Si quelqu'un se dévoue pour Lon'zu/Miriel, on aura fini les soutiens normaux pour Lon'zu.
Il te manque toujours Inigo/MU F ?
Allez, je me dévoue
Toujours Roxy.
Lon'zu/Maribelle
Soutien C
Maribelle : Lon'zu ! Que croyiez-vous donc accomplir pendant la dernière bataille ?
Lon'zu : Mon objectif était de donner des coups d'épée à des gens.
Maribelle : Je parlais de votre OBSTINATION à charger si vite que je ne pouvais plus suivre. C'est charmant de vous voir si impatient de prendre un bain de sang... … mais j'insiste pour que vous ajustiez votre allure à la mienne.
Lon'zu : Laisse-moi tranquille, harpie.
Maribelle : Ha ! Le beau langage que voilà ! J'ai entendu parler de votre « souci » avec les femmes, mais il va falloir vous y faire.
Lon'zu : Cela ne te concerne pas. Si je dois saigner, ce sera de ma propre faute. Chaque coupure est une leçon, chaque cicatrice un rappel.
Maribelle : Oh, et pensez donc à tout ce que vous apprendrez le jour où vous y resterez ! C'est mon devoir de vous garder en vie, et pour cela je requiers votre coopération !
Lon'zu : Je sais raccommoder mes propres blessures. Maintenant, laisse-moi !
Maribelle : Certainement pas ! Asseyez-vous et écou... Fi ! Revenez ici sur le champ !
Soutien B
Maribelle : Ah ! Vous voilà !
Lon'zu : Yeurk.
Maribelle : Vous avez failli perdre votre bras hier, Lon'zu ! En êtes-vous conscient ? Votre fierté de guerrier ne vaudrait plus un clou si vous ne pouviez plus manier l'épée !
Lon'zu : J'ai renforcé mon entraînement afin qu'une telle chose ne se reproduise pas. Arrête de me suivre, maintenant.
Maribelle : Pas si vite !
Lon'zu : Mon bras. Tu t'accroches à mon bras... Lâche mon bras, s'il te plaît.
Maribelle : Pas avant que vous ne me fournissiez la raison de votre entêtement suicidaire !
Lon'zu : Ça suffit ! Je me rends ! Mais... ôte ta patte de là.
Maribelle : PATTE ?! Espèce de gueux, de mal embouché, de vil chat de gouttière ! Êtes-vous si dégoûté des femmes pour les insulter ainsi, sans arrêt ?
Lon'zu : Je... ne fonctionne pas très bien en leur présence. Plus elles sont près, pire c'est. Je t'en supplie, garde tes distances.
Maribelle : Alors c'est pour ÇA que vous vous enfuyez à chaque fois que j'essaie de vous soigner ?
Lon'zu : Je ne voulais pas t'offenser... Le plus simple serait que tu acceptes mon comportement.
Maribelle : C'est hors de question.
Lon'zu : Et pourquoi ?
Maribelle : Parce que cela n'est pas acceptable ! Vous, qui voulez toujours devenir plus fort, refuseriez vous de corriger ce flagrant défaut ?! Continuez comme ça et même une fillette avec une petite cuillère pourra vous occire ! Je ne vous laisserai pas risquer votre vie à cause d'une absurdité pareille.
Lon'zu : …
Maribelle : Je sais que cela ne me regarde pas, mais il me semble que...
Lon'zu : Non, tu as raison. C'est un défaut que je me dois de corriger.
Maribelle : C'est tout ce que je demande, Lon'zu.
Soutien A
Maribelle : Vous avez fait très bonne figure aujourd'hui, Lon'zu.
Lon'zu : Hmpf.
Maribelle : J'aurais été en mauvaise posture si vous n'aviez pas été là pour me protéger ! Et si vous auriez été dans un pétrin similaire si je ne vous avais soigné ensuite. Quoi qu'il en soit, vous avez été bien chevaleresque. Et cela prouve que vous avez surmonté votre petit problème... C'est donc un jour de fête ! Vous joindriez-vous à moi pour une tasse de...
Lon'zu : TROP PRÈS ! Euh, je veux dire... Recule un peu, s'il te plaît.
Maribelle : Pardon ? Vous ai-je bien entendu me hurler dessus comme un grossier malotru ?
Lon'zu : Mon problème n'a pas disparu. Au combat, ça s'est arrangé. Mais dans des cas comme celui-ci, je ne peux pas... Je ne peux pas. Je suis désolé.
Maribelle : Je vois.
Lon'zu : Vas-y. Moque-toi du lâche que je suis.
Maribelle : Je ne ferai pas une chose pareille ! Je vous dois encore plus, maintenant que je sais que vous avez dû braver votre gêne. J'aimerais tant vous aider à vous débarrasser de ce problème.
Lon'zu : Je ne vois pas comment.
Maribelle : Oh, il doit bien y avoir une manière d'y parvenir ! Hmm, peut-être devrions-nous vous forcer à y aller la tête la première. Je pourrais... … vous mener à une maison où une foule de jolies demoiselles serait à votre service.
Lon'zu : Je passe. Attends... Comment est-ce que tu connais un établissement de ce genre ?
Maribelle : Ne soyez pas indiscret, c'est impoli ! Une femme a ses secrets.
Lon'zu : Peut-être y a-t-il une autre manière. Une manière normale.
Maribelle : Sans doute ! Et je n'aurai pas la conscience tranquille avant de l'avoir trouvée ! Comme je le dis toujours, les amis avant tout !
Lon'zu : On est amis ?
Maribelle : Vous n'en diriez pas de même ?
Lon'zu : En général, les amis n'ont pas besoin de se tenir à plus de vingt pas l'un de l'autre. Mais cela me plairait d'être ton ami.
Maribelle : Tant mieux, car c'est une affaire conclue, quoi qu'il en soit.
Soutien S
Maribelle : Je suis prête quand vous l'êtes, Lon'zu.
Lon'zu : A... Allons-y.
