.
Libra : Tous, dis-tu ? Même les enfants délaissés par des parents de basse extraction ?
Maribelle : Bien entendu.
Libra : Je dois avouer que je n'aurais pas cru que quelqu'un adhère à cette opinion.
Maribelle : Ce que j'ai dit vous choque ?
Libra : Au contraire. Tes paroles sont justes et gracieuses. Je me sens honoré, sublimé même, d'avoir rencontré une âme si pure.

Soutien A :

Maribelle : J'ai pris une décision, Libra. Quand cette guerre cessera, j'en entamerai une autre.
Libra : Une guerre, Maribelle ?
Maribelle : Tout à fait, je combattrai pour les droits de tous, en tant que ministre de la justice !
Libra : Quelqu'un d'un rang aussi élevé que le tien voudrait se battre au nom de la populace ?
Maribelle : Bien sûr. En Ylisse, pour commencer, puis à Plegia, et Ferox, et partout ailleurs. Je mènerai chaque bataille jusqu'à faire disparaître toutes les lois inéquitables.
Libra : Plier d'autres royaumes à ta volonté n'est pas une sinécure, même avec une armée. Vouloir le faire en n'usant que de diplomatie est une entreprise colossale, Maribelle.
Maribelle : Je suis consciente de ma folie, mais je suis fermement décidée.
Libra : Pourquoi te lancer de ton plein gré dans une tâche si pénible ?
Maribelle : C'est grâce à vos paroles, Libra. Vous avez réveillé en moi la joie, la fierté. Vous m'avez remercié pour une chose que je tenais pour acquise et vous vous êtes senti pur. Si par mes efforts je peux apporter ce sentiment à davantage de gens... … aucune tâche ne me semblera trop pénible.
Libra : Je n'ai fait que tue dire le fond de ma pensée... Ce n'était pas mon intention de te transmettre une tâche si importante...
Maribelle : Et pourtant, vos paroles ont changé ma vie malgré tout. Je vous en remercie.

Soutien S :

Libra : Maribelle, ce que tu me disais l'autre fois... Es-tu sûre que c'est la vie que tu désires ?
Maribelle : Quand je prends une décision, je ne reviens jamais dessus.
Libra : Ta ténacité est impressionnante.
Maribelle : Oui, et elle manque parfaitement de grâce, j'en ai bien conscience.
Libra : Un manque de grâce qui fait simplement partie de ton charme tout particulier.
Maribelle : Ah ! Vous avez un don pour la flatterie, mon bon Monsieur.
Libra : Je suis parfaitement sincère, je te l'assure.
Maribelle : Libra... ?
Libra : Oh, Maribelle ! Veux-tu m'épouser ?
Maribelle : Faute de me dissuader de ma folle croisade, vous voudriez me séquestrer au foyer ?!
Libra : Les dieux m'en gardent. Je souhaite te servir dans cette croisade !
Maribelle : C'est une farce ? Ce n'est pas drôle. Et si vous êtes sérieux, ça l'est encore moins !
Libra : C'est regrettable, car ton rire est une douce mélodie ! Mais si cela peut te convaincre de ma sincérité, vois ! Je me suis procuré ceci.
Maribelle : Oh... Cet anneau... Il est splendide.
Libra : Tu m'honorerais si tu l'acceptais.
Maribelle : … C'est la seconde fois que vos paroles changent le cours de ma vie.
Libra : Un changement pour le mieux, ose-je espérer ?
Maribelle : Sans nul doute. Si vous me promettez fidélité, je serais ravie d'en faire de même.
Libra : Je t'appartiens jusqu'à mon dernier souffle.

MU(F)/Aversa

Soutien C

Aversa: J'en ai fini avec mon rapport d'aujourd'hui, Chrom. Je retourne à mon poste, à présent. Si tu as besoin d'autre chose, je suis à ton service.
MU: Mais, c'est Aversa... Qu'est-ce qu'elle faisait dans la tente de Chrom... ? Aversa! Attendez!
A: Tiens, mais c'est l'ancien stratège... Qu'est-ce que tu me veux?
MU: L'ancien stratège? Pouvez-vous m'expliquer ce que vous entendez par là?
A: C'est pourtant limpide, il me semble... Ne va pas croire que je ne loue point les efforts que tu as fournis jusqu'à présent.Mais enfin, l'heure est venue de laisser ta place aux professionnels. Va donc t'allonger sur un canapé. La très respectable armée de Chrom est désormais entre de bonnes mains...
MU: Espèce de comploteuse! C'est moi le stratège! Je l'ai toujours été!
A: Ce n'est pas vraiment à toi d'en décider, vois-tu? Chrom veut se doter du meilleur stratège à sa disposition. Or il se trouve que c'est moi...
MU: Ainsi, vous prétendez en savoir plus que moi sur la stratégie militaire?
A: Dois-je vraiment répondre à cela? Faut-il que je te rafraîchisse la mémoire? Il y a de cela pas si longtemps, nous étions encore ennemies. A l'époque, le manque d'organisation de votre armée était patent... N'est-ce pas le rôle du stratège de veiller au bon fonctionnement de son armée?
MU: J'avoue que vous nous avez donné du fil à retordre, mais c'est moi qui ai gagné!
A: Ah! Je crois déceler les raisons de ton aveuglement... Tu penses que Chrom a gagné grâce à toi, alors qu'en fait il a gagné malgré toi! Crois-moi, lorsque je serai son stratège attitré, tout ira beaucoup mieux.
MU: Pourquoi tenter de déformer la réalité à votre convenance? Je sais ce que j'ai accompli. Vos mensonges n'y changeront rien.
A: Bien, bien! Tu n'as pas perdu de ta verve! Tu n'abandonneras pas ton jouet sans taper du pied... Mais le temps joue contre toi. Mon talent n'est plus à démontrer. Bientôt Chrom s'apercevra de son erreur et ton précieux poste sera à moi! Ha ha!
MU: Je vois que certaines choses ne changeront jamais...

