Fire Emblem : Awakening

Inigo X Gerome

Soutien C

Inigo : Bonjour, Gerome. La forme ?

Gerome : …

Inigo : Je vois. Môssieur joue la sourde oreille…
Hé ho ? Y’a quelqu’un là-dedans ? Grogne une fois si tu m’entends…

Gerome : …

Inigo : Ecoute, tu mets déjà une distance entre nous avec ton masque stupide…
Le moins que tu puisses faire c’est de répondre quand on te dit bonjour.

Gerome : Non.

Inigo : Non quoi ?

Gerome : Non, ce n’est pas le moins que je puisse faire. Je peux aussi ne rien faire du tout.
Et je n’ai aucune intention de perdre mon temps avec un ringard débauché comme toi.

Inigo : Tout de suite, les mots qui blessent…
Je ne vois vraiment pas ce que je t’ai fait pour mériter ça…
J’ai marché sur la queue de ta wyverne, c’est vrai, mais c’était un accident.
Bon… l’autre jour j’avais aussi laissé du beurre dans ta tente…
Mais je te jure que je n’avais aucune idée que ça attirait les scorpions…
Ca y est, j’y suis ! Je sais pourquoi tu me fais la tête !
C’est parce qu’à table, l’autre fois, j’ai que tu finirais chauve ? C’est ça ?!

Gerome : …

Inigo : Non ? C’est pas ça ? Hmm… J’ai beau me creuser la tête, je ne vois pas…

Gerome : C’est déjà surprennant que tu fasses usage de ta tête… Sur ce, adieu.

Inigo : Mais… Hé ho ! Attends ! Et le savoir-vivre dans tout ça ?
Qu’est-ce que je t’ai fait ?!
Bien… C’est ça, reste dans ton coin… Ca me fera de l’air !
Vraiment, bravo l’esprit d’équipe…
On est en guerre, quand même ! Il pourrait faire un effort…

Soutien B

Inigo : Ah, Gerome ! Ce bon vieux Gerome… Le cavalier solitaire !

Gerome : …

Inigo : Il faut qu’on discute, tous les deux !

Gerome : Je n’ai aucune envie de te parler.

Inigo : Pas de problème, mais tu vas m’écouter !
Pourquoi restes-tu toujours à l’écart, hein ? Trop bien pour nous, peut-être ?

Gerome :Je n’ai nul désir de me lier d’amitié. Et surtout pas avec toi.

Inigo : Je ne te demande pas d’être un moulin à paroles comme Lissa !
Mais nous sommes alliés ! Tu pourrais essayer d’être un peu plus amical !
Même avec moi.

Gerome : Souhaites-tu qu’on se batte côte à côte ?
Que l’on forme une alliance, toi et moi ?
Tu ne sais que courrir les jupons, et encore, avec de bien maigres résultats.
Non, vraiment, je préfère encore être seul.

Inigo : Cette fois c’en est trop ! Tu vas venir avec moi !

Gerome : Certainement pas ! Qu… que fais-tu ?!
Lâche-moi tout de suite !

Inigo : J’espère que tu n’avais rien de prévu… car j’ai une surprise pour toi !

Gerome : Où m’emmènes-tu ?!

Inigo : Gerome, mon ami, nous partons chasser la donzelle !

Gerome : CERTAINEMENT PAS !

Inigo : Oh, que si ! On va se trouver quelques poulettes et renforcer l’esprit d’équipe…
Maintenant arrête de râler et avance !

Gerome : Idiot, le destin suit chacun de mes pas ! Je n’ai pas le temps pour cette folie !

Inigo : Si tu as peur que je te prenne toutes les cocottes, dis-le, je comprendrai.
Au pire, tu n’as qu’à faire le gars qui sirote son hydromel tout seul son coin…
Il y en a toujours un dans toutes les soirées mondaines…

Gerome : Je ne crains rien si ce n’est la main glacée de la mort !

Inigo : C’est-ce que je voulais entendre ! Allons-y !
Ce qu’il te faut tout d’abord c’est une phrase d’accroche, du genre…
<< Quel beau T ! J’en suis bouche B ! >> Tu as compris… ?
C’est un jeu de mot.
Très important, l’humour… Ca fait toujours craquer les nanas, tout le monde le sait.

Gerome: Imbécile ! Je n’ai que faire de tes conseils ! Je n’ai aucune envie de venir !

Inigo : Attends, écoute ça ! J’en ai une parfaite pour toi…
<< Salut, poupée. Tu veux faire un tour sur ma wyverne ? >>
C’est bon ça… j’aurais peut-être plus de chances si je sortais avec une wyverne…

Gerome: Je t’ai dit de me lâcher !

Inigo : Allez, vieux grincheux, dépêche-toi ! Les belettes nous attendent !

Gerome : A… Arrête ! Laisse-moi tranquille ! Noooon !

Soutien A

Inigo : …

Gerome : …

Inigo : << Que vous êtes mystérieux, Gerome ! >>
<< Quel joli masque ! >>
Nous sommes alliés, je te le rappelle, pas concurrents !

Gerome : …

Inigo : Hmm… Gerome ?

Gerome : Qu’y a-t-il ?

Inigo : Ton masque pend un peu de ce côté…

Gerome : l’attache est cassée. Une de ces femmes l’a endommagée quand elle m’a… aggrippé.

Inigo : C’est cette même femme qui a déchiré t’es vêtements ?

Gerome : Elle ne voulait pas que je parte. Elle..
Elle était bien plus forte qu’elle ne semblait.
Je n’avais jamais été tant malmené.

Inigo : J’aurais bien voulu, moi, être malmené !
C’est la quatrième fois qu’on sort et que les donzelles m’ignorent !
Comment ça se fait, hein ?!

Gerome : Aucune idée.
Mais cette vie de débauche que tu mènes est des plus éreintantes.

Inigo : Pauvre petit ! Tu vas me faire pleurer ! Arrête donc de te vanter.

Gerome : Je ne me vante pas.

Inigo : Dixit celui dont la tente était encerclée de femmes criant leur amour hier soir.
Tu te sens teeellement supérieur, pas vrai ?

Gerome : Je me sens surtout très fatigué. Elles ont chanté jusqu’à l’aurore.

Inigo : Pourquoi les filles préfèrents toujours les abrutis aux gentils garçons comme moi ?
C’est bon, tu as ce que tu voulais. C’était notre dernière sortie tous les deux !

Gerome : Alléluia.

Inigo : *sniff*

Gerome : Hé… Inigo ?

Inigo : *sniff*

Gerome : Tu es en train de… pleurer ?

Inigo : Laisse-moi ! Tu ne sais pas ce que c’est !
Je fais ce que je peux, et puis toi tu arrives avec un masque et des muscles et… et… Ouinnnn !

Gerome : Euh… Arrête de pleurer… Vraiment… J’ai dit, arrête de pleurer !
Ca me met vraiment mal à l’aise !
Nom d’un… Bon j’ai compris… Je suis désolé. Voilà, ça va mieux ?
Tu es trop dur avec toi… Grâce à toi j’ai appris…
L’esprit d’équipe ? N’était-ce pas le but ? Voilà, tu m’as appris l’esprit d’équipe.

Inigo : *sniff* C’est… vrai ?

Gerome : C’est vrai. Je t’en dois vraiment une…
Ou peut-être juste une demie…

Inigo : Tu… Tu le penses vraiment ?
Si au moins j’ai pu t’apprendre quelque chose, tous ces efforts valaient le coup.
Ne deviens pas prétentieux avec moi pour autant, d’accord ?
La prochaine fois je ferai craquer deux fois plus de femmes que toi !

Gerome : La prochaine… fois ?

Inigo : Ah ah ! Tu m’as bien entendu ! On ne vas pas s’arrêter en si bon chemin !

Gerome : Ah ah ! Ah… Génial… Et moi qui pensais que satisfaire une wyverne était difficile…

Inigo : Hmm… ? Tu disais quelque chose ?