Maribelle : Vous y êtes presque. Restez concentré...
Lon'zu : Gnnn... !
Maribelle : Fantastique ! Vous avez enfin réussi à me toucher. Et presque sans pleurnicher ! Mmm, vos mains sont plutôt fraîches.
Lon'zu : Ta joue est... chaude.
Maribelle : Cela suffit pour aujourd'hui, n'est-ce-pas ? Diminuer progressivement la distance, jour par jour, semble marcher jusqu'ici.
Lon'zu : Je m'attendais à ce que tu me jettes dans une fosse remplie de femmes !
Maribelle : J'ai déjà reçu beaucoup de piques, Lon'zu, mais on ne m'a jamais qualifiée d'inhumaine. Et vous vouliez une méthode « normale ». Je trouve celle-ci plutôt raisonnable.
Lon'zu : Elle l'est. Mais depuis le temps que nous y travaillons, j'ai seulement réussi à toucher ta joue. Tu perds ton temps avec moi.
Maribelle : Oh, balivernes ! Ce n'est rien ! Mais vous n'avez pas tout à fait tort... Hmm, peut-être pouvons-nous prendre des dispositions pour le long terme ?
Lon'zu : C'est-à-dire ?
Maribelle : Eh bien, si nous nous marions, je pourrai vous assister sans compter mon temps !
Lon'zu : Tu n'es pas du tout obligée de faire ça.
Maribelle : Ciel, vous êtes effroyablement pénible. Croyez-vous que je vous suggérerais de m'épouser par sentiment d'OBLIGATION ?
Lon'zu : Euh, non.
Maribelle : Eh bien ! Nous avons maintenant constaté la teneur de mes sentiments... … de façon étrange, certes. Peut-être auriez-vous l'amabilité de réciproquer.
Lon'zu : … Je ressens quelque chose pour toi, bien que je ne trouve pas les mots pour le dire. Je désire te tenir dans mes bras jusqu'à mon dernier souffle. Et pourtant, je parviens à peine à te toucher. C'est une honte. Je n'ai aucun droit de te demander ta main.
Maribelle : Oh, Lon'zu, nous ne sommes pas pressés ! Nous avons toute la vie pour y arriver. Et vous, mon cher, vous êtes un parti pour lequel cela vaut la peine d'attendre.
Lon'zu : Nous pouvons peut-être essayer une nouvelle fois. J'aimerais bien te tenir la main pendant que nous allons en ville. Nous allons avoir besoin d'une alliance, après tout.
Maribelle : Avec vous, mon chéri, j'irai où vous voulez ! Allez, donnez-moi votre froide main !
Daraen ( F )/Inigo
Soutien C
Inigo : Ah, Daraen. Toujours aussi ravissante, à ce que je vois ! Voulez-vous me rejoindre autour d'un thé ?
Daraen : Je regrette, mais je n'ai pas le temps de m'adonner à ce genre de futilité.
Inigo : Mais ça n'a rien de futile ! En plus, c'est une démarche tout à fait honnête !
Daraen : Je te croirais si tu n'avais pas déjà invité la moitié des femmes d'ici à prendre le thé.
Inigo : Ah, vous le prenez ainsi... Une invitation pure comme la neige ainsi foulée aux pieds...
Daraen : Nous devons tous deux avoir un concept différent de la pureté...
Inigo : Raison de plus pour en débattre autour d'un thé ! Évitons ce malentendu ! Il ne faudrait pas qu'il ternisse notre amitié et nous détourne l'un de l'autre.¨
Daraen : Et si tu essayais d'être sérieux pour une fois ? Si tu étais moins désinvolte, tu aurais sans doute plus de succès auprès des femmes.
Inigo : Désinvolte ? Moi ? Daraen, vous êtes totalement injuste ! Cette supposée désinvolture n'est que le cri de désespoir d'un coeur en mal d'amour ! Pourtant, chose étonnante, votre cynisme a quelque chose de séduisant... Il me tarde de reprendre cette discussion ultérieurement !
Daraen : ...
Soutien B
Inigo : Daraen, vous voilà ! Vous craigniez peut-être que j'oublie notre rendez-vous ? Eh bien, soyez rassurée, car il n'en est rien !
Daraen : Ah, c'est toi ! Les autres femmes n'ont pas cédé à tes avances, à ce que je vois...
Inigo : Comment le savez-vous... ?
Daraen : Tu viens me parler quand toutes les autres te tournent le dos... Tu es un homme plutôt prévisible, il faut bien l'admettre...
Inigo : *soupir* Pourquoi tant d'hostilité à l'égard de votre digne serviteur... ?
Daraen : Allons donc ! Ne prends pas cet aire de chien battu ! Tu trouveras bien une autre jeune femme plus réceptive à tes charmes douteux.
Inigo : Ah oui, c'est l'évidence même ! Enfin, non ! Je n'ai pas besoin d'une autre femme que vous !
Daraen : ...
Inigo : Ahem...
Daraen : ...
Inigo : Ne me regardez pas comme ça. C'est très perturbant ! Et puis, ça ne sert à rien... Je n'ai pas l'intention de retirer ce que j'ai dit !
Daraen : Vraiment... ? Alors regarde-moi dans le blanc des yeux et répète-moi ça !
Inigo : Je ne mens pas... Pour de vrai... Aaah... Oh, ça va, je l'avoue ! C'est un vil mensonge ! Diable, Daraen ! Avec vous, c'est vraiment peine perdue...
Daraen : Plus vite tu t'en rendras compte, et mieux ça vaudra pour toi. Quand tu aperçois une femme, tu ne peux pas t'empêcher de lui faire la cour. Ce n'est un secret pour personne...
Inigo : Ah ha ! J'ai compris ! Vous êtes jalouse, pas vrai ? Je suis naturellement flatté, mais également un peu déçue, je dois bien l'admettre... Une femme de votre stature en proie à un vilain sentiment de jalousie... C'est triste...