Soutien B

Aversa: Chrom? Chrom?! Mais où est-il passé? Je suis sûre de l'avoir aperçu par ici...
MU: Bonjour, Aversa. Vous cherchez Chrom? Si vous avez un message, vous n'avez qu'à vous adressez à son stratège attitré...
A: Il n'est point nécessaire de faire appel à ses anciens collaborateurs. Surtout lorsqu'il s'agit d'une affaire privée. Chrom doit sans doute s'impatienter... Il est vrai qu'une femme de mon rang cause toujours son petit effet...
MU: Vous avez toujours l'imagination aussi fertile, à ce que je vois... Avant de s'improviser stratège, il faut avoir les idées claires!
A: Les idées claires? Je ne pense pas. Chrom a encore toute la fougue de la jeunesse. Et quand deux jeunes gens passionnés sont réunis dans ce genre de situation... cela finit toujours par faire des étincelles...
MU: Deux jeunes gens? Vous avez au bas mot une douzaine d'années de plus que lui!
A: Petite insolente! Huit ans sous séparent! C'est tout!
MU: Autant dire un siècle.
A: Fort heureusement pour toi, je sais me comporter en société...
MU: Je ne pense pas que vous soyez capable de faire autre chose que d'aboyer... Mais il suffit. Je n'ai pas l'intention de me quereller avec vous comme une mégère. Les stratèges doivent montrer l'exemple. Vous devriez le savoir.
A: Tu oses me faire la leçon après ton commentaire sur mon âge? Très bien, si tu ne veux pas entendre raison, tu ne me laisses pas le choix... Je te provoque en duel!
MU: Pensez-vous vraiment que ce soit une façon de décider du meilleur stratège?
A: Oui! Mon assistant t'indiquera l'heure et le lieu. Si tu n'apparais pas, j'en conclurai que tu me cède ta place.
MU: Un instant! Je n'ai jamais donné mon accord!

Soutien A

Aversa: Tu t'es décidée à venir... Je dois dire que je suis surprise.
MU: C'est absurde. Nous sommes censées affronter un ennemi commun. Mais si c'est un duel que vous voulez, alors nous nous affronterons!
A: Que la meilleure gagner! Battons-nous avec honneur!
MU: Approchez un peu! Un instant! J'ai l'impression qu'on nous observe... Êtes-vous sûre que nous sommes seules, ici?
A: Bien sûr que oui! A moins que tu n'aies placé des complices en embuscade!
MU: Si j'avais planifié une embuscade, je n'exprimerais pas ce genre de soupçons!
A: S'ils ne sont pas de ton côté... Et s'ils ne sont pas du mien... Alors, ce sont forcément des ennemis!
MU: Dans ce cas, votre défaite attendra. Nous devons nous battre côte à côte jusqu'à ce que nous atteignions le camp. Allons-y!
A: Et moi qui étais prête à te donner une bonne leçon... Mais s'il n'y a pas d'autres choix, alors faisons équipe.
MU: *halètements* Nous devrions... être en sécurité... L'ennemi ne s'approchera pas du camp...
A: *halètements* Il s'en est fallu de peu... Je suis pas habituée à courir... si vite...
MU: C'est pourtant grâce à vous que nous sommes encore en vie... Sans le piège que vous avez posé, ils nous auraient probablement rattrapées. Bien que ce piège m'ait vraisemblablement été destiné. Et vous qui parliez d'honneur...
A: Tu peux parler! Qui a préparé une échappatoire à travers les bois? Tu avais prévu une issue au cas où le duel se passerait mal pour toi!
MU: Vous ne vous plaigniez pas quand nous nous en sommes servies pour fuir!
A: Sur le moment, j'admets qu'il eût été déplacé de s'en plaindre...
MU: Sans notre alliance provisoire, les Ombres auraient eu raison de nous.
A: Il faut croire que nous formons une belle équipe... Peut-être devrions-nous collaborer plus souvent...
MU: Est-ce que vous me proposez de m'aider pour planifier la stratégie? Hmm... Votre expérience nous serait d'une grande utilité...
A: C'est d'accord, collaborons. Mais ne baisse pas ta garde! Je serai toujours à l’affût. Une faute d'inattention, et...
MU: Et vous prendrez ma place pour devenir le nouveau bras droit de Chrom... Ne vous inquiétez pas, Aversa. Je commence à vous connaître. Mais un peu de rivalité ne peut nous faire que du bien...