Gerome : Non.
(Je suppose que ce n’est pas un si mauvais bougre

Je vois qu'il y a pas beaucoup de soutiens avec Owain de postés, pourtant il sont marrants Je posterais Owain/MU(H) dans l'après-midi, et peut-être Owain/Inigo (j'ai aussi tous ses soutiens avec les enfants, mais sans les S sauf avec Severa qui est déjà posté ...)

Inigo/Owain

Soutien C

Owain : DRAGON D'OMBREEEEE !
Inigo : Tiens... Mais c'est Owain !
Owain : PAR LA FORCE DES MERCENAIRES DE GREIL !
Inigo : Sinon, tout se passe comme tu veux ?
Owain : Je suis un peu occupé, comme tu peux le voir...
Inigo : Tu m'en vois désolé. Bien, je peux revenir quand tu auras fini de jouer.
Owain : Hé, mais attends ! C'est du sérieux !
Inigo : Sérieusement... enfantin... ? Sérieusement... embarrassant, peut-être ?
Owain : Sérieusement pas tes oignons, en fait ! Donc, laisse-moi tranquille ! Sérieusement.
Inigo : Soupir.
Owain : Allez, arrête un peu ça. Tu ne soupires même pas. Tu DIS juste "soupir". Peut-être qu'en t'exprimant correctement, tu ne ferais plus fuir les filles...
Inigo : Je prédis 100 % d'échec aux aventures galantes que tu n'auras jamais ! Pourquoi ne pas baptiser ta prochaine technique "Chasteté éternelle"!
Owain : Pourquoi pas ? Il est vrai que j'ai tout appris à vos pieds, Maître !
Inigo : Quoi, espèce de... !
Owain : Ha, tu veux prendre la fuite ? Allez, du nerf, camarade ! On va régler ça à la loyale ! Sache que comme Shinon, je suis capable de balayer mes adversaires du regard !
Inigo : Je meurs d'envie de te coucher sur le carreau. Mais il faut bien qu'au moins un de nous se comporte en adulte... Et quelque chose me dit que ce ne sera pas toi.
Owain : Oui, c'est ça. Passe ton chemin, manant ! Et couard avec ça...

Soutien B

Owain : Eliwoooood ! DONNE-MOI TA FORCE !
Inigo : Et c'est reparti pour un tour. Le gros bébé joue avec son hochet...
Owain : Tu vois un hochet par ici ? Eh, non ! Tu sais pourquoi ? Parce que c'est du sérieux ! Je me prépare mentalement à affronter d'hideuses créatures de la nuit.
Inigo : Au moins, tu ne passeras pas la nuit seul.
Owain : Ah bravo, c'est fin ! Etes-vous ici à la seule fin de m'importuner, Monsieur l'adulte ? Hééé, ne lis pas ça !
Inigo : C'est ton journal intime ? Je ne vois que des dessins ratés de héros et de leur arme.
Owain : Recule ! Le Manuel de la Justice ne peut être mis entre toutes les mains.
Inigo : Tu as donné un nom à ce cahier ! Mais c'est tout mimi ! J'en ai la larme à l'oeil ! Allez, je me plonge dans cette oeuvre d'art ! "Page 1 : Owain. Lorsque le danger guette, sa main exaltée s'agite... et ses yeux virent au rouge." Tu en fais peut-être un peut trop, non ?
Owain : Rends-moi ça tout de suite ! C'est à moiiiiiiiiii !
Inigo : "Frc +5 si alliés se trouvent à plus de 3 cases..." "Active une super technique permettant de terrasser un boss en un seul coup !" Dis donc, tu es sûr que tu as vraiment besoin de nous pour vaincre l'ennemi ?
Owain : Pourquoi fais-tu cela ? On est censé être des alliés !
Inigo : Je pense qu'il y a encore des améliorations à apporter à ton livre de chevet... Voyons... "Page 15 : Méga-Condensé des Coups Légendaires de l'Apocalypse !" La Hache Tournoyante de Dorcas... La Morsure Sauvage de Volug... Oh, mais attends ! Tu veux peut-être que je te la fasse dans la langue ancienne ?
Owain : Arrête de lire ou transperce-moi de ta lame, qu'on en finisse.
Inigo : Oh allez, tu es trop susceptible. Tu ne vas pas garder toutes ces merveilles pour toi... J'ajouterai ceci : ton étrange monde fantastique a le mérite d’être... complet. Tu te donnes à fond pour l'améliorer, Owain. C'est tout à ton honneur.
Owain : Tu le penses vraiment ? Tu n'es pas encore en train de te moquer de moi ? Si c'est le cas, tu n'est peut-être pas entièrement irrécupérable.
Inigo : Tu n'es pas au bout de tes surprises ! "Page 27 : Arme - Fléau Astral." Alors, qu'est-ce que c'est ?
Owain : Euh, ça doit être une arme un peu cosmogonique, je me trompe ? Une arme n'est qu'une arme. Mais dès qu'elle porte un nom, elle devient une alliée. C'est pour ça que je garde plein de noms de ce genre sous le coude au cas où.
Inigo : Intéressant... Ça me parle, tout ça !
Owain : Tu n'es toujours pas en train de te moquer de moi, par hasard... ?
Inigo : Absolument pas. Ça m'intéresse pour de vrai. Enfin, à petites doses, hein... !
Owain : Génial ! Attends-moi ici un instant ! Nous allons mettre tout ça sur du papier pour immortaliser ce moment !
Inigo : Immortaliser ce moment... ?
Owain : Oui, et annule tous les rendez-vous. Cela risque de nous prendre du temps. Mais en échange, on va pouvoir s'adonner au plaisir de la création ! Hé hé !
Inigo : Attends, Owain ! Je disais ça comme ça... Dans quoi je me suis encore embarqué...

Soutien A

Owain : Alors ? As-tu un nouveau nom à me proposer ?
Inigo : C'est que je ne sais pas par où commencer. Et pourquoi commencer, en fait...
Owain : Je pensais baptiser cette épée-ci. Ecoute, elle nous murmure son nom elle-même ! Chuuut... Tends bien l'oreille !
Inigo : ... Hum, je crois que nous ne parlons pas la même langue, l'épée et moi... Tu veux bien m'aider, Owain. Tu dois bien entendre quelque chose, toi...
Owain : Hmmm... Cette épée veut qu'on l'appelle... Pourfendeuse des Ténèbres Brise-Tempête !
Inigo : C'est un peu long, quand même... Si on essayait de baptiser cette lance ?
Owain : Ha ! Mais c'est déjà fait, Monsieur ! Vous avez entre vos mains Dépeceuse du Vent Enflammé !
Inigo : Tu avoueras qu'il est difficile de dépecer quelque chose avec une lance, Owain...
Owain : Redresseuse de Torts-Boyaux Enflammée !
Inigo : ... Bien...
Owain : Tu es sans voix, n'est-ce pas ? Je ne saurais te le reprocher...
Inigo : Ça va quand même très loin là, non... ? Cosmogonie ou pas, ça devient inquiétant...
Owain : Tout te paraîtra clair quand j'aurai gravé ce nom sur l'arme... Regarde ça... Impressionnant, n'est-ce pas ?
Inigo : Bizarrement, elle a en effet une meilleure allure.
Owain : Une arme dotée d'une nom puissant rend son détenteur tout aussi puissant. Elle permet d'avoir confiance en soi et de déployer tout son potentiel en combat.
Inigo : Ce n'est pas entièrement faux. C'en est presque troublant...
Owain : Allez, je veux te voir à l'oeuvre. Pense à un nom et grave-le sur ta lame !
Inigo : Bon, soit, c'est parti !
Owain : C'est bon ?
Inigo : C'est un chef d'oeuvre !
Owain : Ha ha ! Bravo ! Voyons ça !
Inigo : Alors, qu'en dis-tu ? C'est largement supérieur à tes noms abracadabrants, il faut bien l'avouer !
Owain : Inigo, ce sont les noms de toutes les filles qui ont repoussé tes avances... Dame ! Il doit bien y en avoir deux cents, au bas mot !
Inigo : Savoir qu'avec elles, tout reste à faire me donne une pêche d'enfer ! C'est le principe de la victoire par l'échec ! Celui de la résignation par dépit !
Owain : Oui, mais tu t'es servi de la moitié du métal pour graver ces noms. Ta lame est parfaitement inutile à présent !
Inigo : Aïe... Fichues prétendantes !