Daraen : Oh, pour l'amour du ciel ! C'est complètement faux !
Inigo : Si vous le dites...
Daraen : Ce que tu peux être exaspérant ! Et si tu cherchais à te rendre utile en dehors des combats, pour une fois ? Si tu y parviens, j'accepterai d'aller prendre le thé en ta compagnie. Mais en l'état...
Inigo : Aha ! Marché conclu ! Je vous quitte avant même que vous ne changiez d'avis ! Hé hé !
Daraen : Inigo, attends un instant ! Je n'étais pas sérieuse ! J'ai bien peur qu'il m'ait prise au mot...
Soutien A
Inigo : Bon travail, comme d'habitude ! Voilà pour vous, en signe de ma gratitude !
Daraen : Ce ne serait pas Inigo, là-bas, par hasard ? Qu'est-ce que qu'il fabrique encore... ? Il tente de séduire une femme en armure en lui offrant un présent... *soupir* Il est incorrigible... Et dire que ce sot n'est pas totalement dénué de charme...
Inigo : Ah, Daraen ! Vous tombez à pic ! Vous aussi vous avez droit à un cadeau ! C'est un onguent que j'ai acheté en ville. D'après le marchand, il a des propriétés régénératrices hors du commun.
Daraen : C'est gentil de penser à moi, Ini... Mais qu'est-ce que je raconte ?! Tu ne vas pas me séduire en m'offrant un présent !
Inigo : Ne me dites pas que... vous pensiez que... OUAH HA HA HA !
Daraen : Mais qu'est-ce qui te fait rire ainsi ?
Inigo : Ha ha ha ha ! Désolé, je dois... récupérer... mon soufffle... Je ne tente de séduire personne ! Quelle idée saugrenue !
Daraen : Alors, explique-moi ce que tu as derrière la tête !
Inigo : J'ai remarqué que nombre de nos soldats n'ont plus le moral avec tous ces combats. Rien de tel qu'un joli cadeau bien trouvé pour remonter le moral des troupes !
Daraen : Un joli cadeau bien trouvé que tu n'offres qu'à la gent féminine...
Inigo : Mais pas du tout ! J'offre des choses à tout le monde !
Daraen : J'ai pensé que... Je peux me tromper... Euh... Mes excuses... Ça me paraît être une très bonne idée. Je ne t'en croyais pas capable.
Inigo : Je ne sais pas si elle est bonne... Mon but est de rendre mes amis heureux. Il faut tâcher de donner un coup de main aux autres le plus souvent possible, non ?
Daraen : Aujourd'hui, tu m'as agréablement surprise.
Inigo : Je me surprends moi-même, à vrai dire ! En somme, vous m'affectionnez d'avantage, je me trompe ?
Daraen : Initialement, je ne t'affectionnais pas du tout. Donc la réponse est non.
Iingo : C'est bien dommage... Sur ce, je vous tire ma révérence ! Hé hé !
Daraen : ... J'ignorais qu'il se souciait à ce point de ses camarades...
Soutien S
Inigo : Ah, Daraen. Vous êtes d'une beauté resplendissante aujourd'hui !
Daraen : Ah, Inigo. Tes courtisaneries sont encore plus prévisibles que d'habitude...
Inigo : Au contraire ! Je m'emploie à courtiser avec la plus grande parcimonie.
Daraen : Je ne te reconnais plus...
Inigo : Dernièrement, je n'aborde les femmes que pour renforcer mes liens de camaraderie. En vérité, je me contiens afin de passer plus de temps avec la femme que j'aime.
Daraen : Vrai... Vraiment ? Et qui est l'heureuse élue ?
Inigo : Qui ? Ha ha ! Vous me mettez dans l'embarras... En femme réfléchie que vous êtes, je pensais que vous l'aviez deviné...
Daraen : Je ne suis pas sûre de te suivre.
Inigo : Eh bien, ce n'est pas sorcier, pourtant... Celle que j'aime par-dessus tout, c'est... C'est VOUS !
Daraen : MOI ?! J'étais loin de m'en douter !
Inigo : Ça fait un moment, déjà ! Mais je n'avais jamais eu le courage de vous en parler. Un homme sot et désinvolte tel que moi a besoin d'une femme telle que vous. Il me faut une femme qui me soutienne et qui m'oriente.
Daraen : Oh, juste ciel !
Inigo : Ma confession est bien vaine, n'est-ce pas ? Votre haine envers moi est palpable...
Daraen : Je ne te hais pas, Inigo.
Inigo : Nous pourrions donc être ensemble... ?
Daraen : Mmh... Oui, c'est envisageable... A la condition que tu cesses de faire la cour à d'autres femmes.
Inigo : Est-ce vraiment nécessaire ? C'est que ce n'est pas rien, tout de même, et... Enfin... Si c'est ce que vous souhaites, j'essaierai de faire de mon mieux.
Daraen : Il va falloir faire mieux que ça !
Inigo : Ha ha ! Ce n'était qu'une petite plaisanterie ! Daraen, je vous promets de ne jamais détourner mon regard du vôtre !
Scène étrange : Avant, je le disais à toutes les filles, mais... je crois bien avoir trouvé mon âme soeur.
Merci
En même temps ça va faire un mois que je te disais que j'allais la faire...
BON ! J'ai du lourd !
Je vais balancer :
Maribelle/Henry, Gaius/Miriel, Daraen/Nowi, Libra/Lissa, Olivia/Virion
Lon'zu x Miriel
Soutien C
Miriel : La lune est illuminée par le Soleil ? Une allégation plus que curieuse... Et pourtant...
Lon'zu : Hé.
Miriel : La lueur du Soleil faiblit lorsqu'il descend derrière l'horizon. Comment se peut-il q...
Lon'zu : Hé ! Attention !
Miriel : Aaah !
Lon'zu : Es-tu pressée de mourir, sorcière ? Tu te serais jetée du haut de cette falaise. Tonnerre ! J'ai saisi une femme par le bras !
Miriel : Je m'excuse. J'étais plongée dans ma lecture.
Lon'zu : Tu devrais t'asseoir la prochaine fois, si tu veux rester en vie.
Miriel : Mon cœur bat à tout rompre... Une réaction face au danger, j'imagine ? Fascinant. Je dois en prendre note...
Lon'zu : Ferme plutôt ton livre.
Miriel : Je mène une expérience mentale que je préfèrerais ne pas perturber.
Lon'zu : Ta vie aurait été perturbée de façon définitive si je ne t'avais pas arrêtée. Ne t'avises pas de recommencer...
Miriel : En supposant que de quelque manière, le Soleil puisse briller au-delà de l'horizon... Pah... C'est inutile, j'ai perdu ma concentration.
Soutien B
Lon'zu : Je t'avais dit de ne pas recommencer !
Miriel : C'est vrai.
Lon'zu : Alors pourquoi frôles-tu la mort pour la septième fois en une semaine ?! L'éboulement, la rivière en crue, à la limite, je peux comprendre, mais là... Tu te serais presque jetée sous un chariot ! Un chariot plein de MÉNESTRELS !
Miriel : Certes. Mais je t'avais vu arriver.
Lon'zu : Et tu as compté sur moi pour te sauver ?
Miriel : C'était là mon hypothèse, en effet. Les premières occasions étaient des accidents, mais firent naître cette énigme : ... la précipitation concomitante de mon cœur était-elle seulement due au danger ?
Lon'zu : Tu peux parler de manière à ce que les humains normaux te comprennent ?
Miriel : Une deuxième hypothèse causale s'offrir alors à moi : la raison était ta proximité. Mon excitation passagère était peut-être due au contact avec un étranger. La seule méthode pour en être sûre était de répéter l'expérience et réunir des données.
Lon'zu : Donc... tu as persisté à frôler la mort juste pour que je puisse te sauver ? Que serait-il passé si j'avais été trop lent ?
Miriel : Perspicace observation... Ma méthodologie n'est pas parvenue à parer à cet imprévu.
Lon'zu : Pour une femme si savante, tu es joliment niaise. Alors, je t'explique... C'est la dernière fois que je te tirais d'un mauvais pas ! Je trouve la présence des femmes déjà suffisamment pénible comme ça !
Miriel : Tu as une aversion absolue pour les femmes ? C'est curieux. Est-ce que cela inclut aussi les animaux ? Qu'en est-il d'une jument, par exemple ?
Lon'zu : Quoi ? Non. Les chevaux se ressemblent tous à mes yeux.
Miriel : Et les primates ? Une femme en stature ? Voire même un cadavre de femme ?
Lon'zu : Je vais faire comme si tu t'étais arrêtée à la statue.
Miriel : Est-ce un réflexe physique, ou psychique ? Ça mérite une étude des plus rigoureuses !
Lon'zu : Je commence à penser que j'aurais dû laisser les ménestrels te renverser...
Soutien A
Lon'zu : Allez, raconte ! Pourquoi as-tu fait ça ?!
Miriel : Ta question est bien trop vague pour...
Lon'zu : Tu as rempli ma tente avec des statues de femmes... La plupart sans BRAS, en plus !
Miriel : Ah, je vois. « Ça ». Ta question était ambigüe. La précision est capitale dans toute interrogation, Lon'zu. Passons. J'ai mis en place une expérience visant à identifier l'étendue de ton hostilité. Et maintenant, il est temps de récolter les résultats ! Comment as-tu réagi ?
Lon'zu : Je les ai toutes fracassées.
Miriel : Je vois. Ainsi, un portrait inanimé suffit bien à déclencher ton réflexe...
Lon'zu : Non, ce n'est pas la...
Miriel : Je te remercie pour ta coopération. Nous passerons au prochain test lorsque je me serais procuré assez de singes fem...
Lon'zu : Par tous les diables, non ! Tu ne comprends pas !
Miriel : Ai-je commis une erreur dans mon interprétation ?
Lon'zu : Je n'ai pas détruit les statues à cause de leur ressemblance avec les femmes. Il n'y avait plus du tout de place dans ma tente ! Et je ne voulais pas que les autres pensent que je suis... une espèce de cinglé.
Miriel : Ah ! Je comprends ton angoisse. Un homme prétendant par nature abhorrer les femmes, des statues plein sa tente ? Tu pourrais en effet devenir une source de curiosité, sans parler de certaines rumeurs !
Lon'zu : Si tes mots veulent dire ce que je pense qu'ils veulent dire, alors oui, tu as compris.
Miriel : C'était un oubli dans ma méthodologie. Je m'en excuse. Nous renouvellerons l'expérience à l'écart des yeux indiscrets.
Lon'zu : Non, il n'en est pas question !
Miriel : Oh ! Mon cœur s'emballe à l'idée d'obtenir des résultats purs et fiables !
Lon'zu : Pas question, j'ai dit !
Soutien S
Lon'zu : Bonjour, Miriel.
Miriel : Étrange. Comment as-tu deviné que c'était moi ?
Lon'zu : À subir tes « expériences » jour après jour, je m'attends à ce que ce soit toi. Et puis tu as une présence exceptionnelle.
Miriel : Une présence, dis-tu ? Très ambigu. Avec lequel de tes sens la détectes-tu ? On pourrait tenter d'inhiber leur fonctionnement tour à tour pour le savoir.
Lon'zu : Euh... Écoute, je n'ai rien dit, d'accord ? Alors, qu'es-tu venue essayer, cette fois ?
Miriel : J'ai fait l'observation d'un nouveau phénomène ! À force de recherches communes, je me suis mise à désirer ardemment ton contact. Je dois encore établir la raison et l'étendue de cette dépendance...
Lon'zu : Je... J'ai une théorie.
Miriel : Une hypothèse, Lon'zu. Pas une théorie. Une théorie est un ensemble de concepts... Pardon. Je t'ai coupé la parole. Continue, je t'en prie.