Bon, ce soir je poste Inigo/MU F.

Kjelle X Severa

Soutien C

Kjelle : Pfiou ! Je suis totalement épuisée !

Severa : Oui, enfin la fatigue n’excuse pas tout ! Ta chemise est à moitié ouverte !
Certes, tu sues à cause de tes efforts sur le champ de bataille, mais quand même…

Kjelle : Bah ! Tu es bien prude ! D’ailleurs, je ne m’expose pas ainsi devant un homme !
Et puis, ce n’est pas comme si tu n’avais jamais vu ça dans ta vie !

Severa : Ce n’est pas pour autant que j’ai envie de voir ce spectacle !
Ca te tuerait de te comporter comme une femme, pour une fois ?

Kjelle : En tant que femme, j’ai au moins la décence d’être polie et de ne pas fixer des yeux !

Severa : C’est dans ton intérêt que je te dis ça !

Kjelle : Pfff ! Tu sais très bien que je ne me soucie guère de ce genre de considérations !

Severa : Tu as passé l’âge d’être un garçon manqué, tu ne crois pas ?
Hééé ! Tu découvres ton ventre à présent ? Arrête un peu avec cette indé…
Eh ben, tu as de sacrés abdos, Kjelle ! Ça doit être dur comme du roc !
Rien d’étonnant à ce que tu les exposes comme ça à la vue de tous, en fait…

Kjelle : Arrête ! J’ai déboutonné mon habit, c’est tout ! Et pourquoi ces éloges tout à coup ?

Severa : Je… Je ne sais pas trop ! C’est sorti de ma bouche, comme ça…

Kjelle : Ne me dis pas que je te fais de l’effet !

Severa : Pff ! De toute façon, tu n’arriverais pas à me supporter plus d’une heure !
Je suis un peu jalouse, c’est tout. Tu es non seulement belle, mais tu as aussi la forme !

Kjelle : J’imagine qu’il n’y a pas de mal à regarder, alors.

Severa : Franchement, Kjelle, c’est si dur d’avoir un peu de retenue ?!

Kjelle : Tu me complimentes de long en large, et il faudrait que je reste impassible ?
Donc, la prochaine fois qu’une femme regarde mon vente, je pars en courant ?

Severa : Oui, c’est-ce qu’il faudrait que tu fasses.
Une demoiselle ne se découvre ni au-dessus des genoux ni en dessous de la nuque.
Une demoiselle ne montre que ce qu’il faut !

Kjelle : Je n’arriver pas à croire qu’une femme puisse être attaché à ce genre de bêtises…

Severa : Au cas où tu ne l’aurais pas remarqué, tu es une femme, toi aussi !

Soutien B

Severa: Hé Kjelle !

Kjelle : Qu’est-ce j’ai encore fait… ?

Severa : Ne jette pas tes habits par terre quand tu te changes !

Kjelle : Tu as peur que quelqu’un trébuche sur mon tas de linge sale, c’est ça ?

Severa : Non ! Enfin, si ! Mais… tu sais très bien ce que je veux dire !
On en a déjà parlé. Ton manque de féminité et de retenue, tu te rappelles ?
Tu as les manières d’un petit tâcheron de bas étage !

Kjelle : Il n’y a rien de déshonorant à être tâcheron.

Severa : Mais ce n’est pas de ça que je parle, ventrebleu !
C’est une image ! Je veux dire que tu agis comme un rustre trop MASCULIN !

• soupir* Bon, je n’ai pas le choix, il va falloir intervenir !

Puisque tu ignores les codes féminins les plus élémentaires, je vais te les apprendre.
Commençons par le maquillage. J’espère que ce concept t’est vaguement familier…

Kjelle : Ça me dit quelque chose…

Severa : Bon, première leçon ! Approche, je sors ma trousse de maquillage.
Bien ! Il faut tout d’abord disposer d’un fond de teint adapté pour pouvoir…

Kjelle : Je ne vais pas te laisser me barbouiller avec ce truc !

Severa : Mais n’aie crainte ! Ce n’est pas moi qui vais te l’appliquer… C’est toi !
C’est la seule façon d’apprendre ! Bon, reste concentrée !

• Moment de maquillage*

Severa : On ne peut pas dire que c’était réussi…
J’aurais mieux fait de te montrer avant que tu commences…

Kjelle : Heureusement que j’ai pu m’enlever cette chose du visage !
Alors, je me suis bien débrouillée ? Tu n’avais pas l’air franchement convaincue…

Severa : Le maquillage sert à accentuer les traits du visage, pas à se déguiser.
On aurait dit que tu allais à un carnaval !

Kjelle : Accentuer les traits de son visage ou se déguiser, quelle différence ?
Il s’agit dans les deux cas de cacher son identité.

Severa : Pas besoin de sortir les griffes, très chère. Laissons de côté le maquillage un instant.
Le charme féminin se compose d’une infinité de détails infimes mais travaillés.
Une femme ne traîne pas des pieds comme une bête de sommes surchargée.
Il lui faut glisser sur le sol, le pas léger et gracieux !

Kjelle : Comment ? Comme ça ?

• boum* *boum* *boum*

Severa : Non, Kjelle ! Gracieux ! Comme un fleuve de montagne qui coule paisiblement !
Tes mouvements doivent s’enchaîner avec légèreté. Laisse-toi porter par le courant.
Cherche le contact des yeux, mais sans fixer du regard. Souris délicatement.
Chaque geste doit être prémédité, même lorsque tu passe ta main dans tes cheveux.
Pas comme ça ! Laisse tomber ta chevelure. Ne la secoue pas comme un prunier !

Kjelle : je ne vais jamais pouvoir retenir tout ça !

Severa : N’aie crainte, j’en fais mon affaire ! Grâce à moi, tu deviendras une femme distinguée.
Tu as uniquement besoin d’un peu de patience et d’entraînement.

Kjelle : Je préfère reprendre le seul entraînement qui en vaille la peine.
Nous devons gagner la guerre, pas un maudit concours de beauté !

Soutien A

Kjelle : Oh, b… bonjour Mademoiselle Severa…
Quelle fantastique… euh… journée ?

Severa : Mieux, beaucoup mieux… Ce n’est pas génial, ni même bien, mais c’est mieux.
Maintenant que tu maîtrise plus ou moins les formules de politesse… nous allons pouvoir travailler ta diction. Elle doit être clair et fluide.
Je vais rester positive. C’est déjà bien que tu n’aies pas lâché l’affaire en route…

Kjelle : Si ça peut te faire plaisir, je ne trébuche presque plus avec tes souliers à la noix.
Et j’ai coiffé mes cheveux ce matin. J’ai bien dû donne cent coups de brosse.

Severa : T’es cheveux sont ravissants !

Kjelle : Avec toutes ces choses à garder à l’esprit, je finis toujours par en oublier une !
Mais tant que je m’améliore, tout va bien…

Severa : Oui. Et tu continueras à progresser j’en suis sûre.
Tu as quand même l’avantage d’être naturellement belle.

Kjelle : Euh… Merci…
…

Severa : Quoi ? Pourquoi regardes-tu mes mains de cette façon ?

Kjelle : T’es doigts sont admirablement longs et fins. Je ne l’avais jamais remarqué.

Severa : Bravo, Kjelle ! Ce compliment est digne d’une grande dame.
Je suis vraiment fière de toi !

Kjelle : J’ai donc réussi l’épreuve ?

Severa : Avec les honneurs !
Je t’octroie le titre de Guerrière Distinguée de l’Ecole Féminine de Severa !

Kjelle : Hé he. Guerrière distinguée… Ca sonne plutôt bien… C’est…
Oh oh…

Severa :Qu’y a-t-il ?

Kjelle : A force de travailler ma féminité, j’ai oublié d’autres choses importantes !
Diable, je crois que je sais plus me battre !

Severa :Quoi ?!

Kjelle : J’essaie de m’en rappeler, mais j’ai un horrible trou de mémoire !
De quel côté tient-on une épée ? Par la pointe ?
Aïe ! Non, ce n’est pas ça ! Rah, tous ces trucs de fille vont m’attirer des ennuis !

Severa : Ne… Ne t’inquiète pas ! Je suis là pour t’aider !
Il te faut le titre de Guerrière Sans peur de l’Ecole de Severa !

Kjelle : Il vaut mieux pour toi que je t’ai pardonnée avant d’obtenir mon diplôme !

Severa : J’espère que d’ici là, tu n’auras pas oublié tes manières de femmes distinguée…
Tu me diras merci une fois cette guerre finis quand tu seras sous l’emprise de l’amour.

Kjelle : Bon, tu veux bien commencer ?!
Mes muscles s’atrophient à vue d’œil…

Bon voilà maintenant je propose sa

Lucina/Kjelle (Normal)
Cynthia/Lucina (Normal)
Noire/Severa ( déjà posté non ?)
Noire/ Linfan(F)
Tiki/Lucina

Choisissez en deux

Noire/Linfan (F) (Normal) *

Owain/Daraen (H)

C

Owain : Je bondis au milieu de la formation ennemie, épée tirée, et je tournoie ! Je ne suis plus un homme, mais un derviche d'acier distribuant la mort ! L'ennemi tombe telles les feuilles d'un arbre en automne par grand vent !

Daraen : Qu'est ce que tu fais, Owain ?

Owain : Salutations, Daraen. Je fais les chroniques de la saga d'Owain le Sombre, le Vengeur de la Justice. Son personnage principal : moi, dans une histoire de sang et d'honneur.

Daraen : Owain le Sombre ?

Owain : Un titre qui m'a été décerné par les masses, témoignage de peur et d'amour ! La rumeur est devenue légende et mon nom est désormais connu de tous !

Daraen : Est-ce que les gens t'appellent vraiment comme ça ? Pour de vrai ?

Owain : Hum, pas encore. Mais ils le feront !

Daraen : Eh bien, les rêves font la jeunesse, je suppose.

Owain : Rêver est à la portée de tous. Mais si le rêve devient légende, et que la légende...

Daraen : Le rêve devient légende... Grand bien te fasse. Mais en tant que stratège, je me permets de te déconseiller la tactique frontale. Celle qui consiste à bondir au milieu de la formation ennemie...

Owain : Ah ha ha ! Ne vous en faites point, mortel !

Daraen : Hein ?!

Owain : J'aperçois un groupe de dix hommes et surgis dans la mêlée ! J'abats sans effort les deux premiers d'une seule volée ! Je croise le fer avec le troisième, il tombe ! Le fer rencontre ses tripes et le mène à la tombe ! Et de quatre que j'éclate, et de cinq que j'esquinte, le sixième fuit, pris de folie. De taille et d'estoc, deux autres que je change en loques ! << Ne le prenez pas personnellement >>, crie-je à la cantonade. << Venez en paix ou gisez en paix ! >> La poussière se disperse, il n'y a plus que moi et mon adversaire. Mon combat contre le général commence !

Daraen : Le général ?

Owain : Mon épée étincelle d'un éclat glacé. Wa-Shiiing ! Cling ! << Ha ! Impressionnant, Général ! Personne n'a jamais réussi à parer ce coup. >> Le général chancèle et tombe à genoux. << Pitié, Owain le Sombre ! Pitié ! Je ne pourrai jamais en supporter plus ! >>

Daraen : Moi non plus, d'ailleurs. J'en ai assez entendu. On dirait une mauvaise pièce...

B

Owain : Il est temps de dévoiler les tactiques ingénieuses de mes prochaines batailles. Aujourd'hui, je m'introduis au coeur de la base ennemie : le Château de l'Apocalypse ! Ce qui veut dire que la fin se déroulera sur les toits par un duel théâtral. Très bien, allons-y... Je suis à l'avant-garde, je presse le pas et prends de l'avance sur mes alliés !

Daraen : Owain. Est-ce que tu es encore en train de... visualiser tes futurs combats ?

Owain : Oui, mon pertinent ami. Et dans cet avenir, je vois... la conquête de Château de l'Apocalypse !

Daraen : Tout seul, sans doute...

Owain : Pardon, Daraen ?

Daraen : Rien ! Rien du tout.

Owain : Alors que le carnage commence ! La mission est simple : capturer le seigneur du Château de l'Apocalypse vivant ! Car il est le seul à savoir où sont retenus les otages orphelins !

Daraen : Il détient des orphelins ? Mais qui paierait une rançon pour des orphelins... ?

Owain : Mais au côté du seigneur se tient une femme chevalier de réputation légendaire. Pourtant, je ne peux pas m'accorder le luxe d'avancer prudemment. Si notre danse s'éternise, le seigneur poltron parviendra à s'enfuir ! Mes alliés gardent les sorties tandis que le duel au dessus des murailles commence !

Daraen : Mais... à quel moment est-ce que tu as atteint le sommet du château ?

Owain : Je scrute la femme dont l'épée a tranché le fil de tant de dynasties ! Nos lames se croisent et, à cet instant, nous nous comprenons instantanément. Elle sourit de façon presque imperceptible et une larme coule le long de sa joue. << Enfin, dit-elle dans un murmure, un adversaire de valeur. >>

Daraen : Oh ! Et ensuite ?! Que se passe-t-il ?! L'intensité dramatique me prend à la gorge.

A

Owain : Hé, Daraen !

Daraen : Oh, bonjour, Owain.

Owain : Voulez-vous entendre la suite de la saga d'Owain le Sombre ?

Daraen : Euh... C'est à dire que là je suis occupé à mettre au point une stratégie pour la...

Owain : Parfait ! Cette fois nous allons en finir une fois pour toutes ! Il faut vaincre le mal pour retrouver la paix et la liberté !

Daraen : ... prochaine bataille. Bon... Au moins j'aurai écouté une bonne histoire... Même si nous nous faisons massacrer après.

Owain : Vous avez dit quelque chose ?

Daraen : Rien d'important.

Owain : Où en étions-nous ? Ah, oui ! Nous en étions à la rencontre avec la femme chevalier légendaire ! Donc, je l'ai battue.

Daraen : Euh... C'est tout ? Tu l'as battue ? C'est un peu expédié...

Owain : Elle était douée ! Mais elle ne faisait pas le poids face à Owain le Sombre ! Pourtant, le choc a lieu ensuite pour notre héros torturé !

Daraen : Ah, voilà... Je me disais, aussi...

Owain : Le seigneur du Château de l'Apocalypse est plus fort que la femme chevalier ! Mes alliés jettent leur armes et se dispersent, il ne reste que moi ! Nous nous toisons du regard, puis débute enfin ce que sera le combat du siècle ! Il lève son épée et l'abat avec une force à faire trembler la terre ! Mais j'esquive d'un réflexe félin et sa lame ne rencontre que le vide ! Il change d'angle, frappe de taille vers le haut, mais est terrassé par mon estocade !

Daraen : Cela n'aura pas duré bien longtemps... Il n'était pas si fort que ça, finalement.

Owain : J'ai pu lire ses intentions en observant son épaule droite et son pied avant. La rapidité de mon estocade est due au déplacement de poids vers la jambe arrière.

Daraen : Je suis surpris que tu aies un tel sens du détail.

Owain : Vous m'offensez, mon cher ! La saga d'Owain le Sombre a toujours été une simulation d'entraînement. Un guerrier prudent doit penser à tous les scénarios possibles et adapter sa stratégie.

Daraen : C'est ta façon de t'entraîner à l'épée ?

Owain : Quelque chose comme ça. Mais ma façon de faire est beaucoup plus divertissante.