Lon'zu : Je pense que ce que tu ressens est similaire à ce que moi, je ressens pour toi.
Miriel : Quoi ? Tu as développé une immunité aux femmes par le biais de nos expériences ?
Lon'zu : Pas une immunité. Juste une exception.
Miriel : Fascinant ! Et quel soulagement ! Ce serait dommage de perdre une tare si singulière. En tous cas, ceci mérite une étude plus approfondie !
Lon'zu : Hé hé. J'étais sûr que tu dirais cela. Je t'ai donc amené ceci.
Miriel : Cela ressemble à un anneau.
Lon'zu : C'est parce que C'EST un anneau. Porte-le et notre dépendance sera assouvie. Et tu auras toujours un cobaye sous la main.
Miriel : Il a donc des propriétés magiques ? Je trouve cela très intéressant...
Lon'zu : Je te demande si tu veux te marier, idiote !
Miriel : Ah, je comprends ! C'est proprement fascinant !
Lon'zu : Tu... ne m'as pas vraiment répondu.
Miriel : Mes excuses. Il semble que je sois en proie à de nouveaux sentiments forts singuliers ! Chacun m'intrigue plus que le précédent ! Je ne sais comment tous les exprimer.
Lon'zu : La plupart des gens sourient, tu sais.
Miriel : Comme ceci ? Est-ce satisfaisant ?
Lon'zu : Non, ça fait plutôt peur, mais... Tu sais quoi ? On va y travailler ensemble.
Si c'est Nowi Daraen femme, c'est bon.
Ah ah, on a fini les soutiens normaux de Lon'zu.
Chose promis , chose dût .
Chrom x Brady
Soutien C :
B : Le thé est servi. C'est du... du truc. De là-bas... Tu sais, le machin qui coûte cher.
C : Ahem...
B : Comment ? Toujours pas satisfait ? Tu veux quoi ? Un gâteau en or ? Pas de chance.
C'est tout ce que j'ai, aujourd'hui.
C : Je... Brady...
B : Silence et bois ton thé !
Il va refroidir.
C : Désolé... slurp.
Dis-moi, fiston...
B : Quoi encore ?
C : Y a-t-il une raison pour qu'on prenne un thé ensemble ?
B : Comment ça ? Tu en prépares tous les jours. Tu ne rates jamais l'heure du thé.
C : Disons que j'en bois plutôt occasionnellement...
B : QUOI ?! On m'a fait un rapport complet sur ta cérémonie quotidienne du thé ! Maman m'a demandé de partager ce moment avec toi !
Tu veux dire qu'elle a tout inventé ?
C : J'ignore ce qu'elle entend par « cérémonie du thé ». Donc, je dirais que oui.
B : La sale menteuse ! Elle doit bien se payer ma tête, à l'heure qu'il est !
C : Mais qu'est-ce qu'elle t'as raconté sur moi, exactement ?
B : Ne t'inquiète pas. Je vais aller parler longuement à ma très chère mère.
Toi, reste là et bois ton satané thé !
Au revoir !
B : Et n'oublie pas de couvrir la théière avec ça... Ça garde le thé chaud.
C : Diable ! Ma vie est quand même devenue bien étrange...
[Fin du 1er soutien]
Tu pourrais poster les soutiens C/B/A dans un même post. C'est mieux, au niveau de la lisibilité et pour les MAJ.
Gregor/Lissa
Soutien C
Lissa : AAAAAH !
Gregor : Y a un souci ?!
Lissa : Ben oui ! Regardez-moi cette bête affreuse !
Gregor : Bah, c'est qu'un mille-pattes géant. Faut pas paniquer comme ça ! T'as poussé un cri qui semblait annoncer la fin du monde ! J'ai failli avaler ma tisane d'orties de travers.
Lissa : BEURK ! C'est vraiment pas beau ! Et je parie qu'il est venimeux !
Gregor : T'inquiète pas. J'vais le sortir dehors, ma délicate petite princesse.
Lissa : Comment ça ?! Je suis pas délicate, moi, d'abord. Mais merci...
Gregor : C'est vrai que t'es courageuse. Tu t'es battue contre plein de grands guerriers ! Du coup, j'avoue que j'comprends pas que tu paniques face à un pauvre insecte !
Lissa : Je vois ce que tu veux dire. Mais c'est une phobie. Je hais les insectes.
Gregor : Ah bon ? Mais c'est que les p'tits insectes ou t'as peur d'autres trucs ?
Lissa : J'aime pas les serpents. Normal ! Sinon, les crapauds, bof ! J'aime aucun batracien... Les choses épicées, je les fuis comme la peste. Mais bon, ce n'est pas une phobie. Je crois que c'est tout. Enfin, non, je n'aime pas être seule dans le noir... Et puis les ongles longs, ce n'est pas formidable. Surtout s'ils sont sales. Ah, j'oubliais le citron... Rien que d'y penser, j'en ai la chair de poule... Mais le pire, c'est les fantômes. Bah ! Ça, j'en ai vraiment horreur ! Voilà tout ce que je déteste. Il y a aussi certains types de saucisses, mais bon...
Gregor : Raah, j'avoue que j'aurais p'têtre mieux fait de pas demander !
Lissa : C'est bizarre... Je sais me battre, mais certaines choses m'effraient plus que tout. *soupir* Tu dois te dire que je suis une grosse froussarde...
Gregor : Ah que non ! On a tous des phobies, c'est normal. T'en as juste un grand nombre...
Lissa : Tu le crois vraiment ?
Gregor : D'ailleurs, ça a son charme, d'une certaine manière.
Lissa : Oh, merci, Gregor !
Soutien B
Lissa : Où est-ce qu'on va comme ça, Gregor ? N'oublie pas que j'ai le vertige. Et je hais l'obscurité. Et les brigands aussi.
Gregor : Pour l'obscurité, j'te promets rien. Mais ça en vaut la peine, tu verras.