Daraen : Je suppose que les gens apprennent plus vite quand la passion les guide. Je te dois des excuses, Owain. Je pensais qu'il ne s'agissait que de rêveries. Mais tu m'as montré qu'il y a autant de manières de s'entraîner que de se battre.

Owain : Je suis content que vous ayez compris le vrai génie d'Owain le Sombre, mortel !

Daraen : Tu deviendras peut-être une légende, après tout. Je suis impatient de voir ça.

Owain : Owain le Sombre ne déçoit jamais. Ne manquez pas la suite de mes aventures !

Merci à tous pour tous ses soutiens.

Knight-Doom Lucina/Kjelle et Cynthia/Lucina. Et pour Tiki, on a déjà tous ses soutiens.

Ouais j'ai vus sa pour Tiki ^^ Pas de souci, je fais sa pour le plaisir et pour t'aider aussi

Libra/Cordelia

Soutien C

Cordelia : Hmmpf ! Ces caisses... sont vraiment... très lourdes.
Libra : Cordelia ?
Cordelia : Hein ?! Aaaaah ! Et voilà, c'était à prévoir ! J'ai tout laissé tomber !!!
Libra : Oh, je suis vraiment désolé ! Je t'ai fait peur, c'est ça ?
Cordelia : Non, non, pas du tout ! J'ai simplement trébuché sur ce caillou, là. J'aurais dû m'y attendre, en transportant autant de caisses à la fois ! En plus, je n'y voyais pas à deux pas...
Libra : Tout va bien ? Tu te t'es pas fait mal, au moins ?
Cordelia : Non, j'ai juste un peu mal au petit orteil... Mais, ça va, merci.
Libra : Je suis heureux de l'entendre. Dis-moi, je pourrais peut-être t'aider ?
Cordelia : Oh, c'est très lourd, tu sais...
Libra : Pas de problème... Allez, un, deux... Hmmpf ! Fort bien. Où souhaites-tu que je les dépose ?
Cordelia : Euh, si ça ne t'embête vraiment pas... je voulais les amener de ce côté.
Libra : Parfait ! Montre-moi le chemin ! Je dépose ça ici... ?
Cordelia : Oui. C'est parfait... Merci beaucoup : Ton aide m'aura été précieuse...
Libra : Le plaisir est pour moi. Mais pourquoi porter ces lourdes caisses toute seule ?
Cordelia : Et pourquoi pas... ? Je n'aime pas déranger les autres et je peux le faire seule...
Libra : Hmm, ce n'est pas une excuse ! Viens me demander mon aide, à l'avenir ! Je n'accepterai aucun refus !
Cordelia : Bon, très bien, puisque ça a l'air de te tenir à cœur...

Soutien B 

Cordelia : Hmm... Hmmpf !
Libra : Cordelia ! Mais... laisse-moi t'aider !
Cordelia : Oh, Libra. Oui, merci... C'est vrai qu'elles sont vraiment bien lourdes, en fait.
Libra : Chaque fois que je te croise, tu sues sang et eau pour accomplir une corvée...
Cordelia : Eh bien, les temps sont durs, et je me sentirais coupable de rester à ne rien faire.
Libra : La fainéantise est un péché, en effet. Mais l'orgueil également. Tu ne dois pas te surmener, Cordelia. Tu es toute pâlotte, ces derniers temps.
Cordelia : Pour tout te dire, je ne dors pas très bien, en ce moment. Quand je ferme les yeux, je suis hantée par des pensées macabres au sujet du futur...
Libra : Je comprends que tu sois préoccupée. Prends-tu bien trois repas par jour ?
Cordelia : Euh,oui, à peu près...
Libra : Hmm... Tu n'es pas très convaincante. Je trouve tout cela assez inquiétant.
Cordelia : Mais, non... Je vais très bien.
Libra : Cordelia, pose ces caisses tout de suite et retourne dans tes quartiers.
Cordelia : Mais...
Libra : Il n'y a pas de « mais » qui tienne !
Cordelia : Mais je ne peux pas te laisser faire ça tout seul !
Libra : Pas de « mais », j'ai dit. Et c'est assez paradoxal que tu me dises cela. N'est-ce-pas toi qui insistes tout le temps pour tout faire par toi-même ? Toi qui est trop fière, ou trop insensée, pour demander de l'aide à quelqu'un ?
Cordelia : Euh... Oui, c'est bien moi, ça...
Libra : Oui, c'est toi. Cordelia, tu dois prendre plus soin de toi. Maintenant, va manger quelque chose, puis va te reposer ! Je t'apporterai un bon thé un peu plus tard.
Cordelia : Bon, si tu insistes...

Soutien A

Libra : Cordelia !
Cordelia : Mince... Il m'a retrouvée ! Ah, euh, bonjour, Libra !
Libra : Comment te sens-tu ? Lissa m'a raconté que tu t'étais évanouie !
Cordelia : Oh, c'était un tout petit évanouissement ! Je ne t'en ai pas parlé car je ne voulais pas que tu ressentes de l'inquiétude...
Libra : Ce que je ressens importe peu, dans l'immédiat. Comment te sens-tu, toi ?
Cordelia : Oh, ça va... J'ai même vu un guérisseur, si ça peut te rassurer. Il m'a dit de prendre beaucoup de repos et de boire beaucoup de thé.
Libra : Bien... Je suis heureux de l'entendre.
Cordelia : Je suis vraiment désolée...
Libra : Mais... pourquoi ?
Cordelia : Désolée de ne pas t'avoir écouté. Tu m'avais dit de ne pas me surmener...
Libra : Ce n'est pas à moi que tu devrais présenter des excuses...
Cordelia : Mais, à qui, dans ce cas ?
Libra : À toi-même, évidemment ! C'est toi qui as subi tout cet épuisement, toute cette douleur !
Cordelia : Hmm... Chère moi-même, je suis désolée. Bien cordialement, Cordelia. Très bien, j'accepte mes propres excuses... Enfin, j'imagine...
Libra : Tu veux aider les autres, être là pour eux quand ils ont besoin de toi, non ? Tu ne pourras pas le faire si tu causes ta propre perte en te surmenant ainsi.
Cordelia : Mais, je ne peux pas m'en empêcher ! Avec toutes ces corvées, partout, qui n'attendent que moi ! Tu pourrais peut-être rester avec moi... … pour me faire des reproches si je recommence à en faire trop.
Libra : Faire des reproches, ce n'est pas mon fort. Je suis plutôt doué pour pardonner. Mais je peux t'apporter mon soutien et le peu de sagesse que j'ai à offrir. Je te ferais des remarques gentilles pour te montrer que tu dois te ménager.
Cordelia : Oh, merci, Libra... Je t'en serai très reconnaissante !

Soutien S

Cordelia : Hmm... Hmmprrffff ! Houlà... Elle est... vraiment... lourde... celle-ci...
Libra : Cordelia ! Que fais-tu ?! Je croyais que tu devais prendre du repos !
Cordelia : Bonjour, Libra. Je me sens mieux, tu sais !
Libra : Tu as un vrai problème, tu sais ! Visiblement, tu es incapable de ne rien faire pendant plus de cinq minutes !
Cordelia : Tu as sûrement raison.
Libra : Ah, sacrée Cordelia... Je ne peux vraiment pas te quitter des yeux une seconde... Comment dois-je m'y prendre pour m'assurer que tu te détendes ?
Cordelia : Hmm, tu pourrais me suivre partout sans interruption !
Libra : Oui, tu n'as pas tort. C'est probablement la seule solution. Je vais devoir rester près de toi tout le temps. De jour comme de nuit.
Cordelia : Quoi ?! Quelle horreur ! Tu n'as pas compris que je plaisantais ?!
Libra : …
Cordelia : Ce que je veux dire... c'est que ce serait quand même assez étrange. À moins qu'on soit mariés, toi et moi... Mais ce n'est pas ce que tu veux... Enfin, je ne sais pas... C'est ce que tu veux ?
Libra : Mes intentions seront peut-être plus claires quand je t'aurai donné... ceci.
Cordelia ; Oh, un anneau...
Libra : Selon la rumeur, tu n'aurais d'yeux que pour ce cher Chrom... Mais peu importe... Je m'en voudrais de ne pas te dire ce que je ressens pour toi. Donc, même si cela est stupide et voué à l'échec, je te fais ma demande... Veux-tu m'épouser, ma douce Cordelia ?
Cordelia : Cela n'a rien de stupide... Et ce n'est pas non plus voué à l'échec...
Libra : Ah... ?
Cordelia : Libra, jamais personne ne s'était préoccupé de mon bien-être autant que toi. Tu tentes de me forcer à me ménager... Tu accours toujours pour m'aider... Et j'en suis venue à penser que j'aimerais toujours t'avoir auprès de moi. C'est pourquoi... j'accepte ta demande avec grand plaisir !
Libra : Oh, Cordelia ! Tes mots emplissent mon cœur d'une joie indescriptible !
Cordelia : Jures-tu de prendre soin de moi, de me préparer du thé et... … de m'aider à porter des choses lourdes, jusqu'à ce que la mort nous sépare ?
Libra : Oui, devant les dieux, je le jure !

Lucina X Kjelle

Soutien C

Kjelle : Ah, te voilà ! Es-tu occupée, Lucina ?

Lucina : Bonjour, Kjelle. Avez-vous besoin de quelque chose ?

Kjelle : Oui, d’une oreille attentive ! J’ai affronté le reste de la troupe lors d’une série de duels d’entraînement… Quelle bande de bras cassés ! Ils étaient incapables de me porter le moindre coup !

Lucina : Il n’y a rien de surprenant. Rares sont ceux à pouvoir se mesurer à vous dans un duel.

Kjelle : Oh, cesse de me complimenter ! Hmm, à bien y réfléchir… Je pense que toi, tu serais en mesure de me donner du fil à retordre ! Après un combat contre toi, je serai sans doute contrainte de porter un dentier !

Lucina : Je n’y crois pas une seconde.

Kjelle : Oh, tu peux me croire. Je sais que tu n’es pas n’importe qui. De fait, nous pourrions gagner cette guerre à nous deux.

Lucina : Ce serait pousser la bravade un peu loin.

Kjelle : Une grande armée n’est pas efficace. Elle est lente à réagir et manque d’agilité. Tu connais sans doute les légendes d’avant l’ère de Marth, le Roi-Héros ? On dit qu’un de ses ancêtres s’est imposé seul face à une terrible entité maléfique ! Nous pourrions nous en inspirer et former une faction de combattants d’élite.

Lucina : J’admets que combattre en groupe restreint a ses avantages.

Kjelle : Une grosse armée est souvent victime de problèmes d’organisation. Sans compter que la moitié de ses effectifs ne sont que de la chair à canon.

Lucina : Selon moi, aucun de nos soldats n’a pour vocation d’être sacrifié au combat ! Même s’il est vrai qu’il est ardu de réunir de vastes effectifs sous la même bannière. Bien plus que je ne l’eusse imaginé… Il est également vrai qu’affûter les aptitudes individuelles de chacun a son importance.

Kjelle : Ha ! Je savais que tu comprendrais ! Nous sommes faites pour nous entendre !

Lucina : J’aurais tendance à penser qu’au contraire nos points de vue divergent grandement.

Kjelle : On va les prendre un par un, un coup de lance par-ci, un coup d’épée par-là…
Désolé, tu disais ?

Lucina : Rien que ne mérite que l’on s’y attarde…

Soutien B

Kjelle : Salut, Lucina ! Si tu as faim, nous pourrions aller manger quelque chose ensemble.

Lucina : Avec plaisir. Mais pourquoi déjeuner seules toutes les deux ?

Kjelle : On ne va pas aller manger avec une bande de faiblards ! Franchement !

Lucina : Chacune des personnes qui nous entoure constitue un allié respectable.

Kjelle : Mais certaines sont plus respectable que d’autres. Surtout sur le champ de bataille ! Tu n’as pas envie d’aller déjeuner avec moi c’est ça ?

Lucina : Ce n’est pas ce que j’ai dit, Kjelle.
Nous nous connaissons depuis toujours. Vous êtes pour moi une amie intime.

Kjelle : Merci, Lucina. C’est également ce que je ressens.

Lucina : Par égard pour notre amitié, permettez-moi donc d’inviter le reste de la troupe.

Kjelle : D’accord, mais ne va pas t’étonner si l’un d’eux se rend face à un bol de soupe !
Peu importe, je meurs de faim. Allons déjeuner !

Lucina : Oui! Et merci, Kjelle.

Soutien A

Kjelle : Salut, Lucina ! Tu es libre pour le dîner ?

Lucina : Je regrette, mais j’ai promis à mon père de me joindre à lui ce soir.

Kjelle : Bah, si ce brave Chrom te veut au dîner autant oublier. Je n’ai aucune chance.

Lucina : Aucune chance de quoi ?

Kjelle : Il est sans doute le plus redoutable guerrier de la troupe, si je ne m’abuse…
Mes chances de le battre en duel sont donc infimes. Je passe mon tour.

Lucina : J’ai du mal à saisir le concept que vous vous faites des relations sociales…

Kjelle : C’est pourtant simple. Seule une personne capable de me battre mérite mon respect. Dans le cas contraire, j’évite de perdre mon temps ! Il n’y a rien de sorcier à cela.

Lucina : L’assurance et la compétitivité sont des valeurs saines chez un guerrier. Mais vous allez trop loin, Kjelle. Je crains que vous ne finissiez par vous isoler.

Kjelle : Il n’y rien de mal à valoriser la force. Tu es forte et je te respecte. C’est cela qui m’a poussée à nouer des liens avec toi. C’est plutôt positif, non ?

Lucina : Ainsi, vous seriez incapable de vous lier à une personne plus faible que vous…

Kjelle : Qu’est-ce que ça m’apporterait ?

Lucina : Nous ne sommes point des gladiateurs ! Nous sommes liés par une cause commune.
Chacun de nous doit parfaire ses aptitudes individuelles, mais nous formons un groupe.
Il nous faut unir nos forces et pallier nos faiblesses en nous battant côte à côte.
C’est la seule façon de gagner cette guerre.

Kjelle : Je vois ce que tu veux dire… Mais j’ai des accès de fièvre rien que de penser à cette bande de bras cassés ! Je les imagine sur le champ de bataille à se cacher entre les brins d’herbes…

Lucina : Soit ! Réglons cette affaire à votre manière. Je vous défie en duel !

Kjelle : Quoi ?!

Lucina : Si vous me battez, je serai forcée d’admettre que vous aviez raison.
Si tel est votre désir, je déserterai cette armée pour former une alliance à vos côtés.
Mais si je gagne, vous devez me promettre de traiter vos alliés comme des égaux.
Forts ou faibles, guerriers ou guérisseurs, face à l’ennemi nous ne formons qu’un !
Ensemble nous vaincrons, seuls nous périrons. Une armée divisée ne peut…
Kjelle : C’est bon, j’ai compris ! Je me rends ! Tu as gagné.

Lucina : Comment ?

Kjelle : Je préfère éviter de t’affronter lorsque tu t’enflammes de cette façon ! Et puis, tout ce sermon mielleux commence à me ramollir le cerveau.

Lucina : Vous êtes donc disposée à revoir votre jugement ?

Kjelle : Tout à fait. Il m’arrive d’être têtue comme une mule et présomptueuse. Je m’en excuse.
Je suis peut-être forte, mais pas assez pour gagner la guerre à moi seule.

Lucina : Ravie de vous l’entendre dire.

Kjelle : En ce qui me concerne, la force reste une qualité primordiale. C’est ainsi.
Mais il est peut-être temps d’avoir une vision plus… globale.

Lucina : Qu’entendez-vous par là ?

Kjelle : Je vais entraîner cette bande de minables jusqu’à ce qu’ils soient dignes de moi !