Lissa : Bon, d'accord. Mais ne fais rien de bizarre... Sinon, j'appelle mon frère.
Gregor : J'suis pas du genre sot non plus ! J'mettrais jamais la sœur d'un bon employeur en danger.
Lissa : Ravie de l'entendre. Mais allez, dis-moi où on va !
Gregor : Chut ! Ouvre bien tes esgourdes ! T'entends les cris sous le sol ?
Lissa : Oh non, c'est horrible ! Ce sont des fantômes ! OUAAAH !
Gregor : Chut !
Lissa : Hiiii...
Gregor : Si tu pleurniches comme ça, ça risque de chauffer pour nous !
Lissa : Pourquoi m'as-tu fait venir ici ?!
Gregor : Sois courageuse ! Si tu chasses l'une de tes phobies, toutes les autres disparaîtront !
Lissa : Tu veux que je fasse un malaise en restant dans cet endroit démoniaque ?! T'ES PAS BIEN DANS TA TÊTE, TOI ?!
Gregor : Rah, non. C'était une astuce que j'avais lue dans un bouquin de chasse... Désolé.
Lissa : Je sens que Chrom ne va pas apprécier...
Gregor : Oh, non, pas de bêtises. J'y tiens à mon boulot. Je voulais pas te faire de mal !
Lissa : Ne t'inquiète pas ! Je ne dirai rien. En plus, cette situation avait quelque chose d'excitant ! Hi hi !
Gregor : Merci. C'est que j'ai plein de dettes, tu sais ? Si je perds mon gagne-pain, ouillle !
Soutien A
Lissa : Gnnn... gnn... Là, maintenant, je tends les doigts, et... Aaaaaaah !
Gregor : Ah que non ! Encore des hurlements ?
Lissa : J'ai réussi, Gregor ! Regarde ! J'ai réussi à prendre un de ces affreux mille-pattes avec les mains !
Gregor : T'inquiète, j'suis pas aveugle. Pas besoin d'agiter ton bras si près de mon œil !
Lissa : T'as vu ça ?! Je suis trop forte ! C'est le premier insecte que je touche ! De ma vie !
Gregor : C'est bien ! Faut y aller mollo, pi après t'enchaînes sur tes autres phobies ! En y allant petit à petit, on finit par accomplir de grandes choses !
Lissa : Tu crois que je suis capable de surmonter toutes mes peurs ?
Gregor : Mais oui, c'est sûr ! Bientôt, tu n'auras même plus peur des fantômes !
Lissa : Ce serait fou !
Gregor : Bon, fais une liste de toutes tes phobies. À chaque fois que tu surmontes une peur, t'as qu'à la rayer de ta liste.
Lissa : C'est pas mal du tout comme idée !
Gregor : Ouais, je sais. J'en ai plein, tu sais. Allez, tu as mérité un bon repas.
Lissa : Oh ?
Gregor : T'as surmonté ta première phobie ! Faut bien fêter ça, quand même ! Allez, vas-y, attaque. Faut manger tant que c'est chaud !
Lissa : Tu l'avais donc déjà préparé ? Tu pensais que j'allais vaincre une de mes phobies ? Tu avais vraiment la foi, alors ?!
Gregor : Ah, moi, c'est sûr, j'ai la foi en toute circonstance ! De toute façon, au pire, j'aurais mangé tout seul.
Lissa : Oh ! Merci, Gregor. C'est gentil de ta part !
Gregor : Allez, attaque !
Soutien S
Lissa : Gregor, j'ai besoin de ton aide. Est-ce que tu peux jeter un coup d’œil à ça ?
Gregor : Raah ? Ce gigantesque tas de papier ? Y a des centaines de pages !
Lissa : J'avoue. C'est la liste de toutes les choses qui m'effraient.
Gregor : Mmh, bon...
Lissa : Je savais que tu allais réagir comme ça ! Tu trouves que ma liste est trop longue, hein ?
Gregor : Bah, j'm'attendais à un peu moins...
Lissa : Je ne sais pas si ça vaut la peine de continuer.
Gregor : T'as raison. Abandonne !
Lissa : Hé ho ! Tu es censé m'encourager !
Gregor : Mais je t'encourage, là ! C'est juste que j'ai une autre stratégie en tête... Toute seule, t'arriveras pas bien loin... Mais si je reste avec toi... J'veux dire, tout le temps, tu vois. Si je restais avec toi...
Lissa : Euh...
Gregor : C'est une question d'efficacité, petite. Sans ça, t'es pas sortie de l'auberge !
Lissa : Mais ça risque d'être pesant à la longue si tu me suis partout, non ?
Gregor : T'inquiète ! J'le fais de bon cœur. En fait, ça fait longtemps que j'y pense, tu vois. Du coup, j't'ai acheté ce gros anneau.
Lissa : Eh ben ! Il est énorme !
Gregor : Si tu veux bien que j'sois ton homme, je vais pouvoir t'aider plus facilement...
Lissa : D'accord ! Mais alors, c'est toi qui t'occupes des grosses bestioles ! Et si un affreux citron pointe son nez au beau milieu de la nuit...
Gregor : J'le coupe en rondelles ! Je t'en fais le serment !
Lissa : Alors, j'accepte ! J'avoue que je n'étais pas trop pressée de m'occuper de la liste toute seule...
Gregor : Aujourd'hui, j'suis le plus heureux des hommes !
Lissa : Merci, Gregor. Moi aussi, je suis heureuse ! C'est comme dans un rêve !
Gregor : Non, Lissa. C'est moi qui ai une veine de... Euh, j'ai trop de chance ! Alors, on a qu'à commencer la liste avec les « A »... Quoi... ? T'as peur des artichauts ?!
Soren ok , je regroupe tout .
Chose promis , chose dût .
Chrom x Brady
Soutien C
B : Le thé est servi. C'est du... du truc. De là-bas... Tu sais, le machin qui coûte cher.
C : Ahem...