Lucina : Parfait ! Je suis persuadée qu’ils seront enthousiastes à cette idée !

Kjelle : Nous disposerons ainsi d’une meilleure unité de combat et je n’aurai pas à les secourir !

Lucina : Je me demande s’ils parviendront à suivre votre entraînement, par contre…

Kjelle : Nous sommes tous égaux, tu l’as dit toi-même. Alors aucun traitement de faveur.
Qui aime bien, châtie bien ! Je vais remettre l’ordre chez les Veilleurs !
Hmm… Un échauffement sur dix lieues pour commencer… Et ensuite, 100 tractions ?

Lucina : Tout compte fait, je ne suis pas certaine que cette idée sois si grandiose…

Psycho Pas assez vite, malheureusement

Je peux vous aider ? Il ne me manque que les soutiens amoureux (sauf Lon'zu, Chrom, Henry et Gaius mais vous les avez déjà je crois) MU (F) (et donc les soutiens père/Linfan (m)) sinon tous les autres je les ai (y compris les parents/enfants)

Dites-moi ce que vous voulez, je ne sais pas par où commencer...

Si tu savais tout ce qui nous manque.
Mais si tu veux aider, Fred/Olivia serait pas mal déjà.

Si MU x Gangrel/Yen'Fay(je me dévoue, car il sont charismatiques ) n'ont pas été faits, je veux bien quand je serais à ce stade .

Dépend du MU. Avec Yen Fay, il a pas été fait.

Frederick x Olivia

Soutien C

Olivia : Frederick ?

Frederick : Madame ? Que puis-je faire pour vous ?

Olivia : J'ai une question qui risque de vous surprendre... Voilà, je me demandais... Qu'est ce que vous pensez de moi ?

Frederick : Ce que je pense de vous, Mademoiselle ? Eh bien... Je tiens à souligner la souplesse de votre corps et la coordination de vos gestes. Vous avez tout d'une escrimeuse accomplie. Je vous conseille de manier une lame légère.

Olivia : Non, je ne parlais pas de mes aptitudes au combat. Ce que je veux dire, c'est... Que pensez-vous de moi en tant que femme ?

Frederick : Vous voulez savoir si je vous trouve... avenante ? S'agit-il de cela ?

Olivia : Oui, ce serait en effet plutôt cela.

Frederick : Hmm... C'est une question difficile, si je puis me permettre. N'ayant pas envisagé la question sous cet angle... je doute donc de la pertinence de ma réponse.

Olivia : C'est exactement ce qu'il m'a dit.

Frederick : Qui donc ?

Olivia : Mon khan Basilio. Il ne me prend jamais au sérieux. Il faut croire que je ne suscite pas l'intérêt des hommes d'un certain âge. Une danseuse doit être capable de capter l'attention de tout son public. Sans quoi, elle n'arrivera jamais à se montrer convaincante.

Frederick : Votre requête n'était motivée que par des considérations professionnelles, je vois... Vous n'êtes certainement pas dépourvu de charmes. Mais vous devriez les dévoilez à qui saura les apprécier à leur juste valeur. Je regrette de ne pas pouvoir vous soutenir davantage. Avec votre permission...

Olivia : Je... je vous remercie. Enfin, je crois.

Soutien B

Frederick : Puis-je m'entretenir avec vous un instant, Mademoiselle ?

Olivia : Je vous écoute.

Frederick : J'aurais souhaité reprendre notre dernière conversation. J'ai demandé à d'autres soldats un avis franc sur votre personne. Eh bien, sachez que votre charme fait l'unanimité ! Certains se sont même empressés de souligner d'autres de vos... qualités. Par ailleurs, nombre de ces soldats étaient bien plus âgés que vous. Pour conclure, je dirais donc que vos charmes ne laissent personne indifférent.

Olivia : Mais... à combien de personnes vous êtes-vous adressé ?!

Frederick : Voyons, j'ai demandé à tous les Veilleurs... Sans oublier les paysans des villages que nous avons croisés sur notre route... J'ai profité de l'occasion pour interroger également quelques bandits de passage...

Olivia : QUOIII ?

Frederick : Mademoiselle ? Vous devez certainement être honorée par un tel plébiscite...

Olivia : FREDERICK ! Tout le monde va croire que c'est moi qui vous ai demandé ça !

Frederick : J'ai omis ce détail...

Olivia : Par la miséricorde ! Je... Je dois prendre la fuite. Il faut que je parte tout de suite...

Frederick : Mademoiselle ! Croyez bien que je suis navré. Je tiens à me faire pardonner. Je suis prêt à vous accompagner lorsque vous vous montrerez en public... Vous pourriez ainsi vous cacher derrière moi pour éviter le regard des badauds.

Olivia : C'est le pire jour de ma vie...

Soutien A

Olivia : Je ne pensais pas qu'il serait aussi facile de me cacher derrière vous, Frederick. J'ai réussi à échapper au regard de tous les curieux !

Frederick : C'est un honneur de pouvoir me rendre utile, Mademoiselle. Sachez qu'un homme de principe comme moi prend cette tache très au sérieux.

Olivia : Cela ne vous dérange pas que je me cache derrière vous tout le temps ?

Frederick : Pas le moins du monde.

Olivia : Oh, merci, Frederick !

Frederick : Je suis forcé d'admettre que le temps passé récemment en votre compagnie... m'a certainement fait comprendre tout l'intérêt que certains vous portent.

Olivia : Vrai... Vraiment ?

Frederick : Tout à fait.

Olivia : Et j'imagine qu'il serait indiscret de vous demander ce qui vous intéresse chez moi ?

Frederick : Mademoiselle, vous avez un regard troublant...

Olivia : Et si vous m'en disiez un peu plus... Dans une optique strictement professionnelle...

Frederick : Je vois. Pourriez-vous m'accorder un peu de temps pour approfondir la question ?

Olivia : D'accord. Mais ne prenez pas trop de temps, hein ?!

Soutien S

Olivia : Ha ! Je vous tiens ! Vous cherchiez à m'évitez ? Vous ne pouviez pas m'échapper pour toujours !

Frederick : Vous éviter, Mademoiselle ? Certainement pas ! Loin de moi cette idée !

Olivia : Alors comment se fait-il que je ne vous voyais plus à la caserne ? Hmm ?

Frederick : Je... J'avais des choses à préparer... Par exemple, celle-ci...

Olivia : Un anneau ? Mais... Oh, j'aperçois une inscription... « À la femme qui fait danser mon cœur. » Frederick ?! Je ne comprends pas.

Frederick : Il n'est pas dans les habitudes de parler de mes sentiments. Je serai donc bref. Cet anneau est l'expression de l'amour et de l'affection que je ressens pour vous. Je serai honoré au plus haut point du vous acceptiez de le porter.

Olivia : Vous voulez qu'on se MARIE ?!

Frederick : C'est cela même.

Olivia : Mais comment avez-vous su que... ? Vous n'aurez pas besoin de vous y prendre à deux fois ! Ma réponse est OUIII !

Frederick : Je jure donc sur mon honneur de vous protéger toute ma vie !

Olivia : Vous ne perdez jamais l'occasion d'être cérémonieux ! Mais ça me va ! Merci, Frederick ! Vous êtes si galant ! Je suis si heureuse de me marier avec vous ! C'est comme un rêve devenu réalité !

Frederick : Je suis tout aussi heureux de vous avoir pour femme. Consacrer ma vie à une demoiselle aussi charmante n'est pas pour me déplaire !

Si tu peux encore en écrire et si ça te dérange pas, pour Vaike, il manque en soutiens de première génération juste Vaike/Daraen(homme) et Vaike/Olivia.

Vaike x Olivia

Soutien C

Vaike : Hein... ?

Olivia : *sanglote*

Vaike : Hé là, Olivia... Qu'est-ce qui t'arrive ? Pourquoi tu pleures comme ça ?

Olivia : L'odeur du vent...