B : Comment ? Toujours pas satisfait ? Tu veux quoi ? Un gâteau en or ? Pas de chance.
C'est tout ce que j'ai, aujourd'hui.
C : Je... Brady...
B : Silence et bois ton thé !
Il va refroidir.
C : Désolé... slurp.
Dis-moi, fiston...
B : Quoi encore ?
C : Y a-t-il une raison pour qu'on prenne un thé ensemble ?
B : Comment ça ? Tu en prépares tous les jours. Tu ne rates jamais l'heure du thé.
C : Disons que j'en bois plutôt occasionnellement...
B : QUOI ?! On m'a fait un rapport complet sur ta cérémonie quotidienne du thé ! Maman m'a demandé de partager ce moment avec toi !
Tu veux dire qu'elle a tout inventé ?
C : J'ignore ce qu'elle entend par « cérémonie du thé ». Donc, je dirais que oui.
B : La sale menteuse ! Elle doit bien se payer ma tête, à l'heure qu'il est !
C : Mais qu'est-ce qu'elle t'as raconté sur moi, exactement ?
B : Ne t'inquiète pas. Je vais aller parler longuement à ma très chère mère.
Toi, reste là et bois ton satané thé !
Au revoir !
B : Et n'oublie pas de couvrir la théière avec ça... Ça garde le thé chaud.
C : Diable ! Ma vie est quand même devenue bien étrange...
[Fin du soutien C]
Soutien B
B : Désolé pour l'autre fois.
C : Pour le thé ? Il n'y a pas mort d'homme... Ça nous a donné l'occasion de discuter.
Bien. Mais je m'en veux quand même de t'avoir laissé boire ton thé tout seul. J'ai donc apporté mon violon pour m'excuser.
C : Ton violon ?
B : Ouai ! Pour se faire pardonner, rien de tel qu'un morceau de violon !
C : Ah bon ?
B : Bien sûr que oui ! C'est bien connu ! Tu vis dans une grotte, ou quoi ?
Bref, je gratte les boyaux du chat sur trois chansons et je fais un saut périlleux arrière. À ce moment-là, tu te lèves, tu applaudis et tu me lances des roses.
Enfin , c'est ce qu'a dit maman.
C : Euh, Brady, ne te sens surtout pas obligé...
Personne ne m'a jamais présenté d'excuses de cette façon... Je dis bien JAMAIS.
Ta mère est encore en train de se payer ta tête.
B : Quoi , ENCORE ?! C'est le bouquet ! Je vais...
C : Brady, attends une minute.
B : Quoi ?! Qu'est-ce que tu veux ?
C : Et si on discutait au lieu de s'occuper de Maribelle ?
En réalité, je lui suis reconnaissant. Sans ses mensonges, tu ne serais sûrement pas venu.
B : Tu veux qu'on oublie ma mère ?
Mais elle me manipule comme un pantin !
Bon, soit ! Je veux bien tolérer ses manigances, pour l'instant.
Et je n'ai rien contre le fait de tailler une bavette.
C : Très bien ! Discutons un peu, dans ce cas...
[Fin du soutien B]
Soutien A
B : Et j'en oublie la moitié !
Si tu savais ce qu'elle m'a dit d'autre !
C : hé hé .
B : Qu'est-ce qui te fait rire ? J'ai pas encore raconté la chute.
C : Je suis content qu'on se soit rapprochés, Brady.
J'avoue qu'au début, j'avais mes doutes. Tu n'as pas vraiment une tête rassurante... (pwned)
B : Ah ouais, désolé... C'est comme ça que je suis.
Mais si t'es pas content, tu peux toujours améliorer l'éducation du vrai Brady.
C : tu parlesdu Brady de cette époque-ci ?
B : oui. Je ne suis pas ton vrai fils. Pas tout à fait.
C : ... Brady...
B : Pas besoin de faire cette tête ! Épargne-moi ta pitié.
Contrairement à certains, je ne suis pas jaloux du moi de cette époque.
On est deux personnes différentes, non ?
Alors, sans rancune.
Une fois que le vrai sera né, tu pourras m'oublier si tu veux. Je comprendrai.
C : Ne dis pas ça ! On s'est beaucoup rapprochés ces derniers temps !
Tu crois que je vais te rejeter quand mon fils sera né ? Je ne ferais jamais ça. Tu es mon ami, Brady. Et mon fils...
B : Papa, je ... Snif ...
Je m'étais juré de ne pas verser une larme et toi, tu balances toutes ces aneries...
J'ai menti tout à l'heure, papa !
Faut pas que tu m'oublies, hein ?!
Souviens-toi qu'on aura un jour été bons amis , d'accord ? De vrais potes, quoi !
C : je ne pourrais pas t'oublier même si je le voulais , fiston.
Je me souviendrai de toi jusqu'à ma mort, et je t'aimerai autant que le futur moi.
B : d'accord mais on ne parle plus de mort. Si tu finis entre quatre planches avant moi, j'inonderai ta tombe de thé. Je jouerai du violon et ferai un saut périlleux s'il le faut. Faut pas me chercher !
C : Je crois que j'ai une raison de plus de m'attacher à la vie, maintenant ...
[ FIN \o/ ]
Ricken/Lissa
Soutien C
Ricken : Hmm...
Lissa : Oh, dis donc ! Tu n'as pas l'air dans ton assiette ! Si jamais tu as besoin de mon bâton de soin...
Ricken : Ça va. Mais j'ai l'impression de ne pas me battre au mieux de mes capacités...
Lissa : T'inquiète ! On a tous des jours sans ! Tu veux qu'on s'entraîne un peu ?
Ricken : S'entraîner comment ?
Lissa : Ben, s'entraîner ! Tous les deux ! Tu arriveras peut-être à surpasser ton problème.
Ricken : Hmm... Non, merci. Ça ne risque pas de m'aider.
Lissa : QUOI ?! Tu penses que je ne suis pas de tailler à m'entraîner avec toi, c'est ça ? Je ne suis peut-être pas aussi forte que mon frérot, mais je t'assure que quand je veux...