Vaike : Snifffff... Mais il m'a l'air tout à fait normal ce vent ! Qu'est-ce que tu lui trouves ?

Olivia : Le changement, les saisons qui de suivent... Je ne peux m'empêcher de pleurer.

Vaike : P... Pardon ?!

Olivia : Oh, non ! J'ai dit ça à haute voix ?! Oh, je suis tellement gênée ! Ne me regarde pas !

Vaike : Hmm... D'accord... J'avoue que je suis largué là...

Olivia : Pourquoi est-ce TOUJOURS à moi que ça arrive ?!

Vaike : Tu veux dire... éclater en sanglots parce que tu as senti le vent ?

Olivia : Des étoiles dans un nuit dégagée... Une fraise, seule, dans une assiette... Un âne coincé au fond d'un puits... Ces beautés m'interpellent et me submergent d'émotion !

Vaike : On dirait surtout que tu pleures pour un tas de trucs bizarres... Mais tu sais quoi ? Tout le monde a ses problèmes...

Olivia : Tu as sûrement raison...

Vaike : Dis-moi, tes crises, là.... ça ne t'arrive pas sur le champ de bataille, hein ?

Olivia : Oh, non ! En combat, je suis entièrement concentrée sur l'ennemi.

Vaike : Ah ! Tu vois ? Aucune raison de t'en faire, alors ! Évite quand même de humer le vent quand il y a des gens autour, d'accord ? On pourrait facilement croire qu'il te manque une case...

Olivia : Merci, j'y penserai. Et désolée de t'avoir dérangé.

Vaike : Hé hé... Pas besoin de s'excuser ! Tu dois garder le moral, d'accord ?

Olivia : Oh, oui. B... Bien sûr. Je suis désolée si je...

Vaike : Mais enfin... Arrête de t'excuser !

Olivia : Désolée !

Soutien B

Vaike : ...

Olivia : Oh, je suis TELLEMENT désolée, Vaike !

Vaike : Laisse-moi deviner : tu as vu une fleur en haut de la colline et tu t'es mise à pleurer. Et comme t'y voyais plus rien tu as manqué de tomber. Un truc comme ça ?

Olivia : Oui... Un truc comme ça... Si tu n'avais pas été là, je...

Vaike : Tu te serais sûrement écrasée au fond du ravin, je sais. Pourquoi t'es comme ça ?

Olivia : Je ne sais pas... Je... sniff...

Vaike : Il faut que tu apprennes à maîtriser tes émotions, je serai pas toujours là...

Olivia : Je suis désolée... sniff...

Vaike : Eh ben... Tu aimes ça, t'excuser. C'est clair. Mais j'aimerais bien que tu arrêtes.

Olivia : Dé... Désolée...

Vaike : Arrête, j'ai dit ! Varie ton répertoire... Je sais pas... Tu pourrais dire... Genre, « Oh Vaike, tu es si merveilleux ! » C'est juste un exemple, hein...

Olivia : Hmm... C'est...

Vaike : Allez, ne sois pas si timide... C'est à Vaike que tu parles, pas de quoi avoir peur !

Olivia : M... Merci.

Vaike : Hmmmm... ?

Olivia : De... tu sais... de m'avoir sauvée... Tout à l'heure...

Vaike : Oh, ça ? Hé hé hé ! C'était rien.

Olivia : Oh... c'était un bien piètre remerciement... Je suis si déso...

Vaike : Non ! C'était très bien ! Parfait, même ! Juste, s'il te plaît, plus d'excuses !

Olivia : Oh, déso... Je veux dire... D'accord...

Soutien A

Olivia : Hmm... Vaike ?

Vaike : Ouais ?

Olivia : Je voulais te dire... Pour l'autre fois... Quand j'ai failli chuter vers ma mort...

Vaike : J'espère que tu vas pas encore t'excuser !

Olivia : Oh, non. En fait... ce que je voulais te dire, c'est... Vaike, je trouve que tu es merveilleux.

Vaike : Hein ?!

Olivia : Oh, BON SANG ! J'ai dit quelque chose de mal ? C'est ça ?! Je suis tellement...

Vaike : Non, non, ça va ! Je ne m'y attendais pas, c'est tout. Même si tu as raison : je SUIS merveilleux. Mais quel rapport avec la falaise ?

Olivia : Eh bien... quand on a parlé après, tu m'avais demandé de... Enfin... Tu voulais que je te dise que tu étais merveilleux. Alors, j'y ai réfléchi et...

Vaike : Hein ?! Mais c'était il y a des lunes !

Olivia : Et alors ?

Vaike : Et alors, on ne garde pas les compliments pour plus tard, Olivia. Si quelqu'un fait une chose bien, comme te sauver la vie, il faut le dire tout de suite ! Pas des semaines après, quand tout le monde a déjà oublié !

Olivia : Oh. Désolée.

Vaike : ...

Olivia : Mais tu m'as quand même sauvé la vie. Je dois bien te le rendre de quelque façon...

Vaike : Hmm... Il y a une chose que tu pourrais faire pour moi... Tu veux savoir ce que c'est ?

Olivia : Oh, oui ! Dis-moi ! Tout ce que tu veux !

Vaike : Je ne veux plus t'entendre t'excuser. Plus jamais, compris ?

Olivia : Euh...

Vaike : Tu t'excuses pour un oui ou pour un non, c'est impossible de discuter avec toi ! Et franchement, j'aimerais pouvoir un jour m'asseoir avec toi et parler normalement.

Olivia : Oh ? Je... Je vois... Je vais essayer...

Soutien S

Vaike : Hé, Olivia ? Tu as une minute ? Je voudrais te toucher deux mots...

Olivia : Bien sûr, Vaike. Qu'y a-t-il ?

Vaike : Eh bien... je me disais... On passe vraiment de très bons moments ensemble depuis que tu ne t'excuses plus... T'es pas d'accord ?

Olivia : Oh... oui... je crois... Enfin, j'aime discuter avec toi, c'est vrai...

Vaike : Bien ! Et puisque ça se passe si bien entre nous, je voudrais t'offrir ceci. Si tu acceptes, on pourra parler jusqu'à ce qu'on soit de vieux fous !

Olivia : Oh mon dieu ! Vaike ! C'est bien un anneau ?

Vaike : Oh, attends ! Tu sais, notre petite règle... Tu peux l'oublier un instant, d'accord ?

Olivia : Que veux-tu dire ?

Vaike : Eh bien, si tu... si tu dois t'excuser maintenant, pas de problème... Si tu refuses ma demande, en fait ! C'est ce que... Hmm... Pourquoi tu t'éloignes comme ça ?

Olivia : Oh mon dieu, je suis tellement gênée... Je dois... Je dois...

Vaike : Hé... Va pas croire que je fais ça tous les jours non plus, hein ?! Attends... ! Bon... elle s'est enfuie... C'est une marrante celle-là... J'espère qu'elle va bientôt revenir, j'ai pas envie de rester planté là toute la journée...

Olivia : Hmm... Vaike ?

Vaike : Ah, ben voilà !

Olivia : Hmm... C'était... Je veux dire... Je n'aurais pas dû me sauver comme ça.

Vaike : T'inquiètes, je comprends... Si tu le dois, tu peux t'excuser... si tu veux.

Olivia : Non, attends. Je n'ai ni l'envie ni le besoin de m'excuser. Regarde...

Vaike : Tu as mis l'anneau ? TU AS MIS L'ANNEAU !

Olivia : Je crois qu'il me va...

Vaike : Et comment qu'il te va ! Je l'ai fait faire spécialement pour toi !

Olivia : Je suis vraiment honorée, Vaike. Et... sinon... ?

Vaike : Dis-moi ?

Olivia : Je... Je t'aime.

Vaike : Nom d'une buse ! Pourquoi tu ne m'as rien dit avant ?!

Olivia : Parce que je... j'ai des problèmes... pour m'exprimer.

Vaike : Voilà ce que je te propose : épouse-moi et je parlerai pour nous deux. Ça marche ?

Olivia : Complètement !