Ricken : Arrête avec ça ! Il n'y a rien que tu puisses faire pour moi !
Lissa : Eh ben !
Ricken : Ils veulent nous tuer, Lissa ! Tu comprends ça ?! La seule solution, c'est de les tuer d'abord. Nous devons prendre la vie d'autrui. Rien que d'y penser, j'en ai les mains qui tremblent. C'est tellement... horrible.
Lissa : Je t'assure que je ne prends pas du tout ça à la légère...
Ricken : Je sais bien. Je n'aurais pas dû te répondre de cette façon. Désolé, Lissa.
Lissa : C'est moi qui suis désolée. J'étais loin de me douter que ça te minait autant.
Ricken : …
Soutien B
Ricken : Qu'est-ce que tu fais, Lissa ?
Lissa : Je m'entraîne au combat.
Ricken : Quoi ?
Lissa : Je me bats, quoi !
Ricken : C'est à cause de ce que je t'ai dit l'autre fois ? Ce n'est pas nécessaire...
Lissa : Si, au contraire, Ricken. Les autres ne seront pas toujours là pour me protéger. En temps de guerre, tout peut arriver. Je dois me tenir prête en toute circonstance.
Ricken : Mais Lissa, c'est mon travail de te protéger. Se battre aux avant-postes, c'est s'exposer au danger. Et... je ne veux pas que tu sois blessée au combat.
Lissa : Et tu crois que je souhaite qu'il t'arrive malheur à toi, à Chrom ou aux autres ?
Ricken : Non, mais...
Lissa : Ce serait totalement injuste de te faire porter ce fardeau à toi seul !
Ricken : Lissa, tout ce que je veux... Je... Désolé, tu as raison. On est tous dans la même galère.
Soutien A
Lissa : Coucou, Ricken. Encore à bouquiner ? Tu va finir par t'abîmer les yeux à ce rythme !
Ricken : Pour me rendre utile auprès de Chrom à l'avenir, je dois parfaire mes connaissances.
Lissa : Mais tu es déjà d'une grande utilité !
Ricken : Je parle d'un avenir lointain. J'aimerais devenir un jour son conseiller royal ! C'est un modèle pour moi ! Je veux suivre ses pas et me montrer digne de lui !
Lissa : Hi hi ! Ah oui, ça ne fait aucun doute ! Quand tu as rejoint la troupe, tu le suivais partout où il allait ! Qu'est-ce qui t'intéresse autant chez mon frère ? Ne me dis pas que c'est son air de dur à cuire, ou je te fais ta fête !
Ricken : Quand j'étais plus jeune, les autres enfants me terrorisaient. Un jour, ça a dégénéré... Mais Chrom est intervenu pour me tirer de ce mauvais pas. Comme personne ne m'avait jamais aidé, je me suis dit que ça cachait quelque chose... Il voulait peut-être se vanter de pouvoir faire fuir tous ces gamins à lui seul...
Lissa : Se vanter ? Mon frère ? Ha ha ha ha ha ! Même si un groupe d'ours enragés t'avait pris pour cible, il serait intervenu !
Ricken : Oui, je le sais bien. J'ai pu le constater lorsqu'il est venu m'aider une seconde fois. Des enfants me poursuivaient dans un bois et une meute de loups est apparue ! Il y en avait une bonne vingtaine... Mais Chrom est arrivé et les a tous chassés !
Lissa : Je comprends mieux pourquoi tu le prends en modèle !
Ricken : Et encore ! Il s'est débarrassé d'une autre meute de loups pour arriver jusqu'à nous ! Après leur fuite, il arrivait à peine à se tenir sur ses jambes. C'est cette vulnérabilité qui lui donne une aura héroïque. Moi aussi, je voulais être aussi courageux que lui. C'est encore le cas aujourd'hui.
Lissa : Tu es déjà très courageux. Et je suis sûre qu'un jour on te prendra aussi en modèle !
Ricken : Merci, Lissa. Mais pour ça, il faut que je continue à lire !
Soutien S
Ricken : Tout va bien, Lissa ? Tu n'as pas été blessée lors de notre dernier combat ?
Lissa : Non ! Je me porte comme un charme ! Mais c'est gentil de demander...
Ricken : Hé hé...
Lissa : Tu sais quoi, je trouve que tu es tout aussi héroïque que mon frère. Tu m'as sauvé un nombre incalculable de fois. Et pourtant, je suis forte en calcul.
Ricken : C'est normal ! Tu es quand même la sœur de Chrom ! Je dois veiller à ta sécurité !
Lissa : Ah, je vois...
Ricken : Euh, ce que je veux dire, c'est que... Tu es la sœur de Chrom. Mais tu es bien plus que ça, en fait ! Quand tu disais que tu ne voulais pas que je porte le poids de la bataille à moi seul... C'était comme... une libération. C'est pour ça que je veux te protéger.
Lissa : Ah, c'est gentil de me dire ça. Je suis heureuse d'avoir pu me rendre utile.
Ricken : En fait, j'y ai beaucoup réfléchi et... je me demandais... Tiens, c'est pour toi...
Lissa : Un anneau ?
Ricken : Cet anneau se transmet de génération en génération dans ma famille. Et donc... … si tu le portais, je pourrais continuer à te protéger... Pour... toujours ?
Lissa : Hi hi ! Il n'y a donc pas que Chrom que tu veux suivre partout !
Ricken : C'est que... j'aime bien Chrom. Mais toi, je t'aime vraiment beaucoup...
Lissa : C'était pour t'embêter... En tout cas, tu as bon goût !
Ricken : Ça veut dire que tu acceptes ?
Lissa : Oui !
Oui.
Alors, Horten, si t'es motivée, on a encore du travail.
Pour Nowi, il en manque seulement trois dans les soutiens normaux : Nowi/Daraen(femme), Nowi/Zelcher et Nowi/Henri.